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Rignac (Lot)

Rignac est une commune française, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Rignac
Rignac (Lot)
L'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Francis Lacayrouze
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46238
DĂ©mographie
Gentilé Rignacois
Population
municipale
285 hab. (2020 en augmentation de 6,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 48â€Č 27″ nord, 1° 41â€Č 46″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 423 m
Superficie 9,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Gramat
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Rignac
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Rignac
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Rignac
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Rignac
Liens
Site web http://www.rignac.org

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le ruisseau de Rignac et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : et une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Rignac est une commune rurale qui compte 285 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelĂ©s les Rignacois ou Rignacoises.

    GĂ©ographie

    Commune située dans le Quercy sur le causse de Gramat.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Alvignac, Gramat, Rocamadour et Thégra.

    Communes limitrophes de Rignac[1]
    Alvignac
    Rocamadour Rignac Thégra
    Gramat

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 044 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beaulieu S/dor. », sur la commune de Beaulieu-sur-Dordogne, mise en service en 1952[7] et qui se trouve Ă  22 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 145,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et Ă  26 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15].

    La commune fait partie du parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, un espace protĂ©gĂ© crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'Ă©tend sur 102 communes du dĂ©partement du Lot[16]. La cohĂ©rence du territoire du Parc s’est fondĂ©e sur l’unitĂ© gĂ©ologique d’un mĂȘme socle de massif karstique, entaillĂ© de profondes vallĂ©es. Le pĂ©rimĂštre repose sur une unitĂ© de paysages autour de la pierre et du bĂąti (souvent en pierre sĂšche), de l’empreinte des pelouses sĂšches et du pastoralisme et de l’omniprĂ©sence des patrimoines naturels et culturels[17] - [18]. Ce parc a Ă©tĂ© classĂ© GĂ©oparc en mai 2017 sous la dĂ©nomination « gĂ©oparc des causses du Quercy », faisant dĂšs lors partie du rĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par l’UNESCO[19] - [20].

    La commune fait Ă©galement partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en juillet 2012[21] - [22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[23] : les « prairies naturelles des ruisseaux de Rignac et du PaillĂ© » (32 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Rignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [25] - [I 1] - [26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (61,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (44 %), forĂȘts (21,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (11,3 %), zones urbanisĂ©es (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rignac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    Rignac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă  moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de l’entretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rignac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[31]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 88 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 178 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 131 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 74 %, Ă  comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1997, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[28].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[34].

    Toponymie

    La commune se nomme Rinhac en occitan.

    Le toponyme Rignac est basĂ© sur l'anthroponyme gaulois Renius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-mĂȘme du celtique commun *-āko-), souvent latinisĂ© en -acum dans les textes[35].

    Histoire

    La commune de Rignac a été créée en 1892 par détachement d'une partie du territoire de Gramat[36].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[37]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1892 1912 LĂ©on Escudie
    1912 1925 Louis Vidal
    1925 1929 LĂ©on Bergougnoux
    1929 1935 Louis Vidal
    1935 1938 Gabriel Delmas
    1938 1944 Théophile Bergougnoux
    1944 1977 LĂ©on Maury
    1977 1984 Robert Delmas
    1984 2001 Pierre Baquet
    2001 2014 Daniel Wattier
    2014 en cours Francis Lacayrouze

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1896. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[39]. En 2020, la commune comptait 285 habitants[Note 7], en augmentation de 6,74 % par rapport Ă  2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    489447435409376385352307261
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006
    243226213175200229258242253
    2010 2015 2020 - - - - - -
    267267285------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 122 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 256 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 22 210 â‚Ź[I 4] (20 740 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]6,5 %10,2 %6 %
    DĂ©partement[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  160 personnes, parmi lesquelles on compte 83,9 % d'actifs (78 % ayant un emploi et 6 % de chĂŽmeurs) et 16,1 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 113 emplois en 2018, contre 95 en 2013 et 68 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 126, soit un indicateur de concentration d'emploi de 89,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 56,3 %[I 10].

    Sur ces 126 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 29 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 5,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    41 établissements[Note 10] sont implantés à Rignac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble41
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1126,8 %(14 %)
    Construction819,5 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1126,8 %(29,9 %)
    Information et communication12,4 %(1,8 %)
    Activités immobiliÚres12,4 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    614,6 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    24,9 %(12 %)
    Autres activités de services12,4 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,8 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (11 sur les 41 entreprises implantĂ©es Ă  Rignac), contre 29,9 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations25211516
    SAU[Note 13] (ha)771771784769

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  21 en 2000 puis Ă  15 en 2010[43] et enfin Ă  16 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 60 % de ses exploitations[44] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune est restĂ©e relativement stable, passant de 771 ha en 1988 Ă  769 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 31 Ă  48 ha[43].

    Zone artisanale

    Une zone artisanale de 8,5 ha est située au sud-est du territoire de la commune au lieu-dit les Vielles Vignes à proximité de Gramat et accueille les entreprises commerciales, tertiaires, artisanales ou semi-industrielles. Elle est connectée au réseau routier par la RD 840 qui mÚne à l'autoroute A20 et se trouve proche de la gare de Gramat[45].

    Elle comporte dĂ©jĂ  de nombreuses entreprises Ɠuvrant dans les domaines suivants : traitement des dĂ©chĂȘts, jardinerie, Ă©lectrotechnique, import et de distribution d'objet de plein-air et pour enfants, couverture et charpente, mĂ©decine du travail, travaux publics...

