Burlats
Burlats [byÊlats] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Tarn, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Sidobre, un territoire granitique couverts de forĂȘts, Ă l'est de Castres.
Burlats | |
Pavillon d'Adélaide. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Tarn |
Arrondissement | Castres |
Intercommunalité | Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux |
Maire Mandat |
Serge SĂ©rieys 2020-2026 |
Code postal | 81100 |
Code commune | 81042 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Burlacquois, Burlacquoises |
Population municipale |
2 014 hab. (2020 ) |
Densité | 62 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 38âČ 15âł nord, 2° 19âČ 06âł est |
Altitude | 195 m Min. 176 m Max. 682 m |
Superficie | 32,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Castres (banlieue) |
Aire d'attraction | Castres (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Castres-2 |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | burlats.com |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Agout, le Lignon, le LĂ©zert et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional du Haut-Languedoc, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « basse vallĂ©e du Lignon » et Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Burlats est une commune rurale qui compte 2 014 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Castres et fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Burlacois ou Burlacoises.
GĂ©ographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine de Castres située dans de son unité urbaine sur le Lignon, au nord-est de la ville de Castres.
Elle fait partie de la Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Le Bez, Castres, Lacrouzette, Roquecourbe et Saint-Salvy-de-la-Balme.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par plusieurs lignes réguliÚres du réseau régional liO : la ligne 763 la relie à Castres et à Lacaune ; la ligne 764 la relie à Castres et à Montredon-Labessonnié ; la ligne 766 la relie à Castres et à Lacaune.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Agout, le Lignon, le Lézert, un bras de l'Agout, rieu maud, le ruisseau de Bouloumié, le ruisseau de l'Albague, le ruisseau de Rivassel, le ruisseau de RoziÚs et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 40 km de longueur totale[3] - [Carte 1].
L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, aprÚs avoir traversé 35 communes[4].
Le Lignon, d'une longueur totale de 10,4 km, prend sa source dans la commune du Bez et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, aprÚs avoir traversé 3 communes[5].
Le Lézert, d'une longueur totale de 16,5 km, prend sa source dans la commune de Teillet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il se jette dans le Dadou à Terre-de-Bancalié[6].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer[8].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1980 Ă 2016 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[12]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 2,2 | 4 | 6,2 | 10,1 | 13,1 | 15,2 | 15,1 | 12,1 | 9,8 | 5,4 | 2,6 | 8,2 |
Température moyenne (°C) | 6 | 7 | 9,6 | 12 | 16 | 19,4 | 22,1 | 22 | 18,7 | 15,1 | 9,6 | 6,6 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,1 | 11,7 | 15,2 | 17,9 | 21,9 | 25,6 | 29 | 28,9 | 25,4 | 20,3 | 13,9 | 10,6 | 19,2 |
Record de froid (°C) date du record |
â19,8 09.01.1985 |
â12,9 12.02.12 |
â9,4 01.03.05 |
â3,4 04.04.1996 |
0,5 06.05.1985 |
3 01.06.06 |
6,5 05.07.1984 |
5,1 30.08.1986 |
3,1 26.09.02 |
â2,7 25.10.03 |
â9,4 23.11.1988 |
â10,1 26.12.10 |
â19,8 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,2 29.01.02 |
25,1 28.02.1997 |
29,3 24.03.01 |
32 30.04.05 |
35,4 17.05.06 |
39,4 21.06.03 |
41,7 25.07.06 |
43 05.08.03 |
38,3 03.09.05 |
33 02.10.11 |
27,8 07.11.15 |
23,5 15.12.1989 |
43 2003 |
Précipitations (mm) | 79 | 67,5 | 67,3 | 103 | 95,6 | 72,7 | 45,5 | 66,9 | 70,7 | 83,9 | 83,5 | 82,9 | 918,5 |
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14].
