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Nez

Le nez, appelĂ© aussi appendice nasal, est chez l'ĂȘtre humain la saillie mĂ©diane du visage situĂ©e au-dessus de la lĂšvre supĂ©rieure et qui, en le surplombant, recouvre l'orifice des fosses nasales, qui constituent le segment supĂ©rieur des voies respiratoires et renferment l'organe de l'olfaction. Il concourt, en livrant passage Ă  l'air, Ă  l'accomplissement de la respiration et de la phonation.

(en) Nez humain vu de profil. Formant une saillie mĂ©dio-faciale, il s'inscrit dans une pyramide triangulaire Ă  sommet supĂ©rieur. Il prĂ©sente trois bords : le dos ou l'arĂȘte, bord antĂ©rieur arrondi qui s'Ă©tend de la racine du nez[1] (notĂ©e A, au niveau de l'espace inter-sourcilier ou glabelle) Ă  la pointe (apex notĂ© B) saillante. Les sillons naso-labiaux (ou sillons alaires) formant les bords latĂ©raux, le sillon sous-nasal (philtrum) et les sillons naso-gĂ©niens (en) les bords infĂ©rieurs. il prĂ©sente trois faces : la face infĂ©rieure porte deux orifices piriformes, les narines, dĂ©limitĂ©s mĂ©dialement par le septum nasal et latĂ©ralement par deux faces, les ailes du nez sĂ©parĂ©es de la joue par le sillon alaire notĂ© C[2].
Le nez n'est pas apparu pour les lunettes, contrairement au paradigme adaptationniste panglossien[3] énoncé dans le Candide de Voltaire[4].

Ce terme est Ă©galement utilisĂ© par analogie pour les vertĂ©brĂ©s tĂ©trapodes ne possĂ©dant pas une truffe Ă  l'extrĂ©mitĂ© du museau (« nez » — organe olfactif — des poissons, nez olfactif et nez respiratoire des crocodiliens)[5].

Origine du mot

La graphie nez est attestée en 1314 dans les écrits de chirurgie de Henri de Mondeville. Le mot ancien français nes, et l'adjectif ou substantif nasel, cités dans la Chanson de Roland, proviennent du mot latin de genre masculin latin : nāsus, nasi, signifiant le nez humain[alpha 1]. Le nez est associé dans le monde gréco-romain au sens de l'odorat, il est aussi le siÚge de la colÚre. L'allongement du nez, ne serait-ce d'un pied, dans les vieux contes romans ou germaniques, n'est souvent pas bon signe pour le protagoniste, à moins de ne susciter que l'hilarité des témoins.

Le monde savant a gardĂ© la racine du mot grec ancien rhis, rhinos, de mĂȘme sens[alpha 2]. La racine marque la mĂ©decine actuelle, avec la rhinologie (Ă©tude scientifique du nez), l'oto-rhino-laryngologie, la rhinoscopie, la rhinite, la rhinoplastie, le drainage rhinopharyngĂ©... ainsi que les sciences naturelles descriptive, le rhinocĂ©ros... La plupart des langues europĂ©ennes prĂ©sentent souvent une mĂȘme racine Ă©vidente : naso en italien, nos en russe, ou l'anglais nose, l'allemand die Nase de genre fĂ©minin. En français, les mots de la famille se ressemblent Ă  l'exception de nez : l'adjectif nasal ou le substantif nasal (partie de casque protĂ©geant le nez), naseau, nasalisation, nasalitĂ© (caractĂšre nasal d'un phonĂšme, par exemple voyelle nasale), nasiller (parler du nez), nasillard, nasillement, nasard (jeu de mutation flĂ»tĂ© Ă  l'orgue), nasarde (coup ou chiquenaude sur le nez), nasarder, nasique...

