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Michel Serrault

Michel Lucien Serrault est un acteur français, né le à Brunoy (Seine-et-Oise) et mort le à Honfleur (Calvados)[1].

Michel Serrault
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Michel Serrault en 1989.
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Nom de naissance Michel Lucien Serrault
Naissance
Brunoy (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
DĂ©cès (Ă  79 ans)
Honfleur (France)
Profession Acteur
Films notables Le Viager
La Cage aux folles
Garde Ă  vue
Nelly et Monsieur Arnaud
Le Papillon
(voir filmographie)

L'un des acteurs les plus populaires de sa gĂ©nĂ©ration, Serrault a tournĂ© au total dans 140 longs mĂ©trages[2], endossant des rĂ´les très diffĂ©rents et originaux : du boulevard (La Cage aux folles) et de la comĂ©die absurde ou dĂ©lirante (Buffet froid, Le MiraculĂ©, Rien ne va plus) Ă  un registre plus sombre (Garde Ă  vue, Les FantĂ´mes du chapelier, Mortelle randonnĂ©e, Docteur Petiot) en passant par une palette d'interprĂ©tations dramatiques nuancĂ©es (Nelly et Monsieur Arnaud, Le Monde de Marty).

Il est le seul comédien à avoir obtenu le César du meilleur acteur à trois reprises : en 1979 pour La Cage aux folles ; en 1982 pour Garde à vue ; en 1996 pour Nelly et Monsieur Arnaud.

Biographie

Il est le fils de Robert Serrault, d'abord représentant en soieries puis en cartes postales le jour, et contrôleur au théâtre de l'Ambigu-Comique la nuit, et d'Adeline Foulon[3] - [4]. Au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale en 1939, sa mère l'envoie à Argentat en Corrèze, avec ses deux frères Raoul et Guy[5], et sa sœur Denise. Issu d'une « famille très simple de tradition chrétienne », il devient enfant de chœur dans l'église de ce village. Il y découvre la théâtralité de la cérémonie religieuse et côtoie la mort lors du sacrement de l'extrême onction et des funérailles religieuses[6].

Portant en lui le germe d'une foi naissante, il annonce à sa mère en vouloir devenir prêtre. En , il entre au petit séminaire de Conflans à Charenton-le-Pont. Dès cette époque, il proclame avoir deux passions, « faire rire et [s]'occuper de Dieu[7] », et dira plus tard qu'il n'aurait pas aimé le vœu de chasteté[8]. Après deux ans de séminaire marqué par l'austérité, le père Modeste Van Hamme, son directeur spirituel, l'oriente alors vers son métier de comédien, considérant qu'il servirait mieux le Seigneur dans ce domaine[9]. Michel Serrault restera un fervent catholique.

Théâtre

Il s’inscrit au printemps 1944 au centre d’art dramatique de la Rue Blanche et suit les cours gratuits de Jean Le Goff, comme José Artur[10]. Parallèlement, il suit des cours payants au conservatoire Maubel où il rencontre une autre élève, Juanita Saint-Peyron, qu'il épousera le . Refusé au Conservatoire en 1946, il décroche ses premiers contrats de comédien, part en tournée en Allemagne, monte un spectacle de clown avant de faire son service militaire à Dijon en 1948[11]. À son retour, il intègre la troupe des Branquignols de Robert Dhéry, est initié au théâtre d'avant-garde par Jean-Marie Serreau, étudie l'art du mimodrame avec Étienne Decroux et fait de la figuration à la Comédie-Française[12].

Avec Jean Poiret

Michel Serrault en 1959 aux côtés de Jean Carmet et de Jean Poiret, lors d'un tournage en Italie.

Dans les années 1950 et 1960, il fait les belles heures des cabarets parisiens en duo avec Jean Poiret, qu'il rencontre en 1952 à une audition des matinées classiques du Théâtre Sarah-Bernhardt. Ils se font connaître en interprétant ensemble le sketch « Jerry Scott, vedette internationale » dont la première représentation a lieu au cabaret Tabou[13] le [14].

Cinéma

Il débute au cinéma avec les Branquignols par un petit rôle dans Ah ! les belles bacchantes (1954), puis dans Les Diaboliques (1955) d’Henri-Georges Clouzot. Il participera à leurs nombreux autres films.

