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Prignac-et-Marcamps

Prignac-et-Marcamps
Prignac-et-Marcamps
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Prignac-et-Marcamps
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Cubzaguais
Maire
Mandat
Francis BĂ©rard
2021-2026
Code postal 33710
Code commune 33339
DĂ©mographie
Gentilé Prignacais
Population
municipale
1 383 hab. (2020 en diminution de 0,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 143 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 02â€Č 00″ nord, 0° 29â€Č 32″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 42 m
Superficie 9,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Estuaire
LĂ©gislatives OnziĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.prignacetmarcamps.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    La commune se trouve dans la partie nord du dĂ©partement de la Gironde, avec le dĂ©partement de la Charente-Maritime Ă  26 km au nord.

    Elle est situĂ©e sur la D.669 entre Blaye Ă  22 km au nord-ouest, Saint-AndrĂ©-de-Cubzac Ă  km au sud-est et la rive droite de la Dordogne formant sa limite sud[1] - [2].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle faisait auparavant partie de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.

    Bordeaux est Ă  31 km au sud[2]

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Dordogne arrose le sud de la commune ; sa confluence avec la rive droite de la Garonne est Ă  7,7 km en aval.
    Le Moron arrose l'ouest de la commune et se jette dans la Dordogne en rive droite[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 896 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 784,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  24 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Prignac-et-Marcamps[16] - [17]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].

    ZNIEFF

    Prignac-et-Marcamps fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19] - [20], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Prignac-et-Marcamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [22] - [23] - [24]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bordeaux, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 73 communes[25] et 994 920 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Bordeaux est la sixiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[26] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28] - [29].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (79,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,2 %), prairies (24,5 %), eaux continentales[Note 7] (13,2 %), zones urbanisĂ©es (9,9 %), forĂȘts (9,5 %), terres arables (5,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,9 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Prignac-et-Marcamps est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine ou de dĂ©bordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siĂšcle, avec plus de 6,70 m mesurĂ©s au marĂ©graphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, dĂ©bit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 Ă  2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siĂšcle, ce sont celles liĂ©es Ă  la tempĂȘte Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 Ă  3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[34]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2010[35] - [31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs[36]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Prignac-et-Marcamps.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 90,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 610 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 610 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[37].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[31].

    Toponymie

    Le nom de la commune proviendrait, pour la partie Prignac, de l'anthroponyme latin Prinius[39] augmenté du suffixe locatif -ac(um).
    Pour la partie Marcamps, l'origine en serait la contraction de l'anthroponyme latin Marcus et du terme latin campus, les « terres », la « ferme » et désignerait donc la ferme de Marcus[39].

    En gascon, le nom de la commune est Prinhac e Marcamps.

    Histoire

    Grotte de Pair-non-Pair

    Datant du PalĂ©olithique supĂ©rieur et habitĂ©e environ 40 000 ans avant le prĂ©sent, Pair-non-Pair a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1881 et est classĂ©e au titre des monuments historiques depuis 1900[40].

    Grotte des FĂ©es

    La grotte des Fées de Prignac-et-Marcamps est découverte en 1873 par F. Daleau, qui la fouille en compagnie de J.-B. Grassies. Elle se trouve prÚs de la grotte de Pair-non-Pair, à la sortie du village de Marcamps, en rive gauche et en haut du massif calcaire qui domine la vallée du Moron[1] - [41].
    Sa surface est d'environ 40 m2[41]. C'est un gisement prĂ©historique du « MagdalĂ©nien Ă  pointes de Lussac-Angles »[42] - [43], bien qu'elle prĂ©sente plusieurs stades du MagdalĂ©nien, principalement M. supĂ©rieur[41].

    Parmi le mobilier collectĂ©, quatre piĂšces de la collection Daleau ont peut-ĂȘtre servi comme lampes-brĂ»loirs[41].

