Nez
Le nez, appelĂ© aussi appendice nasal, est chez l'ĂȘtre humain la saillie mĂ©diane du visage situĂ©e au-dessus de la lĂšvre supĂ©rieure et qui, en le surplombant, recouvre l'orifice des fosses nasales, qui constituent le segment supĂ©rieur des voies respiratoires et renferment l'organe de l'olfaction. Il concourt, en livrant passage Ă l'air, Ă l'accomplissement de la respiration et de la phonation.
Ce terme est Ă©galement utilisĂ© par analogie pour les vertĂ©brĂ©s tĂ©trapodes ne possĂ©dant pas une truffe Ă l'extrĂ©mitĂ© du museau (« nez » â organe olfactif â des poissons, nez olfactif et nez respiratoire des crocodiliens)[5].
Origine du mot
La graphie nez est attestĂ©e en 1314 dans les Ă©crits de chirurgie de Henri de Mondeville. Le mot ancien français nes, et l'adjectif ou substantif nasel, citĂ©s dans la Chanson de Roland, proviennent du mot latin de genre masculin latin : nÄsus, nasi, signifiant le nez humain[alpha 1]. Le nez est associĂ© dans le monde grĂ©co-romain au sens de l'odorat, il est aussi le siĂšge de la colĂšre. L'allongement du nez, ne serait-ce d'un pied, dans les vieux contes romans ou germaniques, n'est souvent pas bon signe pour le protagoniste, Ă moins de ne susciter que l'hilaritĂ© des tĂ©moins.
Le monde savant a gardĂ© la racine du mot grec ancien rhis, rhinos, de mĂȘme sens[alpha 2]. La racine marque la mĂ©decine actuelle, avec la rhinologie (Ă©tude scientifique du nez), l'oto-rhino-laryngologie, la rhinoscopie, la rhinite, la rhinoplastie, le drainage rhinopharyngĂ©... ainsi que les sciences naturelles descriptive, le rhinocĂ©ros... La plupart des langues europĂ©ennes prĂ©sentent souvent une mĂȘme racine Ă©vidente : naso en italien, nos en russe, ou l'anglais nose, l'allemand die Nase de genre fĂ©minin. En français, les mots de la famille se ressemblent Ă l'exception de nez : l'adjectif nasal ou le substantif nasal (partie de casque protĂ©geant le nez), naseau, nasalisation, nasalitĂ© (caractĂšre nasal d'un phonĂšme, par exemple voyelle nasale), nasiller (parler du nez), nasillard, nasillement, nasard (jeu de mutation flĂ»tĂ© Ă l'orgue), nasarde (coup ou chiquenaude sur le nez), nasarder, nasique...
Histoire Ă©volutive
Chez les poissons, chaque cavité nasale, appelée sac olfactif ou sac nasal, correspond à une poche creusée dans le cartilage des capsules olfactives du crùne et est tapissée de papilles gustatives et de cellules olfactives (en)) est ouverte à l'extérieur par une « narine » (ouverture nasale non reliée à la cavité buccale et au systÚme respiratoire) sur le museau. La narine externe est ventrale chez les poissons cartilagineux, dorsale chez les poissons osseux. Ce sont les mouvements respiratoires branchiaux qui activent la circulation du milieu aquatique dans le sac olfactif, via une ouverture inhalante (entrée de l'eau par la narine antérieure) et une ouverture exhalante (sortie de l'eau par la narine postérieure). Chaque sac est souvent divisé en deux par un repli cutané, formant une cavité en forme de « U » qui permet l'installation d'un courant d'eau à l'intérieur de l'organe olfactif, les quatre « narines » améliorant ainsi les capacités olfactives en milieu aquatique[6].