La commune fait partie du parc naturel rĂ©gional du Haut-Languedoc, crĂ©Ă© en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'Ă©tend sur 118 communes et deux dĂ©partements[15]. ImplantĂ© de part et dâautre de la ligne de partage des eaux entre OcĂ©an Atlantique et mer MĂ©diterranĂ©e, ce territoire est un vĂ©ritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les Ă©tendues cĂ©rĂ©aliĂšres du Lauragais[16] -
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[18] :
- la « basse vallée du Lignon », d'une superficie de 56 ha, une vallée encaissée dans un socle granitique, intéressante pour sa diversité en Ptéridophytes[19] ;
- Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[20].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[21] : les « Granites du Sidobre et lac du Merle » (884 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[22], et la « vallĂ©e de l'Agout entre Burlats et Roquecourbe, vallĂ©e du Lignon et plateau du Verdier » (1 448 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [21] :
- les « riviÚres Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[24] ;
- la « vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou » (15 868 ha), couvrant 17 communes du département[25].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Burlats est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [I 1] - [27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castres, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[I 2] et 56 755 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (70,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (63,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (70,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,3 %), prairies (4,3 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,8 %)[28].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Burlats est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Agout et le Lignon. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 1995, 1996, 1997, 1999, 2017, 2018 et 2020[32] - [29].
Burlats est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue lâune des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8] - [33].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[34]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 75,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 986 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 785 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 80 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[36].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2008 et 2017 et par des mouvements de terrain en 2014[29].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[37].
La commune est en outre situĂ©e en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[39].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Burlats est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[40].
Histoire
HĂ©raldique
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Son blasonnement est : De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. |
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Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[45]. En 2020, la commune comptait 2 014 habitants[Note 10], en diminution de 2,28 % par rapport Ă 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 874 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 2 058 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 560 âŹ[I 7] (20 400 ⏠dans le dĂ©partement[I 8]). 46 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 12] (42,8 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 9] | 8,4 % | 8,1 % | 9,4 % |
DĂ©partement[I 10] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entiĂšre[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 1 290 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (68,2 % ayant un emploi et 9,4 % de chÎmeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 13] - [I 9]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 12]. Elle compte 236 emplois en 2018, contre 311 en 2013 et 303 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 890, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,9 %[I 13].
Sur ces 890 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 117 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 95,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 2,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
144 établissements[Note 14] sont implantés à Burlats au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 144 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 31 | 21,5 % | (13 %) |
Construction | 22 | 15,3 % | (12,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 28 | 19,4 % | (26,7 %) |
Information et communication | 1 | 0,7 % | (2,1 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 2 | 1,4 % | (3,3 %) |
Activités immobiliÚres | 8 | 5,6 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 18 | 12,5 % | (13,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 18 | 12,5 % | (15,5 %) |
Autres activités de services | 16 | 11,1 % | (9 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturiÚre, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,5 % du nombre total d'établissements de la commune (31 sur les 144 entreprises implantées à Burlats), contre 13 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :
- Granitarn, taille, façonnage et finissage de pierres (4 826 kâŹ)
- SAS Granit Du Sidobre, taille, façonnage et finissage de pierres (1 375 kâŹ)
- Granitarn Carrieres, extraction de pierres ornementales et de construction, de calcaire industriel, de gypse, de craie et d'ardoise (1 230 kâŹ)
- SARL Bourdeau, fabrication d'articles textiles, sauf habillement (834 kâŹ)
- Bonnet Electricite, travaux d'installation Ă©lectrique dans tous locaux (606 kâŹ)
Agriculture
La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite rĂ©gion agricole situĂ©e dans le sud-est du dĂ©partement du Tarn. Entre bocages et forĂȘt, cette zone est dĂ©diĂ©e Ă lâĂ©levage de ruminants de races Ă viande ou laitiĂšres. Sur les plus hauts plateaux, de nombreux Ă©levages de brebis laitiĂšres produisent le lait destinĂ© Ă la fabrication du roquefort[49]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est l'Ă©levage d'Ă©quidĂ©s et/ou d' autres herbivores[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune sont dĂ©nombrĂ©es lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (47 en 1988). La superficie agricole utilisĂ©e est de 240 ha[51] - [Carte 6] - [Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre de Burlats.
