Ars-en-RĂ©
Ars-en-RĂ© [aÊs ÉÌ Êe] est une commune de l'Ouest de la France, situĂ©e sur l'Ăźle de RĂ©, pĂŽle d'Ă©quilibre du canton de l'Ăle de RĂ©, faisant partie de l'arrondissement de La Rochelle, dans le dĂ©partement de la Charente-Maritime, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Ars-en-RĂ© | |||||
Le chenal, l'arrivée à l'ancien port. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | La Rochelle | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'ßle de Ré | ||||
Maire Mandat |
DaniĂšle PĂ©tiniaud-Gros 2020-2026 |
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Code postal | 17590 | ||||
Code commune | 17019 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Arsais | ||||
Population municipale |
1 302 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 119 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 12âČ 29âł nord, 1° 30âČ 57âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 15 m |
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Superficie | 10,95 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Ăle de RĂ© | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.arsenre.fr | ||||
La commune appartient, depuis 2011, au rĂ©seau « Villages de pierres et d'eau », label initiĂ© par le conseil gĂ©nĂ©ral, afin de promouvoir des sites exceptionnels prĂ©sentant la particularitĂ© d'ĂȘtre situĂ©s au bord d'une Ă©tendue d'eau (mer, riviĂšre, Ă©tangâŠ)[1].
GĂ©ographie
Communes limitrophes
Village et port sur la cĂŽte nord et dans la partie ouest de l'Ăźle de RĂ© par 46° 12âČ 29âł N, 1° 30âČ 57âł O. Son port, le plus important de l'Ăźle de RĂ©, situĂ© au fond du fier d'Ars (Ă©tendue d'eau pĂ©nĂ©trant les terres et bordĂ©e de marais), l'on y accĂšde par un chenal, traversant les marais salants. Une Ă©cluse ferme le bassin Ă flot, de 250 places. En 1994, un nouveau bassin Ă flot (port de la CriĂ©e) de 130 places est crĂ©Ă©, Ă l'entrĂ©e du chenal. Il est inaugurĂ© en juin 1995. Cent cinquante places, sur bouĂ©es et filiĂšres, dans l'avant-port et le chenal, portent la capacitĂ© Ă 550 places, principalement dĂ©diĂ©es Ă la plaisance. Une plage, sur la cĂŽte sud de l'Ăźle, bordĂ©e d'une digue protĂ©geant les terres, va jusqu'au phare des Baleines, Ă la pointe ouest de l'Ăźle.
Urbanisme
Typologie
Ars-en-Ré est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ars-en-Ré, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[6] et 4 492 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].
La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des zones humides (39,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (42 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones humides cĂŽtiĂšres (39,3 %), cultures permanentes (23,1 %), zones urbanisĂ©es (13 %), forĂȘts (12,7 %), terres arables (5,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ars-en-RĂ© est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-Ăle de RĂ©, regroupant 21 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂŽtiĂšre, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[17]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siĂšcles antĂ©rieures Ă 2019 sont celles liĂ©es Ă la tempĂȘte du , Ă la tempĂȘte du , aux tempĂȘtes Lothar et Martin des 26 et et Ă la tempĂȘte Xynthia des 27 et . Cette tempĂȘte a eu pour consĂ©quence lâinstauration de zones de solidaritĂ©, oĂč les parcelles considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient Ă terme ĂȘtre expropriĂ©es (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,âŠ). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[18] - [19]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[20] - [15].
Ars-en-RĂ© est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt, un massif classĂ© Ă risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. Lâarticle L.131-1 du code forestier et lâarrĂȘtĂ© du rĂšglementent l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[22]. Un autre arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [21] - [23] - - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 49,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 748 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 194 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 11 %, Ă comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[28].
Toponymie
Le toponyme provient hypothétiquement du latin Arx signifiant "citadelle".
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Ars, porte le nom de La Concorde[29], redevient Ars en 1793.
La commune prend son nom actuel « d'Ars-en-Ré » le .
