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Châtres (Seine-et-Marne)

Châtres (prononcé [ʃɑtʁ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Châtres
Châtres (Seine-et-Marne)
La mairie.
Blason de Châtres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Val Briard
Maire
Mandat
Michel Rollin
2020-2026
Code postal 77610
Code commune 77104
Démographie
Gentilé Châtriots
Population
municipale
704 hab. (2020 en augmentation de 11,22 % par rapport à 2014)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 38″ nord, 2° 48′ 35″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 117 m
Superficie 15,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Châtres
Liens
Site web mairie-chatres77.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Châtres dans le département de Seine-et-Marne.

    Châtres est une commune de la grande couronne de la région Île-de-France.

    La commune est située à 40 km des portes de Paris, 24 km de Melun et 35 km de Meaux.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Géologie

    La plateforme structurale supérieure de la Brie est constituée par une couche de pierre de meulières datant du Sannoisien. L’exploitation de ces pierres de meulières a fourni un matériau de construction très utilisé dans la commune. La couche de meulières est surmontée par un manteau plus ou moins régulier de limons des plateaux qui sont constitués par des dépôts argilo-sableux fins et compacts d’une fertilité importante.

    Relief

    Ferme de la Jarrie.

    La superficie de la commune est de 1 513 hectares ; l'altitude varie entre 89 mètres à l'extrémité sud au niveau du ru de Chevry et 117 mètres au nord de Coffry au niveau de la N4[2]. La commune de Châtres s'étend sur un plateau au relief peu marqué, le territoire est bordé au nord-est par la partie supérieure du Bréon qui creusera sa vallée en aval à Fontenay-Trésigny, la vallée du ru de Chevry débute au niveau de la Chalotterie.

    Les paysages sont typiques de la Brie, marqués par une succession d'openfields (culture du blé, du maïs, de la betterave sucrière, maraîchage, etc.) entrecoupés de massifs forestiers plus ou moins denses (bois des Seigneur, les Trois Charmes, les Accrues, parc des Boulayes, bois Mignot, bois du Loribeau, bois de Lognes, Garenne des Pins, bois du Haut Champ, etc.).

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Châtres.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés dont le territoire est situé à cheval sur les bassins versants de la Marsange et du Bréon.

    La Marsange, à l'ouest, draine la majeure partie du territoire par ses affluents :

    • le ru de Feneuse, 3,64 km[3] ;
    • le ru de la Berthélerie (cours d'eau naturel et chenal non navigable), 4,97 km[4] ;
    • le ru de Chevry, cours d'eau naturel et canal de 6,09 km[5], au centre et au sud ;

    Les autres cours d'eau du territoire sont :

    • le ru de Bréon 22,13 km[6] qui sert de limite communale à l'est avec Marles-en-Brie puis Fontenay-Trésigny ;
    • le fossé 05 de la Noue, 2,06 km[7], qui conflue avec le ru de Bréon ;
    • le canal de la Berthélerie, 2,30 km[8], qui conflue avec le ru de la Berthélerie ;
    • le canal 01 des Garennes, 2,44 km[9], qui conflue avec le ru de Chevry.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 12,78 km[10].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[11].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[12]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[13].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,6 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 726 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[15], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] à 11,6 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Châtres comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] - [18], l'« Étang du bois du Vivier » (2,82 ha)[19] , et un ZNIEFF de type 2[Note 3] - [18], le « Bois du Vivier » (54,13 ha), couvrant 2 communes du département[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Châtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24] - [25].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 59 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[26] (source : le fichier Fantoir) dont les Boulayes, Coffry, le Grand Loribeau, le Petit Loribeau, Boistron, la Chalotterie, le Mesnil, la Rue, le Châtelet.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,3 %), forêts (30,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), prairies (7,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), zones urbanisées (2,1 %)[27].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28] - [29] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orthophotogrammétrique de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 268 dont 96,5 % de maisons et 2,7 % d'appartements[Note 7].

    Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 98,4 % contre 3,2 % de locataires et 2 % logés gratuitement[31].

    Routes et pistes cyclables

    Entrée de Châtres depuis Fontenay-Trésigny

    Le territoire communal est desservi par :

    Transports en commun

    Châtres est traversée au nord par la ligne Paris - Coulommiers.

