AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Presles-en-Brie

Presles-en-Brie (prononcĂ© [pʁɛ.lâ€żÉ‘Ìƒ bʁi]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Île-de-France.

Presles-en-Brie
Presles-en-Brie
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Val Briard
Maire
Mandat
Dominique Rodriguez
2020-2026
Code postal 77220
Code commune 77377
DĂ©mographie
Gentilé Preslois
Population
municipale
2 310 hab. (2020 en augmentation de 3,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 133 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 42â€Č 55″ nord, 2° 44â€Č 30″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 107 m
Superficie 17,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Presles-en-Brie
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Presles-en-Brie
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Presles-en-Brie
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Presles-en-Brie
Liens
Site web preslesenbrie.eu

    GĂ©ographie

    Localisation

    Au cƓur de la Brie, le village se situe à km au sud de Gretz-Armainvilliers.

    Communes limitrophes

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Presles-en-Brie.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :

    • la Marsange, longue de 30,39 km[1], affluent de l'Yerres en rive droite, traverse la commune du nord au sud ;
      • le ru des Monbarres, 12,66 km[2], et ;
      • le ru de la Queue Mahot, 1,43 km[3], et ;
      • le ru de la BerthĂ©lerie (cours d'eau naturel et chenal non navigable), 4,97 km[4], affluents de la Marsange ;
        • le canal de la BerthĂ©lerie, 2,30 km[5], et ;
        • le fossĂ© 01 de l'Étang de Tizard, 1,13 km[6], qui confluent avec le ru de la BerthĂ©lerie ;
    • la riviĂšre Barbançonne, longue de 12,10 km[7], irrigue Ă©galement l'est de la commune ;
      • le cours d'eau 01 de la Commune de Presles-en-Brie, 1,37 km[8], affluent de la Barbanconne.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,69 km[9].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un rĂ©seau hydrographique de 450 kilomĂštres de long environ, rĂ©partis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le BrĂ©on, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le RĂ©veillon[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].

    RĂ©seau de communication et transports

    Au bord de la RN4, Presles est desservie par les bus 03 et 409 du réseau de bus du Pays Briard.

    Les gares les plus proches sont les gares (RER (E), Transilien Ligne P du Transilien ) de Gretz et Tournan

    Le village est traversé par la LGV Interconnexion Est.

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 714 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,9 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[15]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[16], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Presles-en-Brie comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] - [19] - [Carte 1], la « forĂȘt de la LĂ©chelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Presles-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [21] - [22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24] - [25].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 102 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[26] dont Autheuil, Gagny, la Brosse, les Fontaines, Villepatour (source : le fichier Fantoir).

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (59,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,1% ), forĂȘts (34,2% ), zones urbanisĂ©es (4% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,7% ), prairies (2,8% ), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2% ), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,3 %)[27].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[28] - [29] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[30]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 900 dont 84,6 % de maisons et 15 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 93,7 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 78,3 % contre 20,1 % de locataires[31] dont, 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,6 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Praticum au IXe siÚcle[32], Ecclesia de Praeriis vers 1150[33] ; Praheriae en 1182[34] ; Praieres vers 1222 (Livre des vassaux)[35] ; Praesles en 1276[36] ; Parrochia de Praeriis en 1289[37] ; Praelles en 1347[38] ; Praelles lez Tournan en Brie en 1364[39] ; Presles en Brye en 1579[40].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale fondée sur l'ancien français praerie, praierie « prairie », mot issu du latin pratum « pré », suivi du suffixe -arium, remplacé par -alia[41] (latin pratalia).

    En 1915, la commune, jusqu'alors nommée Presles, devient Presles-en-Brie[42]. Cette modification est faite pour montrer l'attachement de la commune à la région et pour la différencier des autres communes homonymes.

    Histoire

    Les informations de cette section sont issues d'un site web[43].

    Préhistoire

    La dĂ©couverte de silex (haches et lames) datant du NĂ©olithique tĂ©moignent de la prĂ©sence d'une population bien avant l'Âge du bronze.

    Moyen Âge

    AprÚs la découverte récente d'un habitat datant de l'époque mérovingienne, les documents les plus anciens retraçant l'histoire du village de Presles-en-Brie remontent au temps des Capétiens. La commune est caractéristique des campagnes briardes, bùtie autour d'une église romane en pierre.

    La construction de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption aurait été effectuée au cours du XIIIe siÚcle. Toutefois, la présence d'appareillage en Opus Spicatum (dispositions de pierres en épis de blé sur le cÎté droit du portail) est caractéristique des constructions réalisées bien plus tÎt du IXe au XIe siÚcle. Il est fait état de deux nefs du XIIIe siÚcle, dont les piliers rectangulaires reposeraient sur des bases carrées datées du XIe siÚcle. Le portail serait, quant à lui, daté du XIIe siÚcle, mais son origine reste encore une énigme, car en parfaite contradiction avec son environnement. La tour de grÚs qui y est accolée aurait été bùtie bien aprÚs la construction principale, vers la fin du XVe, début du XVIe siÚcle.

