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Lucmau

Lucmau est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Lucmau
Lucmau
La mairie (oct. 2012)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Michel Estenaves
2020-2026
Code postal 33840
Code commune 33255
DĂ©mographie
Gentilé Lucmalais
Population
municipale
245 hab. (2020 en augmentation de 5,6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 3,7 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 20â€Č 32″ nord, 0° 18â€Č 30″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 126 m
Superficie 66,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-Gironde
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Lucmau
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Lucmau
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Lucmau
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Lucmau
Liens
Site web Page sur cc-villandraut.fr

    Ses habitants sont appelés officiellement les Lucmalais[1] et, de façon plus locale, c'est-à-dire en gascon, lous Lucmaous[2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e dans la forĂȘt des Landes et faisant partie du Parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne, la commune se trouve, au sud-est du dĂ©partement et en limite du dĂ©partement des Landes, Ă  66 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  28 km au sud-sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  14 km au sud-sud-est de Villandraut, ancien chef-lieu de canton[3].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Bernos-Beaulac au nord-est, Captieux au sud-est, Lencouacq (Landes) au sud sur environ 1,5 km, Callen (Landes) au sud-ouest, Cazalis Ă  l'ouest, PrĂ©chac au nord-ouest et PompĂ©jac au nord sur environ un kilomĂštre.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le ruisseau de Lucmau, également appelé ruisseau de Bagéran[4], affluent de rive gauche du Ciron et un petit affluent de rive gauche dudit ruisseau de Lucmau, le ruisseau de Bourdieu[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 921 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Captieux », sur la commune de Captieux, mise en service en 1974[12] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le dĂ©partement des Landes, mise en service en 1945 et Ă  52 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Lucmau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (93,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (97,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (47,2 %), forĂȘts (46,6 %), terres arables (4,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,1 %), prairies (0,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communications et transports

    Les principales voies de communication routiÚre qui traversent toutes deux le bourg sont la route départementale D114 qui mÚne vers le nord-ouest à Préchac et vers le sud-est à Captieux et la route départementale D115 qui mÚne vers l'ouest à Cazalis et vers le nord-est à la route nationale 524 et à Bernos-Beaulac.

    L'accĂšs le plus proche Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de Sortie 3 Langon distant de 27 km par la route vers le nord.
    L'accĂšs Sortie 2 Captieux Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  17 km vers le nord-nord-est.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 28 km par la route vers le nord, de Langon sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Aquitaine.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lucmau est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[27] - [25].

    Lucmau est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[28]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[29] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lucmau.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 49,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 135 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 61 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 45 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Toponymie

    L'origine Ă©tymologique du nom de la commune est lucus malus ou lucus magnus qui signifient mauvaise forĂȘt ou grande forĂȘt[2] - [33].
    La graphie en est identique en gascon.

    Histoire

    L'occupation trÚs ancienne est attestée par l'église et par la motte castrale du Castéra. Le castéra est un toponyme courant dans la lande, qui désigne un lieu fortifié, terre ou construction. Par analogie, on pense que celui de Lucmau dont l'histoire n'est pas connue date du XIe ou XIIe siÚcle. Ladite motte consiste en une butte au pied de laquelle se trouve un ruisseau qui en assure la défense.

    Il semble que Lucmau ait relevĂ© de la seigneurie de Captieux, elle-mĂȘme possession, au dĂ©but du XIVe siĂšcle de la vicomtĂ© de BĂ©arn. Sous l'ancien RĂ©gime, la paroisse de Saint-Martin d'Insos, aujourd'hui rattachĂ©e Ă  la commune d'Insos, Ă©tait une annexe de celle de Saint-AndrĂ© de Lucmau[33].

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-AndrĂ© de Lucmau forme la commune de Lucmau[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Marc Candau PS
    mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Candau PS
    mars 2008 juin 2020 Maryse Banquet-Renard[35] PS Fonctionnaire
    juin 2020 En cours Michel Estenaves SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la Communauté de communes du canton de Villandraut ayant été supprimée, la commune de Lucmau s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Sud Gironde siégeant à MazÚres.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 245 habitants[Note 6], en augmentation de 5,6 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    845652708759749747795797768
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    716764764736690692667653685
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    664647613525512461411328316
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    294256186188199208235237215
    2015 2020 - - - - - - -
    243245-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-AndrĂ©, vue nord-ouest (oct. 2012)
      L'église Saint-André, vue nord-ouest (oct. 2012)
    • Vue latĂ©rale sud (oct. 2012)
      Vue latérale sud (oct. 2012)
    • Le chevet (oct. 2012)
      Le chevet (oct. 2012)
    • Le monument aux morts dans le cimetiĂšre (oct. 2012)
      Le monument aux morts dans le cimetiĂšre (oct. 2012)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aude Guiheneuc et RĂ©my Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1632 p. (ISBN 2-84234-125-2), p. 1570-1571

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 9 novembre 2012.
    2. Page de Lucmau sur le site officiel de la Communauté de communes du canton de Villandraut, consulté le 4 septembre 2013.
    3. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 59,5 km pour Bordeaux, 23,6 km pour Langon et 13,8 km pour Villandraut. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 9 novembre 2012.
    4. Le ruisseau de Lucmau ou de Bagéran sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (SystÚme d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
    5. Le ruisseau de Bourdieu sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (SystÚme d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 11 septembre 2013.
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Captieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Lucmau et Captieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Captieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Lucmau et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lucmau », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    29. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    30. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lucmau », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    33. (Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 1570).
    34. Historique des communes, p. 31, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 septembre 2013.
    35. Commune de Lucmau sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 9 novembre 2012.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Inscription MH de l'église Saint-André », notice no PA00083609, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 9 novembre 2012.
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