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Sarrance

Sarrance est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sarrance
Sarrance
Sarrance se détachant sur la vallée d'Aspe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Bruno Jungalas
2020-2026
Code postal 64490
Code commune 64506
DĂ©mographie
Gentilé Sarrançais
Population
municipale
159 hab. (2020 en diminution de 9,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 3,4 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 03â€Č 08″ nord, 0° 36â€Č 03″ ouest
Altitude Min. 314 m
Max. 1 869 m
Superficie 46,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Sarrance

    Le gentilé est Sarrançais.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Sarrance se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  50 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  18 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Escot (2,9 km), Lourdios-IchĂšre (5,1 km), Bedous (5,7 km), Osse-en-Aspe (6,3 km), Lurbe-Saint-Christau (7,0 km), Aydius (7,3 km), Issor (7,4 km), Asasp-Arros (8,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sarrance fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    La commune fait partie de la vallée d'Aspe.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Sarrance.

    La commune est drainĂ©e par le gave d'Aspe, l’Arrec de la Poursiouque, l'Aygue BĂšre, l’Arrec de Gousset, l’Arrec de la MĂ©ninĂšre, l'Aulouret, le Gassat, le SoulĂ©, le ruisseau Arric, le ruisseau de Bosdapous, le ruisseau de Bourdiou, le ruisseau de Coucourou, le ruisseau de la Coume, le ruisseau de la Lie, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 59 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron Ă  Oloron-Sainte-Marie, aprĂšs avoir traversĂ© 17 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 704 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 10,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Accous », sur la commune d'Accous, mise en service en 1952[14] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 679,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  41 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[20].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22] - [Carte 2] :

    • le « massif du Montagnon », d'une superficie de 8 694 ha, prĂ©sentant de nombreux habitats de l'annexe I dont certains sont rares dans les PyrĂ©nĂ©es[23] ;
    • le « massif du Layens », d'une superficie de 5 597 ha, un massif de montagne moyenne exploitĂ©e par le pastoralisme, qui recĂšle d’une grande richesse Ă©cologique[24] ;
    • « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste rĂ©seau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux Ă  trĂšs bonne qualitĂ© des eaux[25] et une au titre de la « directive Oiseaux »[22] - [Carte 3] :
    • l'« Eth Thuron des Aureys », d'une superficie de 2 182 ha, un massif montagneux situĂ© en position avancĂ©e sur le piĂ©mont des PyrĂ©nĂ©es, trĂšs favorable aux grands rapaces[26].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensĂ©es sur la commune[27] - [Carte 4] :

    • le « massif calcaire du pic du Trone du roi » (1 258,31 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[28] ;
    • le « massif calcaire du pic Roumandares au sommet de Houndarete, bois de la pene d'Escot, bois d'Aran et bois de Gey » (6 133,51 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[29],
    • le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du dĂ©partement[30] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 8] - [27] - [Carte 5] :

    • le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[31] ;
    • la « vallĂ©e d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du dĂ©partement[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Sarrance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [33] - [34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (90,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (44,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (37,5 %), prairies (10,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (7,6 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    • le bois d'Aran ;
    • Araut ;
    • le Bourg ;
    • Gey ;
    • IchĂšre ;
    • Sayquet.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sarrance est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 2009 et 2021[41] - [39].

    Sarrance est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[42]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[43] - [44].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liĂ©s Ă  la prĂ©sence d'argile et des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[45]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sarrance.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[47]. 77,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [48].

    La commune est exposĂ©e aux risques d'avalanche. Les habitants exposĂ©s Ă  ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prĂ©vention des risques avalanches (PPRA). Le cas Ă©chĂ©ant, identifier les mesures applicables Ă  l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la piĂšce avec la façade la moins exposĂ©e Ă  l’alĂ©a pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et Ă©quiper cette piĂšce avec un kit de situation d’urgence[49] - [50].

    Toponymie

    Le toponyme Sarrance apparaĂźt sous les formes Sarrancia (Oratorium BeatĂŠ de Sarrancia, 1345[51], titres de BĂ©arn[52]), Sarransce et Nostre-Done de Sarranse (respectivement 1396[51] et 1450[51], notaires de Lucq-de-BĂ©arn[53]).

    Il vient du latin médiéval serrare (fermer), suivi du suffixe -antia et signifie fermeture, rétrécissement, défilé[54].

    Son nom béarnais est Sarrança[55] ou Sarrance[56].

    Le bois d'Aran et Araut sont mentionnés en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[51].

