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Roquecourbe

Roquecourbe est une commune française située dans le centre du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Sidobre, un territoire granitique couverts de forêts, à l'est de Castres.

Roquecourbe
Roquecourbe
Mairie de Roquecourbe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux
Maire
Mandat
Michel Petit
2020-2026
Code postal 81210
Code commune 81227
Démographie
Gentilé Roquecourbains, Roquecourbaines
Population
municipale
2 185 hab. (2020 en diminution de 3,79 % par rapport à 2014)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 55″ nord, 2° 17′ 30″ est
Altitude Min. 202 m
Max. 409 m
Superficie 16,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Castres
(banlieue)
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Roquecourbe
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Roquecourbe
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Roquecourbe
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Roquecourbe
Liens
Site web www.roquecourbe.fr

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de Poumarol et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Roquecourbe est une commune rurale qui compte 2 185 habitants en 2020. Elle est dans l'agglomération de Castres et fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Roquecourbains ou Roquecourbaines.

    Mairie

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Castres située dans son unité urbaine, à 8,5 kilomètres au nord-est de la ville de Castres[1] sur les bords de l'Agout dans le Sidobre, Roquecourbe est un village faisant partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    Communes limitrophes

    Roquecourbe est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Burlats, Castres, Lacrouzette, Montredon-Labessonnié, Saint-Germier et Saint-Jean-de-Vals.

    Voies de communication et transports

    La desserte de la commune est assurée par des lignes régulières du réseau régional liO : les lignes 763 et 766 les relient à la gare de Castres et à Lacaune ; la ligne 764 la relie à gare de Castres et à Montredon-Labessonnié[3].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de Poumarol, un bras de l'Agout, le ruisseau de Madorre, le ruisseau du Puget et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[6].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Roquecourbe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 903 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Burlats », sur la commune de Burlats, mise en service en 1980[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 918,5 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 32 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] à 13,8 °C pour 1991-2020[17].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18] - [19].

    La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[20]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[21] -

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[23], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[25] : la « vallée de l'Agout entre Burlats et Roquecourbe, vallée du Lignon et plateau du Verdier » (1 448 ha), couvrant 3 communes du département[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [25] : la « vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou » (15 868 ha), couvrant 17 communes du département[27].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Roquecourbe.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Roquecourbe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [28] - [I 1] - [29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castres, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[I 2] et 56 755 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,1 %), forêts (25 %), prairies (7,5 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,6 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Roquecourbe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 1999, 2009, 2015, 2016, 2017 et 2020[34] - [31].

    Roquecourbe est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 9] - [35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roquecourbe.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[36]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 075 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 921 sont en en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].

    La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[41].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Rupecurva en 1271[42].

    Roquecourbe, doit son nom à un rocher (rupe) dominant un méandre (curva) de l'Agout.

    Histoire

    Les fouilles Sainte-Juliane

    Ces lieux sont fréquentés depuis plus de 7 000 ans.

    Juliane est formée de deux syllabes :

    • YULL : d'origine nordique, signifiant renaissance de la lumière ;
    • ANE : mère de tous les Dieux Celtes et grand-mère de Jésus.

    Ce site historique exceptionnel est l'origine de la ville de Roquecourbe.

    Les Celtes tiraient les sources de leur savoir des Pays du Nord. Cette montagne sacrée, à la fois lieu de culte et lieu funéraire, fut occupée successivement par les Celtes (Ve au IIe siècle av. J.-C.), les Visigoths (vers le Ve siècle apr. J.-C.) et les cathares ou Albigeois (XIIIe siècle).

    C'est sur ce plateau perché à 315 m d'altitude, formé par la roche dont la sinuosité a donné le nom à la ville (Roquecourbe), à l'endroit appelé de nos jours Sainte-Juliane, que s'élevèrent les premières maisons de Roquecourbe. Une église paroissiale fut bâtie sur ce monticule élevé et dédié à sainte Juliane qui semble être Julienne de Nicomédie, vierge et martyre du IIIe siècle dont on célèbre la fête le . Sainte-Juliane a été détruite à l'époque de la croisade contre les Albigeois vers 1210 sous le règne des Montfort installés à Roquecourbe, dans le but d'exterminer ce nid d'hérétiques, les cathares. Cette église a été reconstruite puisqu'en 1231 elle appartenait à l'évêque d'Albi et lors des premières années de la Réforme, elle a servi de temple aux protestants, avant que ceux-ci ne possèdent un autre lieu de culte.

    En 1950, un sarcophage est découvert lors du labourage du champ, les fouilles commencent en 1953 et finissent en 1976.

    Le site est accessible, le chemin pour y arriver est balisé en jaune, vous pourrez admirer les cuves, gradins, sarcophages, les vestiges de l'église...

    Le village 

    La présence de la rivière (l'Agout) fut primordiale pour l'implantation du village.

    Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adelaïde de Burlats possède la seigneurie de Roquecourbe. À sa mort (assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort), la Seigneurie est récupéré par la famille Montfort en la personne de GUY, son frère. Surnommé le bourreau des Albigeois, il demanda la destruction du lieu de Culte de Sainte Julianne en 1210. À sa mort, son fils Philippe Ier fera construire le château, les deux rives étant reliées les habitants s'installèrent sur la rive droite de l'Agout.

    Vue de Roquecourbe, gravure par Tassin, 1634.

    En 1433, Jacques II d'Armagnac, né au château de Jacques II d'Armagnac, est plus connu sous le nom du Duc de Nemours. Il sera condamné à mort et décapité sous les ordres de Louis XI pour conspiration. En 1476, Boffile le Juge, le grand chambellan du Roi, occupe le château, il y demeurera jusqu'à sa mort en 1502. Durant les guerres de religion, le château est en partie détruit et en 1621 une partie des ruines serviront à la construction du quartier de la Rue des Barris. Au XVe siècle, Roquecourbe était ceinturé de remparts, on y pénétrait par 3 portes précédées de pont-levis. Ces 3 portes, étaient fermées à clef à la nuit, par les Consuls du village.

    Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adélaide de Burlats, possède la seigneurie de Roquecourbe. Il est assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort.

    Le village va peu à peu prospérer notamment grâce au développement, à partir du XIXe siècle de l’industrie textile. Les années 1990 et 2000 voient le déclin inéluctable de cette industrie qui était jusqu’alors l’activité essentielle de la cité.

    Héraldique

    Blason de Roquecourbe Blason
    D'azur au rocher recourbé d'argent mouvant de la pointe, surmonté de trois fleurs de lys d'or mal ordonnées.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Élection présidentielle de 2002

    Au premier tour, les résultats sont les suivants : Jacques Chirac avec 19,80 %, Jean-Marie Le Pen avec 19,33 %, Lionel Jospin avec 14,32 %, Jean Saint-Josse avec 7,82 %, Arlette Laguiller avec 7,51 %, avec Olivier Besancenot avec 5,32 %, François Bayrou avec 4,07 % et Jean-Pierre Chevènement avec 4,07 %. Les autres candidats à l'élection n'ont pas dépassé les 4 %. Le taux de participation est de 80,96 %.

    Au second tour, Jacques Chirac a 78,84 % des voix et Jean-Marie Le Pen a 21,16 %. Le taux de participation est de 87,08 %.

    Élection présidentielle de 2007

    Au premier tour, Nicolas Sarkozy est en tête avec 24,09 %, suivi de François Bayrou avec 23,96 % (seulement deux voix les séparent). Ségolène Royal a 23,06 %, suivi de Jean-Marie Le Pen avec 14,22 %. Au niveau des "petits" candidats, Olivier Besancenot a 4,61 %, Philippe de Villiers a 2,63 %. Les autres candidats ne dépassent pas la barre des 2 % (c'est-à-dire un peu moins de 30 votes). Le taux de participation dépasse les 90 %, exactement, il est à 90,08 %

    Au second tour, Nicolas Sarkozy a 50,92 % des voix et Ségolène Royal a 49,08 %. Le taux de participation est de 88,73 %.

    Élection présidentielle de 2012

    Au premier tour, François Hollande est arrivé en tête avec 27,11 %, suivi de Marine Le Pen avec 24,10 %, Nicolas Sarkozy avec 22,80 %, de Jean-Luc Mélenchon avec 10,65 % et de François Bayrou avec 10,25 %. Les autres candidats ne dépassent pas les 2 %. 3 % sont des votes blancs ou nuls. La participation au premier tour est de 88,96 %.

    Au second tour, François Hollande a 52,80 % des voix et Nicolas Sarkozy a 47,20 %. Les votes blancs et nuls s'élèvent à 8,98 %. Le taux de participation est de 88,51 %.

    Au fil des élections présidentielles, la tendance des électeurs de Roquecourbe correspond à la tendance nationale, au premier comme au second tour, à quelques exceptions près.

    Primaire de la droite

    Roquecourbe a un bureau de vote lors de la primaire de la droite, à l'automne 2016.

    Primaire de la gauche

    Les sympathisants de gauche sont allés voter à Castres. Roquecourbe ne disposait pas de bureau de vote.

    Parrainage du maire de Roquecourbe

    Le maire de Roquecourbe (divers droite), en 2012 comme en 2017, a parrainé à l'élection présidentielle, le candidat Nicolas Dupont-Aignan.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1989 Fernand Laur MRP puis
    DVD
    Industriel
    Conseiller général du canton de Roquecourbe (1955 → 1979)
    mars 1989 juin 1995 Pierre Servat Magistrat
    juin 1995 mars 2008 Monique Cros DVD Chef d'entreprise
    mars 2008 mai 2020 Pierre Modéran DVD Enseignant
    mai 2020 En cours Michel Petit Ancien chef d'entreprise dans l'industrie textile
    4e vice-président de la CC Sidobre Vals et Plateaux (2020 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44]. En 2020, la commune comptait 2 185 habitants[Note 11], en diminution de 3,79 % par rapport à 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4331 4191 4481 5191 7171 8842 0531 8601 997
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8781 7931 8461 8611 8452 0071 8411 7511 633
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5621 6241 6801 4851 5161 4601 5051 3201 560
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 7882 0122 2712 2132 2662 2092 2332 3052 200
    2020 - - - - - - - -
    2 185--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 006 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 212 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 740 â‚¬[I 7] (20 400 â‚¬ dans le département[I 8]). 34 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (42,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]11,5 %10,2 %9,4 %
    Département[I 10]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 1 295 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (65 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 14] - [I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 12]. Elle compte 339 emplois en 2018, contre 426 en 2013 et 439 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 845, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,8 %[I 13].

