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Préchac (Gironde)

Préchac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Préchac
Préchac (Gironde)
La mairie (déc. 2012)
Blason de Préchac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Michel Mortagne
2020-2026
Code postal 33730
Code commune 33336
Démographie
Gentilé Préchacais
Population
municipale
1 022 hab. (2020 en diminution de 1,35 % par rapport à 2014)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 55″ nord, 0° 21′ 14″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 93 m
Superficie 63,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Préchac
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Préchac
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Préchac
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Préchac
Liens
Site web www.prechac.fr

    Ses habitants sont appelés les Préchacais[1].

    Géographie

    Localisation

    Située dans la forêt des Landes en limite du Parc naturel régional des Landes de Gascogne, la commune se trouve, au sud-est du département et en limite du département des Landes, à 59 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 21 km au sud-sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à km au sud-sud-est de Villandraut, ancien chef-lieu de canton[2].

    Les principaux hameaux sont : Mansencal, Merrein, Loumos, Moulard, Luas, Peyredieu, Taris, Castaing, Bron, Jeambos, Insos et la Trave.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Uzeste au nord-est, Pompéjac à l'est, Lucmau au sud-est, Cazalis au sud-ouest, Bourideys à l'ouest, Saint-Léger-de-Balson à l'ouest-nord-ouest et Villandraut au nord-ouest.

    Hydrographie

    La commune est arrosée[3] par le Ciron qui constitue la limite nord-occidentale du territoire communal avec Uzeste et d'ouest en est :

    • le Mouinatéou[4] qui sépare en partie la commune de celle de Bourideys, affluent, un peu plus au nord, du Ballion, lui-même affluent du Ciron,
    • le ruisseau de Taris, également dit ruisseau de la Citadelle[5], affluent de rive gauche du Ciron,
    • le ruisseau de Merrein ou de Guillaume[6], affluent du ruisseau de Taris,
    • le ruisseau de Bardine[7], affluent de rive gauche du Ciron,
    • le ruisseau de Homburens[8], affluent de rive gauche du Ciron,
    • le ruisseau de Lucmau ou de Bagéran[9] qui sépare en partie la commune de celle de Lucmau, affluent de rive gauche du Ciron,

    Voies de communications et transports

    Les principales voies de communication routière qui traversent toutes trois le bourg sont la route départementale D114 qui mène vers le nord-nord-ouest à Villandraut et vers le sud-est à Lucmau et Captieux, la route départementale D9 qui mène vers le sud-ouest vers Luxey dans le département des Landes et vers l'est à Pompéjac et au-delà vers le nord-est à Bazas et la route départementale D222 qui mène vers l'ouest vers Bourideys et Saint-Symphorien et vers le nord-est à Uzeste et Langon.

    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de Sortie 3 Langon distant de 19 km par la route vers le nord-nord-est.
    L'accès Sortie 2 Captieux à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 14 km vers le nord-est.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 20 km par la route vers le nord, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 907 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Symphorien », sur la commune de Saint-Symphorien, mise en service en 1954[16] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 990 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 55 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,8 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Préchac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [23] - [24] - [25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones urbanisées (1,2 %), terres arables (0,2 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Préchac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009 et 2020[31] - [29].

    Préchac est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[32]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[33] - [34].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Préchac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 23,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 613 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 340 sont en en aléa moyen ou fort, soit 55 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Toponymie

    Préchac en 1756, Cassini

    L'origine étymologique serait peut-être le latin Priscus, la terminaison en ac indiquant qu’une villa gallo-romaine occupait le site, selon le site officiel de la communauté de communes du canton de Villandraut[37] - [38] ou le nom de la famille de Preyssac qui était alliée à Clément V, et possédait l’emplacement occupé aujourd’hui par le bourg, selon le site officiel de la commune[39].
    En gascon, le nom de la commune se dit Preishac.

    Histoire

    C'est probablement la localité du canton dont l’occupation est la plus ancienne, de façon attestée, ce lieu est habité depuis l’époque gallo-romaine, des fouilles ont mis au jour des restes de villa sous l’église[38].

    La seigneurie principale est Cazeneuve qui est au moins depuis le XIIIe siècle, possession de la Maison d'Albret[38] et dont le château se situe à l'est du village.

    À la Révolution, les paroisses Saint-Pierre de Préchac, Saint-Martin d'Insos et Notre-Dame de Cazalis (sauf son annexe Saint-Michel de Bourideys) forment la commune de Préchac. Le , la commune de Préchac est démembrée pour former la commune de Cazalis[40].

