AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Saint-Laurent-des-Hommes

Saint-Laurent-des-Hommes est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Laurent-des-Hommes
Saint-Laurent-des-Hommes
La mairie de Saint-Laurent-des-Hommes
Blason de Saint-Laurent-des-Hommes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Michel Donnette
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24436
DĂ©mographie
Gentilé Saint Laurentais
Population
municipale
1 027 hab. (2020 en diminution de 1,06 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 32 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 02â€Č 19″ nord, 0° 15â€Č 15″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 113 m
Superficie 31,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Laurent-des-Hommes
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Laurent-des-Hommes
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Laurent-des-Hommes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Laurent-des-Hommes
Liens
Site web saint-laurent-des-hommes.com

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Saint-Laurent-des-Hommes est principalement située en rive droite de l'Isle qui la sépare de Saint-Martial-d'Artenset au sud-est.

    Elle est dĂ©limitĂ©e Ă  l'est par le Grolet, un ruisseau qui la sĂ©pare de Saint-Martin-l'Astier et Ă  l'ouest par un autre affluent de l'Isle, le Babiol, qui la sĂ©pare de Montpon-MĂ©nestĂ©rol. Le nord de la commune se trouve dans la forĂȘt de la Double. Au sud, une bande de terre de 200 Ă  500 mĂštres de large (BĂ©nĂ©vent et Fournils), se trouve en rive gauche de l'Isle.

    Le bourg de Saint-Laurent-des-Hommes, à l'intersection des routes départementales 3, 3E4 et 12, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomÚtres à l'est-nord-est de Montpon-Ménestérol et neuf kilomÚtres à l'ouest de Mussidan.

    La commune est également desservie par les routes départementales 13 à l'est et 6089 (l'ancienne route nationale 89) tout au sud.

    Communes limitrophes

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      OpenStreetMap Limite communale.
    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte de Saint-Laurent-des-Hommes et des communes avoisinantes.

    Saint-Laurent-des-Hommes est limitrophe de sept autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Laurent-des-Hommes est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e e5-6, est la formation de Guizengeard supĂ©rieur (LutĂ©tien supĂ©rieur Ă  Bartonien supĂ©rieur continental). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 781 - Montpon-MĂ©nestĂ©rol » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Saint-Laurent-des-Hommes.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 31 mĂštres[5] au sud-ouest, lĂ  oĂč l'Isle quitte le territoire communal pour servir de limite entre Saint-Martial-d'Artenset et Montpon-MĂ©nestĂ©rol, et 113 mĂštres[5] Ă  l'extrĂȘme nord, en limite de la commune de Saint-Michel-de-Double[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune est dans l'unitĂ© paysagĂšre de la « VallĂ©e de l'Isle », qui prĂ©sente un profil contrastĂ© : une vallĂ©e relativement encaissĂ©e, aux coteaux affirmĂ©s, dominant le fond de vallĂ©e de 60 Ă  80 m en amont de Mussidan, une vallĂ©e plus Ă©largie en aval avec un fond de vallĂ©e plat, large de 1,5 Ă  2 km. À la fois agricole et urbanisĂ©e, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 31,94 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 32,3 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par l'Isle, le Farganaud, le Grolet, le Martarieux, le ruisseau de Babiol, le ruisseau du Chanvre, le canal de la Filolie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 64 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16] - [17]. Elle arrose la commune au sud sur douze kilomĂštres et demi dont prĂšs de neuf servent de limite naturelle en deux tronçons, face Ă  Saint-MĂ©dard-de-Mussidan et Saint-Martial-d'Artenset.

    Le Farganaud, ou Fayoulet dans sa partie amont, d'une longueur totale de 14,56 km, prend sa source dans la commune de Saint-Michel-de-Double et se jette dans l'Isle en rive droite Ă  Saint-Laurent-des-Hommes, face Ă  Saint-Martial-d'Artenset[18] - [19]. Il traverse le territoire communal du nord au sud sur huit kilomĂštres et demi.

    Son affluent de rive droite le ruisseau du Chanvre sert de limite territoriale au nord sur un kilomĂštre et demi, face Ă  Saint-Michel-de-Double.

    Le Grolet, d'une longueur totale de 14,32 km, prend sa source dans la commune de Saint-AndrĂ©-de-Double et se jette en rive droite de l'Isle en limite des communes de Saint-Martin-l'Astier et de Saint-Laurent-des-Hommes, face Ă  Saint-MĂ©dard-de-Mussidan[20] - [21]. Il borde la commune Ă  l'est sur quatre kilomĂštres face Ă  Saint-Martin-l'Astier.

