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Loix

Loix est une commune du sud-ouest de la France, située sur la côte nord de l'île de Ré, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Loidais et les Loidaises[1].

Loix
Loix
L'Ă©glise Sainte-Catherine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté de communes de l'île de Ré
Maire
Mandat
Lionel Quillet
2020-2026
Code postal 17111
Code commune 17207
DĂ©mographie
Gentilé Loidais
Population
municipale
735 hab. (2020 en augmentation de 6,99 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 110 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 13′ 24″ nord, 1° 26′ 28″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 6,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de l'ĂŽle de RĂ©
Législatives Première circonscription
Localisation
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Loix
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Loix
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Loix
Liens
Site web http://www.iledere.com/

    GĂ©ographie

    Situation de Loix sur l'île de Ré.
    • Il s'agit du plus petit village et du plus petit port de l'Ă®le de RĂ©, sur 14 km de la cĂ´te nord de l'Ă®le au cĹ“ur des marais salants. Il forme une presqu’île dans l’île, bordĂ©e par le Fier d'Ars Ă  l'ouest et la fosse de Loix Ă  l'est. Seule une route, bordĂ©e de marais (et marais salants) gagnĂ©s sur la mer par endiguement, relie Loix au reste de l’île.
    • Rivage bas, galets, baie et petite plage en forme d'anse au sud est (fosse de Loix).
    • En mer, une tour (phare) : les Ilates.

    Urbanisme

    Typologie

    Loix est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Ars-en-RĂ©, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[5] et 4 492 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des zones humides (54,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones humides côtières (54,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), zones urbanisées (15,1 %), prairies (6,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Loix est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-ĂŽle de RĂ©, regroupant 21 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[16]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . Cette tempĂŞte a eu pour consĂ©quence l’instauration de zones de solidaritĂ©, oĂą les parcelles considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient Ă  terme ĂŞtre expropriĂ©es (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,…). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[17] - [18]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[19] - [14].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Loix.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 62,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 114 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 41 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 4 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

    Toponymie

    L'origine du nom de la commune paraît assez floue. Le nom existe cependant au moins depuis 1372:

    Selon l'historien Louis-Étienne Arcère concernant la presqu’île, « Une Ordonnance de Charles V de l’an 1372, donne Ă  cette Isle le nom de Loys »[24].

    On peut cependant remarquer qu'en relation avec l'ancienne île sur laquelle la localité est implanté, elle a porté les noms de Loye (1684 et 1757) et Oye (1675).

    Histoire

    En 1627 eut lieu un siège de l'Ă®le de RĂ© par les forces anglaises menĂ©es par le duc de Buckingham. C'est au lieu-dit du « Feneau » que le , se dĂ©roula la bataille du pont du Feneau, qui mit un terme Ă  l'invasion anglaise. Le marĂ©chal de Toiras, avec le rĂ©giment des Gardes françaises avec d'autres troupes royales, associĂ© Ă  la flotte de Louis XIII et de Richelieu, repoussèrent les forces de Buckingham, le contraignant Ă  abandonner le siège de l'Ă®le et près de 6 000 hommes en perdition dans ses vases[25] - [26].

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1995 Jean-René Girolet
    1995 En cours Lionel Quillet DVD Chef d'entreprise
    Conseiller général puis départemental
    Président de la Communauté de communes de l'Île de Ré

