Presles-en-Brie
Presles-en-Brie (prononcĂ© [pÊÉ.lâżÉÌ bÊi]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Ăle-de-France.
Presles-en-Brie | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val Briard | ||||
Maire Mandat |
Dominique Rodriguez 2020-2026 |
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Code postal | 77220 | ||||
Code commune | 77377 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Preslois | ||||
Population municipale |
2 310 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 133 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 42âČ 55âł nord, 2° 44âČ 30âł est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 107 m |
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Superficie | 17,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Fontenay-Trésigny | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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Liens | |||||
Site web | preslesenbrie.eu | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Au cĆur de la Brie, le village se situe Ă 2 km au sud de Gretz-Armainvilliers.
Communes limitrophes
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
- la Marsange, longue de 30,39 km[1], affluent de l'Yerres en rive droite, traverse la commune du nord au sud ;
- le ru des Monbarres, 12,66 km[2], et ;
- le ru de la Queue Mahot, 1,43 km[3], et ;
- le ru de la Berthélerie (cours d'eau naturel et chenal non navigable), 4,97 km[4], affluents de la Marsange ;
- la riviÚre Barbançonne, longue de 12,10 km[7], irrigue également l'est de la commune ;
- le cours d'eau 01 de la Commune de Presles-en-Brie, 1,37 km[8], affluent de la Barbanconne.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,69 km[9].
Gestion des cours d'eau
Afin dâatteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e sâarticulent Ă diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă lâĂ©chelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă lâĂ©chelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de lâYerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un rĂ©seau hydrographique de 450 kilomĂštres de long environ, rĂ©partis entre le cours de lâYerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Ătang de Beuvron, la Visandre, lâYvron, le BrĂ©on, lâAvon, la Marsange, la Barbançonne, le RĂ©veillon[11]. Le pilotage et lâanimation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de lâYerres (SYAGE), qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].
RĂ©seau de communication et transports
Au bord de la RN4, Presles est desservie par les bus 03 et 409 du réseau de bus du Pays Briard.
Les gares les plus proches sont les gares (RER , Transilien ) de Gretz et Tournan
Le village est traversé par la LGV Interconnexion Est.
Climat
ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11 °C |
La commune bĂ©nĂ©ficie dâun « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[15]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[16], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] Ă 11,6 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal de Presles-en-Brie comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] - [19] - [Carte 1], la « forĂȘt de la LĂ©chelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[20].
Urbanisme
Typologie
Presles-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [21] - [22] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24] - [25].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 102 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[26] dont Autheuil, Gagny, la Brosse, les Fontaines, Villepatour (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (59,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,1% ), forĂȘts (34,2% ), zones urbanisĂ©es (4% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,7% ), prairies (2,8% ), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2% ), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,3 %)[27].
ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Ăle-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Ăle-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă 81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[28] - [29] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[30]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 900 dont 84,6 % de maisons et 15 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 93,7 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 78,3 % contre 20,1 % de locataires[31] dont, 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,6 % logés gratuitement.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Praticum au IXe siÚcle[32], Ecclesia de Praeriis vers 1150[33] ; Praheriae en 1182[34] ; Praieres vers 1222 (Livre des vassaux)[35] ; Praesles en 1276[36] ; Parrochia de Praeriis en 1289[37] ; Praelles en 1347[38] ; Praelles lez Tournan en Brie en 1364[39] ; Presles en Brye en 1579[40].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale fondée sur l'ancien français praerie, praierie « prairie », mot issu du latin pratum « pré », suivi du suffixe -arium, remplacé par -alia[41] (latin pratalia).
En 1915, la commune, jusqu'alors nommée Presles, devient Presles-en-Brie[42]. Cette modification est faite pour montrer l'attachement de la commune à la région et pour la différencier des autres communes homonymes.
Histoire
Les informations de cette section sont issues d'un site web[43].
Préhistoire
La dĂ©couverte de silex (haches et lames) datant du NĂ©olithique tĂ©moignent de la prĂ©sence d'une population bien avant l'Ăge du bronze.
Moyen Ăge
AprÚs la découverte récente d'un habitat datant de l'époque mérovingienne, les documents les plus anciens retraçant l'histoire du village de Presles-en-Brie remontent au temps des Capétiens. La commune est caractéristique des campagnes briardes, bùtie autour d'une église romane en pierre.