    Sur ces 845 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 183 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    118 établissements[Note 15] sont implantés à Roquecourbe au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble118
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2218,6 %(13 %)
    Construction1815,3 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3328 %(26,7 %)
    Activités financières et d'assurance43,4 %(3,3 %)
    Activités immobilières10,8 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    97,6 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1714,4 %(15,5 %)
    Autres activités de services1411,9 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (33 sur les 118 entreprises implantées à Roquecourbe), contre 26,7 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :

    • Pianos Bonnet, réparation d'autres biens personnels et domestiques (18 k€)
    • Compagnie Molinier Laur, fabrication d'autres articles à mailles (15 k€)

    Les acteurs économiques du village :

    • Un bar
    • Un restaurant
    • Deux boulangers
    • Un kiosque à pizza
    • Trois salons de coiffure
    • Une épicerie
    • Une boucherie
    • Un taxi
    • Une couturière
    • Un salon d'esthéticienne
    • Un bureau de tabac
    • Un garage
    • Un carrossier
    • Une station essence
    • Deux banques
    • Une fleuriste
    • Des maçons, des plaquistes, des électriciens, des plombiers...
    Église Saint-François de Roquecourbe

    Agriculture

    La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations53201316
    SAU[Note 18] (ha)844842753777

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 20 en 2000 puis à 13 en 2010[50] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[51] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 844 ha en 1988 à 777 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 49 ha[50].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Centre-ville

    Il est composé de la place de la mairie et de couverts, de ruelles aux maisons à pans de bous et encorbellement. Une intéressante scène de chasse est représentée sur une poutre en bois de l'une des maisons de la place. Elle représente un cerf poursuivi par des chiens, qui serait venu se réfugier dans les fossés qui entouraient le village. La fontaine d'eau ferrugineuse est située sur les allées de Siloë, avant la montée au rocher de la « Coqueluche » qui permet une vue globale. La pêche est pratiquée sur le parcours de Couade et de nuit au cœur du village.

    Sainte-Juliane

    Ce site est à l'origine du village de Roquecourbe. Il comprend gradins et cuves, sarcophages et ruines d'église témoignent du passage successif des Celtes, des Cathares et des différentes religions chrétiennes. Prendre au départ de Roquecourbe la direction de Lacrouzette, puis aux dernières maisons, suivre à pied, pendant 800 mètres, le chemin sur la gauche (accès balisé).

    Proche de Roquecourbe

    à km, Burlats et la pavillon d’Adélaïde ;

    à 7,5 km, Lacrouzette et le début du massif granitique du Sidobre ;

    à 9,5 km, Castres, sous-préfecture du Tarn avec son Évêché et sa cathédrale Saint Benoît ;

    à 38 km, Albi, préfecture du Tarn, avec la cathédrale Sainte-Cécile classée à l'UNESCO.

    Vie pratique

    Logement

    • Chambres d'hôtes dans le village
    • Camping Municipal

    Santé

    • Médecins
    • Infirmières
    • Kinés
    • Pharmacie
    • Orthophoniste
    • Maison de santé

    Service public

    • La mairie.
    • Le Trésor public.
    • La gendarmerie.

    Enseignement

    • Une crèche « ma bulle »
    • Une maternelle publique
    • Une école publique (Alice Marc-Manöel)
    • Une école privée (Saint-François)

    Culture

    Activités sportives

    • Les clubs sportifs (football, basketball, tennis, volleyball, judo, boxe...).

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[40].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Roquecourbe » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    Notes de type "Carte"

      Site de l'Insee

      1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
      2. « Unité urbaine 2020 de Castres » (consulté le ).
      3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
      4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
      5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
      6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
      7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
      8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
      9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
      10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
      11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
      12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
      13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
      14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
      15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
      16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Roquecourbe » (consulté le ).
      17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

      Autres sources

      1. « Infos, distance et photos de Roquecourbe et Castres », sur www.voldoiseau.com (consulté le ).
      2. Carte IGN sous Géoportail
      3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
      4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
      5. « Fiche communale de Roquecourbe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
      6. Sandre, « l'Agout »
      7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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      13. « Orthodromie entre Roquecourbe et Burlats », sur fr.distance.to (consulté le ).
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      39. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
      40. Article R214-112 du code de l’environnement
      41. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
      42. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
      43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      47. « Entreprises à Roquecourbe », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
      48. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      49. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
      50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Roquecourbe - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).

      Voir aussi

      Articles connexes

      Liens externes

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