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Saint-Gence

Saint-Gence (Sent Gençan en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Gence
Saint-Gence
Église Saint-Gentien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Serge Roux
2020-2026
Code postal 87510
Code commune 87143
Démographie
Population
municipale
2 218 hab. (2020 en augmentation de 7,51 % par rapport à 2014)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 21″ nord, 1° 08′ 19″ est
Altitude Min. 256 m
Max. 432 m
Superficie 21,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Couzeix
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Gence

    Géographie

    Saint-Gence se situe à environ 20 km au nord-ouest de Limoges et à environ 10 km de l'aéroport de Limoges-Bellegarde. Bien qu'elle subisse de plus en plus l'influence de la préfecture départementale toute proche, notamment en termes de constructions nouvelles, la commune abrite encore une nature préservée et des villages traditionnels.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Gence
    Peyrilhac
    Veyrac Saint-Gence Nieul
    Verneuil-sur-Vienne Limoges Couzeix

    Lieux-dits

    La commune de Saint-Gence comprend 25 villages : Bondy, le Bos-Rabaud, le Boschaudérier, Campanelle, les Carrières, la Celle, les Charriers, la Chassagne, la Châtre, Châtre-Boucherane, le Chazeau, Cireijaux, le Clapier, la Croix-des-Charriers, la Lande, Lingaud, Maison-Neuve, le Mas-Boucher, les Monts, Moulin-du-Theil, Pissarotte, la Ribière-du-Theil, le Theil, Vauzelle, les Verdiers.

    Elle compte également des habitations isolées qui ne sont pas considérées comme des villages.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 041 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantiat », sur la commune de Nantiat, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 122,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Cartes

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gence est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,4 %), forêts (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (21,9 %), terres arables (12,6 %), zones urbanisées (7,8 %), cultures permanentes (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Gence est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gence.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 51,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Gence est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

    Histoire

    Des traces d'occupation gauloise apparaissent entre la fin du IIIe siècle et le début du IIe siècle av. J.-C.. Saint-Gence semble avoir été la capitale des Lémovices jusque vers 70 av. J.-C., date à laquelle ils auraient abandonné le site au profit de Villejoubert. Le Camp de César est une petite enceinte fortifiée d'origine gauloise.

    Ce n'est qu'au Moyen Âge qu'un village réapparaîtra, qui existe toujours aujourd'hui.

    Il y a dans le village une église romane, remaniée au XVe siècle, ainsi qu'un bâtiment agricole du XVe siècle, le repaire des Monts, et la maison de la Chassagne construite au XVIIe siècle. De nombreux édifices d’eau jalonnent la commune : moulins sur la Glane, lavoir à Senon, réserve à poissons dans le bourg, nombreux puits et aqueducs. Un réseau de circuits pédestres et de VTT balisés, permet de découvrir les bocages, forêts et hameaux typiques.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1958 Jean Courivaud
    octobre 1958 novembre 1960
    (décès)
    Fernand Bonnat
    décembre 1960 mars 1983 Marcelin Boulique
    mars 1983 juin 1995 Michel Le Turdu PS
    juin 1995 mars 2008 Roger Mérigaud PS
    mars 2008 mai 2020 Alain Delhoume[25] PS Cadre du secteur public retraité
    7e vice-président de Limoges Métropole
    mai 2020 En cours Serge Roux PS Retraité, ancien premier adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Saint-Gence fait partie de la communauté de communes de Limoges Métropole. De plus, Veyrac, Peyrihac, et Saint-Gence sont trois communes sœurs, ce qui signifie qu'elles partagent de nombreuses tâches ensemble.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 2 218 habitants[Note 9], en augmentation de 7,51 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8688748359809459711 0001 0091 069
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0319959961 0371 0741 0531 0521 0301 083
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0661 0761 020942871868837814733
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7006177041 0711 3111 4891 8461 9482 067
    2018 2020 - - - - - - -
    2 1542 218-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Château de la Chassagne (XVIe siècle)
    • Château des Monts (XVIe siècle)
    • Église Saint-Gentien (XIIIe siècle). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1966[30].

    Culture, loisirs et sports

    Musée

    Espaces verts

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[33]. De plus, l'espace vert situé en centre-ville accueille de nombreux habitants. Saint-Gence bénéficie en effet d’une situation privilégiée, de par la proximité de la campagne environnante.

    Évènements

    • Depuis l'année 2000, Saint-Gence organise tous les ans la vinigast, une manifestation gastronomique centrée sur des viticulteurs de toute la France et sur des exposants de produits gastronomiques régionaux.
    • Les 23 et 24 juin 2012, Saint-Gence a organisé les journées « Gauloises », une première en Limousin.

    Sports

    Peuvent être pratiqués à Saint-Gence :

    • football
    • tennis de table
    • danse
    • judo
    • basket
    • gymnastique
    • athlétisme
    • vélo trial

    Personnalités liées à la commune

    • Guy Lintz, archéologue et historien français, dont le nom a été donné au musée archéologique de Saint-Gence.
    • Laëtitia Milot, actrice, mannequin et écrivain française, a passé son enfance à Saint-Gence.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Nantiat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Saint-Gence et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Nantiat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Gence et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Gence », sur Géorisques (consulté le ).
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
    23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
    25. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Eglise Saint-Gentien », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    31. Centre France, « Saint-Gence - Toujours des atouts à développer », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
    32. « Saint-Gence honore la mémoire de Guy Lintz », sur saint-gence.fr (consulté le ).
    33. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .

    Voir aussi

    Article connexe

    Lien externe


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