Cieux (Haute-Vienne)
Cieux (SĂus en occitan, prononcĂ© « Ci ») est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Cieux | |||||
Vue de Cieux | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Bellac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haut Limousin en Marche | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Esclamadon 2020-2026 |
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Code postal | 87520 | ||||
Code commune | 87045 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ciellois | ||||
Population municipale |
1 002 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 59âČ 33âł nord, 1° 02âČ 46âł est | ||||
Altitude | Min. 258 m Max. 410 m |
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Superficie | 41,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bellac | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Ciellois[1].
GĂ©ographie
Longtemps rĂ©putĂ©e pour son plan d'eau, celui-ci est dĂ©sormais fermĂ© au public. Son grand Ă©tang privĂ© est rĂ©servĂ© Ă la pĂȘche.
Localisation et accĂšs
L'intersection du 46e parallÚle nord et du 1er méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).
Communes limitrophes
Lieux-dits
La commune de Cieux comprend 45 villages : Arnac, la Basse-ForĂȘt, Bellevue, la Betoulle, les Boisgilles, le Boismorand, Boscartus, le Boucheron, la Brousse, Cinturat, Chantegros, Charrat, le ChĂątenet, le ChĂȘne-Pignier, la ChĂšze, les Cros, Fromental, la Genette, le Grand-Bost, Grateresse, la Jarrige, les LathiĂšres, Lavalette, Lavaud, Lignac, Loutre, la Martinerie, le Mas-de-Lesterps, le Mas-Vieux, Monsac, le Montazeaud, Ovier, Pacage-Jo, la Peine, PĂ©rignanas, les Petits-Hors, Poliiserie, la Pouyade, Pranaud, Prenlis, Puymenier, la RougiĂšre, le Theil, VechĂšze, Villeforceix.
Elle compte également des habitations isolées qui ne sont pas considérées comme des villages.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nantiat », sur la commune de Nantiat, mise en service en 1996[8] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 122,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă 22 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Cieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (71,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (51,9 %), forĂȘts (24,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,2 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,2 %), eaux continentales[Note 8] (2 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cieux est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. 38,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cieux est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[25].
Histoire
Cieux Ă©tait sous l'autoritĂ© de la famille de Brettes, pendant l'Ancien RĂ©gime. Celle-ci rĂ©sidait au village des Cros. Ce village surplombe la commune. Les diffĂ©rents seigneurs Ă©taient enterrĂ©s sous l'Ă©glise de Cieux. Leurs cercueils ont Ă©tĂ© dĂ©couverts au dĂ©but du XXe siĂšcle. De mĂȘme, cette Ă©glise est rĂ©putĂ©e dans tout le Limousin par le nombre de ces cloches. Elles sont au nombre de quatre. Or, il n'y en a que deux qui fonctionnent, car le clocher se fait vieux. Les cloches ont Ă©tĂ© retirĂ©es du clocher en 1901, afin de les entretenir. Mais avant de retrouver leur place elles ont Ă©tĂ© bĂ©nies. Il existe mĂȘme un souterrain qui relie l'Ă©glise aux Cros. La commune regorge de souterrains. Ceux-ci datent essentiellement de la PremiĂšre Guerre mondiale.
Cieux a été profondément marqué par la Seconde Guerre mondiale.
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[27].
En 2020, la commune comptait 1 002 habitants[Note 10], en augmentation de 4,38 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Sur la commune de Cieux se trouvent plusieurs terrains protégés[30]:
- Ă©tang du Brudoux ;
- lande de Ceinturat (espace protégé) dont une partie est ZNIEFF : la lande de Ceinturat ;
- Ă©tang de Cieux (ZNIEFF) ;
- Ă©tangs de Fromental et chaos rocheux de la roche aux FĂ©es (ZNIEFF).
Lande de Ceinturat
La lande de Ceinturat (aussi Ă©crit Cinturat) d'une trentaine d'hectares appartenant Ă l'ensemble des monts de Blond est une formation vĂ©gĂ©tale situĂ©e entre 300 et 350 mĂštres d'altitude constituĂ©e de plantes ligneuses de petite taille, essentiellement de bruyĂšres, ajoncs, genĂȘts. Elle est caractĂ©ristique des landes atlantiques par ses dĂ©pressions humides et ses pentes drainĂ©es Ă l'origine d'une forte diversitĂ© de formations vĂ©gĂ©tales. Ce site est une ZNIEFF de type 1 protĂ©gĂ©e par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 12 janvier 1993.
Particularités du site
- Géologie : sol podzolique en haut de pente et un sol lessivé de plus en plus hydromorphe en bas de pente.
- Flore : Drosera intermedia (Droséra intermédiaire, protégée en France) ; Drosera rotundifolia (Droséra à feuilles rondes, protégée en France) ; Rhynchospora fusca (Rhynchospore brun, protégé en Limousin) ; Erica scoparia (BruyÚre à balais, protégée en Creuse).
