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Issor

Issor (en bĂ©arnais IssĂČr ou Isso) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Issor
Issor
La mairie d’Issor.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
CĂ©dric Pucheu
2020-2026
Code postal 64570
Code commune 64276
DĂ©mographie
Gentilé Issoriens
Population
municipale
236 hab. (2020 en diminution de 3,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 10 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 06â€Č 08″ nord, 0° 39â€Č 38″ ouest
Altitude Min. 280 m
Max. 1 206 m
Superficie 23,00 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Issor se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  47 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  14 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Arette (4,5 km), Asasp-Arros (4,5 km), Lurbe-Saint-Christau (4,6 km), Escot (5,3 km), Ance (5,5 km), Aramits (5,7 km), Lourdios-IchĂšre (5,8 km), Escot (6,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Issor fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    La commune fait partie de la vallée de Barétous.

    Communes limitrophes d’Issor[6]
    Aramits Asasp-Arros
    Arette Issor
    Lourdios-IchĂšre Sarrance

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Issor.

    La commune est drainĂ©e par le gave de Lourdios, le Laboo, l’Arrec Bigurne, l’Arrec de LaĂŒnde, l’Arrec de Serre Bendouse, le ruisseau de LabatnĂšre, le ruisseau des arrayous, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 26 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le gave de Lourdios, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune d'Osse-en-Aspe et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Aspe Ă  Asasp-Arros, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 468 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[14] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 341,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  38 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[20].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22] - [Carte 2] :

    • le « massif du Layens », d'une superficie de 5 597 ha, un massif de montagne moyenne exploitĂ©e par le pastoralisme, qui recĂšle d’une grande richesse Ă©cologique[23] ;
    • les « montagnes du BarĂ©tous », d'une superficie de 14 421 ha, prĂ©sentant une flore trĂšs diversifiĂ©e marquĂ©e par une nette influence atlantique et montagnarde. Elles se dĂ©marquent des autres massifs de la Haute Soule et du BarĂ©tous` notamment par sa flore caractĂ©ristique des tourbiĂšres comprenant de nombreuses espĂšces patrimoniales dont 16 espĂšces de sphaignes et 4 lycopodiacĂ©es[24] ;
    • « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste rĂ©seau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux Ă  trĂšs bonne qualitĂ© des eaux[25] et une au titre de la « directive Oiseaux »[22] - [Carte 3] :
    • l'« Eth Thuron des Aureys », d'une superficie de 2 182 ha, un massif montagneux situĂ© en position avancĂ©e sur le piĂ©mont des PyrĂ©nĂ©es, trĂšs favorable aux grands rapaces[26].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensĂ©es sur la commune[27] - [Carte 4] : le « massif calcaire du pic du Trone du roi » (1 258,31 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[28] et le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du dĂ©partement[29] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8] - [27] - [Carte 5] :

    • le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[30] ;
    • la « vallĂ©e d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du dĂ©partement[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Issor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [32] - [33] - [34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (65 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (65 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (37,5 %), prairies (26,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (26,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,3 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    • Auverny ;
    • Bigurne ;
    • Bisarce ;
    • Bugala ;
    • Netchury ;
    • le Village ;
    • Beziat.
    • Sarlatte

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Issor est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave de Lourdios. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2009 et 2021[40] - [38].

    Issor est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[41]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42] - [43].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[44]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[45].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Issor.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[46]. 70,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [47].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Issor est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[48].

    Toponymie

    Le toponyme Issor apparaßt[49] sous les formes Isoo (XIIIe siÚcle, for de Barétous[50]), Içor (1270, titres de la vallée d'Ossau), Issoo en Baratos (1385, censier de Béarn[51]), Ysoo (XIVe siÚcle, censier de Béarn[51]), Yssoo (1444, registres de la Cour Majour[52]), Yssor et Ysso (1538, réformation de Béarn[53]), Sent Joan d'Isso (1655, insinuations du diocÚse d'Oloron[54]).

    Le toponyme est d'origine basque, de izuri versant, déclivité[55].

    Son nom bĂ©arnais est IssĂČr[56] ou Isso[57].

    SĂ©gu est un mont[49] dont l’emprise s’étend sur Asasp-Arros et Issor.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2001 Jean-Jacques Cazaurang CPNT
    2001 2008 Jean-Jacques Cazaurang CPNT
    2008 2014 Jean-Jacques Cazaurang CPNT puis DVD
    2014 2017 Michel Lauga
    2017 En cours Cedric Pucheu[58] Berger

    Intercommunalité

    Issor fait partie de six structures intercommunales[59] :

    • la CommunautĂ© de communes du Haut BĂ©arn ;
    • le SIVU chargĂ© du tourisme en Haute-Soule et BarĂ©tous ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat de regroupement pĂ©dagogique d'Issor et de Lourdios-IchĂšre ;
    • le syndicat mixte des gaves d’Oloron - Aspe - Ossau er de leurs affluents ;
    • le syndicat mixte du Haut-BĂ©arn.

    Issor accueille le siÚge du syndicat de regroupement pédagogique d'Issor et de Lourdios-IchÚre.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[61].

    En 2020, la commune comptait 236 habitants[Note 12], en diminution de 3,28 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    792746822886935941901940898
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    856828776755760751720718675
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    624623580497475450418404372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    334290241247240262253251246
    2018 2020 - - - - - - -
    233236-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee Ă  partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. Elle fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    • Fronton.
      Fronton.
    • Le Laboo sur le territoire de la commune.
      Le Laboo sur le territoire de la commune.
    • L'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste.
      L'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste.

    Patrimoine religieux

    • Église paroissiale Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste, reconstruite en 1687. Le clocher a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© en 1924[64].
    • Six chandeliers en bois dorĂ©, inscrits monument historique en 1963, ont disparu.

    Patrimoine historique : les restes d'une demeure seigneuriale sont encore visibles sur la propriété Labrucherie au lieu-dit le Chùteau (base d'une tour et pan dégradé de mur de défense. Au sud-est, sur une bute terminale d'une prairie jouxtant le Chùteau des fondations circulaires semblent révéler une ancienne tour de guet ou de défense, en surplomb de la route départementale 618, prÚs de l'entrée du village. Constatations de visu.

    Quelques vitraux de l'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste
    Vitrail de saint LĂ©on Ă©vĂȘque et patron de Bayonne.
    Vitrail de saint Grat Ă©vĂȘque et patron d'Oloron.

    ÉvĂ©nements sportifs

    La commune se situe sur le trajet de la 16e Ă©tape du Tour de France 2007 qui a eu lieu le . Le parcours de 218 kilomĂštres relia Orthez Ă  Gourette - col d'Aubisque.

    Équipements

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire Un ensemble rĂ©cent Ă  vocation socio-culturelle ou sportive, bĂąti prĂšs du gave du Lourdios est destinĂ© Ă  recevoir des groupes en hĂ©bergement complet et, disposant d'une grande salle trĂšs Ă©clairĂ©e, il permet l'organisation d'activitĂ©s, de cĂ©rĂ©monies ou de fĂȘtes.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Issor » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Issor », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Issor », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Issor », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Issor », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Issor et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Issor et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Issor », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Fiche communale d'Issor », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le gave de Lourdios ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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