    Autre affluent de rive droite de l'Isle, le Babiol marque la limite territoriale au nord-ouest et à l'ouest sur six kilomÚtres, face à Saint-Barthélemy-de-Bellegarde et Montpon-Ménestérol.

    Long d'un kilomÚtre, le canal de la Filolie coupe un méandre de l'Isle en rive droite.

    Le Martarieux, d'une longueur totale de 13,57 km, prend sa source dans la commune de Fraisse et se jette dans l'Isle en rive gauche Ă  Saint-Laurent-des-Hommes[22] - [23]. Il arrose le sud-est de la commune sur un kilomĂštre et demi dont 400 mĂštres en limite de Saint-MĂ©dard-de-Mussidan.

    • L'Isle entre BĂ©nĂ©vent et Saint-Laurent-des-Hommes.
      L'Isle entre Bénévent et Saint-Laurent-des-Hommes.
    • Le Farganaud en crue, Ă  l'ouest du bourg (mai 2012).
      Le Farganaud en crue, Ă  l'ouest du bourg (mai 2012).
    • Le Grolet en crue,au pont de la RD 3, en limite de Saint-Laurent-des-Hommes (Ă  gauche) et Saint-Martin-l'Astier (mai 2012).
      Le Grolet en crue,au pont de la RD 3, en limite de Saint-Laurent-des-Hommes (Ă  gauche) et Saint-Martin-l'Astier (mai 2012).
    • Le canal de la Filolie au nord de BĂ©nĂ©vent.
      Le canal de la Filolie au nord de Bénévent.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Laurent-des-Hommes.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [25].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[26]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[27].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[26]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 846 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[30] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[31] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Aulaye », sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou, mise en service en 1969[32] et qui se trouve Ă  21 km Ă  vol d'oiseau[33] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 851,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[34]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  27 km[35], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[36], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[37], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[38].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-des-Hommes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [39] - [40] - [41].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-MĂ©nestĂ©rol, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[42] - [43].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (53 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (39,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (33,1 %), prairies (10,5 %), terres arables (8,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (4,2 %), eaux continentales[Note 9] (1,6 %), zones urbanisĂ©es (1,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,8 %)[44].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Laurent-des-Hommes est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[45]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[46].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Isle, le Grolet, le Martarieux et le Farganaud. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1993 et 1999[47] - [45]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de l'Isle - Montponnais » approuvĂ© le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944 (663 m3/s Ă  la station de Saint-Laurent-des-Hommes sert de crue de rĂ©fĂ©rence au PPRI[48] - [49].

    Saint-Laurent-des-Hommes est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[50]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[51] - [52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-des-Hommes.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[54]. 89,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [55].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[45].

    Toponymie

    Le nom du lieu se réfÚre à saint Laurent, martyr chrétien du IIIe siÚcle[56]. Saint-Laurent-des-Hommes est la déformation de Saint-Laurent-des-Olmes, tiré de l'occitan olm qui signifie orme[57].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, la paroisse est identifiée sous le nom de Saint Laurent de Double[58].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Laurenç daus Urmes[59].

    Histoire

    Nécropole mérovingienne
    La nécropole mérovingienne de Saint-Laurent-des-Hommes à la veille de son enfouissement.

    Le territoire communal fut occupé dÚs le Néolithique et les vestiges d'une villa gallo-romaine ont été découverts au village de Bénévent[57].

    Une nécropole mérovingienne comportant 360 sépultures[60], dont une seule avec des ossements non identifiés, a été mise au jour en 2010 sur un terrain situé au sud du bourg de la commune, en préalable à une mise en lotissements[61]. Selon l'INRAP, des objets préhistoriques (silex) et antiques (tegula) ont également été exhumés.