- Faune : Busard Saint-Martin, Engoulevent d'Europe, Criquet à deux tùches, Miroir (papillon), Bondrée apivore, Traquet pùtre, Bruant jaune, Pipit des arbres.
Ătangs de Fromental et rocher aux FĂ©es
Les Ă©tangs de Fromental et le chaos rocheux de la Roche aux FĂ©es sont protĂ©gĂ©s par l'arrĂȘtĂ© du 5-10-1977[31]. La protection concerne les Ă©tangs de Fromental, l'Ă©tang Pas de l'Ane (appelĂ© aussi Ă©tang des FĂ©es) et le rocher aux FĂ©es.
Menhirs
- Menhir de Ceinturat[32] : il est classĂ© monument historique et date du NĂ©olithique. Il sâagit du plus grand menhir de Haute-Vienne. Sa hauteur au-dessus du sol est de 5,10 mĂštres et il est enterrĂ© de 2 mĂštres.
- Menhir d'Arnac[33] : il est inscrit aux monuments historiques et date du NĂ©olithique. Il sâagit dâun menhir de 3,20 mĂštres qui prĂ©sente une centaine de cupules et de signes gravĂ©s (croix).
- Menhir d'Arnac.
- Menhir de Ceinturat.
Dolmen des Termisseaux
Dolmen en ruine avec sa table brisée d'environ 8 mÚtres de circonférence[34].
Chapelle du Bois-du-Rat
La chapelle du Bois-du-Rat[35] a été édifiée au XIIe siÚcle.
Ancienne colonie du Four
La colonie du Four, due Ă l'architecte Roland Schweitzer, a Ă©tĂ© construite en 1971-1972 Ă Villeforceix pour le ComitĂ© des Ćuvres laĂŻques de vacances dâenfants et dâadolescents du dĂ©partement de la Seine. En usage jusque vers la fin des annĂ©es 1980, elle a Ă©tĂ© dĂ©saffectĂ©e en 1995. Elle est aujourdâhui une propriĂ©tĂ© privĂ©e. Elle a Ă©tĂ© labellisĂ©e Patrimoine du XXe siĂšcle par arrĂȘtĂ© du 21 janvier 2008[36].
Institut Sainte-Marguerite
En 1900, le chanoine Roby crĂ©e sur les terres de sa famille l'institut Ste Marguerite, dont la gestion est confiĂ©e aux religieuses des Filles de la Sagesse. Elles seront remplacĂ©es peu aprĂšs par les Ursulines de Chavagnes en Paillers. Pendant la premiĂšre guerre mondiale, l'Ă©cole est transformĂ©e en hĂŽpital pour les blessĂ©s du front. Des jeunes filles juives seront cachĂ©es par les SĆurs lors de la seconde guerre mondiale, avant l'occupation du bĂątiment par les allemands. En 1966, l'Ă©tablissement devient mixte (une Ă©cole, un collĂšge, 90 internes, une garderie). Le collĂšge fermera en 1988 et l'Ă©cole en 2000. Les bĂątiments rachetĂ©s par la mairie accueillent une Ă©cole privĂ©e d'agriculture (spĂ©cialisĂ©e dans les eaux et forĂȘts) jusqu'en 2011, puis une Ă©cole privĂ©e Montessori jusqu'en 2015[37].
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Dalesme (1763-1832), général de brigade, membre du Corps législatif sous le Consulat, baron d'Empire, gouverneur de l'ßle d'Elbe, commandant de l'HÎtel des Invalides.
- André Raynaud (1904-1937), coureur cycliste français.
HĂ©raldique
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Les armoiries de Cieux se blasonnent ainsi : |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Nantiat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cieux et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Nantiat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cieux et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- inventaire national du patrimoine naturel
- ZNIEFF 740002777 - ETANGS DE FROMENTAL ET CHAOS ROCHEUX DE LA ROCHE AUX FEES
- « Mérimée : Menhir de Ceinturat », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Mérimée : Menhir d'Arnac », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
- panneau explicatif du dolmen
- « Mérimée : Chapelle du Bois-du-Rat », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
- http://www.limousin.culture.gouv.fr/IMG/pdf/pat_20_colonie_du_four.pdf
- « cieux une longue tradition locale de l alternative pĂ©dagogique », le populaire du centre,â , p. 6.
Pour approfondir
Bibliographie
- Nion G., 2002, Ătude du plan dâeau de recherche expĂ©rimental de Cieux : lâĂ©vaporation et les questions d'hydroclimatologie en Limousin. Limoges, MĂ©moire de maĂźtrise, 98 p.
- Papon P., 2007, Les plans d'eau superficiels, définition, fonctionnement et aménagements. Etude du lac Balaton, du lac de Grandlieu et de l'étang de Cieux. Limoges, thÚse de doctorat, 311 p.
La commune possÚde sa propre histoire au travers La petite Histoire de Cieux de A. HYVERNAUD. Elle a également inspiré d'autres auteurs.