Histoire Ă©volutive

Chez les poissons, chaque cavité nasale, appelée sac olfactif ou sac nasal, correspond à une poche creusée dans le cartilage des capsules olfactives du crùne et est tapissée de papilles gustatives et de cellules olfactives (en)) est ouverte à l'extérieur par une « narine » (ouverture nasale non reliée à la cavité buccale et au systÚme respiratoire) sur le museau. La narine externe est ventrale chez les poissons cartilagineux, dorsale chez les poissons osseux. Ce sont les mouvements respiratoires branchiaux qui activent la circulation du milieu aquatique dans le sac olfactif, via une ouverture inhalante (entrée de l'eau par la narine antérieure) et une ouverture exhalante (sortie de l'eau par la narine postérieure). Chaque sac est souvent divisé en deux par un repli cutané, formant une cavité en forme de « U » qui permet l'installation d'un courant d'eau à l'intérieur de l'organe olfactif, les quatre « narines » améliorant ainsi les capacités olfactives en milieu aquatique[6].

Des orifices narinaires postĂ©rieurs qui s'ouvrent au plafond buccal, apparaissent chez les sarcoptĂ©rygiens (poissons Ă  membres charnus), et plus particuliĂšrement chez les Dipneustes ou Poissons pulmonĂ©s chez qui les orifices exhalants des narines externes ont migrĂ© Ă  l'intĂ©rieur de la cavitĂ© buccale. Ces poissons prĂ©sentent diverses Ă©tapes de transition entre la respiration branchiale aquatique (bouche ouverte, aspiration de l'eau Ă©tant grĂące Ă  la pompe buccopharyngĂ©e puis expulsion par les orifices branchiaux) et la respiration pulmonaire (montĂ©e en surface pour aspirer de l'air amenĂ© aux poumons)[7]. L'existence d'un palais primaire permet des mouvements de pompage aquatique rĂ©alisĂ©s bouche fermĂ©e, via les canaux nasaux et les arcs branchiaux[8], fournissant une complĂšte indĂ©pendance des voies de l'olfaction et de la respiration aĂ©rienne, contrairement Ă  ce que les zoologues ont souvent pensĂ©[9]. Cette innovation Ă©volutive assure de plus une premiĂšre Ă©bauche de sĂ©paration des voies alimentaire et respiratoire (elles confluent cependant dans la cavitĂ© bucco-pharyngĂ©e), et amĂ©liore l'acuitĂ© olfactive en favorisant un courant d'eau actif entre le nez et la bouche grĂące Ă  la pompe buccopharyngĂ©e que ces poissons utilisent principalement pour l'alimentation par aspiration des proies[10]. L'Ă©mergence des choanes chez les TĂ©trapodes terrestres ne serait donc pas une adaptation Ă  la respiration aĂ©rienne mais un moyen d'obtenir une meilleure olfaction aquatique chez ces poissons qui vivent dans des eaux stagnantes et troubles exigeant une adaptation Ă  la diminution des stimuli visuels, puis cette structure anatomique aurait Ă©tĂ© adaptĂ©e Ă  l'olfaction aĂ©rienne qui a besoin d'une bonne acuitĂ© olfactive et d'un systĂšme d'humidification des fosses nasales assurĂ© par la sĂ©crĂ©tion muqueuse des glandes de Bowman (en) et des glandes lacrymales (la prĂ©sence d'un canal lacrymonasal pourrait ĂȘtre un vestige de la narine externe postĂ©rieure)[11] - [12]. Si les choanes et les poumons des dipneustes et celles des tĂ©trapodes sont apparues indĂ©pendamment par convergence Ă©volutive rĂ©sultant d'une adaptation Ă  la vie terrestre, l'Ă©volution phylogĂ©nĂ©tique suggĂšre de considĂ©rer le nez respiratoire comme une exaptation du nez olfactif primaire[13] et l'utilisation des poumons hors de l'eau Ă©galement comme un processus d'exaptation, consĂ©quence d'une adaptation de poissons Ă  des milieux aquatiques hypoxiques ou bien oxygĂ©nĂ©s, en lien dans ce dernier cas avec les besoins accrus en oxygĂšne du cƓur[14] - [15].