Des orifices narinaires postĂ©rieurs qui s'ouvrent au plafond buccal, apparaissent chez les sarcoptĂ©rygiens (poissons Ă membres charnus), et plus particuliĂšrement chez les Dipneustes ou Poissons pulmonĂ©s chez qui les orifices exhalants des narines externes ont migrĂ© Ă l'intĂ©rieur de la cavitĂ© buccale. Ces poissons prĂ©sentent diverses Ă©tapes de transition entre la respiration branchiale aquatique (bouche ouverte, aspiration de l'eau Ă©tant grĂące Ă la pompe buccopharyngĂ©e puis expulsion par les orifices branchiaux) et la respiration pulmonaire (montĂ©e en surface pour aspirer de l'air amenĂ© aux poumons)[7]. L'existence d'un palais primaire permet des mouvements de pompage aquatique rĂ©alisĂ©s bouche fermĂ©e, via les canaux nasaux et les arcs branchiaux[8], fournissant une complĂšte indĂ©pendance des voies de l'olfaction et de la respiration aĂ©rienne, contrairement Ă ce que les zoologues ont souvent pensĂ©[9]. Cette innovation Ă©volutive assure de plus une premiĂšre Ă©bauche de sĂ©paration des voies alimentaire et respiratoire (elles confluent cependant dans la cavitĂ© bucco-pharyngĂ©e), et amĂ©liore l'acuitĂ© olfactive en favorisant un courant d'eau actif entre le nez et la bouche grĂące Ă la pompe buccopharyngĂ©e que ces poissons utilisent principalement pour l'alimentation par aspiration des proies[10]. L'Ă©mergence des choanes chez les TĂ©trapodes terrestres ne serait donc pas une adaptation Ă la respiration aĂ©rienne mais un moyen d'obtenir une meilleure olfaction aquatique chez ces poissons qui vivent dans des eaux stagnantes et troubles exigeant une adaptation Ă la diminution des stimuli visuels, puis cette structure anatomique aurait Ă©tĂ© adaptĂ©e Ă l'olfaction aĂ©rienne qui a besoin d'une bonne acuitĂ© olfactive et d'un systĂšme d'humidification des fosses nasales assurĂ© par la sĂ©crĂ©tion muqueuse des glandes de Bowman (en) et des glandes lacrymales (la prĂ©sence d'un canal lacrymonasal pourrait ĂȘtre un vestige de la narine externe postĂ©rieure)[11] - [12]. Si les choanes et les poumons des dipneustes et celles des tĂ©trapodes sont apparues indĂ©pendamment par convergence Ă©volutive rĂ©sultant d'une adaptation Ă la vie terrestre, l'Ă©volution phylogĂ©nĂ©tique suggĂšre de considĂ©rer le nez respiratoire comme une exaptation du nez olfactif primaire[13] et l'utilisation des poumons hors de l'eau Ă©galement comme un processus d'exaptation, consĂ©quence d'une adaptation de poissons Ă des milieux aquatiques hypoxiques ou bien oxygĂ©nĂ©s, en lien dans ce dernier cas avec les besoins accrus en oxygĂšne du cĆur[14] - [15].
Description
Chez l'ĂȘtre humain, le nez est constituĂ© d'un squelette fait de cartilages accolĂ©s au squelette osseux de la face. Ces cartilages sont recouverts de peau sur leurs faces externe et interne. Ils dĂ©limitent deux orifices, les narines, qui font communiquer les cavitĂ©s nasales avec l'extĂ©rieur.
Le squelette comprend cinq cartilages principaux. L'espace entre ces cartilages est comblé par des petits cartilages accessoires et du tissu fibreux. Les cartilages principaux sont :
- le cartilage septal, une lame médiane verticale qui sépare les deux narines ;
- les cartilages latéraux, deux lames triangulaires qui forment la paroi supérieure de chaque narine ;
- les cartilages alaires, deux lames concaves en dehors qui forment la paroi antéro-latérale des narines.
Forme
Il existe différents types de nez[16] :
- nez droit (ou nez grec) ;
- nez épaté ;
- nez tombant ;
- nez camard (ou nez camus) ;
- nez aquilin (ou nez en bec d'aigle) ou encore nez busqué.