Il se lance dans une longue aventure dans le film comique : Assassins et Voleurs (1957) de Sacha Guitry, avec Jean Poiret, Le Viager (1972) de Pierre Tchernia, qui le fera jouer dans plusieurs autres films, où il a pour partenaire Michel Galabru, avec lequel il participera à un grand nombre de films comme Les Gaspards, Room service. Il tourne aussi avec Louis de Funès, alors encore peu connu : Nous irons à Deauville, Des pissenlits par la racine, Carambolages, ou encore avec Jean Lefebvre et Bernard Blier : Quand passent les faisans (1965), Le Fou du labo 4 (1967), C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (1974).

Michel Serrault en 1984 aux côtés d'Ugo Tognazzi, de Carole Bouquet et de Coluche, lors d'un tournage en Italie.

Figure du théâtre de boulevard, avec ses rôles dans des pièces télévisées d'Au théâtre ce soir, il triomphe en 1973 dans le rôle de l'excentrique travesti « Zaza Napoli » de La Cage aux folles, qu’il rejouera plus tard avec un succès international[15] dans ses adaptations au cinéma et dont le premier opus lui vaut le César du meilleur acteur en 1979.

Puis arrive L'Ibis rouge (1975) de Jean-Pierre Mocky avec Michel Simon. C'est un grand ami du cinéaste, avec lequel il tourne un grand nombre de films dont le plus gros succès reste Le Miraculé (1987), où il joue pour la dernière fois avec son vieil ami Jean Poiret et donne la réplique à Jeanne Moreau, qu'il retrouve pour un autre face à face truculent dans La Vieille qui marchait dans la mer (d'après Frédéric Dard) de Laurent Heynemann en 1991. Il reviendra à la comédie incisive avec Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol, où il forme avec Isabelle Huppert un couple d'arnaqueurs à la petite semaine pris dans les mailles du filet d'un parrain des Antilles, rôle interprété par Jean-François Balmer. Serrault a également servi le comique grinçant, absurde et ubuesque de Bertrand Blier en l'espace de trois collaborations : Préparez vos mouchoirs (1978), Buffet froid (1979) et Les Acteurs (2000) (dans ce dernier, comme presque tout le reste de la prestigieuse distribution, il interprète son propre rôle).

Michel Serrault en 1980 à Rome, dans la deuxième adaptation de la pièce de Jean Poiret, lors du tournage.

L’adaptation de la pièce La Cage aux folles au cinéma étant un succès international[15], il est un des rares acteurs français à pouvoir se permettre de tourner à la fois dans de grosses productions mais aussi des films d’art et essai, souvent moins grand public.

RĂ´les dramatiques

Le , il perd sa fille Caroline (alors âgée de dix-neuf ans) dans un accident de la route à Neuilly-sur-Seine[16]. L'acteur, Nita et leur fille cadette ne surmonteront jamais vraiment cette tragédie[6].

Ce drame familial est parallèle à un changement de cap artistique : c'est désormais dans des rôles dramatiques que l'acteur va exceller, soulevant parfois au passage de vives polémiques comme, en 1997, lors de la présentation à Cannes d'Assassin(s) de Mathieu Kassovitz. Après l'obtention d'un deuxième César pour Garde à vue (1981) de Claude Miller, où il campe un notaire cynique et équivoque, soupçonné d'être l'auteur d'un double viol et homicide sur mineures, son dialoguiste Michel Audiard déclare à son sujet : « il est le plus grand acteur du monde ». Ce huis clos policier, où il est confronté à Lino Ventura, marque sans conteste un grand tournant dans sa carrière, puisque s'ouvre devant lui la porte d'interprétations plus ténébreuses : il apparaît en 1982 aux côtés de Charles Aznavour en petit commerçant provincial voué aux meurtres de vieilles dames dans Les Fantômes du chapelier de Claude Chabrol (adapté de Georges Simenon), ou devient, dans Mortelle Randonnée (1983) de Claude Miller, un père croyant reconnaître sa fille disparue en la personne d'une jeune meurtrière, interprétée par Isabelle Adjani, qu'il suit avant d'effacer les traces laissées sur les scènes de crime.

