AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Pompéjac

Pompéjac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Pompéjac
Pompéjac
La mairie (nov. 2011)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Olivier Douence
2020-2026
Code postal 33730
Code commune 33329
DĂ©mographie
Gentilé Pompéjacais
Population
municipale
271 hab. (2020 en augmentation de 8,84 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 24â€Č 10″ nord, 0° 17â€Č 31″ ouest
Altitude 71 m
Min. 36 m
Max. 105 m
Superficie 9,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bazas
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-Gironde
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pompéjac
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pompéjac
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Pompéjac
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Pompéjac
Liens
Site web http://www.pompejac.fr

    Ses habitants sont appelés les Pompéjacais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ© au cƓur d’une rĂ©gion touristique comprenant le Bazadais et le Parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne, PompĂ©jac offre des espaces variĂ©s qui ouvrent d’infinies possibilitĂ©s pour les habitants et les touristes. La commune se distingue tout particuliĂšrement par ses paysages trĂšs vallonnĂ©s offrant de magnifiques vues lointaines.

    La commune se trouve Ă  64 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  22 km au sud-sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  12 km au sud-est de Villandraut, chef-lieu de canton[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Lignan-de-Bazas au nord, Marimbault au nord-est, Bernos-Beaulac au sud-est, Lucmau au sud sur environ un kilomÚtre, Préchac au sud-ouest et Uzeste au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Pompéjac
    Uzeste Lignan-de-Bazas Marimbault
    Pompéjac
    Préchac Lucmau Bernos-Beaulac

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Ciron et le ruisseau de Sanson[3], affluent de rive droite du Ciron.

    Voies et communications

    La principale voie de communication routiÚre est la route départementale D9 qui traverse le bourg et mÚne vers le nord-est à Bazas et vers le sud-ouest à Préchac.

    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 3 Langon qui se situe Ă  22 km vers le nord-nord-est.
    L'accĂšs Sortie 1 Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  10 km vers le nord-est.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, qui se situe Ă  23 km vers le nord-nord-est.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 865 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Captieux », sur la commune de Captieux, mise en service en 1974[10] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  56 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Pompéjac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bazas, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (84,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (82,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (79,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de PompĂ©jac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[25] - [23].

    PompĂ©jac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un incendie important s'est notamment produit en 2022. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[26]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[27] - [28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pompéjac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 82,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 130 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 76 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 58 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Toponymie

    Le nom de la commune est peut-ĂȘtre issu de castrum pompeiacum, dĂ©rivĂ© de Pompeius. Ce toponyme rĂ©vĂšle une occupation gallo-romaine[32].
    En gascon, le nom de la commune s'Ă©crit Pompejac, sans accent.

    Histoire

    D’occupation trĂšs ancienne comme en tĂ©moigne le tumulus gaulois mis au jour au lieu-dit Pitray sur la route de Bernos et les poteries retrouvĂ©es Ă  proximitĂ©, PompĂ©jac Ă©voque le nom de PompĂ©e qui forma en 60 av. J.-C. le premier triumvirat avec Jules CĂ©sar et son lieutenant Crassus. Une famille « de PompĂ©jac » est attestĂ©e vers le milieu du XIIIe siĂšcle et tient la seigneurie dĂšs 1274. La famille d’Albret possĂšde dĂšs le XIVe siĂšcle des questaux et des fiefs[33].

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Saturnin de PompĂ©jac forme la commune de PompĂ©jac[34].

    En raison de la proximitĂ© de la forĂȘt des landes et de l'importance rĂ©gionale du gemmage, et Ă  la suite d'une forte hausse du prix de la rĂ©sine aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale (hausse de courte durĂ©e, suivie d'une baisse rĂ©guliĂšre notamment Ă  partir de la crise de 1929, la commune abritait autrefois une usine de distillation, qui comme celle de Bazas a disparu, au profit ensuite de PrĂ©chac, Captieux ou Marcheprime oĂč on a livrĂ© la rĂ©sine[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1959 juillet 1968 (décÚs) Jean Lardit
    août 1968 mars 1983 Paul Duchamps Commerçant
    mars 1983 1996 ? Bernard Gallardo PS Instituteur
    1996 2001 ? Claude Martin
    mars 2001 mai 2020 Isabelle Dexpert[36] PS EmployĂ©e, ConseillĂšre gĂ©nĂ©rale du canton de Villandraut puis dĂ©partementale du canton du Sud-Gironde, 4e vice-prĂ©sidente de la CdC du Sud-Gironde (2014-) Élue maire de Bazas en 2020
    mai 2020 En cours Olivier Douence Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du canton de Villandraut ayant été supprimée, la commune de Pompéjac s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à MazÚres.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38]. En 2020, la commune comptait 271 habitants[Note 7], en augmentation de 8,84 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    426385356400411427430428408
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    414405424405417412396431412
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    413414441356359307340300319
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    308279238205206230233234240
    2015 2020 - - - - - - -
    255271-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Saturnin (nov. 2011)
      L'Ă©glise Saint-Saturnin (nov. 2011)
    • Le chevet de l'Ă©glise Saint-Saturnin (nov. 2011)
      Le chevet de l'Ă©glise Saint-Saturnin (nov. 2011)
    • Bienvenue Ă  PompĂ©jac (nov. 2011)
      Bienvenue à Pompéjac (nov. 2011)
    • Le monument aux morts dans le cimetiĂšre prĂšs de l'Ă©glise (nov. 2011)
      Le monument aux morts dans le cimetiĂšre prĂšs de l'Ă©glise (nov. 2011)

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de a commune sur habitants.fr, consulté le 1er décembre 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 54 km pour Bordeaux, 17 km pour Langon et 9,1 km pour Villandraut. DonnĂ©es fournies par lion1906.com, consultĂ© le 1er dĂ©cembre 2011.
    3. Le ruisseau de Sanson sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (SystÚme d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 10 septembre 2013.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Captieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Pompéjac et Captieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Captieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Pompéjac et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Pompéjac », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    27. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    28. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pompéjac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    32. Page de Pompéjac sur le site officiel de la Communauté de communes du canton de Villandraut, consulté le 10 septembre 2013.
    33. (Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 1575).
    34. Historique des communes, p. 40, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 septembre 2013.
    35. Icre L (1954) L'économie rurale du Bazadais. Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, 25(3), 221-242.
    36. Commune de Pompéjac sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 1er décembre 2011.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Les atouts de Pompéjac « Copie archivée » (version du 3 janvier 2009 sur Internet Archive) sur le site de la communauté de communes de Vilandraut, consulté le 1er décembre 2011.
    42. « Inscription de l'église Saint-Saturnin », notice no PA00083669, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 1er décembre 2011.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.