    Histoire

    Lieu de pĂšlerinage depuis qu'un pĂątre du Moyen Âge a trouvĂ©, dans la vallĂ©e d'Aspe, une statue de la Vierge. La commune de Sarrance est devenue indĂ©pendante de celle de Bedous le 22 mai 1778[51]. Paul Raymond[51] note l'existence d'une abbaye laĂŻque, vassale de la vicomtĂ© de BĂ©arn. Marguerite de Navarre (1492-1549) Ă©crivit son HeptamĂ©ron (recueil inachevĂ© de contes] Ă  Sarrance.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 Jean-Pierre Chourrout-Pourtalet
    2008 2014 Jean-Pierre Chourrout-Pourtalet

    Intercommunalité

    La commune fait partie de cinq structures intercommunales[57] :

    • la communautĂ© de communes de la VallĂ©e d'Aspe ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat de tĂ©lĂ©vision d'Oloron - VallĂ©e d'Aspe ;
    • le syndicat intercommunal d'aide matĂ©rielle Ă  la scolarisation en vallĂ©e d'Aspe ;
    • le syndicat mixte du Haut-BĂ©arn.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[59].

    En 2020, la commune comptait 159 habitants[Note 12], en diminution de 9,66 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1089151 0791 1301 2261 2121 2711 2301 206
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1711 1401 008953910868785777753
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    722765815569585602495452342
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    429214224229228233218214196
    2015 2020 - - - - - - -
    170159-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
    La pureté des gaves permit le développement de la pisciculture.

    Culture locale et patrimoine

    • Mairie - Ă©cole.
      Mairie - Ă©cole.
    • Clocher de l'Ă©glise Notre-Dame.
      Clocher de l'Ă©glise Notre-Dame.
    • La Vierge de Sarrance.
      La Vierge de Sarrance.
    • Le cloĂźtre de l'Ă©glise.
      Le cloĂźtre de l'Ă©glise.
    • Sarrance, vue gĂ©nĂ©rale.
      Sarrance, vue générale.
    • Lavoir.
      Lavoir.

    Patrimoine civil

    • Maisons des XVIIe et XVIIIe siĂšcles (Ă©table, four Ă  pain).
    • Maison de maĂźtre du XVIIIe siĂšcle.
    • Fontaine et lavoir du XIXe siĂšcle.
    • Gare sur la ligne Pau-Canfranc, dont le tronçon Oloron-Bedous a Ă©tĂ© rouvert Ă  la circulation des trains en 2016.

    Patrimoine religieux

    • MonastĂšre de Sarrance devint Ă  nouveau actif depuis septembre 2011 avec un moine prĂ©montrĂ© et sa communautĂ©. À partir du mois septembre 2022, ce monastĂšre est revitalisĂ© en prĂ©sence de cinq frĂšres de cet ordre, en qualitĂ© de prieur-hĂŽtelier, de recteur ainsi que de deux frĂšres en charge paroissiale avec l'accord de l'Ă©vĂȘque Marc Aillet[62]. L'Ă©glise de Sarrance, une partie de ce monastĂšre, est classĂ©e Monument historique depuis 1992. À la suite d'une enquĂȘte, certains Ă©lĂ©ments supplĂ©mentaires aussi sont protĂ©gĂ©s par arrĂȘtĂ© du 11 janvier 2018[63] - [64].
      • prieurĂ© de chanoines PrĂ©montrĂ©s (possession des chanoines de Saint-Jean de La Castelle au Moyen Âge[65]), XIe et XIIe siĂšcles, rĂ©novĂ© aux XVIIe et XIXe siĂšcles ; sous l'ordre de PrĂ©montrĂ© entre XIVe et XVIIIe siĂšcles et de nos jours[62]
      • cloĂźtre Ă  Ă©tage du couvent des PrĂ©montrĂ©s, contigu Ă  l'Ă©glise Notre-Dame[66], XVIIe siĂšcle ;
      • chapelle Notre-Dame-de-la-Pierre, fin XVIIIe siĂšcle ;
      • parmi les statues de Notre Dame, une statue couronnĂ©e par le pape LĂ©on XIII en 1890 ou aprĂšs[67] - [68]
      • Ă©tape de la via Tolosana, nom latin d'un des quatre chemins de France du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Musée

    • ÉcomusĂ©e de la vallĂ©e d'Aspe.

    Cinéma

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographies

    • Menjoulet (chanoine honoraire de Bayonne et archiprĂȘtre d'Oloron), Chronique de Notre-Dame de Sarrance dans la vallĂ©e d'Aspe en BĂ©arn, AndrĂ© Lacaze, Oloron 1859 [lire en ligne] 89 p.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Sarrance » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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