    Les premiÚres comparaisons ethnologiques concernant des fours enterrés semblent avoir été effectuées à propos des structures découvertes à la grotte des Fées (de Prignac-et-Marcamps en Gironde) et à la grotte des Scilles (grottes de la Save, Lespugue, Haute-Garonne), en contexte Paléolithique[44].

    Le musée d'Aquitaine (à Bordeaux) abrite une partie du matériel trouvé dans la grotte des Fées[41].

    Roc de Marcamps

    Il se trouve en contrebas de la grotte des Fées, sur un large talus abrupt qui descend jusqu'à la vallée[45].

    Site du MagdalĂ©nien moyen connu pour avoir livrĂ© de nombreuses navettes en os[46] - [47]. C'est le seul abri sous roche connu pour avoir livrĂ© un « porte-lumiĂšre » fait d'une simple plaquette (lampe no 16)[48]. Les autres lampes trouvĂ©es dans cet abri ont des cupules. L'une d'elles (la no 13) a Ă©tĂ© utilisĂ©e avec du suif de bƓuf[49], trois autres (les nos 1, 5 et 6) avec un corps gras ressemblant Ă  du lard de porc[50]. Une autre encore (la no 2) porte 3 lignes gravĂ©es[51] traversant la margelle[52].

    Moyen-Âge

    Le fut cĂ©lĂ©brĂ© le mariage de Mathe d'Albret, fille d'Amanieu VII et veuve du dernier vicomte de Tartas, avec Élie Rudel, seigneur de Bergerac, dans l'Ă©glise Saint-Michel de Marcamps[53].

    Au XVe siĂšcle, Bertrand IV de Montferrand, baron de Montferrand et de Langoiran est seigneur de Marcamps[54].

    Temps modernes

    La commune est le rĂ©sultat de la fusion de trois paroisses : Prignac (sur la route de Blaye), Marcamps (plus au nord, sur les coteaux au-dessus de la vallĂ©e du Moron), Cazelle (plus au sud, en descendant vers la Dordogne). Les trois Ă©glises existent encore. À cela il faut ajouter l'ancienne chapelle du prieurĂ© de Lurzine, non loin du bourg de Prignac.

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Pierre de Prignac forme la commune de Prignac et son annexe, Saint-Michel de Marcamps, forme la commune de Marcamps. La paroisse Saint-FĂ©lix de Cazelles et son annexe, Sainte-Quitterie de Magrigne, forment la commune de Cazelles. En l'an XII, la commune de Cazelles est rattachĂ©e Ă  celle de Prignac qui devient Prignac-et-Cazelles. Le , la commune de Marcamps est rattachĂ©e Ă  celle de Prignac-et-Cazelles qui devient Prignac-et-Marcamps[55].

    XXIe siĂšcle

    Le la commune change de région : l'Aquitaine, à laquelle appartenait Prignac-et-Marcamps, fusionne avec le Limousin et Poitou-Charentes pour devenir la région « Nouvelle-Aquitaine » (cette derniÚre réunie à la nouvelle région « Occitanie » pour former le « Grand Sud-Ouest français »).

    Politique et administration

    Les maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Raymond Prévot PS
    18 mars 2001 31 mars 2013 Max Jean-Jean PS Conseiller général du canton de Bourg (2004-2013)
    décédé en fonctions
    7 juin 2013 30 mars 2014 Hervé GranchÚre (intérim)
    30 mars 2014 juillet 2020 Michel Gaillard DVD Retraité
    juillet 2020 juillet 2021 Marie-Christine Bouchet
    juillet 2021 octobre 2021 Jean-Luc Bardeau maire par intérim
    octobre 2021 En cours Francis BĂ©rard
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Prignacais[56].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[58].

    En 2020, la commune comptait 1 383 habitants[Note 8], en diminution de 0,72 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    272259784446440440466475425
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    425414421406410424423422425
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    462447430389353361359309364
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4108121 0691 2621 2681 2861 3531 3621 384
    2017 2020 - - - - - - -
    1 3791 383-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee Ă  partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Grotte de Pair-non-Pair

    Elle est classée monument historique depuis 1900[40].

