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Viam

Viam [vjɑ̃] est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Viam
Viam
Le monument aux morts et l'église Saint-Martin.
Blason de Viam
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
Maire
Mandat
Philippe Claude Senéjoux
2020-2026
Code postal 19170
Code commune 19284
Démographie
Gentilé Viamois, Viamoises
Population
municipale
84 hab. (2020 en diminution de 26,32 % par rapport à 2014)
Densité 2,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 33″ nord, 1° 52′ 59″ est
Altitude Min. 618 ou 632 m
Max. 850 m
Superficie 29,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.communedeviam.fr

    Géographie

    Généralités

    Le lac de Viam vu depuis le bourg.

    Dans le nord du département de la Corrèze, la commune de Viam est située sur le plateau de Millevaches et dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Le territoire communal s'étire sur 29,99 km2, délimitant une zone de 10 kilomètres de long pour 6 kilomètres de large. Il est arrosé au sud et à l’est par la Vézère et ses affluents ou sous-affluents (ruisseaux des Chèvres, de Condeau, de Plazanet, du Vert, sous les Sucs), ainsi que par le ruisseau du Tronchet au nord-ouest, un sous-affluent de la Vienne. Arrêtée par le barrage de Monceaux la Virolle, la Vézère forme une retenue de 183 hectares, le lac de Viam dont 90 % de la superficie est sur le territoire de la commune. L'altitude minimale, avec 618 ou 632 mètres[Note 1], se trouve localisée au sud-ouest, au lieu-dit le Gué, là où la Vézère quitte la commune et sert de limite entre celles de Lestards et de Saint-Hilaire-les-Courbes. L'altitude maximale avec 850 mètres est située dans le nord-est, à moins de cent mètres du territoire de Toy-Viam, au sud de la côte Stazy[1].

    Sur la rive nord-ouest du lac de Viam et traversé par la route départementale (RD) 160, le petit bourg de Viam est situé, en distances orthodromiques, vingt-deux kilomètres au nord-ouest de Meymac et trente-deux kilomètres au nord-est d'Uzerche.

    Dans le nord, la principale voie d'accès à la commune est la RD 979. Au nord de celle-ci, la ligne ferroviaire du Palais à Eygurande - Merlines traverse le territoire communal d'ouest en est sur plus de cinq kilomètres. La gare la plus proche du bourg est celle de Bugeat.

    Le sud du territoire communal est parcouru par le sentier de grande randonnée 440B sur plus de deux kilomètres.

    Communes limitrophes

    Carte de Viam et des communes avoisinantes.

    La commune de Viam est limitrophe de sept autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 403 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bugeat », sur la commune de Bugeat, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 9,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 599,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 56 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Viam est une commune rurale[Note 6] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), prairies (34,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,8 %), eaux continentales[Note 7] (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Viam est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Viam.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Viam est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

    Histoire

    Coffre funéraire gallo-romain à trois réceptacles.

    Les plus anciennes traces humaines remontent au Néolithique. Ce sont deux haches polies et des silex taillés découverts à six endroits. À la période gallo-romaine, une voie venant de Limoges traverse la commune. Sept sites correspondent à des vestiges de construction, le plus important occupant un plateau du domaine de Plazanet où une colonne double a été mise au jour. Deux sépultures à incinération ont été découvertes à proximité. L'une, datée du Ier siècle de notre ère, reposait sous une butte de terre (tumulus) de quinze mètres de diamètre. L'autre, constituée par un coffre funéraire en granite, date de la fin du IIe siècle. Un autre coffre funéraire, très particulier, comprenait trois réceptacles[29].

    La paroisse de Viam semble attestée dès l’an mil. En 1154, une bulle du pape Adrien IV, confirme la propriété de l'église à l'abbaye de Tulle[30]. Au village de Plazanet, seize silos, répartis en trois groupes appartenaient à une ferme de cette époque. Près du village de Monceaux, les vestiges d’un château occupent un promontoire dominant la Vézère. Au milieu du XIVe siècle, le château de Monceaux, propriété du seigneur de Murat de Tarnac, est vendu à la famille Comte, bourgeois de Treignac qui ont été anoblis par la suite[31]. En 1514, un Laurent de Monceaux était curé de Viam. À la fin du XVIIe siècle, Les armoiries de Pierre Comte, sieur du Monceaux de Viam, se blasonnent ainsi : d'argent à un arbre de sinople

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 1940 Pierre Magnaval SFIC Conseiller d'arrondissement de Treignac (1934-1936)
    1944 1983 Pierre Magnaval PCF
    mars 2001 2008 Armand Terracol
    mars 2008 mai 2020 Michèle Guillou[32] Employée
    mai 2020 En cours Philippe Claude Senéjoux[33] Agriculteur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35]. En 2020, la commune comptait 84 habitants[Note 9], en diminution de 26,32 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    750541643601671729796767845
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    792744821837872919915918890
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    831887821649568507506398313
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    276213160141133132119118110
    2017 2020 - - - - - - -
    9384-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Troupeau de vaches de race limousine à Couignoux.

