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Saint-Clément-des-Baleines

Saint-Clément-des-Baleines est une commune du sud-ouest de la France, située sur l'île de Ré, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Villageois et les Villageoises[1].

Saint-Clément-des-Baleines
Saint-Clément-des-Baleines
Mairie de Saint-Clément-des-Baleines
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté de communes de l'île de Ré
Maire
Mandat
Lina Besnier
2020-2026
Code postal 17590
Code commune 17318
DĂ©mographie
Gentilé Villageois
Population
municipale
691 hab. (2020 en augmentation de 9,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 102 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 13′ 44″ nord, 1° 32′ 18″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 18 m
Superficie 6,80 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de l'ĂŽle de RĂ©
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Clément-des-Baleines
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Saint-Clément-des-Baleines
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Saint-Clément-des-Baleines
Liens
Site web www.mairie-stclementdesbaleines.com

    GĂ©ographie

    Situation de Saint-Clément sur l'île de Ré.

    Commune Ă  la pointe ouest de l'ĂŽle de RĂ© regroupant plusieurs villages ou hameaux : le Gillieux, le Chabot, la Tricherie, le Griveau, le Godinand.

    • Pas de port.
    • Un phare sur terre, le phare des Baleines et un en mer, le phare des Baleineaux placĂ© sur un haut fond, le « Haut Banc du Nord Â».
    • Très belles plages au nord (plage de la conche des Baleines, surveillĂ©e en saison) et Ă  l'ouest (plage de la cĂ´te sauvage) bordĂ©es de grandes dunes. En mer, c'est une zone rocheuse Ă  la navigation difficile, Ă©cluse Ă  poissons visible Ă  marĂ©e basse.
    • Forte prĂ©sence de blockhaus du mur de l'Atlantique (Seconde Guerre mondiale) et qui sont dĂ©truits en . Les premières scènes du film Le jour le plus long furent tournĂ©es sur la plage nord, d'autres Ă  Rivedoux-Plage.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-ClĂ©ment-des-Baleines est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Ars-en-RĂ©, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[5] et 4 492 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des zones humides (42,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (42,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones humides côtières (42,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), zones urbanisées (13 %), cultures permanentes (10 %), forêts (8,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Clément-des-Baleines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-ĂŽle de RĂ©, regroupant 21 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[16]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . Cette tempĂŞte a eu pour consĂ©quence l’instauration de zones de solidaritĂ©, oĂą les parcelles considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient Ă  terme ĂŞtre expropriĂ©es (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,…). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[17] - [18]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[19] - [14].

    Saint-ClĂ©ment-des-Baleines est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt, un massif classĂ© Ă  risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă  un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrĂŞtĂ© du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[21]. Un autre arrĂŞtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [20] - [22] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Clément-des-Baleines.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 54,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 378 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 71 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 5 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

    Activité

    Toponymie

    Le nom de la commune provient du fait que l'église paroissiale ait été dédiée à saint Clément, quant à la référence aux baleines, elle viendrait des nombreux échouages de cétacés sur ses plages jusqu’au début du XXe siècle.

    Histoire

    • Du nom "des Baleines" :
      • Pline l'Ancien parle de 300 baleines Ă©chouĂ©es sur une pointe du golfe d'Aquitaine.
      • 1522, Madame de La TremoĂ®lle demande 7 ou 800 livres de baleines Ă  Thibaud Maroys son receveur de "l'Isle de RhĂ©".
      • 1582, , le capitaine Bruneau de Rivedoux parle d'un Ă©chouage.
      • 1584, Nicolas Herbin, notaire des seigneuries d'Ars et Loix (voir "Histoire" page ĂŽle de RĂ©), parle d'un Ă©chouage de baleine.
      • 1586, Nicolas Herbin, Ă©chouage Ă  la pointe d'Ars (voir "Histoire" page ĂŽle de RĂ©).
      • 1680, mi-fĂ©vrier, Jehan Seignette, mĂ©decin Ă  La Rochelle, observation et dissection une "baleine des basques" de 15 mètres.
    • 1874 : CrĂ©ation de la commune de Saint-ClĂ©ment-des-Baleines, par dĂ©tachement de la commune d'Ars-en-RĂ© de cinq hameaux (le Gillieux, le Chabot, la Tricherie, le Griveau, le Godinand).