Il affronte ensuite, paralysé et aphone, sa bru adultère campée par Nathalie Baye dans En toute innocence (1988) d'Alain Jessua et endosse, pour Christian de Chalonge, les oripeaux du médecin et tueur en série, Marcel Petiot dans Docteur Petiot (1990). C'était par ailleurs ce réalisateur qui avait révélé ses capacités à endosser des rôles ambigus avec L'Argent des autres en 1978 où il était un inquiétant banquier. En 1995, Nelly et Monsieur Arnaud, le film testament de Claude Sautet, est une autre étape décisive pour Serrault puisqu'il y fait preuve d'une nuance dramatique qu'il avait peu manifestée auparavant. Il y interprète un magistrat retraité, désenchanté, solitaire et mélancolique, sollicitant les services d'une jeune femme délaissée (jouée par Emmanuelle Béart) pour rédiger ses mémoires. Sa prestation est unanimement reconnue comme sa composition la plus aboutie. Elle lui permet de remporter un ultime César en 1996. En 1999 dans Le Monde de Marty de Denis Bardiau, il tient le rôle d'un vieillard muet et paralysé, atteint de la maladie d'Alzheimer mais dont la voix commente en off les récits de son amitié naissante avec un jeune garçon souffrant de leucémie.

Dernières années

À la fin de sa vie, l'acteur joue plutôt des rôles de « pépé » campagnard à la française, bougon, un peu rustre, mais avec un grand cœur, comme dans Les Enfants du marais (1999) de Jean Becker, avec Jacques Villeret et Jacques Gamblin, Une hirondelle a fait le printemps (2001) de Christian Carion, Le Papillon (2002) de Philippe Muyl, Albert est méchant (2003) ou Les Enfants du pays de Pierre Javaux.

Michel Serrault en 2003 Ă  l'Ă©mission Le Fou du roi.
Sépulture du comédien.

Peu de temps avant sa mort, on a pu le voir aux obsèques de Jean-Claude Brialy, à Paris. Il mettait également la dernière main à un ouvrage dans lequel il souhaitait raconter ses souvenirs, en se retournant sur sa carrière exceptionnelle. Cet ouvrage, qui s'intitule À bientôt, est paru le chez Oh ! Éditions. Chrétien catholique animé d'une foi sincère, il envisageait aussi de porter à l'écran la vie du prêtre lazariste Guillaume Pouget, qu'il admirait beaucoup[17] - [18].

« Homme au physique de monsieur-tout-le-monde et au caractère fougueux, cabotin, provocateur, franc et chaleureux », il a joué dans 135 longs métrages[19].

Il meurt chez lui, dans sa propriété du Val la Reine[20], à Vasouy, le , à l’âge de 79 ans, des suites d’un cancer[21], alors qu'il souffrait depuis plusieurs années d'une maladie rare, la polychondrite chronique atrophiante, d'où la déformation de son nez[22] - [6]. Le , de nombreux amis du monde du cinéma et quelques représentants officiels ont participé à ses obsèques en l'église Sainte-Catherine de Honfleur[23], près de sa résidence secondaire. Il est inhumé au cimetière y attenant, avant que sa dépouille ne soit transférée en 2009 au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine, lieu de sa résidence principale, auprès de son épouse et de sa fille[24].

Vie privée

Michel Serrault avait rencontré Juanita Saint-Peyron, dite Nita, au conservatoire Maubel à Paris, alors qu'il prenait des cours de comédie. Il l'épouse le , avec pour témoins Jean Poiret et Françoise Dorin. Ils ont deux filles : Caroline (1958-1977), qui trouvera la mort dans un accident de voiture à dix-neuf ans, et Nathalie (1962). Juanita, décédée le , aura été jusqu'à la fin l'amour de sa vie.

RĂ©cit autobiographique

Il a écrit trois ans avant sa mort un récit autobiographique, Vous avez dit Serrault ?, et un journal, Les Pieds dans le plat !, dans lequel il fait part des remarques, pensées et critiques qui s'offrent à son regard de comédien et à son cœur de chrétien.

Dans son autobiographie, il a expliqué combien la foi catholique avait marqué son existence et donné un sens à sa vie.