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Germain

    L'Ă©glise Saint-Germain.

    L'Ă©glise Saint-Germain au centre du village de Rignac est classĂ©e au titre des Monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [46]. Elle est citĂ©e au XIIe siĂšcle, dans le cartulaire de l'abbaye d'Obazine, mais a peut-ĂȘtre Ă©tĂ© dĂ©truite lors de la guerre de Cent Ans. Sa construction homogĂšne en pierres calcaires, avec son clocher barlong et son chƓur gothique polygonal, font penser Ă  une complĂšte reconstruction dans la deuxiĂšme moitiĂ© du XVe siĂšcle. Les visages trĂšs expressifs, sculptĂ©s sur des culots, ont pu ĂȘtre repris pour recevoir les arĂȘtes des voĂ»tes des chapelles latĂ©rales. Elle possĂ©dait un dĂ©cor intĂ©rieur peint, qui a en partie disparu[47].

    Au cours du XIXe siĂšcle, une sacristie fut ajoutĂ©e, vraisemblablement Ă  la mĂȘme pĂ©riode que les autels de marbre blanc et la sĂ©rie de vitraux, puis au dĂ©but du XXe siĂšcle, un nouvel amĂ©nagement intĂ©rieur vint achever les restaurations. Il s'agit d'abord des trĂšs simples fonts baptismaux au fond de l'Ă©glise, ainsi que des stations du chemin de croix aux cadres de mĂ©tal peint. La tribune a Ă©tĂ© supprimĂ©e. Au-dessus du tabernacle de l'autel de la Vierge, figure l'incrustation de Notre-Dame-de-Rocamadour telle qu'elle Ă©tait vue Ă  la fin du XIXe siĂšcle. Un vitrail du chƓur reprĂ©sente saint Germain d'Auxerre en vis-Ă -vis avec sainte Germaine de Pibrac, alors trĂšs cĂ©lĂšbre dans la rĂ©gion[47].

    Le chùteau de Roumégouse

    le nom de Roumégouse est à mettre en relation avec les pÚlerins roumieux. Dominant le village de Rignac, le chùteau de Roumégouse[48] était la propriété de la famille de Cho(u)rigny, présente depuis 1610. Au XVIIIe siÚcle, il fut acquis par la famille de Foulhiac de Padirac. Vers 1900, l'édifice fut transformé selon le goût romantique de l'époque. De fausses accolades de pierre furent ajoutées sur les linteaux des baies, de façon à rendre les originales plus perceptibles. Le lieu, actuellement privé, a été longtemps un hÎtel de l'association hÎteliÚre des Relais & Chùteaux. Il accueillit ainsi le 3 juin 1970 le général de Gaulle, sur le chemin de l'Espagne (visite au général Francisco Franco le 8 juin).

    Le chĂąteau de Mordesson

    Le fief de Mordesson faisait déjà partie du patrimoine des Vallon de Thégra au XIVe siÚcle. Raymond de Fouilhac « Historien du Quercy » y serait né en 1622. Héritier des terres, il fit construire en 1661 le chùteau visible actuellement. Un cartouche est orné d'un écusson sur lequel figurent les lettres G.R.B., initiales des prénoms de ses anciens propriétaires : Guillaume de Valon, Raymond et Bertrand de Fouilhac. Le chùteau est mentionné dans la légende associée au gouffre voisin du Saut de la Pucelle. Il est situé aux abords du chemin qui relie les lieux-dits de PrangÚres (Gramat) au Causse nu (Alvignac)[49].

    L'ancien hîpital des sƓurs maltaises

    L'IGN signale toujours ces ruines, malgré leur disparition quasi totale. Mme Marty-Bazalgues le constata aussi lorsqu'elle voulut se rendre sur le terrain[50].

    L'arbre de la liberté

    La tradition rapporte que le platane qui se dresse fiÚrement sur la petite place du village est un arbre de la liberté, planté pendant la période révolutionnaire. Sa circonférence témoigne de son ancienneté.

    La maison dite "aux deux tourelles"

    La base de cette demeure est contemporaine de la reconstruction de l'Ă©glise, aprĂšs la guerre de Cent Ans. L'Ă©difice ne devait pas ĂȘtre assez spacieux, puisqu'il fut modifiĂ© et agrandi avant 1762. Il reçut alors en façade deux tourelles de section carrĂ©e, chacune sur un lĂ©ger encorbellement. L'ensemble fut enfin restaurĂ© au XIXe siĂšcle. La photographie de la souillarde, cuisine voĂ»tĂ©e prĂ©sente dans de nombreuses maisons de la rĂ©gion, est visible sur le site du Conseil dĂ©partemental du Lot. Elle a Ă©tĂ© inscrite monument historique par arrĂȘtĂ© du [51].

    Gouffre du Saut de la Pucelle

    Le gouffre du Saut de la Pucelle est une cavité souterraine située à la limite des communes de Rignac, Rocamadour et Gramat dans lequel se perd le ruisseau de Rignac.

    Aire de loisirs

    À l'entrĂ©e du village, prĂšs du pont qui franchit le ruisseau (intersection D 20 et D 36), Rignac dispose d'une aire de loisirs comportant[52] :

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Rignac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Rignac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Rignac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Rignac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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