La construction de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption aurait été effectuée au cours du XIIIe siÚcle. Toutefois, la présence d'appareillage en Opus Spicatum (dispositions de pierres en épis de blé sur le cÎté droit du portail) est caractéristique des constructions réalisées bien plus tÎt du IXe au XIe siÚcle. Il est fait état de deux nefs du XIIIe siÚcle, dont les piliers rectangulaires reposeraient sur des bases carrées datées du XIe siÚcle. Le portail serait, quant à lui, daté du XIIe siÚcle, mais son origine reste encore une énigme, car en parfaite contradiction avec son environnement. La tour de grÚs qui y est accolée aurait été bùtie bien aprÚs la construction principale, vers la fin du XVe, début du XVIe siÚcle.
Cette église est l'un des témoignages principaux de l'histoire passée de la commune. On y trouve aujourd'hui encore, de nombreuses gargouilles, culs-de-lampe et tombeaux.
XVIIeâââXIXe siĂšcles
Trois cloches ont Ă©tĂ© fondues au XVIIe siĂšcle pour l'Ă©glise : Marie Ălisabeth en 1713, Maire Anne JosĂšphe en 1727 et Françoise en 1776.
à la Révolution française, la commune compte 550 habitants. Durant cette période, Presles sort de l'anonymat par le biais d'une riche famille de la noblesse française : les comtes et marquis de Jaucourt. Ils se domicilient au chùteau de Presles (aujourd'hui détruit) jusqu'au XXe siÚcle.
Sous le Premier Empire, la légende dit que Napoléon serait passé par la commune, et qu'un soldat russe se serait noyé dans un lac. Depuis, ce lac se nomme Mare aux Russes. Napoléon Ier aurait également surveillé la bataille de Mormant du haut du clocher de l'église.
En 1834, tout comme le reste de la région, la commune est frappée par l'épidémie de choléra.
Au XIXe siÚcle, Presles est un village prospÚre. Des arbres fruitiers, notamment de la vigne, sont cultivés le long de la Marsange. Le 25 avril 1857, la gare de Presles est construite au hameau de Villepatour. Elle se situe sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville.
La guerre franco-prussienne de 1870 frappe la commune. De nombreux combats eurent lieu sur son territoire.
En 1889 est ouverte une scierie qui débite le arbres en planches, qui sont ensuite expédiées vers Paris. La scierie Mondloque de Villepatour ferme vers 1930.
XXe siĂšcle
Entre 1911 et 1914, la famille Jaucourt vend son chĂąteau Ă monsieur Paillet, qui, lui-mĂȘme le revend Ă un Polonais du nom d'Anders, qui disparaĂźt sans laisser de traces. Ă la fin de la Seconde Guerre mondiale, le chĂąteau est placĂ© sous tutelle du consulat de Pologne. En 1959, le maire Pierre Boullery fraĂźchement Ă©lu tente de faire racheter le domaine par la commune, mais cela se solde par un Ă©chec car la vente nĂ©cessite l'accord du propriĂ©taire, introuvable. Trente ans aprĂšs, le chĂąteau devient propriĂ©tĂ© du consulat, qui le vend Ă un promoteur. Ce dernier le fait dĂ©truire.
Les années 1960 sont pour Presles une période de prospérité, à l'image des Trente Glorieuses. La commune possÚde une caserne de pompiers et une gare. Le lotissement de la Marsange est construit, agrandissant considérablement la commune. L'école des Quatre -Vents est construite.
Dans les annĂ©es 1980, un projet de construction d'un golf est Ă©tabli, les travaux dĂ©butent mais le projet est abandonnĂ©. L'Ă©cole incluse dans le projet est tout de mĂȘme construite, financĂ©e par le promoteur. AprĂšs des annĂ©es de procĂ©dures judiciaires, la mairie remporte le procĂšs contre le promoteur qui rĂ©clamait le remboursement des travaux de l'Ă©cole.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Presles-en-Brie se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[42], elle intÚgre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[44].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisiÚme circonscription de Seine-et-Marne.
Presles-en-Brie appartenait depuis 1793 du canton de Tournan-en-Brie[42]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, [elle est désormais rattachée au canton de Fontenay-Trésigny[45].
Intercommunalité
Presles-en-Brie faisait partie de la communauté de communes du Val Bréon, créée en 1995.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de Seine-et-Marne a approuvé un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes de la Brie boisée, de la communauté de communes du Val Bréon et de la communauté de communes les Sources de l'Yerres, avec rattachement de la commune de Courtomer[46]. Cette fusion entraßne d'importantes tensions entre les présidents de la CCVB et la CCCB[47].
Par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 23 dĂ©cembre 2016[48], le Val BrĂ©on fusionne le avec d'autres communautĂ©s de communes pour former la nouvelle intercommunalitĂ© du Val Briard, dont la commune est dĂ©sormais membre.