Description

Chez l'ĂȘtre humain, le nez est constituĂ© d'un squelette fait de cartilages accolĂ©s au squelette osseux de la face. Ces cartilages sont recouverts de peau sur leurs faces externe et interne. Ils dĂ©limitent deux orifices, les narines, qui font communiquer les cavitĂ©s nasales avec l'extĂ©rieur.

Le squelette comprend cinq cartilages principaux. L'espace entre ces cartilages est comblé par des petits cartilages accessoires et du tissu fibreux. Les cartilages principaux sont :

  • le cartilage septal, une lame mĂ©diane verticale qui sĂ©pare les deux narines ;
  • les cartilages latĂ©raux, deux lames triangulaires qui forment la paroi supĂ©rieure de chaque narine ;
  • les cartilages alaires, deux lames concaves en dehors qui forment la paroi antĂ©ro-latĂ©rale des narines.

Forme

Illustration du nez grec, Ă  l'Avers de ce statĂšre Ă  l'effigie de Zeus.

Il existe différents types de nez[16] :

  • nez droit (ou nez grec) ;
  • nez Ă©patĂ© ;
  • nez tombant ;
  • nez camard (ou nez camus) ;
  • nez aquilin (ou nez en bec d'aigle) ou encore nez busquĂ©.
  • nez bourbonien (celui de la famille de Bourbon en est un bon exemple) ;
  • nez retroussĂ©.

On trouve, toutefois, d'autres appellations, plus imagĂ©es les unes que les autres, et qui, ne trouvant que l'usage comme source, ne sauraient ĂȘtre dĂ©crites avec exactitude :

  • nez en trompette, ou nez mutin ;
  • nez en patate, gros nez ;
  • nez de betterave, pour un nez enluminĂ©, avec des couleurs vives ;
  • nez en bec de canard, ou nez de corbin, avec une saillie disgracieuse au niveau de l'arĂȘte nasale cartilagineuse ;
  • nez en pied de marmite, ou nez en selle, ou nez en lorgnette.

Ces appellations sont familiĂšres.

Cette liste ne saurait jamais ĂȘtre exhaustive.

Microbiote nasal

Le microbiote nasal est principalement constituĂ© de bactĂ©ries. Plus de 900 espĂšces colonisent la muqueuse du nez humain[17]. Ce microbiote a un rĂŽle important dans la colonisation par staphylocoque dorĂ© rĂ©sistant Ă  la mĂ©ticilline[18].

Évolution

L'hominisation se caractérise par la régression du prognathisme et l'apparition d'un nez proéminent (élément non conservé dans les crùnes fossiles, car entiÚrement cartilagineux).

Le nez est un caractĂšre qui a Ă©voluĂ© Ă  partir d'un caractĂšre ancestral : la truffe ou rhinarium. La plupart des mammifĂšres[19] (jusqu'aux primates Strepsirrhiniens) ont en effet une truffe humide alors que les primates haplorrhiniens (comprenant entre autres, les singes, gorilles et l'ĂȘtre humain) ont perdu ce rhinarium au profit du nez. Cet appendice nasal apparu il y a environ 55 Ma, est une synapomorphie qui se traduit par la migration de la muqueuse externe du rhinarium vers l'intĂ©rieur des narines du nez[20].