    Les gares les plus proches sont :

    Châtres est desservie par trois lignes de bus :

    Toponymie

    Le nom est mentionné au XIIIe siècle[32] sous les formes Chatres en 1220[33] ; La Chastre vers 1222[34] ; Parrochia de Chastris en 1239[35] ; Chates en 1261[36] ; De Castris in Bria en 1272[37] ; Chaatres au XVIIIe siècle[38] ; Chastres en Brie en 1349[39] ; Chatre en Brie au XVIIIe siècle[40] - [41].

    Châtres dérive du latin castrum, camp romain ou du bas latin castra, castras, « ville fortifiée »[42].

    Histoire

    Le village a été traversé dès le XVIIIe siècle par la grande route rectiligne de Paris à Rozay passant par Tournan et Fontenay.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Châtres se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[43], elle intègre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[44].

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.

    Châtres appartenait depuis 1793 du canton de Tournan-en-Brie[43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Fontenay-Trésigny[45].

    Châtres relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, de la cour d'assises, du tribunal pour enfants et du tribunal de commerce de Melun, du conseil de prud'hommes de Meaux et de la cour d'appel de Paris. Dans l'ordre administratif, elle fait partie du ressort du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris[46].

    Intercommunalité

    Châtres faisait partie de la communauté de communes du Val Bréon, créée en 1995.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de Seine-et-Marne a approuvé un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes de la Brie boisée, de la communauté de communes du Val Bréon et de la communauté de communes les Sources de l'Yerres, avec rattachement de la commune de Courtomer[47]. Cette fusion entraîne d'importantes tensions entre les présidents de la CCVB et la CCCB[48].

    Par arrêté préfectoral du 23 décembre 2016[49], le Val Bréon fusionne le avec d'autres communautés de communes pour former la nouvelle intercommunalité du Val Briard, dont la commune est désormais membre.

    Tendances politiques et résultats

    Longtemps marquée par les rapports sociaux découlant de la propriété foncière, la Seine-et-Marne est, de manière générale, un département de tradition plutôt conservatrice, même si elle a été rapidement, sous la Troisième République, gagnée aux idées républicaines. Cette tradition conservatrice se manifeste notamment dans les arrondissements ruraux de Seine-et-Marne, où sont régulièrement élus des candidats issus des partis de droite.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[50]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 Claude Bertrand
    An IV Simon Garnier
    An VI Augustin Jolly
    An VIII Pierre Montant-Dauphin
    1814 Nicolas-Louis Charonnat
    1818 Claude Berthelin
    1836 Polycarpe Robin
    1837 Jean-Baptiste Trutat
    1849 Jérôme-Cérice Rozé
    1855 Etienne-Adolphe Trutat
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945 septembre 1957 Louis Lambert
    septembre 1957 juin 1973 André Darnay
    juin 1973 mars 2001 Robert Fery
    mars 2001 En cours
    (au 25 juin 2018)
    Michel Rollin DVD Ouvrier
    Chevalier de l’ordre des palmes académiques[51]
    Réélu pour le mandat 2014-2020

    La mairie – maison d’école a été construite en 1858. Depuis le 10 ventôse an II, les réunions municipales avaient lieu dans une petite salle de la maison presbytère[52].

    Jumelages

    La commune de Châtres n'est jumelée avec aucune autre commune.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [53] - [54].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Châtres gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[55].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[56]. Le Syndicat mixte Centre Brie pour l'ANC (SMCBANC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55] - [57].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[55] - [58] - [59].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[61].

    En 2020, la commune comptait 704 habitants[Note 8], en augmentation de 11,22 % par rapport à 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    311256209250281316318305276
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    275350364356333328322322300
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    306310302278305276278259268
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    237179283494530555572577622
    2018 2020 - - - - - - -
    689704-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Châtres est située dans l'académie de Créteil.

    La commune dispose de l'école maternelle et élémentaire Robert-Fery[63].

    La commune est rattachée au collège Jean-Baptiste-Vermay de Tournan-en-Brie. L’établissement, qui a été entièrement rénové et agrandi de plus de 2 500 m2 en 2014, fait partie des plus grands collèges de Seine-et-Marne[64].

    Santé

    L'hôpital le plus proche est la clinique privée de Tournan-en-Brie.

    Sécurité

    Châtres dépend de la gendarmerie de Tournan-en-Brie et du centre d'intervention et de secours inauguré en mai 2013 et situé en périphérie d'agglomération à l'extrémité de la rue Bertaux[65].

