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Saint-LĂ©ger-de-Balson

Saint-Léger-de-Balson (Sent LugÚir de Balion en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-LĂ©ger-de-Balson
Saint-LĂ©ger-de-Balson
La mairie (juin 2009)
Blason de Saint-LĂ©ger-de-Balson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Laëtitia Rodriguez
2020-2026
Code postal 33113
Code commune 33429
DĂ©mographie
Gentilé Léodegariens ou Lugariens
Population
municipale
323 hab. (2020 en diminution de 4,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 8,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 25â€Č 58″ nord, 0° 27â€Č 53″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 71 m
Superficie 38,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Landes des Graves
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Saint-LĂ©ger-de-Balson

    Ses habitants sont appelés les Léodegariens ou Lugariens[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e dans la forĂȘt des Landes au cƓur du parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne, dans le sud-sud-ouest du dĂ©partement de la Gironde, Ă  53 km au sud de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  25 km au sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et Ă  km Ă  l'est de Saint-Symphorien, ancien chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes en sont Villandraut au nord-est, Préchac à l'est, Bourideys au sud, Saint-Symphorien à l'ouest et Balizac au nord.

    Communes limitrophes de Saint-LĂ©ger-de-Balson
    Balizac Villandraut
    Saint-Symphorien Saint-Léger-de-Balson Préchac
    Bourideys
    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 958 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Symphorien », sur la commune de Saint-Symphorien, mise en service en 1954[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 990 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  48 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léger-de-Balson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (97,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (100 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (87 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La principale voie de communication routiÚre qui traverse la commune est la route départementale D3 qui mÚne, vers l'est, à Villandraut puis Bazas et, vers l'ouest, à Saint-Symphorien et au-delà au bassin d'Arcachon. Vers le sud, la route départementale D222 permet d'aller à Bourideys ou à Préchac vers le sud-est.

    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 peut se faire soit Ă  la « sortie » Sortie 3 Langon soit Ă  la « sortie » Sortie 2 Podensac qui sont, l'une comme l'autre, distantes de 25 km.
    L'accĂšs Ă  l'autoroute A63 se fait Ă  la « sortie » Sortie 21 Salles distante de 38 km vers l'ouest.
    L'accĂšs Sortie Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  20 km vers l'ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 26 km, de Langon sur la Bordeaux-SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-LĂ©ger-de-Balson est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Saint-LĂ©ger-de-Balson est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[24]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léger-de-Balson.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 5,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 160 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 3 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 2 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020.

    Histoire

    La commune a été créée en 1793 à partir de la partie est de la paroisse de Saint-Symphorien sous le nom de Saint Léger et Bourideys. Elle apparaßt sous son nom actuel dans le bulletin des Lois de 1801[28]. La commune de Bourideys en fut rapidement détachée (entre 1793 et 1801)[29].

    Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siĂšcle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[30].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1927 1935 Pierre Castets
    1935 1959 Gaston Dubernet
    1959 2008 André Larrouquis
    mars 2008 En cours Laëtitia Rodriguez[31] Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes du Pays paroupian ayant été supprimée, la commune de Saint-Léger-de-Balson s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à MazÚres.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 323 habitants[Note 7], en diminution de 4,72 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    805409355374374468470504474
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    466463478468467456438408392
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    426418386353328328279249226
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    223217214227239243256272317
    2014 2019 2020 - - - - - -
    339326323------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Des clichés des objets et de l'intérieur de l'église sont disponibles sur la base Mémoire[37].
    • La source Saint-Clair, censĂ©e guĂ©rir les maux atteignant les yeux et les problĂšmes de lactation, est une source « double » ; l'une des rĂ©surgences est captĂ©e et amĂ©nagĂ©e au profit des pĂšlerins (c'est bien sĂ»r celle-ci qui est la « vĂ©ritable » source dĂ©diĂ©e Ă  saint Clair !), l'autre est rĂ©servĂ©e aux cagots[38].
    • La piste cyclable de Villandraut Ă  Mios qui traverse le village a Ă©tĂ© construite sur l'emplacement de l'ancienne ligne de chemin de fer Le Nizan - Saint-Symphorien - Sore en usage pour l'exploitation forestiĂšre.
    • Ruines de la forteresse de Castelnau de CernĂšs (XIIIe siĂšcle) : elles se dressent, avec ses dĂ©pendances et son moulin entourĂ© par les eaux de la Hure et par un Ă©tang. MalgrĂ© son Ă©tat de ruine avancĂ©, ce chĂąteau unique en Gironde est remarquable par sa triple enceinte concentrique et sa forme elliptique. Les murailles s'Ă©lĂšvent plus on avance au cƓur de la place, dominĂ©e par le donjon[39].
    • La source Saint-Clair de Saint-LĂ©ger-de-Balson est « double »: l'une pour les pĂšlerins, l'autre pour les cagots. (FĂ©v. 2010).
      La source Saint-Clair de Saint-Léger-de-Balson est « double »: l'une pour les pÚlerins, l'autre pour les cagots. (Fév. 2010).
    • Le site de la source Saint-Clair (fĂ©v. 2010)
      Le site de la source Saint-Clair (fév. 2010)
    • La source Saint-Clair (fĂ©v. 2010)
      La source Saint-Clair (fév. 2010)
    • L'Ă©glise Saint-LĂ©ger (juin 2009)
      L'Ă©glise Saint-LĂ©ger (juin 2009)
    • Le chevet de l'Ă©glise Saint-LĂ©ger (fĂ©v. 2010)
      Le chevet de l'église Saint-Léger (fév. 2010)
    • Piste cyclable entre Saint-LĂ©ger et Villandraut (aoĂ»t 2007)
      Piste cyclable entre Saint-Léger et Villandraut (août 2007)
    • Le monument aux morts, devant l'Ă©glise (juin 2009)
      Le monument aux morts, devant l'Ă©glise (juin 2009)
    • Ruines du chĂąteau de Castelnau de CernĂšs (gravure de LĂ©o Drouyn - 1862)
      Ruines du chĂąteau de Castelnau de CernĂšs (gravure de LĂ©o Drouyn - 1862)

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-LĂ©ger-de-Balson Blason
    ÉcartelĂ©, le trait du coupĂ© ondĂ© : au 1er d'azur au clocher d'or, ajourĂ© du champ et campanĂ© de deux piĂšces d'argent, au 2e d'argent Ă  la volute de crosse de gueules, au 3e d'argent Ă  la tour ruinĂ©e de gueules, ouverte du champ et maçonnĂ©e de sable, au 4e de sinople Ă  la pomme de pin renversĂ©e d'or[40].
    DĂ©tails
    Le clocher pour l'Ă©glise locale, la couleur bleue et les ondes pour la source Saint-Clair, la volute de crosse comme attribut de saint LĂ©ger, la tour ruinĂ©e pour le chĂąteau de Castelnau de CernĂšs, la couleur rouge pour la famille d'Albret, la pomme de pin et la couleur verte pour la sylviculture et la forĂȘt des landes girondines.

    Armoiries composées par Jean-François Binon, adoptées par la municipalité en .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 26 juin 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 45,6 km pour Bordeaux, 21,6 km pour Langon et km pour Saint-Symphorien. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 26 juin 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Symphorien - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Léger-de-Balson et Saint-Symphorien », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Symphorien - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Léger-de-Balson et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Léger-de-Balson », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bourideys », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    30. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.IX, pages 262-265
    31. Commune de Saint-Léger-de-Balson sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 juin 2011.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Classement de l'église », notice no PA00083758, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 17 février 2010.
    36. « Objets classés de l'église », base Palissy, ministÚre français de la Culture, consulté le 17 février 2010.
    37. « Images de l'Ă©glise et des Ɠuvres d'art », base MĂ©moire, ministĂšre français de la Culture, consultĂ© le 17 fĂ©vrier 2010.
    38. [PDF] L'archiprĂȘtrĂ© de CernĂšs sur le site du Pays de CernĂšs, consultĂ© le 25 fĂ©vrier 2010.
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