AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Marimbault

Marimbault (Mas Rimbaut en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Marimbault
Marimbault
La mairie (nov. 2011).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Bazadais
Maire
Mandat
SĂ©bastien Tamagnan
2020-2026
Code postal 33430
Code commune 33270
DĂ©mographie
Gentilé Marimbalais
Population
municipale
181 hab. (2020 en diminution de 6,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 24â€Č 40″ nord, 0° 16â€Č 03″ ouest
Altitude 106 m
Min. 88 m
Max. 123 m
Superficie 6,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bazas
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-Gironde
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Marimbault
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Marimbault
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Marimbault
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Marimbault
Liens
Site web mairie.marimbault.free.fr

    Ses habitants sont appelés les Marimbalais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e dans le Bazadais, la commune se trouve Ă  64 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  20 km au sud de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  km au sud-ouest de Bazas, ancien chef-lieu de canton[2].

    La principale voie de communication routiÚre est la route départementale D9 qui traverse le nord du territoire communal et mÚne vers le nord-est à Bazas et vers le sud-ouest à Pompéjac et Préchac. Le bourg est desservi par une route communale qui rejoint Pompéjac au sud-ouest et cette D9 au nord-est.

    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 3 Langon qui se situe Ă  20 km vers le nord.
    L'accĂšs Sortie 1 Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  km vers le nord-nord-est. Cette autoroute traverse l'est du territoire communal.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Aquitaine, qui se situe Ă  21 km vers le nord.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Bazas au nord-est, Cudos Ă  l'est sur environ 500 mĂštres, Bernos-Beaulac au sud, PompĂ©jac au sud-ouest et Lignan-de-Bazas au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Marimbault
    Lignan-de-Bazas Bazas
    Marimbault Cudos
    Pompéjac Bernos-Beaulac
    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 889 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Captieux », sur la commune de Captieux, mise en service en 1974[9] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  57 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Marimbault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bazas, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Marimbault est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2013[23] - [21].

    Marimbault est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[24]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marimbault.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 96,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 78 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 77 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [29].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    Le nom de Marimbault, dont le site a Ă©tĂ© habitĂ© depuis l’AntiquitĂ©, serait la contraction de deux mots : le premier dĂ©signerait en latin une ferme ; le second, Ragimbald, Ă©tant un nom de personne germanique. On peut donc penser qu'il s'est trouvĂ© autrefois, en ce lieu, une ferme ou un domaine de Ragimbald. D'autres recherches penchent pour mas (maison) et Imbal ou bault (pour le nom).

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Vincent de Marimbault, annexe de Saint-Saturnin de PompĂ©jac, forme la commune de Marimbault[31].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1983 Suzanne Vannetelle
    1983 1995 Alban Darroman
    juin 1995 mai 2020 Francis Sturma[32] Retraité de la fonction publique
    mai 2020 En cours SĂ©bastien Tamagnan

    DĂ©mographie

    En 2020, la commune de Marimbault comptait 181 habitants. À partir du XXIe siĂšcle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    210211224257264246274262242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    218254235227209213195214194
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    17917917316814212510510099
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    989668778396136142181
    2017 2020 - - - - - - -
    186181-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Vincent, de style roman, remaniĂ©e Ă  diverses Ă©poques, dĂ©pendait, dĂšs 1188, des chanoines de Bazas. Elle prĂ©sente une curieuse façade avec mĂąchicoulis s'appuyant sur des contreforts Ă©pais et saillants et un clocher-mur Ă  arcade percĂ© de baies brisĂ©es Ă  deux auvents. Les mĂąchicoulis Ă©taient particuliĂšrement utiles dans les angles extĂ©rieurs des fortifications, apportant le feu dĂ©fensif au-dessus des portes et fenĂȘtres qui pouvaient devenir l'objet d'un assaut pour gagner l'entrĂ©e du bĂątiment ; l'Ă©difice a Ă©tĂ© classĂ© au titre des monuments historiques en 1907 pour sa façade puis inscrit en totalitĂ© en 2007 et le clocher classĂ©[35].
    Au-dessus d'un contrefort, dans l'axe de l'abside, se trouve une fenĂȘtre aujourd'hui murĂ©e.TrĂšs vraisemblablement, le sanctuaire a Ă©tĂ© construit sur l'emplacement d'une villa gallo-romaine.De nombreux restes de mosaĂŻques du IVe siĂšcle, aux dessins trĂšs intĂ©ressants, ont Ă©tĂ© rĂ©employĂ©s au XVe ; rĂ©cupĂ©rĂ©s, ils sont exposĂ©s au musĂ©e de Bazas.

    • L'Ă©glise Saint-Vincent (nov. 2011)
      L'Ă©glise Saint-Vincent (nov. 2011)
    • L'imposante façade ouest de l'Ă©glise (nov. 2011)
      L'imposante façade ouest de l'église (nov. 2011)
    • Le chevet de l'Ă©glise (nov. 2011)
      Le chevet de l'Ă©glise (nov. 2011)
    • StĂšle aux morts prĂšs de la mairie (nov. 2011)
      StĂšle aux morts prĂšs de la mairie (nov. 2011)

    Marimbault dans la littérature

    Marimbault est citĂ© dans le poĂšme d’Aragon, Le conscrit des cent villages, Ă©crit comme acte de RĂ©sistance intellectuelle de maniĂšre clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[36].

    Vie locale

    De nombreux bois de résineux et de feuillus font de Marimbault un lieu de calme et de repos idéal pour des vacances au grand air mais surtout pour la vie de tous les jours.

    Ainsi, aprÚs avoir comme beaucoup de villages vécu la désertification, Marimbault voit nombre de constructions nouvelles. Ces nouveaux habitants rajeunissent l'ùge moyen de la population.

    Une fĂȘte du village se dĂ©roule tous les ans, le dernier week-end d'aoĂ»t.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 26 octobre 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 53,9 km pour Bordeaux, 15,8 km pour Langon et 5,2 km pour Bazas. DonnĂ©es fournies par lion1906.com, consultĂ© le 1er dĂ©cembre 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Captieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Marimbault et Captieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Captieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Marimbault et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Marimbault », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marimbault », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. Historique des communes, p. 33, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
    32. Commune de Marimbault sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 octobre 2011.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Classements et inscription de l'église Saint-Vincent », notice no PA00083619, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 26 novembre 2011.
    36. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poÚtes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.