Théâtre

Filmographie

Discographie

Jean Poiret et Michel Serrault

  • 1955 : Les interviews de Jean Poiret et Michel Serrault no 1 : Jerry Scott, vedette internationale
  • 1955 : Jean Poiret et Michel Serrault dans leurs interviews no 2 : StĂ©phane Brineville, prix littĂ©raire
  • 1955 : Les interviews de Jean Poiret et Michel Serrault 3 : Le Salon De L'Homme (1re Partie) - Hommes A Vendre "Épiciers, Magistrats GĂ©nĂ©raux, Intellectuels" / Le Salon De L'Homme (Suite Et Fin) "Fonctionnaires, SpĂ©cimens Internationaux Et Français Moyens" / Si Versailles M’était "CritiquĂ©" (Impressions D'un Critique Sur Le Film De M. Sacha Guitry)
  • 1955 : ClĂ©ment de Laprade, explorateur
  • 1956 : Les embarras de Paris
  • 1956 : Voyage en Corrèze
  • 1957 ; Les 45 tours de Monsieur Petit Lagrelèche
  • 1958 : Monsieur Petit Lagrelèche, parlementaire
  • 1960 : Le PrĂ©sident : Interview du PrĂ©sident Auguste Braquillet
  • 1960 : Les antiquaires (avec Jacqueline Maillan)
  • 1962 : Permis de conduire
  • 1962 : En direct du Théâtre de 10 Heures : Le spĂ©cialiste / Monsieur Poton, indĂ©pendant
  • 1962 : Le Bourgeois gentilhomme : Auteur : Molière - Compositeur : Jean-Baptiste Lully - Direction d'orchestre : Roland Douatte - Interprètes : Chorale Philippe Caillard, Collegium musicum de Paris - Mezzo-soprano : Denise BenoĂ®t - Ensemble vocal : Les Frères Jacques - RĂ©alisateur : Georges Hacquard - Distribution : Arletty (Madame Jourdain), Sophie Desmarets (Nicole), Françoise DorlĂ©ac (Lucile), Jacques Fabbri (Monsieur Jourdain), Pierre Philippe (Ă©lève du maĂ®tre de musique), Jean Poiret (maĂ®tre de musique), Michel Serrault (maĂ®tre Ă  danser), Serge Berry (1er laquais), Jean-Claude Pollet (2e laquais), Henri Virlojeux (maĂ®tre d'armes), Robert Vattier (maĂ®tre de philosophie), Jean Raymond (maĂ®tre tailleur), Jacques Muller (garçon tailleur), Jacques Dacqmine (Dorante), Louis Velle (ClĂ©onte), Henri Salvador (Covielle), Maria Mauban (Dorimène)
  • 1963 : DĂ©marrer au 1/4 de Tour...Auto... Critiques (1re Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1963 : Un Moteur qui "Tourne Rond"...Auto... Critiques (2e Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1963 : Une Voiture en Forme...Auto... Critiques (3e Partie) (Microsillon publicitaire Shell)
  • 1965 : Chanson du film A La TĂŞte du client (avec Francis Blanche, Darry Cowl et Jean Richard)
  • 1967 : En direct de La TĂŞte de l’Art : Gymnastique du corps et de l'esprit par le Professeur Petit Lagrelèche
  • 1992 : Radio mĂ©moire - 40 ans de radio : Jean Poiret et Michel Serrault - Poètes Ă  vos luths (1957)
  • 2000 : MĂ©ga Fou Rire : Jean Poiret et Michel Serrault - Plaies et Bosses

Michel Serrault

Publications

  • Le Cri de la carotte (avec Jean-Louis Remilleux), aux Ă©ditions Michel Lafon, 1995 (ISBN 978-2840980742), rĂ©Ă©d. Ramsay, 1997 (ISBN 978-2841143597 et 978-2841141579)
  • ...Vous avez dit Serrault ?, Éditions Florent Massot, 2001 (ISBN 978-2845880351)
  • Les Pieds dans le plat !, Oh ! Éditions, 2004 (ISBN 978-2915056075)
  • Ă€ bientĂ´t, Oh ! Éditions, 2007
  • Jean Poiret Michel Serrault, Jean-Jacques Jelot-Blanc, Éditions AlphĂ©e, 2009 (ISBN 978-2753803718)

Documentaires consacrés à Michel Serrault

Hommages

  • AllĂ©e Michel-Serrault, dans le 19e arrondissement de Paris[26].