    Cette église est l'un des témoignages principaux de l'histoire passée de la commune. On y trouve aujourd'hui encore, de nombreuses gargouilles, culs-de-lampe et tombeaux.

    XVIIe – XIXe siùcles

    Trois cloches ont Ă©tĂ© fondues au XVIIe siĂšcle pour l'Ă©glise : Marie Élisabeth en 1713, Maire Anne JosĂšphe en 1727 et Françoise en 1776.

    À la RĂ©volution française, la commune compte 550 habitants. Durant cette pĂ©riode, Presles sort de l'anonymat par le biais d'une riche famille de la noblesse française : les comtes et marquis de Jaucourt. Ils se domicilient au chĂąteau de Presles (aujourd'hui dĂ©truit) jusqu'au XXe siĂšcle.

    Sous le Premier Empire, la légende dit que Napoléon serait passé par la commune, et qu'un soldat russe se serait noyé dans un lac. Depuis, ce lac se nomme Mare aux Russes. Napoléon Ier aurait également surveillé la bataille de Mormant du haut du clocher de l'église.

    En 1834, tout comme le reste de la région, la commune est frappée par l'épidémie de choléra.

    Au XIXe siÚcle, Presles est un village prospÚre. Des arbres fruitiers, notamment de la vigne, sont cultivés le long de la Marsange. Le 25 avril 1857, la gare de Presles est construite au hameau de Villepatour. Elle se situe sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville.

    La guerre franco-prussienne de 1870 frappe la commune. De nombreux combats eurent lieu sur son territoire.

    En 1889 est ouverte une scierie qui débite le arbres en planches, qui sont ensuite expédiées vers Paris. La scierie Mondloque de Villepatour ferme vers 1930.

    XXe siĂšcle

    Entre 1911 et 1914, la famille Jaucourt vend son chĂąteau Ă  monsieur Paillet, qui, lui-mĂȘme le revend Ă  un Polonais du nom d'Anders, qui disparaĂźt sans laisser de traces. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le chĂąteau est placĂ© sous tutelle du consulat de Pologne. En 1959, le maire Pierre Boullery fraĂźchement Ă©lu tente de faire racheter le domaine par la commune, mais cela se solde par un Ă©chec car la vente nĂ©cessite l'accord du propriĂ©taire, introuvable. Trente ans aprĂšs, le chĂąteau devient propriĂ©tĂ© du consulat, qui le vend Ă  un promoteur. Ce dernier le fait dĂ©truire.

    Les années 1960 sont pour Presles une période de prospérité, à l'image des Trente Glorieuses. La commune possÚde une caserne de pompiers et une gare. Le lotissement de la Marsange est construit, agrandissant considérablement la commune. L'école des Quatre -Vents est construite.

    Dans les annĂ©es 1980, un projet de construction d'un golf est Ă©tabli, les travaux dĂ©butent mais le projet est abandonnĂ©. L'Ă©cole incluse dans le projet est tout de mĂȘme construite, financĂ©e par le promoteur. AprĂšs des annĂ©es de procĂ©dures judiciaires, la mairie remporte le procĂšs contre le promoteur qui rĂ©clamait le remboursement des travaux de l'Ă©cole.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Presles-en-Brie se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[42], elle intÚgre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[44].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisiÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Presles-en-Brie appartenait depuis 1793 du canton de Tournan-en-Brie[42]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, [elle est désormais rattachée au canton de Fontenay-Trésigny[45].

    Intercommunalité

    Presles-en-Brie faisait partie de la communauté de communes du Val Bréon, créée en 1995.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le prĂ©fet de Seine-et-Marne a approuvĂ© un nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI) qui prĂ©voit notamment la fusion de la communautĂ© de communes de la Brie boisĂ©e, de la communautĂ© de communes du Val BrĂ©on et de la communautĂ© de communes les Sources de l'Yerres, avec rattachement de la commune de Courtomer[46]. Cette fusion entraĂźne d'importantes tensions entre les prĂ©sidents de la CCVB et la CCCB[47].