    Les premiÚres mentions écrites connues du lieu remontent au XIIIe siÚcle sous les formes Sanctus Laurentius de Pradoux, puis Sanctus Laurentius prope Benevent (« Saint-Laurent prÚs de Bénévent »)[57]. La commune de Saint-Laurent-des-Hommes comprend le village de Bénévent qui est une ancienne bastide fondée en 1270 par Philippe le Hardi et Archambaud III de Périgord.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Laurent-des-Hommes intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaßt au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[62] - [63].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1893 1926 Martial Voulgre Délégué cantonal de Mussidan (1900-1926)
    (1959 ou avant) 1970 Albert Guigné
    1970 décembre 1970 Marcel Caray Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 1970 mars 1983 Marcel Caray
    mars 1983 mars 2001 René Allard
    mars 2001 mai 2016 Jean-Pierre Marache[Note 11] SE[64] puis PS[65] Fonctionnaire
    mai 2016[66] mai 2020 Jean-Claude Éclancher RetraitĂ© de l'enseignement
    mai 2020[67] En cours Michel Donnette Retraité de la fonction publique hospitaliÚre

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Laurent-des-Hommes relĂšve[68] :

    Jumelages

    DĂ©mographie

    Les habitants de Saint-Laurent-des-Hommes se nomment les Saint Laurentais[69].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[71].

    En 2020, la commune comptait 1 027 habitants[Note 12], en diminution de 1,06 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1238769289981 2851 2281 1311 2341 125
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2421 2461 2591 1471 2061 3071 2121 2501 149
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1041 1091 0871 049981966971947992
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9258618678639388849891 0191 048
    2018 2020 - - - - - - -
    1 0151 027-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 407 personnes, soit 39,7 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (trente-neuf) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (trente) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  9,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 111 Ă©tablissements[74], dont 61 au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept dans la construction, seize dans l'industrie, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et sept relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[75].

    Entreprises

    C'est sur le territoire communal que se trouve l'une des deux installations de stockage de déchets non dangereux (ISDND) du département de la Dordogne, l'autre se trouvant entre Milhac-d'Auberoche et Fossemagne[76].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau de Fournils.
      Le chĂąteau de Fournils.
    • L'Ă©glise Saint-Laurent des Hommes.
      L'Ă©glise Saint-Laurent des Hommes.
    • Le vitrail du SacrĂ©-cƓur au-dessus du portail.
      Le vitrail du SacrĂ©-cƓur au-dessus du portail.
    • La nef et le retable.
      La nef et le retable.
    • La statue du monument aux morts.
      La statue du monument aux morts.
    • MĂ©tairie de Gamanson.
      MĂ©tairie de Gamanson.
    • Maison doubleaude avec pigeonnier Ă  Bigoussias.
      Maison doubleaude avec pigeonnier Ă  Bigoussias.
    • Un ancien bĂątiment agricole Ă  Bigoussias.
      Un ancien bĂątiment agricole Ă  Bigoussias.
    • Le pont de la Filolie.
      Le pont de la Filolie.

    Patrimoine naturel

    SituĂ©e au sud de la forĂȘt de la Double et bordĂ©e par l'Isle, la commune reprĂ©sente un grand intĂ©rĂȘt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc dĂ©limitĂ©es.

    Natura 2000

    L'Ă©tang du Farganaud.

    Deux sites Natura 2000 sont présents sur le territoire communal.

    Les vallées du Babiol, du Farganaud et du Grolet font partie des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000 pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[80]. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[80].

    Depuis Périgueux jusqu'à sa confluence avec la Dordogne, l'Isle et sa vallée, ensemble de prairies et de cultures, représentent un site trÚs important pour le vison d'Europe ainsi que pour une libellule : le gomphe de Graslin (Gomphus gaslinii). Outre la cistude d'Europe et l'écrevisse à pattes blanches, on y trouve également des aires de reproduction de six espÚces de poissons dont des lamproies et des aloses[81].

    ZNIEFF

    Sur toute sa bordure sud, la commune prĂ©sente une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 qui comprend la totalitĂ© de la vallĂ©e de l'Isle : la « vallĂ©e de l'Isle de Saint-MĂ©dard-de-Mussidan Ă  Montpon ». Ce site de prairies alluviales humides est favorable Ă  une flore spĂ©cifique ainsi qu'Ă  une avifaune diversifiĂ©e qui y passe l'hiver (vanneaux, pluviers, hĂ©rons cendrĂ©s) ou qui y niche (chouettes chevĂȘches, pies-griĂšches)[82] - [83].