Une hypothĂšse est que le nez humain a Ă©voluĂ© dans le contexte de la rĂ©duction du massif facial qui tend Ă  se disposer sous la loge cĂ©rĂ©brale et de la verticalisation du front du fait de l’expansion crĂąnienne et de la rĂ©duction du prognathisme facial. La bipĂ©die et l'expansion cĂ©rĂ©brale conduisent donc Ă  une rĂ©organisation complĂšte de l'architecture crĂąnienne, si bien que l'appendice nasal serait une adaptation squelettique Ă  la bipĂ©die humaine (en)[21] - [22]. Une autre hypothĂšse, qui peut ĂȘtre complĂ©mentaire, est que le dĂ©veloppement du nez dans la lignĂ©e d'hominidĂ©s du genre Homo aurait rĂ©pondu Ă  la nĂ©cessitĂ© de conserver une humidification importante de l'air inspirĂ© pour empĂȘcher les poumons de se dessĂ©cher dans des environnements de contrĂ©es sĂšches et semi-arides (savanes arborĂ©es, forĂȘts plus arides). Inversement, la turbulence au niveau des chicanes des cornets nasaux aide le nez Ă  rĂ©cupĂ©rer cette humiditĂ© lors de l'expiration, ce qui suggĂšre une sĂ©lection pour parcourir de longues distances Ă  pied dans la chaleur (notamment lors de la chasse Ă  l'Ă©puisement selon la thĂ©orie du coureur de fond) sans se dĂ©shydrater[23] - [24].

Du point de vue évolutif un nez est caractérisé par :

  • la prĂ©sence de poils possible entre les narines ;
  • la perte des vibrisses autour de la truffe ;
  • la soudure complĂšte de la lĂšvre supĂ©rieure et de la fente entre les narines.

Variations interindividuelles

Nez d'un jeune homme africain.

La morphologie nasale chez l'humain actuel est une adaptation climatique, conformément à la rÚgle de Thomson (en) énoncée en 1923[25] : les cavités nasales sont généralement étroites dans les climats froids (grande turbulence de l'air froid dans la cavité pour réchauffer cet air au contact des muqueuses), larges dans les climats chauds[26] - [27].

Pathologies

Une épistaxis est un saignement par le nez. Une rhinorrhée est un écoulement par le nez.

Cette partie du corps, parce qu’elle est trĂšs exposĂ©e au soleil, est souvent touchĂ©e par le carcinome Ă©pidermoĂŻde, l’une des formes les plus frĂ©quentes de cancer de la peau chez les personnes Ă  peau blanche[28].

Elle est également touchée par des fractures ou par un hématome du septum nasal.

Dans les arts

Qui voudra connoĂźtre Ă  plein la vanitĂ© de l’homme n’a qu’à considĂ©rer les causes et les effets de l’amour. La cause en est un je sais quoi (Corneille) ; et les effets en sont effroyables. Ce je ne sais quoi, si peu de chose qu’on ne peut le reconnoĂźtre, remue toute la terre, les princes, les armĂ©es, le monde entier. Le nez de ClĂ©opatre, s’il eĂ»t Ă©tĂ© plus court, toute la face de la terre auroit changĂ©. »

En toponymie

De nombreux caps, exclusivement sur les cĂŽtes de la Manche: en Normandie, plus particuliĂšrement dans le Cotentin, et dans le Pas de Calais, utilisent le mot nez. Ce mot n'a ni la mĂȘme Ă©tymologie ni mĂȘme la mĂȘme prononciation[alpha 3]. L'Ă©tymologie est scandinave et viendrait de nes signifiant pointe de terre[31].

Dans le Pas de Calais:

En Seine Maritime:

Dans le Cotentin:

Dans les Îles Anglo-Normandes

  • Cap Gos-Nez (Jersey);
  • Rouge Nez (Jersey) deux fois;
  • le Nez de guet (Jersey);
  • le Nez du ChĂąteau (Jersey);
  • le Nez (Guernesey);
  • Le Bec du Nez (Guernesey);
  • Le Bec du Nez (Sercq);
  • Gronez (Aurigny);

Et dans certaines anciennes appellations:

Notes et références

Notes

  1. D'un point de vue concret, le mot latin signifie aussi le bec ou le goulet d'un vase ou d'un récipient allongé. De maniÚre figurée, le mot latin représente la finesse du goût ou l'esprit moqueur, la moquerie. En ancien français, nes ou nez désigne également la trompe ou les narines d'un animal.
  2. Le mot grec au pluriel désigne aussi les narines.
  3. certaines populations perpétuent une distinction dans la prononciation entre le Nez (cap) et le nez (appendice nasal) dans la Hague, notamment à Saint-Germain-des-Vaux, le premier se prononçant « née » [ne:] et le second « nÎ » [no:]

