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Vayres (Gironde)

Vayres est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Vayres
Vayres (Gironde)
La mairie.
Blason de Vayres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
Jacques Legrand
2020-2026
Code postal 33870
Code commune 33539
Démographie
Gentilé Vayrais
Population
municipale
4 177 hab. (2020 en augmentation de 12,56 % par rapport à 2014)
Densité 289 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 53″ nord, 0° 18′ 47″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 39 m
Superficie 14,46 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Vayres
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Vayres
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Vayres
Liens
Site web mairie-vayres.fr/

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Vayres se situe dans l'Entre-deux-Mers, en rive gauche de la Dordogne, dans l'aire d'attraction de Bordeaux et son unité urbaine, ainsi que dans la communauté d'agglomération du Libournais membre du Pays du Libournais.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Izon, Arveyres, Beychac-et-Caillau, Fronsac, Saint-Germain-du-Puch, Saint-Michel-de-Fronsac et Saint-Sulpice-et-Cameyrac.

    À vol d'oiseau, Vayres se trouve à 6,6 km à l'ouest de Libourne, 12,4 km au sud-ouest de Saint-Émilion et 21,5 km au nord-est de Bordeaux[3]. Les communes limitrophes en sont, sur la rive gauche de la Dordogne, Arveyres au sud-est, Saint-Germain-du-Puch au sud, Beychac-et-Caillau au sud-ouest, Saint-Sulpice-et-Cameyrac à l'ouest et Izon au nord nord-ouest ; sur la rive droite, les communes sont Saint-Michel-de-Fronsac au nord-est et Fronsac à l'est[4].

    Voies de communication et transports

    La commune est accessible par l'autoroute A89, sorties no 07, dite de Vayres et Izon, et no 08, dite de Vayres, Arveyres, Saint-Germain-du-Puch et Libourne.

    La gare de Vayres est une gare ferroviaire française de la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean, située sur le territoire de la commune de Vayres.

    Hydrographie

    Surfers sur le mascaret de la Dordogne à Saint-Pardon.

    Vayres se trouve en rive gauche de la Dordogne, à son confluent avec le Gestas.

    Le mascaret est un phénomène de brusque surélévation de l'eau d'un cours d'eau, en l'occurrence ici la Dordogne, au moment où la marée montante vient contrarier le débit naturel du cours d'eau. Différents paramètres interviennent, tels que la puissance de la marée, la quantité d'eau descendant, la phase de la lune (plus celle-ci est pleine ou nouvelle, plus le mascaret est fort). À Vayres, le mascaret « passe » deux fois par jour, au moment où la marée passe de descendante à montante, lors des pleines et nouvelles lunes et avec plus de puissance d'août à octobre. Le mascaret peut être plus précisément regardé depuis le port Saint-Pardon de Vayres, près du centre du village et l'« association du Mascaret »[5] prend en charge l'organisation de l'événement pour accueillir dans les meilleures conditions les nombreux visiteurs. Par gros mascaret, le surf peut se pratiquer pendant au moins vingt minutes en continu. Des kayakistes profitent également du phénomène.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 854 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beychac et Caillau », sur la commune de Beychac-et-Caillau, mise en service en 1971[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 852,7 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 27 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[18].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Vayres[19] - [20]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[21].

    ZNIEFF

    Vayres fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[22] - [23], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Vayres est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[28] et 994 920 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[29] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[31] - [32].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,6 %), zones urbanisées (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %), eaux continentales[Note 7] (5 %), forêts (2 %), prairies (1,7 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vayres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[36]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[37]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1989, 1993, 1999, 2000, 2009 et 2021[38] - [34].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vayres.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 566 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 566 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[34].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[41]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[42].

    Toponymie

    Le nom de Vayres vient de Varatedo, la propriété d'un dénommé Varus à l'époque gallo-romaine[43].

    En 1060, la paroisse Sanctus Johannes de Vayras est attestée et la cité est de nouveau mentionnée au XIIIe et XIVe siècles[44]. En occitan, la commune porte le nom de Vairas.

    Histoire

    Vayres est une ancienne cité habitée dès l’antiquité, sur la voie romaine Burdigala (Bordeaux) – Vesunna (Périgueux), à la fois port, camp et marché, son activité se développa grâce à sa situation géographique : un éperon rocheux qui surplombe le confluent du Gestas et de la Dordogne sur lequel fut construit le château, un des plus considérables de Guyenne. Vayres fut une baronnie et ensuite un marquisat où les seigneurs étaient riches et puissants. Les premiers documents écrits concernant les seigneurs de Vayres sont des états de donations diverses faites pendant les années 1060 à 1086. Au XIe siècle, des seigneurs du nom de Gombaud possédaient la terre de Vayres. Ils appartenaient sans doute à la même famille que les seigneurs de Lesparre qui étaient aussi des Gombaud. Un archevêque de Bordeaux porte aussi ce nom à la fin du Xe siècle[45].