- Ăglise Saint-Martial de la Fontasse.
- Temple protestant des Salvages.
Pavillon d'Adélaïde du prieuré de Burlats
Cette maison romane du XIIe siĂšcle, probablement jamais habitĂ©e par la vicomtesse d'Albi, est remarquable par ces cinq grandes fenĂȘtres au second Ă©tage qui Ă©clairent une piĂšce unique. Ses faces sud et nord mesurent respectivement 15,30 m et 15 m pour une largeur de 8,40 m.
Ă l'origine, le bĂątiment a trois niveaux : le premier est entiĂšrement aveugle, le deuxiĂšme a de petites ouvertures devant servir Ă la dĂ©fense de la maison et le troisiĂšme, probablement celui de l'habitat, est aveugle des cĂŽtĂ©s est et nord d'oĂč soufflent les vents les plus froids mais comporte quatre baies au sud et une Ă l'ouest[52].
Maison d'Adam
C'est une maison du XIIe siĂšcle, remarquable pour sa façade sur l'Agout. Peut-ĂȘtre est-elle une ancienne dĂ©pendance du prieurĂ©. Son nom vient d'un chapiteau d'une fenĂȘtre. MalgrĂ© son classement en 1927, cette fenĂȘtre est vendue et dĂ©montĂ©e en 1935[53].
Ancienne collégiale Saint-Pierre
Les ruines de l'ancienne Ă©glise collĂ©giale, les façades et toitures de la maison dite maison d'AdĂ©laĂŻde avec ses fenĂȘtres romanes et façade sur la riviĂšre de la maison dite maison d'Adam ont Ă©tĂ© classĂ©es au titre des monuments historiques en 1981[54].
Les parties non classées subsistant des bùtiments conventuels ont été inscrites au titre des monuments historiques en 1981[54].
L'abbaye de Castres a fondĂ© un prieurĂ© Ă Burlats, mentionnĂ© une premiĂšre fois en 973 date Ă laquelle elle reçoit un legs de Garsinde, comtesse de Toulouse et d'Albigeois. Puis dans une bulle de Calixte II. Quand l'abbatiale de Castres devient cathĂ©drale, en 1317, les moines se constituent en chapitre et demandent leur sĂ©cularisation. L'Ă©glise Saint-Pierre devient collĂ©giale le 22 fĂ©vrier 1318. L'Ă©glise est dĂ©truite pendant les guerres de religion. Le chapitre de Burlats est autorisĂ© par l'Ă©vĂȘque et le parlement de Toulouse Ă s'installer Ă Lautrec. On essaie de restaurer une chapelle de l'Ă©glise pendant le rĂšgne de Louis XIII, en 1613, mais elle est une nouvelle fois mise Ă sac par les troupes protestantes du duc de Rohan, en 1622. Un incendie se produit en 1625. La paix revenue, l'Ă©vĂȘque demande aux chanoines de rĂ©intĂ©grer leur collĂ©giale, mais ils s'y refusent devant l'Ă©tat de l'Ă©glise. Une enquĂȘte de 1642 confirme l'Ă©tat de ruine de l'Ă©glise. Le collatĂ©ral nord est alors restaurĂ©. Le chapitre revient Ă Burlats en 1656 mais obtient du roi le droit de se rĂ©installer Ă Lautrec en 1659 oĂč il reste jusqu'Ă sa dissolution en 1790. La commune rachĂšte les parties ruinĂ©es de l'Ă©glise en 1835 et prĂ©sente un projet de restauration en 1837. L'Ă©glise est utilisĂ©e jusqu'en 1844. Elle est classĂ©e Monument historique en 1845. La commune envisage alors de reconstruire l'Ă©glise mais les crĂ©dits manquant, elle n'est que consolidĂ©e Ă partir de 1897[54] - [55].