Références

  1. Également appelĂ©e nasion, elle est le siĂšge chez la plupart des individus d'une nette dĂ©pression superficielle.
  2. Olivier Trost, Pierre Trouilloud, Introduction Ă  l'anatomie, Editions Ellipses, , p. 545.
  3. C'est le gĂ©nĂ©ticien britannique J.B.S. Haldane qui semble s'ĂȘtre, le premier, servi de cette mĂ©taphore pour indiquer la place excessive occupĂ©e par l'adaptation des organismes dans la thĂ©orie synthĂ©tique de l'Ă©volution. Ce nĂ©ologisme est repris en 1979 par Stephen Jay Gould et Richard Lewontin dans leur article « Les pendentifs de Saint-Marc et le paradigme panglossien : une critique du programme adaptationniste ». Cf Pierre-Henri Gouyon, Jean-Pierre Henry, Jacques Arnould, Les avatars du gĂšne. La thĂ©orie nĂ©odarwinienne de l'Ă©volution, Belin, (lire en ligne), n.p.
  4. « Remarquez bien que les nez ont Ă©tĂ© faits pour porter des lunettes ; aussi avons-nous des lunettes. Les jambes sont visiblement instituĂ©es pour ĂȘtre chaussĂ©es, et nous avons des chausses. Les pierres ont Ă©tĂ© formĂ©es pour ĂȘtre taillĂ©es et pour en faire des chĂąteau, aussi monseigneur a un trĂšs beau chĂąteau ; le plus grand baron de la province doit ĂȘtre le mieux logĂ© ; et les cochons Ă©tant faits pour ĂȘtre mangĂ©s, nous mangeons du porc toute l'annĂ©e ». Cf Voltaire, Candide, Ă©ditions livre de poche, , p. 47
  5. (en) Roger Jankowski, The Evo-Devo Origin of the Nose, Anterior Skull Base and Midface, Springer Science & Business Media, (lire en ligne), p. 45-47
  6. (en) Alfred Sherwood Romer, Thomas S. Parsons, The Vertebrate Body, Holt-Saunders International, , p. 453–458.
  7. (en) Roger Jankowski, The Evo-Devo Origin of the Nose, Anterior Skull Base and Midface, Springer Science & Business Media, (lire en ligne), p. 16
  8. Schémas représentant les organes olfactifs chez une lamproie (A), un dipneuste (B), un crocodile (C) et lors du développement embryonnaire humain (a, b, c), tirés de : (en) R. Jankowski, D.T. Nguyen, A. Russel, B. Toussaint, P. Gallet, C. Rumeau, « Chronic nasal dysfunction, » European Annals of Otorhinolaryngology, Head and Neck Diseases, Vol. 135, n° 1, 2018, p. 41-49
  9. Roger Jankowski, op. cit., p.17
  10. André Beaumont, Pierre Cassier et Daniel Richard, Biologie animale. Les Cordés, Dunod, , p. 400
  11. (en) T.M. Otuogbai, A. Ikhenoba, I. Elakhame, « Food and feeding habits of the African lungfish, Protopterus annectens (Owens) (Pisces: Sarcopterygii) in the flood plains of River Niger in Etasako east of Edo State, Nigeria », Nature, vol. 10, no 1,‎ , African Journal of Tropical Hydrobiology and Fisheries (DOI 10.4314/ajthf.v10i1.1397).
  12. (en) Philippe Janvier, « Wandering nostrils », Nature, vol. 432,‎ , p. 23–24 (DOI 10.1038/432023a).
  13. (en) John Abramyan, BĂ©atrice Thivichon-Prince, Joy Marion Richman, « Diversity in primary palate ontogeny of amniotes revealed with 3D imaging », Journal of Anatomy, vol. 226, no 5,‎ , p. 420–433 (DOI 10.1111/joa.12291).
  14. (en) Colleen Farmer, « Did lungs and the intracardiac shunt evolve to oxygenate the heart in vertebrates », Paleobiology, vol. 23, no 3,‎ , p. 358-372.