    Site

    L'ensemble formé par le chùteau de Fournils et son parc est, sur prÚs de vingt-deux hectares (dont une faible partie sur la commune de Beaupouyet), un site inscrit depuis 1980[84] - [85].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Laurent-des-Hommes Blason
    D’argent Ă  la croix de gueules cantonnĂ©e de quatre lionceaux de sable.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[28].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[29].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Décédé en fonctions. Source : Bruno Boucharel, « Le maire est décédé », Sud Ouest édition Périgueux, 11 mai 2016, p. 19.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. Contrairement à ce qu'écrit Guy Penaud dans son Dictionnaire des chùteaux du Périgord, le chùteau n'est pas implanté à Beaupouyet mais à Saint-Laurent-des-Hommes, avec une partie du parc sur Beaupouyet
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Laurent-des-Hommes » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Laurent-des-Hommes » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Saint-Laurent-des-Hommes », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 781 - Montpon-MĂ©nestĂ©rol de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « RepÚres géographiques de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Laurent-des-Hommes », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Laurent-des-Hommes », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Isle-Dordogne face Ă  la PĂȘcherie » sur GĂ©oportail (consultĂ© le 26 septembre 2022)..
    17. Sandre, « l'Isle »
    18. « Confluence Farganaud-Isle au sud de Chaulant » sur Géoportail (consulté le 26 septembre 2022)..
    19. Sandre, « le Farganaud »
    20. « Confluence Grolet-Isle au nord-ouest du lieu-dit Chandos » sur Géoportail (consulté le 26 septembre 2022)..
    21. Sandre, « le Grolet »
    22. « Confluence Martarieux-Isle au sud de Bigoussias » sur Géoportail (consulté le 26 septembre 2022)..
    23. Sandre, « le Martarieux »
    24. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    25. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    26. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    27. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    28. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    29. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    30. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    31. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    32. « Station Météo-France Saint-Aulaye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    33. « Orthodromie entre Saint-Laurent-des-Hommes et Saint Aulaye-Puymangou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    34. « Station Météo-France Saint-Aulaye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    35. « Orthodromie entre Saint-Laurent-des-Hommes et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    36. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    37. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    38. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    39. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    41. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    42. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    44. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    45. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Laurent-des-Hommes », sur Géorisques (consulté le )
    46. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    48. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
    49. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de l'Isle - Montponnais » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
    50. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    51. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    52. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    53. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    54. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    55. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    56. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocÚse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 265.
    57. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 335-336, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 335-336.
    58. « St. Laurent de Double » sur Géoportail (consulté le 1er octobre 2010)..
    59. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Laurenç daus Urmes sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    60. Jean Luc Eluard, Une nécropole mérovingienne découverte en Dordogne sur Cap sciences. Consulté le 1er octobre 2010.
    61. Nancy Ladde, Trouveurs de trésors, Sud Ouest édition Périgueux du 20 septembre 2010.
    62. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    63. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    64. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 16.
    65. « http://www.ps24.org/Les-elu-e-s-socialistes-en-Dordogne_a6.html »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) ,
    66. Bruno Boucharel, « Jean-Claude Éclancher Ă©lu maire », Sud Ouest Ă©dition PĂ©rigueux, 25 mai 2016, p. 21.
    67. « Michel Donnette succĂšde Ă  Jean-Claude Éclancher », Sud Ouest Ă©dition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
    68. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    69. Fiche commune Saint-Laurent-des-Hommes, Union des maires de la Dordogne, consultée le 24 novembre 2016.
    70. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    71. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    72. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    73. Dossier complet - Commune de Saint-Laurent-des-Hommes (24436) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.
    74. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    75. Dossier complet - Commune de Saint-Laurent-des-Hommes (24436) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 12 janvier 2019.
    76. Hervé Chassain, Nouvelle poubelle, Sud Ouest édition Périgueux du 26 novembre 2014, p. 11.
    77. Claude-Odette Poncelin, Quatre siÚcles en Agenais et en Bordelais-Généalogie de la famille de Lacrompe de La BoissiÚre, 1976.
    78. « Église Saint-Laurent des Hommes », notice no PA24000017, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture, consultĂ©e le 8 octobre 2012.
    79. « Maison », notice no PA00082854, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 8 octobre 2012.
    80. Vallées de la Double sur le réseau Natura 2000. Consulté le 29 novembre 2009
    81. Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne sur le réseau Natura 2000. Consulté le 29 novembre 2009
    82. [PDF] DIREN Aquitaine - Vallée de l'Isle de Saint-Médard-de-Mussidan à Montpon. Consulté le 29 novembre 2009
    83. Carte de la ZNIEFF 2667 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 29 novembre 2009
    84. Chùteau de Fournils et son parc sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 29 novembre 2009
    85. Carte du site inscrit 0000082 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 29 novembre 2009
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.