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 735 habitants[Note 2], en augmentation de 6,99 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1431 1891 0971 1521 2661 2691 3161 3501 395
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3491 2881 2041 1121 0151 0311 024993957
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    820780711570535520459454424
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    439439470433561619703715674
    2017 2020 - - - - - - -
    729735-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Agriculture : pomme de terre (AOC), vignes, oliviers...
    • Dans le village artisanal : une savonnerie, une fromagerie (chèvres) et l'Atelier Quillet, un atelier de restauration de documents anciens (livres, affiches, parchemins, cartes)[31] ; celui-ci, fondĂ© en 1991, emploie quarante personnes en 2022 dont le travail s'effectue uniquement de façon manuelle[31] ; l'entreprise s'est vu dĂ©cerner en 2010 le label Entreprise du patrimoine vivant (EPV)[31].
    • OstrĂ©iculture.
    • Saliculture, au cĹ“ur des marais salants. Un Ă©comusĂ©e explique l'histoire de l'or blanc qui faisait jadis la richesse de l'Ă®le avec plus de 30 000 tonnes en 1911. Il montre la vie et le savoir-faire des sauniers et l'ingĂ©nieux système d'alimentation des bassins. On comptait environ 1 500 sauniers il y a 100 ans, mais avec l’exploitation industrielle des salins du Midi de la France et malgrĂ© la crĂ©ation de la CoopĂ©rative des sauniers de l’île de RĂ© en 1942, dans les annĂ©es soixante, ils ne sont plus qu’une cinquantaine. Depuis les annĂ©es 1990, la politique de la CommunautĂ© de communes de l'Ă®le de RĂ© permet Ă  de jeunes sauniers de reprendre des marais abandonnĂ©s et de les moderniser ; les outils traditionnels, simoussi et souvron, cĂ´toient la pelleteuse et les canalisations en PVC, mais la mĂ©thode reste identique. On compte actuellement une centaine de sauniers pour une production annuelle de 2 500 tonnes.
    • Tourisme et hĂ©bergements : hĂ´tel, un camping, locations saisonnières, chambres d'hĂ´tes.

    Lieux et monuments

    • Cueillette vespĂ©rale de la fleur de sel.
      Cueillette vespérale de la fleur de sel.
    • Fort du Grouin, façade sud-ouest.
      Fort du Grouin, façade sud-ouest.
    • Fort du Grouin angle nord.
      Fort du Grouin angle nord.
    • Fort du Grouin, pignon ouest.
      Fort du Grouin, pignon ouest.

    Personnalités liées à la commune

    Galerie

    • Vue aĂ©rienne du village.
      Vue aérienne du village.
    • Le petit port de Loix.
      Le petit port de Loix.
    • Vue aĂ©rienne du port de Loix et de son moulin Ă  marĂ©e.
      Vue aérienne du port de Loix et de son moulin à marée.
    • Le fort du Grouin.
      Le fort du Grouin[35].
    • Le moulin Ă  marĂ©e.
      Le moulin à marée.
    • IntĂ©rieur de l'Ă©glise Sainte-Catherine.
      Intérieur de l'église Sainte-Catherine.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 d'Ars-en-Ré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. « Les risques près de chez moi - commune de Loix », sur Géorisques (consulté le )
    15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Loire-Bretagne, actualisée par arrêté du préfet coordonnateur en date du 22 octobre 2018. », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    17. « cartographie des risques d'inondations du TRI de La Rochelle-Île de Ré », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    18. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Loix », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    24. « L'ile de Ré (17) et l'ile de Loix, par Louis-Etienne Arcère (...) - Histoire Passion - Saintonge Aunis Angoumois », sur www.histoirepassion.eu (consulté le )
    25. « La Cabane du Feneau au milieu des marais salants de l'île de Ré », sur www.lacabanedufeneau.fr (consulté le )
    26. « Chroniques ordinaires des petits moments de la vie rétaise », sur notre-ile-de-ré.com
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Jenny Delrieux, « Au chevet des documents anciens », Le Mag no 510, supplément à Sud Ouest, , p. 37-40.
    32. Les fortifications du littoral - La Charente Maritime - R. Desquesne, R. Faille, N. Faucherre, P. Prost, éditions Patrimoine et médias (ISBN 2-910137-03-1)
    33. André Patou sur le site de l'ordre de la Libération
    34. « Jean-Jacques GOLDMAN "Comme toi" Clip à l'île de Ré 1983. » (consulté le )
    35. Notice no IA00043005, base Mérimée, ministère français de la Culture
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