    Le , la population de la commune est prise en otage par la Gestapo et la Wehrmacht[41]. La place du Premier-Août, place principale du bourg où se situe l'église Saint-Pierre, fait référence à cet événement.

    Héraldique

    Armes

    Les armes de Préchac se blasonnent ainsi :

    Écartelé, au premier de gueules à la tour d'or ouverte, ajourée et maçonnée de sable, soutenue d'une champagne d'argent chargée de deux fers de moulin de sable, au deuxième d'azur à l'arbre terrassé d'argent, au troisième d'azur au pin arraché d'argent, au quatrième de gueules au cerf élancé d'or ; au cor de l'un en l'autre brochant en pointe sur la partition.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1934 1939 Pierre Laborde
    1981 novembre 1997 Gilbert Cardouat PS Instituteur
    mars 2001 septembre 2018 (démission) Sandra Bouteiller-Barot[42] - [43] DVD[44] sans profession déclarée[45]
    2018 En cours Michel Mortagne
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la Communauté de communes du canton de Villandraut ayant été supprimée, la commune de Préchac s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47]. En 2020, la commune comptait 1 022 habitants[Note 6], en diminution de 1,35 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6002 6642 4322 7702 9072 8553 0223 1023 047
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0282 1782 1732 1282 0211 9781 9961 8421 826
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8411 9411 9111 6561 5831 5211 4621 2491 205
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1361 0501 0079539851 0171 0111 0481 012
    2020 - - - - - - - -
    1 022--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Vue sud-est de l'église Saint-Pierre-ès-Liens (déc. 2012)
      Vue sud-est de l'église Saint-Pierre-ès-Liens (déc. 2012)
    • Façade sud de l'église d'Insos (août 2013)
      Façade sud de l'église d'Insos (août 2013)
    • Le château de Cazeneuve (août 2013)
      Le château de Cazeneuve (août 2013)
    • Le château de la Trave (août 2013)
      Le château de la Trave (août 2013)
    • Le barrage de la Trave sur le Ciron (août 2013)
      Le barrage de la Trave sur le Ciron (août 2013)
    • Pigeonnier près du château de Cazeneuve (déc. 2012)
      Pigeonnier près du château de Cazeneuve (déc. 2012)
    • Le monument aux morts près de l'église (déc. 2012)
      Le monument aux morts près de l'église (déc. 2012)

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1632 p. (ISBN 2-84234-125-2), p. 1576-1582

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 10 avril 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 52,4 km pour Bordeaux, 18,8 km pour Langon et 6,7 km pour Villandraut. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 18 mars 2013.
    3. Hydrographie de Préchac sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consulté le 11 septembre 2013.
    4. Le Mouinatéou sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    5. Le ruisseau de Taris ou de la Citadelle sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    6. Le ruisseau de Merrein ou de Guillaume sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 11 septembre 2013.
    7. Le ruisseau de Bardine sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    8. Le ruisseau de Homburens sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    9. Le ruisseau de Lucmau ou de Bagéran sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Saint-Symphorien - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Préchac et Saint-Symphorien », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Saint-Symphorien - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Préchac et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. « Les risques près de chez moi - commune de Préchac », sur Géorisques (consulté le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    32. « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    33. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    36. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Préchac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    37. Page de Bourideys « Copie archivée » (version du 15 juillet 2014 sur Internet Archive) sur le site officiel de la Communauté de communes du canton de Villandraut, consulté le 3 septembre 2013.
    38. (Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 1576).
    39. Historique de Préchac sur le site officiel de la commune, consulté le 5 septembre 2013.
    40. Historique des communes, p. 41, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 septembre 2013.
    41. www.ffi33.org La Gironde sous l'occupation - Groupes homologués - Groupe « Grignols » : Conseil municipal de Préchac - Réunion du 24 juin 1945.
    42. Commune de Préchac sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 octobre 2011.
    43. « Sandra Barot en lice », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    44. « Résultats municipales 2014 », + autres informations sur Préchac, sur linternaute.com (consulté le ).
    45. « Professions et dates de naissance des 15 conseillers municipaux de Préchac », sur mon-maire.fr, (consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. « Classement MH de l'église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00083679, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 octobre 2011.
    51. « Inscription MH de l'église d'Insos », notice no PA00083680, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 octobre 2011.
    52. « Classement MH du château de Cazeneuve », notice no PA00083676, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 octobre 2011.
    53. « Inscription MH du château de la Trave », notice no PA00083677, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 octobre 2011.
    54. « Inscription MH du château de la Travette », notice no PA00083678, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 octobre 2011.
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