- nez bourbonien (celui de la famille de Bourbon en est un bon exemple) ;
- nez retroussé.
On trouve, toutefois, d'autres appellations, plus imagĂ©es les unes que les autres, et qui, ne trouvant que l'usage comme source, ne sauraient ĂȘtre dĂ©crites avec exactitude :
- nez en trompette, ou nez mutin ;
- nez en patate, gros nez ;
- nez de betterave, pour un nez enluminé, avec des couleurs vives ;
- nez en bec de canard, ou nez de corbin, avec une saillie disgracieuse au niveau de l'arĂȘte nasale cartilagineuse ;
- nez en pied de marmite, ou nez en selle, ou nez en lorgnette.
Ces appellations sont familiĂšres.
Cette liste ne saurait jamais ĂȘtre exhaustive.
Microbiote nasal
Le microbiote nasal est principalement constitué de bactéries. Plus de 900 espÚces colonisent la muqueuse du nez humain[17]. Ce microbiote a un rÎle important dans la colonisation par staphylocoque doré résistant à la méticilline[18].
Ăvolution
Le nez est un caractĂšre qui a Ă©voluĂ© Ă partir d'un caractĂšre ancestral : la truffe ou rhinarium. La plupart des mammifĂšres[19] (jusqu'aux primates Strepsirrhiniens) ont en effet une truffe humide alors que les primates haplorrhiniens (comprenant entre autres, les singes, gorilles et l'ĂȘtre humain) ont perdu ce rhinarium au profit du nez. Cet appendice nasal apparu il y a environ 55 Ma, est une synapomorphie qui se traduit par la migration de la muqueuse externe du rhinarium vers l'intĂ©rieur des narines du nez[20].
Une hypothĂšse est que le nez humain a Ă©voluĂ© dans le contexte de la rĂ©duction du massif facial qui tend Ă se disposer sous la loge cĂ©rĂ©brale et de la verticalisation du front du fait de lâexpansion crĂąnienne et de la rĂ©duction du prognathisme facial. La bipĂ©die et l'expansion cĂ©rĂ©brale conduisent donc Ă une rĂ©organisation complĂšte de l'architecture crĂąnienne, si bien que l'appendice nasal serait une adaptation squelettique Ă la bipĂ©die humaine (en)[21] - [22]. Une autre hypothĂšse, qui peut ĂȘtre complĂ©mentaire, est que le dĂ©veloppement du nez dans la lignĂ©e d'hominidĂ©s du genre Homo aurait rĂ©pondu Ă la nĂ©cessitĂ© de conserver une humidification importante de l'air inspirĂ© pour empĂȘcher les poumons de se dessĂ©cher dans des environnements de contrĂ©es sĂšches et semi-arides (savanes arborĂ©es, forĂȘts plus arides). Inversement, la turbulence au niveau des chicanes des cornets nasaux aide le nez Ă rĂ©cupĂ©rer cette humiditĂ© lors de l'expiration, ce qui suggĂšre une sĂ©lection pour parcourir de longues distances Ă pied dans la chaleur (notamment lors de la chasse Ă l'Ă©puisement selon la thĂ©orie du coureur de fond) sans se dĂ©shydrater[23] - [24].
Du point de vue évolutif un nez est caractérisé par :
- la présence de poils possible entre les narines ;
- la perte des vibrisses autour de la truffe ;
- la soudure complÚte de la lÚvre supérieure et de la fente entre les narines.
Variations interindividuelles
La morphologie nasale chez l'humain actuel est une adaptation climatique, conformément à la rÚgle de Thomson (en) énoncée en 1923[25] : les cavités nasales sont généralement étroites dans les climats froids (grande turbulence de l'air froid dans la cavité pour réchauffer cet air au contact des muqueuses), larges dans les climats chauds[26] - [27].
Pathologies
Une épistaxis est un saignement par le nez. Une rhinorrhée est un écoulement par le nez.