    Grotte des FĂ©es

    Gisement préhistorique du Magdalénien.

    Roc de Marcamps

    Site du Magdalénien moyen.

    Chapelle de Lurzine

    Vestiges d'un prieuré bénédictin du XIIe siÚcle. Les ruines sont inscrites[61] aux Monuments Historiques en 1925.

    • Ancienne Ă©glise Saint-Pierre de Prignac-et-Marcamps.
    Église Saint-FĂ©lix de Cazelles

    L'Ă©glise Saint-FĂ©lix datait du XIIe siĂšcle. Le , le cardinal François Uguccione prend une ordonnance rĂ©unissant le prieurĂ© de Saint-Laurent d'Arces avec l'Ă©glise Saint-FĂ©lix de Cazelles. Entre 1401 et 1870, pas de trace connue de l'Ă©glise dans les archives. En 1870 l'Ă©glise est dĂ©molie, Ă  l’exception de son abside qui est vendue Ă  un particulier. L'abside est fermĂ©e par un nouveau mur de façade et transformĂ©e en chapelle funĂ©raire.

    La majoritĂ© des modillons du chevet datent de la fin du XIIe siĂšcle. La chaire Ă  prĂȘcher et un bĂ©nitier de l'ancienne Ă©glise se trouvent actuellement dans l'Ă©glise paroissiale.
    • Église Saint-FĂ©lix de Cazelles
    • Façade
      Façade
    • Abside sud
      Abside sud
    • Abside nord
      Abside nord
    • Modillon n°13
      Modillon n°13
    • Modillon n°17
      Modillon n°17
    • Modillon n°19
      Modillon n°19
    Église Saint-Pierre de Prignac

    Elle a été construite dans la seconde moitié du XIXe siÚcle en style néo-gothique à la demande du cardinal Donnet[62].

    • Église Saint-Pierre de Prignac
    • Église de Prignac.
      Église de Prignac.
    Église Saint-Michel de Marcamps

    D'architecture romane, construite au XIIe siÚcle, agrandie au XVIIe siÚcle et restaurée au XIXe siÚcle, elle est devenue un établissement culturel pour manifestations diverses, concerts ou expositions par exemple[63].

    • Église Saint-Michel de Marcamps
    • Église de Marcamps.
      Église de Marcamps.
    ChĂąteau Grand Jour[64]

    ÉdifiĂ© en 1763 sur les bases d'une ancienne demeure, le chĂąteau Grand-Jour a appartenu aux familles de Lavergne, Mirande de Peyredoulle et de Lachassaigne. En 1830, il est achetĂ© par Pierre Castanet qui restaure la demeure[65]. En 1986, Mme Gaignerot, sa descendante, vend le chĂąteau. Il a Ă©tĂ© depuis le lieu de tournage du tĂ©lĂ©film La Bicyclette bleue avec LĂŠtitia Casta, puis de la saga La Maison des Rocheville.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Prignac-et-Marcamps Blason
    D'argent au mammouth contourné au naturel défendu du champ sur une terrasse isolée de sinople, le tout soutenu de l'inscription PMC en lettres capitales d'argent accolées 2 et 1 et surmonté de l'inscription « PRIGNAC et MARCAMPS » de sable.
    DĂ©tails
    La représentation du mammouth renvoie à la période préhistorique et évoque la grotte de Pair-non-Pair ; les lettres P, M, C signifient Prignac, Marcamps, Cazelles.
    Officiel, présent sur le site internet de la commune[66] (création : Raymond Prevot).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 2.XIV, pages 270-271.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Prignac-et-Marcamps, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    2. « Prignac-et-Marcamps », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnĂ©s sont calculĂ©es dans le panneau latĂ©ral (voir l'onglet en haut Ă  gauche de l'Ă©cran) – cliquer sur "ItinĂ©raires".
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