Tarnac
Tarnac est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.
Tarnac | |||||
L'église Saint-Georges. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Tulle | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources | ||||
Maire Mandat |
François Bourroux 2020-2026 |
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Code postal | 19170 | ||||
Code commune | 19265 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tarnacois, Tarnacoises | ||||
Population municipale |
348 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 40′ 52″ nord, 1° 56′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 533 m Max. 878 m |
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Superficie | 67,46 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau de Millevaches | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Commune du Massif central, Tarnac est située dans le département de la Corrèze. Elle est limitrophe des départements de la Creuse et de la Haute-Vienne.
Elle est située sur le plateau de Millevaches, à 11 km au nord de Bugeat et à 30 km au nord-ouest de Meymac et à 42 km de la sous-préfecture d'Ussel.
Les gares SNCF les plus proches sont Bugeat et Meymac. Les aéroports les plus proches sont Brive, Limoges et Clermont-Ferrand.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le bourg de Tarnac se trouve à une altitude d'environ 715 m.
Morphologie urbaine
Le bourg se situe au centre de la commune, avec une cinquantaine de villages rattachés dont la majorité des maisons sont des résidences secondaires.
Selon le classement établi par l’Insee en 1999[2], Tarnac est une commune rurale non polarisée, qui ne fait donc partie d’aucune aire urbaine ni d’aucun espace urbain.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peyrelevade », sur la commune de Peyrelevade, mise en service en 1965[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 386,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 57 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Tarnac est une commune rurale[Note 5] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), zones humides intérieures (1,4 %), terres arables (0,6 %), zones urbanisées (0,4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Tarnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 403 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, de Marèges, de l'Aigle et de Neuvic d'Ussel, des ouvrages de classe A[Note 6] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tarnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Toponymie
Le toponyme est d'origine gallo-romaine, voire celtique. D'après Marcel Villoutreix[29], Tarnac est issu d'un nom d'homme gaulois ou latin, Tarinus ; d'après Jean-Paul Savignac[30] du théonyme Taranus, plus connu sous la forme de Taranis, dieu gaulois du tonnerre. De toute façon, un troisième auteur, Xavier Delamarre[31] rattache aussi bien Tarinus que Taranus à une racine taro signifiant « qui traverse. » Il est vrai qu'à proximité de Tarnac, la vallée de la Vienne est très encaissée et donne l'impression de traverser la montagne.
Histoire
Époque gauloise
Le territoire de l'actuelle commune de Tarnac est habité environ depuis le Ier siècle av. J.-C. En témoignent les quelque 27 tertres funéraires identifiés sur une ligne de crête partant du Puy Besseau au sud et remontant jusqu'aux Grands-Champs au nord. Les datations par le carbone 14 effectuées sur deux de ces tertres ont donné des résultats compris entre 55 av. J.-C. (+ ou - 135) pour le plus ancien et 200 (+ ou - 85) pour le plus récent[32]. La persistance, en pleine époque gallo-romaine, de ce type d'inhumation est passablement surprenante et semble témoigner du maintien tardif de la culture antérieure par au moins une partie de la population. La commune de Tarnac appartenait au territoire des Lemovices.
Pourtant, le lion du Theillet, visible dans l'église et d'époque gallo-romaine[33] indique, lui, que la pénétration du mode de vie romain a été bien réelle, au moins pour l'aristocratie foncière.
Moyen Âge
L'existence de Tarnac est attestée à l'époque carolingienne, d'abord sous la forme in centena Tarninense en 832, puis sous la forme in vicaria cujum est vocabulum Tarnacensem en 871[34]. Ces deux appellations ne correspondent pas toutefois à celle utilisée couramment à l'époque mais à leur transcription en latin, langue administrative d'alors. La seconde est, selon toute vraisemblance, plus proche de la langue vulgaire que la première. Le terme vicaria n'a rien d'ecclésiastique, mais désigne une subdivision d'un comté carolingien (en l'occurrence, le comté de Limoges). Cette désignation tend à prouver que Tarnac a été l'un des plus vieux ancrages de population sur le plateau de Millevaches, alors que celui-ci semble avoir connu un déclin démographique important depuis le milieu du IIIe siècle.