Liste des maires
Jumelages
Ăquipements et services
Eau et assainissement
Lâorganisation de la distribution de lâeau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© dâun report de ce transfert au [52] - [53].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Presles-en-Brie gĂšre le service dâassainissement collectif (collecte et ) en rĂ©gie directe, câest-Ă -dire avec ses propres personnels[54].
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. Le Syndicat mixte Centre Brie pour l'ANC (SMCBANC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et lâentretien des installations[54] - [56].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Tournan-en-Brie qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [54] - [57] - [58].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[60].
En 2020, la commune comptait 2 310 habitants[Note 8], en augmentation de 3,36 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăquipements
- Ăcole maternelle et Ă©lĂ©mentaire Maurice-AndrĂ©
- Centre de loisirs
- Terrain de basket-ball
- Terrains de football
- Stade Bixente-Lizarazu, doté d'un terrain synthétique et inauguré en 2017[62]
- Courts de tennis
- BibliothĂšque municipale
- Salle polyvalente
- Associations : atelier poterie, chorale, danse et gymnastique, école de dessin, comité de jumelage, école de musique et de chant, société préloise d'histoire, judo, randonnées, presloisir tandem, tennis, yoga, football.
Manifestations culturelles et festivités
- FĂȘte de la pomme chaque annĂ©e le deuxiĂšme dimanche d'octobre, dont la 27e Ă©dition a eu lieu en 2017[63].
- Brocante/vide-grenier le 1er mai
- FĂȘte des Arts chaque annĂ©e autour de la fĂȘte de la musique.
Ăconomie
- Grandes exploitations agricoles.
- Zone d'activités : gardiennages de véhicules de loisirs, fournisseur de bois.
- Commerces : épicerie-bar-tabac-presse-restaurant, coiffeur, boulangerie, médecin généraliste.
Agriculture
Presles-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[64].
Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[65]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre dâexploitations est passĂ© de 11 en 1988 Ă 9 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 71 ha en 1988 Ă 85 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Presles-en-Brie, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[64] - [Note 10] | |||
Nombre dâexploitations (u) | 11 | 8 | 9 |
Travail (UTA) | 39 | 14 | 22 |
Surface agricole utilisée (ha) | 784 | 744 | 768 |
Cultures[66] | |||
Terres labourables (ha) | 752 | 719 | 761 |
Céréales (ha) | 482 | 442 | 418 |
dont blé tendre (ha) | 329 | 295 | 350 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 108 | s | s |
Tournesol (ha) | 36 | ||
Colza et navette (ha) | 63 | 117 | 216 |
Ălevage[64] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 88 | 37 | 98 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame-de-l'Assomption datĂ©e du XIIe siĂšcle pour les parties les plus anciennes non remaniĂ©es, avec un clocher en grĂšs de 45 m de haut construit aux XIVe et XVe siĂšcles par Quentin le charpentier, curĂ© de la paroisse.
- Les vitraux, dont l'état nécessite une réhabilitation, datent de 1855[67].
- Chùteau au centre de Presles, détruit en 1959 car en ruine. Des vestiges trÎnent encore au sein du lotissement construit en lieu et place, notamment un bassin avec des colonnes, et une maison de gardiennage à l'entrée de l'ancien domaine.
- Chùteau à Villepatour (aujourd'hui centre de la Croix-Rouge française).
Personnalités liées à la commune
- François de Jaucourt (né en 1757, mort à Presle en 1852), militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siÚcles.
- Alain Grimfeld : médecin pédiatre français et président du Comité consultatif national d'éthique de 2008 à 2012 réside dans la commune.
- Maurice André (1933-2012) : célÚbre trompettiste a vécu de nombreuses années à Presles-en-Brie. Le groupe scolaire de la commune porte son nom.
- Laurence Boccolini : animatrice de radio et de télévision française.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Presles-en-Brie (77377) », Recensement général de la population de 2015, Insee, (consulté le ).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe dâhabitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages nâest pas toujours Ă©gale Ă 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux dâespĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Zones ZNIEFF de Presles-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Presles-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Ăle-de-France, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
- « GĂ©oportail de lâurbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marsange (F4770600) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Monbarres (F4777000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Queue Mahot (F4776000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Berthélerie (F4777700) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de la Berthélerie (F4777502) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - FossĂ© 01 de l'Ătang de Tizard (F4777800) » (consultĂ© le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Barbançonne (F4819000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Commune de Presles-en-Brie (F4819100) » (consulté le ).
- Site SIGES â Seine-Normandie (SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 5 septembre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de lâYerres (SYAGE)
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