Tour de la Vistoure
La tour de la Vistoure est une des quatre portes de ville de l'enceinte, datant du XIVe siĂšcle[56].
ChĂąteaux
Le chĂąteau de Burlats date du XVIIe siĂšcle mais conserve une tour du XIVe siĂšcle.
Le chĂąteau du Carla date du XIXe siĂšcle.
Rocher à cupules monumental « Le grain de Campsoleil »
Le rocher à cupules « Le grain de Campsoleil » a été trouvé prÚs du village de Lafontasse. Il a d'abord été transporté sur un parking pour servir de borne de protection devant l'entrée d'une entreprise jusqu'à ce que Jean Bonnet, président de l'Association archéologique des mégalithes Brassac-Sidobre (AAMBS) l'y découvre en décembre 2009. En juin 2011, il est décidé de la sauvegarder et de le mettre en valeur dans l'ancienne nef de la collégiale Saint-Pierre de Burlats, prÚs de la mairie, avec l'accord du maire, Jean-Marie Fabre, de la municipalité, de l'architecte des bùtiments de France et la participation de M. Alain Rodrigue, président du Comité départemental d'archéologie du Tarn (CDAT).
Ce rocher est une boule de granit dans lequel ont Ă©tĂ© gravĂ©es 25 cupules circulaires de 1,5 cm Ă 4,5 cm de diamĂštre pour une profondeur d'environ 1,5 cm. Leurs formes semblent montrer qu'elles ont Ă©tĂ© gravĂ©es avec un outil mĂ©tallique, donc pas avant l'Ăge des MĂ©taux. Elles ont Ă©tĂ© gravĂ©es tout autour du rocher. Leur fonction ne peut ĂȘtre prĂ©cisĂ©e : repĂšres gĂ©ographiques ou signes symboliques.
Le poids de ce rocher est d'environ 3 tonnes.
Personnalités liées à la commune
- Adélaïde de Toulouse (Azalais de Tolosa), fille de Raymond V, comte de Toulouse, qui épousa en 1171 Roger II Trencavel.
Vie pratique
Pour approfondir
Bibliographie
- Jean Cabanot, Burlats, pp. 191â207, dans CongrĂšs archĂ©ologique de France. 140e session. Albigeois. 1982, SociĂ©tĂ© Française d'ArchĂ©ologie, Paris, 1985
- Marcel Durliat, Haut-Languedoc roman, pp. 263â270, Ăditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" n°49), La Pierre-Qui-Vire, 1978
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la ville de Burlats www.burlats.net
- Site de tourisme pour Burlats
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[17].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le principe dâun dĂ©broussaillement efficace consiste Ă couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et dâautre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage dâarbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă proximitĂ© de lâhabitation
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[38].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Burlats » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
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- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Castres » (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Burlats » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Burlats » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Burlats » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Burlats » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Burlats », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Agout »
- Sandre, « le Lignon »
- Sandre, « le Lézert »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- [PDF]« Le parc naturel rĂ©gional du Haut-Languedoc â charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consultĂ© le )
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Burlats », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300949 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Burlats », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Granites du Sidobre et lac du Merle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de l'Agout entre Burlats et Roquecourbe, vallée du Lignon et plateau du Verdier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de lâenvironnement
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Burlats », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Burlats - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Ville de Burlats : Pavillon d'Adélaïde www.burlats.net
- Ville de Burlats : Maison d'Adam www.burlats.net
- Notice no PA00095491, base Mérimée, ministÚre français de la Culture : Prieuré (ancien)
- Ville de Burlats : collégiale Saint-Pierre www.burlats.net
- Notice no PA00095492, base Mérimée, ministÚre français de la Culture : Tour de la Vistoure
- Voir panneau d'information à cÎté du rocher.
- Michel Payrastre, Henri Prat, Christian Servelle, « Le grain de Campsoleil », boule granitique à cupules (Burlats, Tarn), dans Archéologie tarnaise, no 15, Comité départemental d'archéologie du Tarn, (ISBN 978-2-918190-13-4).