Cette partie du corps, parce quâelle est trĂšs exposĂ©e au soleil, est souvent touchĂ©e par le carcinome Ă©pidermoĂŻde, lâune des formes les plus frĂ©quentes de cancer de la peau chez les personnes Ă peau blanche[28].
Elle est également touchée par des fractures ou par un hématome du septum nasal.
Dans les arts
- Le nez le plus cĂ©lĂšbre est celui de la reine d'Ăgypte antique ClĂ©opĂątre. Blaise Pascal disait Ă ce sujet dans ses PensĂ©es (1669, posthume)[29] : « Condition de lâhomme : inconstance, ennui, inquiĂ©tude.
Qui voudra connoĂźtre Ă plein la vanitĂ© de lâhomme nâa quâĂ considĂ©rer les causes et les effets de lâamour. La cause en est un je sais quoi (Corneille) ; et les effets en sont effroyables. Ce je ne sais quoi, si peu de chose quâon ne peut le reconnoĂźtre, remue toute la terre, les princes, les armĂ©es, le monde entier. Le nez de ClĂ©opatre, sâil eĂ»t Ă©tĂ© plus court, toute la face de la terre auroit changĂ©. »
- Le nez de Cléopùtre est réguliÚrement évoqué dans la bande dessinée Astérix et Cléopùtre (1963), de René Goscinny et Albert Uderzo. Celle-ci donne aussi une explication humoristique à la mutilation du nez du Sphinx de Gizeh.
- Le texte littéraire le plus fameux sur cet organe est la « tirade du nez » d'Edmond Rostand, dans la piÚce de théùtre Cyrano de Bergerac (acte I, scÚne 4), parue en 1898.
- La nouvelle Le Nez de Nicolas Gogol (1835) dans laquelle le personnage principal perd son appendice nasal.
- Le personnage de fiction Pinocchio est connu pour son nez qui grandit Ă chaque fois qu'il ment.
- L'Ă©crivain Jean Giraudoux dĂ©crit ainsi le nez grec : « Le seul angle Ă peu prĂšs droit sâobtient en prolongeant par une ligne imaginaire le nez grec jusquâau sol grec. » (Intermezzo, acte premier, sc. 6)
- Le personnage de fiction Voldemort dans la saga Harry Potter n'a pas de nez[30].
- Aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, les "livres de nez" sont populaires aux Pays-Bas.
En toponymie
De nombreux caps, exclusivement sur les cĂŽtes de la Manche: en Normandie, plus particuliĂšrement dans le Cotentin, et dans le Pas de Calais, utilisent le mot nez. Ce mot n'a ni la mĂȘme Ă©tymologie ni mĂȘme la mĂȘme prononciation[alpha 3]. L'Ă©tymologie est scandinave et viendrait de nes signifiant pointe de terre[31].
Dans le Pas de Calais:
En Seine Maritime:
- Le Nez (ou Nais) de Tancarville.
Dans le Cotentin:
- Nez de Jobourg;
- Nez de Voidries;
- Le Nez Bayard et la Pointe du Nez Ă Saint-Germain-des-Vaux;
- Le Nez du Magazin Ă Auderville;
- La Couronne du Nez à Gréville-Hague.
Dans les Ăles Anglo-Normandes
- Cap Gos-Nez (Jersey);
- Rouge Nez (Jersey) deux fois;
- le Nez de guet (Jersey);
- le Nez du ChĂąteau (Jersey);
- le Nez (Guernesey);
- Le Bec du Nez (Guernesey);
- Le Bec du Nez (Sercq);
- Gronez (Aurigny);
Et dans certaines anciennes appellations:
- Gros-Nez (cap de Flamanville);
- Cor-Nez (cap du Rozel);
- Nez de Carteret (cap de Carteret).
Notes et références
Notes
- D'un point de vue concret, le mot latin signifie aussi le bec ou le goulet d'un vase ou d'un récipient allongé. De maniÚre figurée, le mot latin représente la finesse du goût ou l'esprit moqueur, la moquerie. En ancien français, nes ou nez désigne également la trompe ou les narines d'un animal.