Ses habitants sont appelés les Arsais[30]. Ils ont pour surnom les Casserons : le casseron est le « bébé » de la seiche, un animal d'eau salée (céphalopode décapode) que l'on trouve fréquemment sur l'ßle de Ré.
Histoire
Le prince de Soubise y fut battu en 1624[31].
En 1874, la commune de Saint-Clément-des-Baleines est détachée de la commune d'Ars[29], savoir les cinq hameaux de le Guillieux, le Chabot, la Tricherie, le Griveau et le Godinand.
Port important à l'époque du sel, jusqu'au début du XXe siÚcle.
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].
En 2020, la commune comptait 1 302 habitants[Note 3], en augmentation de 1,56 % par rapport Ă 2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 21,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (29 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 43,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 34,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 617 hommes pour 684 femmes, soit un taux de 52,57 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (52,15 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
- Agriculture, vigne, pommes de terre (AOC).
- Marais salants.
- Nautisme, pĂȘche.
- Tourisme.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le village fait partie des plus beaux villages de France.
- Le port, avec son nouveau bassin à flot, à l'entrée du chenal d'accÚs.
- L'Ă©glise Saint-Ătienne. Son clocher, peint en noir et blanc, sert d'amer aux marins.
- La maison du SĂ©nĂ©chal, demeure datant de la seconde moitiĂ© du XVIe siĂšcle malgrĂ© la prĂ©sence d'Ă©lĂ©ments mĂ©diĂ©vaux tels que les Ă©chauguettes et l'escalier Ă vis dans la tour hors d'Ćuvre[37].
- L'ancienne raffinerie à sel dont une partie des éléments est inscrite aux monuments historiques[38].
- La redoute du Martray[39].
- Le Martray, endroit le plus Ă©troit de l'Ăźle de RĂ© (quelques dizaines de mĂštres).
- La batterie « Karola », du Mur de l'Atlantique (terrain militaire)[39].
- L'ancienne gare du « petit train de l'Ăle de RĂ© » (1898), sur le port.
- Vestiges d'anciens moulins Ă vent, reconvertis en habitations.
- Le fier d'Ars et les marais salants.
- Le spot de surf de la pointe de Grignon.
LĂ©gendes
Selon l'une des légendes, la création de l'ßle de Ré proviendrait de terribles séismes ayant englouti une cité romaine nommée "Antioche", dont les ruines seraient visibles uniquement par beau temps.
Concernant Ars-en-RĂ©, des navigateurs de l'Ăgypte antique, envoyĂ©s par RamsĂšs II, auraient voulu faire le tour du monde et se seraient Ă©chouĂ©s au Martray, Ă quelques kilomĂštres de lĂ . Ils y auraient construit une petite pyramide[40].
- Ăglise Saint-Ătienne avec son clocher peint en noir et blanc.
- Le clocher de l'Ă©glise.
- Maison du Sénéchal, ancien hÎtel particulier du XVIe siÚcle.
- Ancienne raffinerie Ă sel.
- Redoute du Martray.
- Tour de télémétrie de la batterie « Karola ».
- L'ancienne gare du petit train de l'Ăźle.
- Marais salants.
Personnalités liées à la commune
- Mathurin Renaud (* - â 1676), nĂ© Ă Ars-en-RĂ© (paroisse Saint-Ătienne), dont il est une figure historique importante, fut un des pionniers de Nouvelle-France et un des premiers habitants de Charlesbourg.
- William Barbotin (1861-1931), peintre et graveur, qui est né à ARS-EN-Rà et mort à PARIS ; Elisée Reclus -(1830-1905)- géographe libertaire français, communard, militant et théoricien anarchiste ; son beau-pÚre, ainsi que Jules Perrier, ex-communard se réunissaient épisodiquement au Café du Commerce (voir : Les Anarchistes de l'ßle de Ré, livre de Didier Jung).