  15. (en) John N. Maina, The Biology of the Avian Respiratory System : Evolution, Development, Structure and Function, Springer, (lire en ligne), p. 102-103
  16. Larousse encyclopédique en couleurs, Paris, Librairie Larousse, (ISBN 2-7242-0543-X), tome 15, page 6496, planche « diverses formes de nez »
  17. Marc-AndrĂ© Selosse, Jamais seul. Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations, Éditions Actes Sud, , p. 87.
  18. (en) Daniel N. Frank, Leah M. Feazel, Mary T. Bessesen, Connie S. Price, Edward N. Janoff, Norman R. Pace, « The Human Nasal Microbiota and Staphylococcus aureus Carriage », Plos One, vol. 5, no 5,‎ (DOI 10.1371/journal.pone.0010598).
  19. Les chauves-souris font exception car elles ont un nez.
  20. Andor Thoma, ÉlĂ©ments de palĂ©oanthropologie, Institut supĂ©rieur d'archĂ©ologie et d'histoire de l'art, , p. 128.
  21. (en) Mladina R, Skitarelić N, Vuković K, « Why do humans have such a prominent nose? The final result of phylogenesis: a significant reduction of the splanchocranium on account of the neurocranium », Med Hypotheses, vol. 73, no 3,‎ , p. 280–283 (DOI 10.1016/j.mehy.2009.03.045).
  22. (en) Takeshi Nishimura, Futoshi Mori, Sho Hanida, Kumahata, Shigeru Ishikawa, Kaouthar Samarat, Takako Miyabe-Nishiwaki, Misato Hayashi, Masaki Tomonaga, Juri Suzuki, Tetsuro Matsuzawa, Teruo Matsuzawa, « Impaired Air Conditioning within the Nasal Cavity in Flat-Faced Homo », PLoS Comput Biol., vol. 12, no 3,‎ (DOI 10.1371/journal.pcbi.1004807).
  23. (en) Ruff CB, Trinkaus E, Walker A, Larsen CS., « Postcranial robusticity in Homo. I. Temporal trends and mechanical interpretation », Am. ]. Phys. Anthrop., vol. 91, no 1,‎ , p. 21-53 (DOI 10.1002/ajpa.1330910103).
  24. (en) R G Franciscus, E Trinkaus, « Nasal morphology and the emergence of Homo erectus », Am J Phys Anthropol, vol. 75, no 4,‎ , p. 517-527 (DOI 10.1002/ajpa.1330750409).
  25. (en) Arthur Thomson & L. H. Dudley Buxton, « Man’s nasal index in relation to certain climatic conditions », The Journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, vol. 53,‎ , p. 92-122 (DOI 10.2307/2843753).
  26. (en) Marlijn L. Noback, Katerina Harvati, Fred Spoor, « Climate-related variation of the human nasal cavity », American Journal of Physical Anthopology, vol. 145, no 4,‎ , p. 599–614 (DOI 10.1002/ajpa.21523).
  27. (en) Arslan A. Zaidi, Brooke C. Mattern, Peter Claes, Brian McEcoy, Cris Hughes, Mark D. Shriver, « Investigating the case of human nose shape and climate adaptation », PLoS Genet, vol. 13, no 3,‎ (DOI 10.1371/journal.pgen.1006616).
  28. « Le carcinome épidermoïde cutané (CE) », fondation « The Skin Cancer Foundation », New-York (consulté 8 décembre 2013).
  29. Blaise Pascal, Pensées, Article VI., 46. (lire en ligne)
  30. (en) Emerson Spartz et Ben Schoen, Harry Potter Should Have Died, Ulysses Press, , p. 25.
  31. RenĂ© Lepelley, « II y a nez et nez : Notes de toponymie », Annales de Normandie, no 5,‎ , p. 387-402 (lire en ligne)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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