    Médias

    Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, ainsi que le bi-hebdomadaire Le Pays Briard relatent les informations locales.

    La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre et d'IDF1.

    Cultes

    La commune de Châtres fait partie de la paroisse catholique « Pôle missionnaire de Pontault-Combault » au sein du diocèse de Meaux. Elle dispose de l'église Saint-Antonin-de-Pamiers[66].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 245, représentant 708 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 28 670 euros[67].

    Emploi

    En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 021, occupant 339 actifs résidants (dont 10,9 % dans la commune de résidence et 89,1 % dans une commune autre que la commune de résidence).

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,8 % contre un taux de chômage de 2,6 %. Les 18,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,6 % de retraités ou préretraités et 2,4 % pour les autres inactifs[68].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 35 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 7 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 2 dans les activités immobilières, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[69].

    En 2020, 10 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 7 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[70].

    Agriculture

    Châtres est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[71].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[72]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 6 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 106 ha en 1988 à 76 ha en 2010[71]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Châtres, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Châtres entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[71] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 6 7 7
    Travail (UTA) 12 9 13
    Surface agricole utilisée (ha) 636 523 530
    Cultures[73]
    Terres labourables (ha) 556 478 526
    Céréales (ha) 355 288 293
    dont blé tendre (ha) 233 208 278
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 99 37 s
    Tournesol (ha) 53
    Colza et navette (ha) 62 s s
    Élevage[71]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 178 59 97

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux remarquables

    Autre lieux et monuments

    Ferme et pigeonnier du Mesnil.

    On peut noter :

    • L'église Saint-Antonin-de-Pamiers : construite entre 1180 et 1220, et restaurée au XVIe siècle[76], auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
      • Cloche en bronze datant de 1782 nommée Antoinette[77] ;
      • Verrière représentant le baptême de Clovis (Chevet)[78] ;
      • Bénitier en pierre taillé, daté du XIXe siècle (Entrée de la nef)[79] ;
      • Statue de Saint Félix, en bois taillé et peint (polychrome)[80] ;
      • Statue d’un saint évêque, en bois taillé et peint (polychrome)[81] ;
      • Tableau représentant l’ Annonciation, peinture à l'huile[82] ;
      • Confessionnal à trois loges, la loge centrale, pour le confesseur, est fermée par une porte à barreaux tournés.[83] ;
      • Verrière représentant la Nativité de la Vierge (Mur sud de la chapelle sud )[84] ;
      • Bénitier du XVIIIe siècle avec fût terminé par des grosses volutes. La vasque en forme de coquille est rapportée. (Entrée)[85] ;
      • Statue d’un Christ en croix, en bois taillé et peint[86] ;
      • Bancs de fidèles (Nef et bas-côtés)[87] ;
      • Deux tableaux : Vierge à l'Enfant avec sainte Elisabeth et saint Jean-Baptiste et Saint Evêque, peinture à l'huile sur toile (Bas-côté gauche)[88].
    • La ferme de la Jarrie ;
    • Le colombier du Mesnil ;
    • Le colombier du Châtelet ;
    • La ferme du Grand Loribeau ;
    • Le château et la ferme de Boitron.

    Héraldique

    Blason de Châtres Blason
    Coupé: au 1er de gueules au saint priant d'or, vêtu et nimbé d'argent, issant du trait de partition et accosté en chef des lettres capitales d'or S à dextre et F à senestre, au 2e d'azur au soleil d'or mouvant de l'angle senestre de la pointe; le tout enfermé dans une bordure de sable chargée de trois fasces d'argent[89].
    Ornements extérieurs
    Timbré d'une couronne murale et soutenu à dextre d'une gerbe de blé d'or et à senestre d'une branche de chêne de sinople englantée d'or, croisées et liées de gueules en sautoir à la pointe.
    Détails
    Figure sur le site de la mairie[90].

    Voir aussi

    Histoire

    • Christian de Bartillat, Au Village de Brie, Presses du Village, 1984, 352 p.
    • Frédéric-Auguste Denis, Lectures sur l'histoire de l'agriculture en Seine-et-Marne, Presses du Village, 1982, 376 p.
    • André Laurent, La Seine-et-Marne autrefois, Éditions Horvath, 1982, 192 p. (ISBN 2-7171-0238-8)
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    Patrimoine architectural

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    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
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