L'église de Tarnac est d'ailleurs l'une des plus anciennes du plateau de Millevaches et remonte au XIIe siècle.
Également d'époque médiévale, les fortifications du Puy Murat, dont subsistent quelques vestiges, et la grange templière du hameau de Champeau. Marius Vazeilles signale également les traces d'un donjon entre les hameaux de la Chapelle et de la Berbeyrolle.
XVIIe et XVIIIe siècles
La paroisse de Tarnac jouait un rôle économique et social central sous l'Ancien Régime pour les villages alentour. De par ses dimensions (2,5 fois celle de Bugeat), le nombre de villages et sa situation d'une part. À savoir la proximité des bourgs appartenant aujourd'hui à la Creuse (Faux-la-Montagne) ou la Haute-Vienne (Rempnat, Nedde), sans compter la corrézienne Peyrelevade. On doit pouvoir ajouter le poids essentiel de plusieurs familles de notables ou nobles très influents (Mercier, Chauzeix, Pichard, notamment), bien au-delà du secteur géographique (la géographie des mariages est parlante). Le petit groupe de religieux (curé et vicaires) gérait également la paroisse du Toy (écrit soit Touet, soit Toit, ce qui indique bien l'origine étymologique). Cette dernière possédait son église et son propre cimetière. Ses différents actes et sacrements figurent sur les registres paroissiaux de Tarnac, où on peut les retrouver assez facilement.
D'après les relevés opérés par les curés dans ces mêmes registres, et les taux de natalité-mortalité admis pour l'époque, on peut résumer la démographie par ces quelques chiffres : une soixantaine de naissances - ou baptêmes annuels et 50 décès, une dizaine de mariages. Hors périodes de crises, fréquentes aux environs de 1700 (règne de Louis XIV). Avec une grande variabilité annuelle : de 25 à 70 B, de 4 à 25 M, de 30 à 85 S. ce qui permet une estimation de 1 500 habitants vers 1700 (dont 600 pour le bourg), à comparer aux 500 de Bugeat à même date. Un déclin assez net au XVIIIe siècle (1 200 vers 1800) et un maximum de 2 180 en 1886. Une paroisse-commune très importante donc à l'échelle du plateau de Millevaches.
L'importance – prestige social, intérêt économique - déjà soulignée peut aussi se repérer au poids proportionnel des paroisses voisines dans les mariages hors-paroisse (1/3, alors que le « réservoir » local de conjoints était pourtant élevé). Tarnac représentait avant la Révolution 35 % du canton actuel, aujourd'hui seulement 20 %.
XXe et XXIe siècle
Le 6 avril 1944, Jeudi Saint, pendant la Seconde Guerre mondiale, une compagnie d'une division allemande chargée de ratisser le plateau de Millevaches (division SS "B" / Brehmer, formée essentiellement de Caucasiens), venant du Sud-Ouest, commit de multiples exactions. À Tarnac, elle fusilla quatre Juifs dans la ville[35]. Ce sont, par ordre alphabétique, Henry Dresdner, 37 ans, né le 1er janvier 1907 à Cluj (Roumanie), Wolf Gretzer, 65 ans, né le 1er juin 1878 à Varsovie (Pologne), Meyer Monheit, 48 ans, né le 1er janvier 1896 à Tarnobrzeg (Pologne) et Léopold Scheinhaus, 57 ans, né le 24 août 1886 à Radislikus[36]. Voir aussi L'Eglise-aux-Bois, Rempnat, Eymoutiers.
À partir du , le village devient le centre d'une enquête sur des sabotages visant Réseau ferré de France, enquête connue sous le nom de « l'affaire de Tarnac »[37].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45]. En 2020, la commune comptait 348 habitants[Note 7], en augmentation de 13,36 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
Plusieurs édifices figurent à l'inventaire des monuments historiques :
- l'église Saint-Georges de style roman construite aux XIIe et XIIIe siècles, classée en 1919[48],
- un château du XVIIe siècle dont le propriétaire est Yves de Kerdrel, la façade et la toiture sont inscrites depuis 1989[49],
- le village de Puy-Murat, vestiges d'un ensemble médiéval inscrit en 1993[50],
- la fontaine Saint-Georges qui alimente un lavoir du XVIIIe siècle[51].