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1978 Fernand Bonnin
    1978 1983 Gaston Giraudeau
    1983 1989 André Puaud
    1989 1995 Léon Massé
    1995 2001 Jacques Neveur
    2001 2001 Renée Planchon
    2001 2008 Katia Puaud-Noyer PS
    2008 2020 Gilles Duval
    2020 En cours Lina Besnier
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 691 habitants[Note 3], en augmentation de 9,34 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    1 0501 030968924866790743712603
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    554472479414426439490480516
    1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020 -
    607728716726721632682691-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le phare des Baleines (57 mètres, 1854) et l'ancienne tour Vauban (27 mètres, 1682). Phare «d'atterrissage» des bateaux arrivant du grand large. Lieu le plus visitĂ© de l'Ă®le de RĂ©.
    • Le sĂ©maphore (Marine Nationale)
    • L'Ă©glise Saint-ClĂ©ment construite en 1842 et 1843 par deux entrepreneurs du Griveau, Pierre PentecĂ´te et Emmanuel Pathouot, sur un espace cultivĂ© qui appartenait aux membres de la fabrique. Les travaux furent rĂ©alisĂ©s en dehors des formes lĂ©gales et sans le concours de l’administration municipale. La participation des habitants fut par contre totale, 4 menuisiers, 5 charpentiers, serruriers, ferblantiers, vitriers, peintres, marbriers, tailleurs de pierre et bien d’autres. Depuis 1929, le clocher abrite une cloche baptisĂ©e « Suzanne » sonnant un Si bĂ©mol. Un nouvel orgue Ă©lectronique remplace depuis le un vieil harmonium.
    • Le hangar de l'ancien canot de sauvetage.
    • L'Écluse Ă  poissons
    • Les grandes plages de sable de la cĂ´te nord.
    • Les blockhaus du mur de l'Atlantique (Seconde Guerre mondiale)
    • Le restaurant Le Chat BottĂ© a reçu, en , le PrĂ©sident de la RĂ©publique François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Kohl pour un dĂ©jeuner officiel. CrĂ©Ă© en 1921, ce restaurant a accueilli au cours de sa longue histoire de nombreuses personnalitĂ©s, et notamment : Robert Mitchum, Claude Nougaro, Nathalie Baye, Emmanuelle BĂ©art, Guy Bedos, Michel Piccoli, Lionel Jospin, Fabrice Luchini, AndrĂ© Dussollier, Sabine AzĂ©ma, Claude Lelouch, Sonia Rykiel, Sandrine Kiberlain, etc.
    • L'ancienne tour Vauban, le phare des Baleines et le sĂ©maphore.
      L'ancienne tour Vauban, le phare des Baleines et le sémaphore.
    • MusĂ©e consacrĂ© aux phare et balises.
      Musée consacré aux phare et balises.
    • Église Saint-ClĂ©ment.
      Église Saint-Clément.
    • Ă€ la pointe ouest de l'Ă®le de RĂ© (en bas Ă  gauche)  les plages de la conche des Baleines et Saint-ClĂ©ment-des-Baleines en bas Ă  la pointe.
      À la pointe ouest de l'île de Ré (en bas à gauche) les plages de la conche des Baleines et Saint-Clément-des-Baleines en bas à la pointe.

    Personnalités liées a la commune

    • Le journaliste et Ă©crivain Henri BĂ©raud y possĂ©dait une maison, oĂą il est dĂ©cĂ©dĂ© en 1958. Cette maison a ensuite Ă©tĂ© un temps la propriĂ©tĂ© de Carole Bouquet, qui l'aurait rachetĂ©e pour environ 10 millions de francs[32].
    • Le prince Souvanna Phouma, Premier ministre du royaume du Laos, y possĂ©dait une maison. Son Ă©pouse est enterrĂ©e dans le cimetière communal.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 d'Ars-en-Ré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Clément-des-Baleines », sur Géorisques (consulté le )
    15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Loire-Bretagne, actualisée par arrêté du préfet coordonnateur en date du 22 octobre 2018. », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    17. « cartographie des risques d'inondations du TRI de La Rochelle-Île de Ré », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    18. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    21. « Réglementation des feux en extérieur. », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    22. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Clément-des-Baleines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Maisons de stars, Le Point, 7 août 2008

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

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