    La famille d'Albret acquiert par héritage de Rose de Bourg la seigneurie de Vayres au XIVe siècle[46].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Jean de Vayres forme la commune de Vayres[45].

    Politique et administration

    La commune de Vayres fait partie de l'arrondissement de Libourne. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Libourne supprimé au nouveau canton du Libournais-Fronsadais[47] - [48]. Vayres fait également partie de la communauté d'agglomération du Libournais membre du Pays du Libournais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1857 Amédée Gentillot
    Les données manquantes sont à compléter.
    1972 juin 1995 Henri Lesne
    juin 1995 mars 2008 Jean-François Ravaut Médecin
    mars 2008 mars 2014 Hélène Maidon Ancienne pharmacienne
    mars 2014 En cours
    (au 30 avril 2014)
    Jacques Legrand SE Retraité Fonction publique

    Jumelages

    Drapeau de l'Espagne Laguardia (Espagne) depuis 1991[49].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Vayrais[50].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

    En 2020, la commune comptait 4 177 habitants[Note 9], en augmentation de 12,56 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3501 3421 3631 4651 5191 5711 5881 7452 033
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7881 8171 8481 8081 8221 7841 8441 9102 024
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0011 7791 7081 7331 6611 5951 5201 5961 970
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 8531 8452 2952 3612 4912 6313 1493 2803 595
    2018 2020 - - - - - - -
    4 0534 177-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La maison familiale rurale de Vayres propose des formations du baccalauréat professionnel au brevet de technicien supérieur, dans le domaine des vins et spiritueux.

    Économie

    Le territoire des communes de Vayres et d'Arveyres constituent, au sein du vignoble de l'Entre-deux-Mers, l'aire de production du graves-de-vayres, vin d'appellation d'origine contrôlée[55].

    Services

    • La déchetterie du syndicat mixte de collecte et de valorisation du Libournais et de la Haute-Gironde, située sur le territoire de la commune de Vayres, a ouvert en avec un format original en France où les usagers peuvent apporter de nombreux types de déchets et repartir avec les déchets déposés par les précédents[56].
    • La commune héberge un détachement du 3e régiment du matériel spécialisé dans la maintenance électronique-armement.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Vayres.
      Le château de Vayres.
    • L'église Saint-Jean-Baptiste.
      L'église Saint-Jean-Baptiste.

    Personnalités liées à la commune

    • Abbé Perdrigeon (1822-1888), curé de l'église Saint-Jean-Baptiste à partir de septembre 1857, connu pour les remèdes qu'il faisait distribuer par la pharmacie Lacour
    • Jean-Raoul Paul, ingénieur, ancien directeur de la Compagnie des chemins de fer du Midi, promoteur de l'électrification du chemin de fer, créateur, avec Joseph Capus, du Syndicat viticole des Graves de Vayres[58].

    Vayres autrefois

    • Le bourg

    Héraldique

    Blason de Vayres (Gironde) Blason
    Parti de sinople à la roue de moulin d’argent et d’argent au cep de vigne sur un échalas du champ fruité de cinq pièces de gueules ; le tout sommé d’un chef de vair en beffroi d’une tire[59] - [60].
    Détails
    Le vair est une ancienne fourrure qui rappelle le nom de la commune, le cep de vigne symbolise la viticulture, l’une de ses principales activités, et la roue dentée évoque l’industrie.
    Sur les armoiries, Le ruban porte l’inscription VARATEDO, nom de la commune du temps de la Gaule romaine, rappelant ainsi son origine très ancienne[44].
    Le blason, bien qu'absent du site internet de la mairie, est répertorié et décrit sur des sites de tourisme en Aquitaine.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[40].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Vayres sur Géoportail, consulté le 27 avril 2015.
    2. Vayres sur Géoportail, consulté le 27 avril 2015.
    3. Distances orthodromiques à partir de Vayres sur lion1906.com
    4. Vayres sur Géoportail avec l'IGN
    5. Association du Mascaret
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Beychac et Caillau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Vayres et Beychac-et-Caillau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Beychac et Caillau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Vayres et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    20. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    21. Espèces, INPN, consulté le .
    22. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    23. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    24. Espèces, INPN, consulté le .
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    29. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    30. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    34. « Les risques près de chez moi - commune de Vayres », sur Géorisques (consulté le )
    35. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    36. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    37. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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