- Louis Napoléon Giraudeau (1852-1937) né "aux villages", hameaux de la commune d'Ars-en-Ré qui deviendra en 1874 la commune de Saint-Clément-des-Baleines, petit fils d'un meunier descendant d'une vieille famille rétaise, professeur de dessin, artiste peintre, romancier, conservateur au musée des Beaux-Arts de La Rochelle de 1913 à 1930[41].
- Marie-ThérÚse Dethan-Roullet (1870 - 1945), artiste peintre, y est née.
- Octave Patureau (1922-1984) dit TATAVE, marin, pĂȘcheur, moniteur de voile et aquarelliste[42]
- Lionel Jospin, ancien Premier ministre de la France, y possĂšde une maison oĂč il sĂ©journe rĂ©guliĂšrement avec son Ă©pouse Sylviane Agacinski, philosophe.
- Claude Barma, ancien réalisateur italien, pÚre de Catherine Barma, y fut inhumé.
- Dans le narthex de l'Ă©glise, on trouve une reprĂ©sentation de Jean-Marie Vianney (1786-1859), cĂ©lĂšbre « curĂ© d'Ars », bien que celui-ci ait Ă©tĂ© prĂȘtre de la commune d'Ars-sur-Formans, dans l'Ain.
- Nicole Garcia et Michel Piccoli ont choisi des maisons plus discrÚtes encore, noyées dans l'anonymat des ruelles étroites du vieux bourg.
- L'écrivain Philippe Sollers y possÚdait une maison jusqu'à sa mort le [43]. Il est inhumé au cimetiÚre d'Ars-en-Ré[44].
- La famille Casadesus - artistes dans de nombreux domaines - y réside depuis 1922. Le 28 septembre 2017, GisÚle Casadesus est inhumée au cimetiÚre d'Ars-en-Ré au cÎté de son gendre Michel Cournot[45].
- Gilles Margaritis (1912-1965), rĂ©alisateur, acteur, metteur en scĂšne et producteur de tĂ©lĂ©vision et crĂ©ateur de la Piste aux Ătoiles y a possĂ©dĂ© une maison.
- Alfred Roger Adam, dit Alfred Adam (1908-1982), acteur, dramaturge y a tenu un café célÚbre du village dans les années 1960.
HĂ©raldique
Blasonnement :
Parti: au 1er de gueules à trois fleurs de lis d'argent, au 2e d'or à deux aigles de gueules; le tout enfermé dans une filiÚre d'argent[46]. |
Voir aussi
- Liste des communes de la Charente-Maritime
- Liste des localités adhérant à l'association Les Plus Beaux Villages de France
Bibliographie
- StĂ©phane Bern, Le village prĂ©fĂ©rĂ© des français, 44 trĂ©sors incontournables, Paris, Albin Michel, , 249 p. (ISBN 978-2-226-25920-2, BNF 44421580)Ce livre est tirĂ© de l'Ă©mission Le village prĂ©fĂ©rĂ© des français, diffusĂ©e par France TĂ©lĂ©visions, conçue et produite par Morgane Production : Ătretat, pages 64 Ă 69** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II â Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III â De l' Ăle-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV â Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la MĂ©diterranĂ©e.
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Treize villages unis pour le meilleur et pour le pire, article de Thomas Brosset paru dans Sud Ouest, 10 février 2011
- Carte IGN sous GĂ©oportail
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Les gentilés de Charente-Maritime
- Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch.Delagrave, 1876, p. 149
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ars-en-RĂ© (17019) », (consultĂ© le ).
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- « Mort de Philippe Sollers, l'Ă©crivain français avait 86 ans », sur HuffPost, (consultĂ© le ) : « « Les Ăditions Gallimard ont la grande tristesse de faire part du dĂ©cĂšs de Philippe Sollers, nĂ© Philippe Joyaux, survenu le 5 mai 2023 », a annoncĂ© l'Ă©diteur ».
- CimetiĂšres de France et d'ailleurs
- « Les obsĂšques de GisĂšle Casadesus Ă l'Ăźle de RĂ© en toute intimitĂ© », FIGARO,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).