    Par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 23 dĂ©cembre 2016[48], le Val BrĂ©on fusionne le avec d'autres communautĂ©s de communes pour former la nouvelle intercommunalitĂ© du Val Briard, dont la commune est dĂ©sormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[49]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1804 1808 M. Lepape
    1809 1817 Baudin de Saint-Laurent.
    1819 1830 O. de Montigny
    1831 Jean François Monjovis Comte de Montigny Jaucourt, marchand de vins
    1834 Charles de Montigny-Jaucourt Comte, propriétaire
    1836 Comte de Montigny Jaucourt
    1837 1855 Charles de Montigny Jaucourt PropriĂ©taire, maĂźtre de requĂȘte
    1855 Pierre Levesque Propriétaire
    Adjoint, supplée le maire absent
    1870 1871 Armand, baron de Machau Cultivateur
    1871 1878 Pierre François Levesque Comte de Jaucourt
    SecrĂ©taire d’Ambassade
    1878 M. Lepape
    Les données manquantes sont à compléter.
    1932 1947 Albert Paillet
    octobre 1947 mars 1959 Marcel Poisson
    mars 1959 1968 Pierre Boullery
    1968 mars 1971 François Legendre Cultivateur
    mars 1971 1972 Jacques Munier
    1972 mars 1989 François Legendre Cultivateur
    mars 1989 En cours
    (au 12/08/2020)
    M. Dominique Rodriguez UDF puis
    UMP → LR
    Chef d'entreprise retraité
    Vice-prĂ©sident de la CC du Val Briard (2017 → )
    Président du SIETOM de Tournan[50]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[51]

    Jumelages

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [52] - [53].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Presles-en-Brie gĂšre le service d’assainissement collectif (collecte et ) en rĂ©gie directe, c’est-Ă -dire avec ses propres personnels[54].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. Le Syndicat mixte Centre Brie pour l'ANC (SMCBANC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[54] - [56].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Tournan-en-Brie qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [54] - [57] - [58].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[60].

    En 2020, la commune comptait 2 310 habitants[Note 8], en augmentation de 3,36 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    551559562603637660666642643
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    654697654611584561487525540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    508480474423498511427472614
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6285961 5061 5261 6201 6801 9762 0412 249
    2015 2020 - - - - - - -
    2 2272 310-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements

    • École maternelle et Ă©lĂ©mentaire Maurice-AndrĂ©
    • Centre de loisirs
    • Terrain de basket-ball
    • Terrains de football
    • Stade Bixente-Lizarazu, dotĂ© d'un terrain synthĂ©tique et inaugurĂ© en 2017[62]
    • Courts de tennis
    • BibliothĂšque municipale
    • Salle polyvalente
    • Associations : atelier poterie, chorale, danse et gymnastique, Ă©cole de dessin, comitĂ© de jumelage, Ă©cole de musique et de chant, sociĂ©tĂ© prĂ©loise d'histoire, judo, randonnĂ©es, presloisir tandem, tennis, yoga, football.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte de la pomme chaque annĂ©e le deuxiĂšme dimanche d'octobre, dont la 27e Ă©dition a eu lieu en 2017[63].
    • Brocante/vide-grenier le 1er mai
    • FĂȘte des Arts chaque annĂ©e autour de la fĂȘte de la musique.

    Économie

    • Grandes exploitations agricoles.
    • Zone d'activitĂ©s : gardiennages de vĂ©hicules de loisirs, fournisseur de bois.
    • Commerces : Ă©picerie-bar-tabac-presse-restaurant, coiffeur, boulangerie, mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste.

    Agriculture

    Presles-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[64].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[65]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 11 en 1988 Ă  9 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 71 ha en 1988 Ă  85 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Presles-en-Brie, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Presles-en-Brie entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[64] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 11 8 9
    Travail (UTA) 39 14 22
    Surface agricole utilisée (ha) 784 744 768
    Cultures[66]
    Terres labourables (ha) 752 719 761
    Céréales (ha) 482 442 418
    dont blé tendre (ha) 329 295 350
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 108 s s
    Tournesol (ha) 36
    Colza et navette (ha) 63 117 216
    Élevage[64]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 88 37 98

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Notre-Dame.
    Le pavillon de garde de l'ancien chĂąteau.
    Le chĂąteau de Villepatour.

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption datĂ©e du XIIe siĂšcle pour les parties les plus anciennes non remaniĂ©es, avec un clocher en grĂšs de 45 m de haut construit aux XIVe et XVe siĂšcles par Quentin le charpentier, curĂ© de la paroisse.
    Les vitraux, dont l'état nécessite une réhabilitation, datent de 1855[67].
    • ChĂąteau au centre de Presles, dĂ©truit en 1959 car en ruine. Des vestiges trĂŽnent encore au sein du lotissement construit en lieu et place, notamment un bassin avec des colonnes, et une maison de gardiennage Ă  l'entrĂ©e de l'ancien domaine.
    • ChĂąteau Ă  Villepatour (aujourd'hui centre de la Croix-Rouge française).

