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Peyrilhac

Peyrilhac [peʁijak], ou Pairilhac en occitan, est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Peyrilhac
Peyrilhac
L'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Claude Compain
2020-2026
Code postal 87510
Code commune 87118
DĂ©mographie
Gentilé Peyrilhacois
Population
municipale
1 307 hab. (2020 en augmentation de 4,56 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 57â€Č 02″ nord, 1° 08â€Č 12″ est
Altitude Min. 257 m
Max. 383 m
Superficie 38,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Couzeix
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Peyrilhac
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Peyrilhac
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Peyrilhac

    Ses habitants sont appelés les Peyrilhacois[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e Ă  15 km au nord de Limoges sur la N 147 reliant Limoges Ă  Poitiers, la commune fait partie de l'agglomĂ©ration de Limoges et du canton de Couzeix

    Communes limitrophes

    Lieux-dits

    La commune de Peyrilhac comprend 56 villages : l'Age, BanĂšche, Baraugout, la BĂ©raudie, la Boisserie, Boissournet, les Borderies, le Boucaret, le Breuil, les BruyĂšres, les Cadophies, le Camp, la Cantine, la ChĂątaigneraie, Chauvour, Chavaignac, Conore, le Dejai, l’Étang de Conore, la Font-du-Breuilh, les Fosses, FĂŽt, Fourcelas, Gaudonneix, les Grenouilles, la Lande, LauriĂšre, Lauriget, Lavaud, Maison-Neuve, le Mas d'Aixe, le Mas de la Vie, le Mas du Bost, Mont-Cocu, le Montezour, la Mothe, le Moulin-de-la-Roche, les PĂąquerettes, la Petite-Roche, le Pic, le Picou, Pompadour, la Prade, le Puy-des-Elies, le Puy-Dieu, Puy-Seru, le Queyroix, la Roche, Trachaussade, la TuiliĂšre, Vaugoulour, le Verger, la Vergne-Jourde, les Vergnes.

    Elle compte également quelques habitations isolées ou lotissements nouveaux qui ne sont pas considérés comme des villages.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 035 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nantiat », sur la commune de Nantiat, mise en service en 1996[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 122,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  14 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrilhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (75,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26 %), forĂȘts (25,5 %), terres arables (8,4 %), zones urbanisĂ©es (0,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Peyrilhac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrilhac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 49,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Peyrilhac est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Les Hospitaliers

    Le village et la paroisse de Conore sont mentionnés en tant que commanderie sur les cartes de Cassini et faisaient partie des membres de la commanderie hospitaliÚre de Limoges (dite aussi du Palais) au sein du grand prieuré d'Auvergne. Cette seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem disposait d'un étang (l'étang de Conore) et d'un four banal auquel les habitants de Les Vergnes étaient tenus de moudre leurs grains[27]. Le commandeur percevait des rentes sur ces deux villages ainsi que sur ceux de Lage, PisÚgre et Vaugoulour[28].

    Seconde Guerre mondiale

    Le jour mĂȘme de l’arrestation de KĂ€mpfe, durant l’aprĂšs-midi, le lieutenant SS Gerlach, qui a reçu l’ordre de prĂ©parer les cantonnements Ă  Couzeix avec six hommes rĂ©partis dans trois vĂ©hicules, dĂ©cide sur la route de faire cavalier seul, mais se retrouve isolĂ© avec son chauffeur. Comprenant son erreur, Gerlach demande Ă  celui-ci de faire demi-tour. Il est capturĂ© avec son chauffeur par les maquisards entre ce bourg et Peyrilhac. On leur lie les mains dans le dos. Les deux captifs sont remis entre les mains de la 2403e compagnie FTP, au Bois-du-Roi prĂšs de Bellac. Le chauffeur est fusillĂ©. Gerlach parvient Ă  s’échapper en atteignant la lisiĂšre de la forĂȘt, oĂč il se met Ă  l'abri. AprĂšs plusieurs heures de traque, il Ă©chappe Ă  ses poursuivants, atteint la voie ferrĂ©e Bellac-Limoges et rejoint le colonel SS Stadler, Ă  qui il expose les faits

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1832 Dupuy
    1837 Auguste Villard
    Henri Beyrand
    décembre 1951 mars 1971 Vincent Vidaud
    1971 mars 1977 André Pichereau Maire
    mars 1977 juin 1995 Marcel Dassonville PCF puis ADS
    juin 1995 août 2006 Claude Caullet ADS
    septembre 2006 mars 2008 Roland Debuire
    mars 2008 mars 2014 Didier Rateau Apparenté PCF
    mars 2014 En cours Claude Compain[30] PS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 1 307 habitants[Note 9], en augmentation de 4,56 % par rapport Ă  2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0741 0881 0521 3961 4661 5521 5411 6581 590
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7171 6301 7421 6721 6791 8041 7861 8431 878
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8901 9281 9341 8431 6641 4771 4991 3781 238
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1311 1119131 0981 0671 0691 1571 2181 263
    2020 - - - - - - - -
    1 307--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade de la mairie.

    sur la base Mérimée[35]

    Personnalités liées à la commune

    • Martial Bardet de Maison-Rouge, gĂ©nĂ©ral de division français. NĂ© le Ă  Maison-Rouge, Ă  Peyrilhac et dĂ©cĂ©dĂ© le au mĂȘme endroit.
    • Paul Gavarni (1804-1866), graveur et aquarelliste français ayant possĂ©dĂ© le chĂąteau de Trachaussade.
    • Vincent Vidaud, maire de la commune de Ă  .
    • Marcel Dassonville, maire de la commune de Ă  . NĂ© le Ă  Flavignac (Haute-Vienne) et dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  Limoges (Haute-Vienne), il fut aussi conseiller municipal et adjoint au maire de 1951 Ă  1977.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • A. Lecler, « Monographie du canton de Nieul », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Limousin, t. 42,‎ , lire en ligne sur Gallica

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Nantiat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Peyrilhac et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Nantiat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Peyrilhac et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Peyrilhac », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. Lecler 1894, p. 127.
    28. Louis-Augustin VayssiĂšre, « L’Ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocĂšse de Limoges », Bulletin de la SociĂ©tĂ© des lettres, sciences et arts de la CorrĂšze,‎ , p. 111, lire en ligne sur Gallica.
    29. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    30. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Lieux et monuments de Peyrilhac », base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. « Eglise paroissiale Saint-Léger », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    37. « Eglise paroissiale de la-Décollation-de-Saint Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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