- Le mot grec au pluriel désigne aussi les narines.
- certaines populations perpétuent une distinction dans la prononciation entre le Nez (cap) et le nez (appendice nasal) dans la Hague, notamment à Saint-Germain-des-Vaux, le premier se prononçant « née » [ne:] et le second « nÎ » [no:]
Références
- Ăgalement appelĂ©e nasion, elle est le siĂšge chez la plupart des individus d'une nette dĂ©pression superficielle.
- Olivier Trost, Pierre Trouilloud, Introduction Ă l'anatomie, Editions Ellipses, , p. 545.
- C'est le gĂ©nĂ©ticien britannique J.B.S. Haldane qui semble s'ĂȘtre, le premier, servi de cette mĂ©taphore pour indiquer la place excessive occupĂ©e par l'adaptation des organismes dans la thĂ©orie synthĂ©tique de l'Ă©volution. Ce nĂ©ologisme est repris en 1979 par Stephen Jay Gould et Richard Lewontin dans leur article « Les pendentifs de Saint-Marc et le paradigme panglossien : une critique du programme adaptationniste ». Cf Pierre-Henri Gouyon, Jean-Pierre Henry, Jacques Arnould, Les avatars du gĂšne. La thĂ©orie nĂ©odarwinienne de l'Ă©volution, Belin, (lire en ligne), n.p.
- « Remarquez bien que les nez ont Ă©tĂ© faits pour porter des lunettes ; aussi avons-nous des lunettes. Les jambes sont visiblement instituĂ©es pour ĂȘtre chaussĂ©es, et nous avons des chausses. Les pierres ont Ă©tĂ© formĂ©es pour ĂȘtre taillĂ©es et pour en faire des chĂąteau, aussi monseigneur a un trĂšs beau chĂąteau ; le plus grand baron de la province doit ĂȘtre le mieux logĂ© ; et les cochons Ă©tant faits pour ĂȘtre mangĂ©s, nous mangeons du porc toute l'annĂ©e ». Cf Voltaire, Candide, Ă©ditions livre de poche, , p. 47
- (en) Roger Jankowski, The Evo-Devo Origin of the Nose, Anterior Skull Base and Midface, Springer Science & Business Media, (lire en ligne), p. 45-47
- (en) Alfred Sherwood Romer, Thomas S. Parsons, The Vertebrate Body, Holt-Saunders International, , p. 453â458.
- (en) Roger Jankowski, The Evo-Devo Origin of the Nose, Anterior Skull Base and Midface, Springer Science & Business Media, (lire en ligne), p. 16
- Schémas représentant les organes olfactifs chez une lamproie (A), un dipneuste (B), un crocodile (C) et lors du développement embryonnaire humain (a, b, c), tirés de : (en) R. Jankowski, D.T. Nguyen, A. Russel, B. Toussaint, P. Gallet, C. Rumeau, « Chronic nasal dysfunction, » European Annals of Otorhinolaryngology, Head and Neck Diseases, Vol. 135, n° 1, 2018, p. 41-49
- Roger Jankowski, op. cit., p.17
- André Beaumont, Pierre Cassier et Daniel Richard, Biologie animale. Les Cordés, Dunod, , p. 400
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- « Le carcinome épidermoïde cutané (CE) », fondation « The Skin Cancer Foundation », New-York (consulté 8 décembre 2013).
- Blaise Pascal, Pensées, Article VI., 46. (lire en ligne)
- (en) Emerson Spartz et Ben Schoen, Harry Potter Should Have Died, Ulysses Press, , p. 25.
- RenĂ© Lepelley, « II y a nez et nez : Notes de toponymie », Annales de Normandie, no 5,â , p. 387-402 (lire en ligne)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressources relatives à la santé :
- TA2
- Uberon
- (en) Medical Subject Headings
- (en) NCI Thesaurus
- (la + en) TA98
- Anatomie du nez, sur le site doctissimo.fr.