Saint-Germier (Tarn)
Saint-Germier est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.
Saint-Germier | |
Mairie de Saint-Germier. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Tarn |
Arrondissement | Castres |
Intercommunalité | Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux |
Maire Mandat |
Jean-Michel Talmant 2020-2026 |
Code postal | 81210 |
Code commune | 81252 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Saint-Germiérois |
Population municipale |
147 hab. (2020 ) |
Densité | 35 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 40âČ 45âł nord, 2° 13âČ 49âł est |
Altitude | 309 m Min. 220 m Max. 317 m |
Superficie | 4,16 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Castres (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Castres-2 |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Poulobre, le ruisseau de Poumarol et par divers autres petits cours d'eau.
Saint-Germier est une commune rurale qui compte 147 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Saint-Germiérois ou Saint-Germiéroises.
GĂ©ographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine de Castres située au nord de Castres, sur la route départementale D 612.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Castres, LaboulbĂšne, Montfa, Montpinier, Roquecourbe et Saint-Jean-de-Vals.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le ruisseau de Poulobre, le ruisseau de Poumarol, le ruisseau de Madorre, le ruisseau des Vins et le ruisseau du Pont, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[3] - [Carte 1].
Le ruisseau de Poulobre, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Montfa et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Bagas à JonquiÚres, aprÚs avoir traversé 6 communes[4].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[5].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Castres », sur la commune de Castres, mise en service en 1992[10] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 849,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et Ă 29 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,4 °C pour 1981-2010[14] Ă 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16] - [17] - [18].
Urbanisme
Typologie
Saint-Germier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [19] - [I 1] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (100 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,8 %), prairies (3,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Germier est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Poulobre. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2018 et 2020[25] - [22].
Saint-Germier est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue lâune des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6] - [26].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 72 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 72 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[30].
Histoire
HĂ©raldique
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Son blasonnement est : D'argent au pal comété de sable. |
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Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[33]. En 2020, la commune comptait 147 habitants[Note 7], en diminution de 4,55 % par rapport Ă 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 56 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 139 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 23 390 âŹ[I 4] (20 400 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 4,5 % | 7,7 % | 3 % |
DĂ©partement[I 7] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 106 personnes, parmi lesquelles on compte 82 % d'actifs (79 % ayant un emploi et 3 % de chÎmeurs) et 18 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 67 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 83, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,8 %[I 10].
Sur ces 83 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 1,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
17 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Germier au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,1 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 17 entreprises implantées à Saint-Germier), contre 12,5 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (14 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 243 ha[38] - [Carte 6] - [Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le principe dâun dĂ©broussaillement efficace consiste Ă couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et dâautre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage dâarbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă proximitĂ© de lâhabitation
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Germier » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Germier » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Germier » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Germier » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Germier » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Germier », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le ruisseau de Poulobre »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Castres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Orthodromie entre Saint-Germier et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Site de l'association des maires du Tarn consulté le 16 avril 2009
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Saint-Germier - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).