Distinctions

DĂ©corations

CĂ©sar

(source : Académie des César[28])

Lumières de la presse internationale

Année Récompense Film Reçue ?
1996 Lumière du meilleur acteur Nelly et Monsieur Arnaud Oui
1998 Rien ne va plus Oui

Molières

Année Récompense Pièce Reçue ?
1987 Meilleur comédien L'Avare Non
1993 Knock Non

Festival de la Fiction TV

Année Récompense Film Reçue ?
2006[29] Meilleure interprétation masculine Monsieur Léon Oui
2008[30] Prix du public du meilleur comédien des palmarès du Festival (décerné par Télé 7 Jours) Monsieur Léon Oui

Notes et références

  1. Michel Lucien SERRAULT Base de données des décès de l'insee
  2. 147 selon l'émission télévisée Un jour, un destin.
  3. Le paradis jubile, Michel Serrault déboule, Le Temps (quotidien suisse), 31 juillet 2007
  4. Jacques Lafitte et Stephen Taylor, Who's Who in France, J. Lafitte, , p. 1730
  5. Futurs ingénieurs.
  6. Laurent Delahousse, « Michel Serrault : la fureur de rire », émission Un jour, un destin sur France 2, 26 octobre 2013, 1 h 35 min.
  7. Père Alain de La Morandais sur RTL,
  8. Michel Serrault et Jean-Louis Remilleux, Le cri de la carotte : conversations avec Jean-Louis Remilleux, Éditions Ramsay, , p. 45-52
  9. Jean-Louis Remilleux, op. cit., p. 56
  10. Jean-Louis Remilleux, op. cit., p. 57
  11. Jean-Louis Remilleux, op. cit., p. 68
  12. Jean-Louis Remilleux, op. cit., p. 65
  13. Débuts du duo Michel Serrault et jean Poiret au cabaret "Le tabou" filmés par les caméras de la RTF pour l"émission "Aux quatre coins de Paris", photo INA
  14. Jean-Louis Remilleux, op. cit., p. 89
  15. Il est à nos jours le 2e plus gros succès pour un film français diffusé en version originale aux États-Unis derrière Amélie Poulain
  16. Jean Poiret, par Philippe Durant
  17. Renaud Saint-Cricq, « Michel Serrault repart au front », Le Parisien,‎ (ISSN 0767-3558, lire en ligne)
  18. Michel Serrault, Les pieds dans le plat : journal 2003-2004, Paris, Oh! Editions, , 144 p. (ISBN 978-2-915056-07-5 et 2-915056-07-2), Page 44-46 passage intitulé "30 mai 2003"
  19. « Michel Serrault, « l’âme de Chaplin sur un corps d’apothicaire » », sur Libération.fr,
  20. « On pourra dormir dans la maison de Michel Serrault », sur Ouest-France,
  21. « Le monde du cinéma rend hommage à Michel Serrault », sur Le Nouvel Observateur,
  22. Déformation dite « en selle » ou en « pied de marmite », qu'il expliquait pudiquement comme la conséquence d'une chute au cours d'un tournage.
  23. Le Premier ministre François Fillon, la ministre de la Culture Christine Albanel, les cinéastes Bertrand Blier, Jean-Pierre Mocky et son épouse Patricia Barzyk, Régis Wargnier, Claude Lelouch, Édouard Molinaro, Claude Zidi, Pierre Tchernia, Claude Chabrol, les comédiens Daniel Prévost, Mathilda May, Pierre Mondy, Charles Berling, Charles Aznavour, Jackie Berroyer, Caroline Cellier, Jeanne Moreau, Pierre Arditi, Frédéric Mitterrand, Michel Galabru, Isabelle Adjani, Mathilde Seigner, Emmanuelle Seigner, Jean-Paul Belmondo, etc.
  24. Michel Serrault : exhumé et déplacé à Neuilly, Voici.fr, 27 février 2009
  25. « L'Habit vert » [vidéo], sur ina.fr (consulté le ).
  26. « Conseil de Paris »
  27. « Michel Serrault avec Madeleine Chapsal, commandeur dans l'ordre des... », sur Getty Images (consulté le )
  28. César du cinéma, « Palmarès de Michel Serrault », sur academie-cinema.org (consulté le )
  29. « Palmarès 2006 », sur le site du Festival de la fiction TV (consulté le ).
  30. « Palmarès 2008 », sur le site du Festival de la fiction TV (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Michel Serrault, Jean-Louis Remilleux, Le Cri de la carotte. Conversations avec Jean-Louis Remilleux, Éditions Ramsay, 1979
  • Jean-Jacques Jelot-Blanc, Michel Serrault, Pac, 1985
  • Nathalie Serrault, Michel Serrault, Ă©ditions Kero, 2013

Liens externes

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