    Personnalités liées à la commune

    Associations culturelles

    • Association de l'École de peinture et dessin [68].
    • Le point d'Orgue : Ecole de musique et de chant [69].
    • École de couture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Presles-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Presles-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    4. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marsange (F4770600) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Monbarres (F4777000) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Queue Mahot (F4776000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Berthélerie (F4777700) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de la Berthélerie (F4777502) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - FossĂ© 01 de l'Étang de Tizard (F4777800) » (consultĂ© le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Barbançonne (F4819000) » (consulté le ).
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Commune de Presles-en-Brie (F4819100) » (consulté le ).
    9. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 5 septembre 2018
    10. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    11. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    12. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    14. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    16. « Orthodromie entre Presles-en-Brie et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Presles-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF la « forĂȘt de la LĂ©chelle et de Coubert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    26. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    28. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    29. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    30. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    31. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 3 juillet 2020
    32. « Retable de l'église de Presles-en-Brie », sur www.fondation-patrimoine.org (consulté le )
    33. Archives nationales, L 877, n° 21.
    34. Archives nationales, S 1175, n° 6.
    35. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 467.
    36. Longnon, II, 5.
    37. Archives nationales, S 1175.
    38. Archives nationales, P 471, n° 451.
    39. Archives nationales, P 471, n° 499.
    40. Archives nationales, S 1176.
    41. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 545b - 546a
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    43. Histoire de Presles-en-Brie - XXe siĂšcle sur PreslesHistorique.free.fr
    44. « ArrĂȘtĂ© du 30 dĂ©cembre 2016 du prĂ©fet de la rĂ©gion d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du dĂ©partement de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture d'Île-de-France, no spĂ©cial IDF-001-2017-01,‎ , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
    45. « Décret no 2014-186 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de Seine-et-Marne », sur http://www.legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
    46. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2016 portant adoption du schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale » [PDF], SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, PrĂ©fecture de Seine-et-Marne (consultĂ© le ).
    47. SĂ©bastien BlondĂ©, « Brie BoisĂ©e : Barbaux contestĂ© Ă  la veille de la fusion des intercommunalitĂ©s », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    48. [PDF]« RAA n° 264 du 27 dĂ©cembre 2016 - ArrĂȘtĂ© 2016/DRCL/BCCCL/122 », sur https://www.seine-et-marne.gouv.fr/ (consultĂ© en ).
    49. « Presles-en-Brie », Les communes, Société d'histoire, d'art, de généalogie et d'échange - SHAGE 77 (consulté le ).
    50. SĂ©bastien BlondĂ©, « Presles-en-Brie : levĂ©e de boucliers contre l’épandage des rĂ©sidus de mĂ©thanisation : Presles-en-Brie et le Sietom de Tournan ont pris position contre cet Ă©pandage sur un territoire, qui privilĂ©gie le compost », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le prĂ©sident du Sietom, Dominique Rodriguez (LR), par ailleurs maire de Presles-en-Brie, doit mĂȘme prendre un arrĂȘtĂ© interdisant ces Ă©pandages sur sa commune. ».
    51. « Compte rendu de la reunion du conseil municipal du 29 mars 2014 » [PDF], Comptes rendus du Conseil Municipal, sur http://www.preslesenbrie.eu (consulté le ).
    52. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    53. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    54. « Commune de Presles-en-Brie - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    55. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    56. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    57. « SMAEP de la région de Tournan-en-Brie - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    58. « SMAEP de la région de Tournan-en-Brie - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    59. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    60. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    62. SĂ©bastien BlondĂ©, « Seine-et-Marne : Lizarazu inaugure Ă  Presles-en-Brie le 2e stade Ă  son nom : Celui d’Hendaye (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ© du nom du champion du Monde 98 », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    63. Pierre Choisnet, « Pressez-vous Ă  la 27e FĂȘte de la Pomme Ă  Presles-en-Brie : La 27e Ă©dition de la FĂȘte de la Pomme de Presles-en-Brie aura lieu samedi 30 septembre et dimanche sur le parking de la mĂ©diathĂšque de Presles-en-Brie », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    64. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Presles-en-Brie. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    65. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    66. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Presles-en-Brie. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    67. Margaux Desdet, « Presles-en-Brie : une association se mobilise pour les vitraux de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption : À Presles-en-Brie, l'association Presles Sauvegarde Patrimoine s'attache Ă  sauvegarder le patrimoine, et particuliĂšrement Ă  la restauration des vitraux de l'Ă©glise », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    68. |Site web =https://ecole-dessin-peinture-preslesenbrie.org/ |consulté le=17 mai 2023
    69. |Site web =http://www.lepointdorgue.org/ |consulté le=17 mai 2023
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.