Deux chênes monumentaux sont plantés sur la place de l'Église[52].
Personnalités liées à la commune
- Philippe Auliac, enquêteur[53],
- Yves de Kerdrel, journaliste, directeur de Valeurs Actuelles et propriétaire du château du village[54] - [55],
- Julien Coupat, mis en cause puis relaxé dans l'Affaire de sabotage des lignes TGV en 2008[56],
- Armand Gatti, poète, dramaturge, metteur en scène et cinéaste, entré au maquis, il est arrêté en 1943 à Tarnac[57].
Bibliographie
- Jean-Marie Borzeix. Jeudi Saint. Stock: Paris, 2008. (ISBN 2234061601)[58].
- (en) Jean-Marie Borzeix. One Day in France: Tragedy and Betrayal in an Occupied Village. Translated by Gay McAuley. Foreword by Caroline Moorehead. Publisher: I.B. Tauris, 2016. (ISBN 1784536229), (ISBN 9781784536220)[59].
- Serge Klarsfeld. Le Mémorial de la déportation des Juifs de France. Beate et Serge Klarsfeld: Paris, 1978. Nouvelle édition, mise à jour, avec une liste alphabétique des noms.FFDJF (Fils et Filles des Déportés Juifs de France), 2012.
Notes et références
- Carte IGN sous Géoportail
- Page INSEE
Cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection - Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Peyrelevade - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tarnac et Peyrelevade », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Peyrelevade - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tarnac et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Tarnac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tarnac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Marcel Villoutreix Les Noms de lieux du Limousin, témoins de l'Histoire d'une région, Association des Antiquités historiques du Limousin, Limoges 2002
- Jean-Paul Savignac, Merde à César, La Différence, Paris, 2000, p. 57.
- Xavier Delamarre Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003
- Guy Lintz, « Fouilles de tertres de pierres à Tarnac (Corrèze) », Revue archéologique du centre de la France, vol. 18, no 3,‎ , p. 101-108 (lire en ligne, consulté le ).
- Site de l'Association de recherche historique et archéologique de Tarnac présentant le lion.
- Guy Lintz, Carte archéologique de la Gaule - La Corrèze, Académie des inscriptions et belles lettres, Paris, 1992
- Jeudi Saint de Jean-Marie Borzeix
- Voir, Klarsfeld, 2012.
- « TGV sabotés : les secrets de l'enquête », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Les maires de Tarnac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- Rémi Noyon, « Tarnac : "Pourquoi donc ont-ils tous des capuches ?" », Rue89, 19 mars 2014.
- Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
- CP Marie-Rose Bourneil Maire De Tarnac
- « Affaire Coupat: la maire de Tarnac dénonce "l'acharnement" judiciaire », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église Saint-Georges », notice no PA00099901, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Tarnac », notice no PA00099965, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Village de Puy-Murat », notice no PA00125510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine Saint-Georges », notice no IA00029831, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les chênes de Tarnac (Corrèze) », sur Krapo arboricole, (consulté le ).
- Christine Moutte, « Le photographe corrézien Philippe Auliac a lancé sa carrière en suivant son ami David Bowie », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- David Dufresne, Tarnac, magasin général, Calmann-Lévy, 2012, p. 16 sqq [lire en ligne].
- Ariane Chemin, « Tarnac, au bazar des libertés publiques », Le Monde, 1er mars 2012
- « Julien Coupat, étudiant brillant et chef présumé des saboteurs », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Brigitte Salino, « Armand Gatti, miroir éclaté des utopies », Le Monde, 6 avril 2017
- Jean-Marie Borzeix, 2008.
- (en) Jean-Marie Borzeix. One Day in France: Tragedy and Betrayal in an Occupied Village, 2016.
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Tarnac sur le site de l'Institut géographique national