    Culture locale et patrimoine

    Église de Viam

    L'église paroissiale Saint-Martin de Viam a été probablement bâtie au XIIe siècle, comme l'évoque sa structure générale. Elle est construite sur un promontoire rocheux, tous ses murs reposant sur celui-ci. Bien située, elle domine le lac, la place du village et les bâtiments alentour. De dimensions modestes et d’apparence sévère, elle se remarque par sa silhouette aux proportions harmonieuses, par la qualité de sa construction, par l’intérêt de son espace intérieur, par le soin de son décor sculpté et par sa polychromie.

    L'église Saint-Martin a été classée monument historique en 1976[38].

    L'église Saint-Martin est le plus ancien édifice de la commune.

    Depuis le début des années 1990, plusieurs études et rapports ont mis en évidence l'urgence d'une restauration générale, de ce qui constitue la mémoire architecturale de Viam.

    Pour mener à bien ce projet évalué à 683 000,00 € HT la commune a obtenu l’aide de l’État (50 %), du conseil régional du Limousin (10 %) et du conseil général de la Corrèze (17,5 %). Cependant la part à la charge de la commune reste élevée, pour ses 120 habitants.

    Aussi en partenariat avec la Fondation du Patrimoine, la municipalité de Viam et l’association « Les Gens de Viam », ont décidé de lancer une grande souscription publique, qui fait appel au mécénat populaire, afin d’alléger cette charge communale. Chacun, particuliers, entreprises, professions libérales, associations, pourra participer ainsi à ce grand projet de sauvegarde et de valorisation du patrimoine national de proximité.

    Édifices

    Sur l’ensemble du territoire dcommunal, il existe de nombreuses croix, souvent en granit et de formes diverses[39].

    Barrage

    Le barrage de Monceaux la Virolle a été édifié sur la Vézère.

    Les travaux de construction du barrage ont débuté en 1940.

    La mise en eau a été effectuée en 1946.

    Quelques chiffres :

    • hauteur du barrage sur fondations : 34 m ;
    • superficie du lac : 183 ha ;
    • volume de la retenue (côte maximale) : 20 millions de m3 ;
    • débit normal de la rivière : 6,7 m3/s ;
    • débit maximal de la rivière : 140 m3/s ;
    • débit prise d’eau : 13 m3/s.

    Personnalités liées à la commune

    • Richard Millet (1953-), écrivain et éditeur, est né à Viam.

    Héraldique

    Blason de Viam Blason
    D'argent à un arbre arraché de sinople sommé d'une colombe de gueules, au chef d'azur à trois étoiles d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Galerie de photos

    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Le portail occidental de l'église.
      Le portail occidental de l'église.
    • Vestiges gallo-romains.
      Vestiges gallo-romains.
    • Le barrage de Monceaux la Virolle vu depuis le côté sud.
      Le barrage de Monceaux la Virolle vu depuis le côté sud.
    • Le lac de Viam vu depuis Couignoux.
      Le lac de Viam vu depuis Couignoux.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • 2004 : Viam en Millevaches raconte son passé
    • 2005 : La Gare de Viam
    • 2006 : Histoire et histoires de Viam
    • 2008 : Il était une fois Viam
    • 2013 : L'église de Viam par ceux qui l'ont restaurée

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 618 mètres sur la carte et 632 sur son ancien site.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « 850 » sur Géoportail (consulté le 12 octobre 2021)..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bugeat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Viam et Bugeat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bugeat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Viam et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Viam », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Viam », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. Article R214-112 du code de l’environnement
    26. « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    29. Guy Lintz, Quels sont les premiers habitants de Viam, dans il était une fois Viam, 2008, p. 4-25.
    30. Jean-Baptiste Champeval, Cartulaire des abbayes de Tulle et de Rocamadour, Brive, 1903, no 602.
    31. Ch. Jean-Baptiste Poulbrière, Dictionnaire Historique et Archéologique des paroisses du diocèse de Tulle, 2e édition, Brive, t. 3, 1966, p. 483-486.
    32. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
    33. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Église Saint-Martin », notice no PA00099954, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
    39. Inventaire général du patrimoine culturel, « Croix monumentales », notice no IA00029847, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
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