Mézières-en-Santerre
Mézières-en-Santerre est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Mézières-en-Santerre | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat |
Paul Viollette 2020-2026 |
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Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80545 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
540 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 47′ 12″ nord, 2° 33′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 105 m |
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Superficie | 10,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.mezieres-en-santerre.fr | ||||
Géographie
Localisation
À une quinzaine de kilomètres au sud-est de l'agglomération amiénoise, Mézières-en-Santerre, située sur le plateau du Santerre, est traversée par l'ex-route nationale 334 (actuelle RD 934) (Amiens - Noyon) et est aisément accessible par les autoroutes A1 et A29.
Communes limitrophes
Démuin | Beaucourt-en-Santerre | |||
Villers-aux-Érables | N | |||
O Mézières-en-Santerre E | ||||
S | ||||
Moreuil | Le Plessier-Rozainvillers | Fresnoy-en-Chaussée |
Nature du sol et du sous-sol
Le sol de la commune est de nature argileuse, il est composé du limon des plateaux. En dessous du limon se trouve le calcaire, la craie qui affleure ici et là[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est celui du plateau du Santerre dont l'altitude culmine à 101. Au nord du village un vallon se dirige vers la vallée de la Luce et se termine à Démuin[1].
Hydrographie
Aucun cours d'eau ne traverse la commune.
La nappe phréatique se trouvait à la fin du XIXe siècle à 52 m au-dessous du niveau du sol[1].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique avec vent dominant du nord-ouest.
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune présente un habitat groupé excepté un écart au lieu-dit « Maison blanche ».
Urbanisme
Typologie
Mézières-en-Santerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87 %), zones urbanisées (4,9 %), forêts (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
On trouve plusieurs formes pour désigner Mézières-en-Santerre dans les textes anciens : Maceria (1120), Maseres (1133), Maiseres (1144), Mausières, Maizières, Maissières, Maisieres-en-Sancters (1428), Mesieres-en-Santerre (1452), Mesieres, Meizieres (1648), Mézières (1698). Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Mézières[10].
Mézières proviendrait du latin Maceriae, dont la signification pourrait être « ruines » (d'où le français masures), ou « fortifications ». Le terme Mézières signifierait enclos[1]. Souvent antiques terme employé comme nom de lieu a l'époque romaine .
Le Santerre est une région naturelle située au cœur de la Picardie, et de l'actuelle région Hauts-de-France.
Histoire
Antiquité
L'ex-RN 334 est l'ancienne via Agrippa, voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer) par Augusta Suessionum (Soissons) et Samarobriva (Amiens), et connue localement sous le terme de chaussée Brunehault.
Des vestiges de villa gallo-romaine ont été mis en évidence par Roger Agache, grâce à la prospection aérienne.
Moyen Âge
Le premier seigneur connu du lieu est le chevalier Pierre de Mézières qui fonde, en 1190, la chapelle Saint-Nicolas. Le château fort à totalement disparu, ainsi que la maladrerie. En 1224, le chevalier Gilles de Mézières donne des biens à l'abbaye Saint-Martin-aux-Jumeaux d'Amiens. La seigneurie passe ensuite par héritage à Pierre de Poix.
Le , Charles le Téméraire établit son camp à Mézières[1]. Il se rend ensuite à Lihons puis à Péronne[11].
Époque moderne
Jehan de Béthisy, d'une famille originaire de Béthisy-Saint-Pierre achète le domaine de Mazières en 1559 à Antoine Vigier. Les successeurs vont garder la possession en portant le titre de marquis de Mézières jusqu'à la Révolution française. Ils sont également au XVIIIe siècle châtelains de Bourbourg. Le blason de la commune provient des armes de cette famille[12].
Mézières est ravagé par les Espagnols au XVIIe siècle. Le village est incendié en 1636 et en , les troupes de Louis II de Bourbon-Condé au service du roi d'Espagne ravagèrent le Santerre et Mézières lorsque les Espagnols lèvent leur camp de Guerbigny[11].
Le , un arrêt du Conseil du roi réunit les biens de la maladrerie de Mézières à ceux de l'Hôtel-Dieu de Montdidier[13].
Avant 1789, Mézières fait partie de l'élection, du bailliage, prévôté et grenier à sel de Montdidier[1].
Gédéon de Béthisy, marquis de Mézières, a été le premier mari de Barbe de Hamel de la famille de Hamel de Bellenglise[14].
Eugène Marie de Béthisy, (mort en 1721), chevalier, marquis de Mézières, (Mézières-en-Santerre), en Picardie, devient châtelain-vicomte de Bourbourg par "achat" en 1720. Il épouse Éléonore Oglethorp le . Il est lieutenant-général des armées du roi, gouverneur des ville et citadelle d'Amiens et de Corbie, grand bailli d'Amiens, commandant pour le roi dans les provinces de Picardie, Champagne, Artois, Cambrésis et Hainaut. Il meurt le [15]. Son épouse gère ses biens après sa mort, et les partage en 1733[16]. Elle habite à Paris dans le quartier de Saint-Germain des Prés, en 1731; le couple semble avoir déjà connu lui-aussi des difficultés financières si on se réfère à l'acte de 1731 évoqué ci-dessous.
Eugène Éléonore de Béthisy, (né en 1709), fils aîné des précédents, reçoit lors du partage, les biens de Bourbourg. Chevalier, marquis de Mézières, maître de camp de cavalerie, puis en 1757 lieutenant-général des armées du roi, gouverneur de Longwy (Longwy?), représenté par Maître François Philippe de Préville, avocat au Parlement de Paris[17], il connait des difficultés financières importantes[18]. En 1731, sa mère appelée haute et puissante dame Éléonore Oglethorpe, veuve de haut et puissant seigneur Messire Eugène Marie de Berthisy, met en location des biens de la châtellenie de Bourbourg à la demande des créanciers de la famille, dont des bourgeois parisiens. Plusieurs personnes, dont des laboureurs, se montrent intéressées et enchérissent pour des fractions des biens. Les difficultés financières évoquées amènent Eugène Éléonore à multiplier les procès pour essayer de récupérer des revenus, contre le magistrat de la ville et de la châtellenie, (en 1740, le magistrat s'oppose à ce qu'il prenne la qualité de seigneur de Bourbourg comme il prétend de le faire car la terre appartient au roi[19]), contre ses tenanciers, contre le roi même. Trop endetté, ses biens sont saisis[20].
Eugène-Eustache de Béthisy (1739-1825), lieutenant des armées du roi, marquis de Mézières, châtelain de Bourbourg, dont il vend les possessions pour régler les dettes de son père Eugène Éléonore, émigre pendant la Révolution puis se fixe à Paris[12].
Mgr Henri Benoît Jules de Béthizy de Mézières (1744-1817), né à Mézières, mort à Londres, fut le 64e et dernier évêque d'Uzès[12].
Époque contemporaine
En 1814-1815, à la fin de l'épopée napoléonienne, les cosaques occupent la commune.
Richard de Béthisy, fils d'Eugène-Eustache, marquis de Mézières, est fait pair de France en 1823[12].
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le , se déroulent aux abords du lieu-dit « Maison blanche » un combat d'avant-garde qui oppose Français et Prussiens. Les soldats français et allemands tués au combat sont enterrés dans le cimetière communal de Mézières et un monument y a été érigé. Chaque année jusque 1914, une cérémonie commémorative se déroule au cours de laquelle des couronnes de fleurs étaient déposées[1].
En 1892, Mézières possède un hospice géré par les religieuses[21].
Première Guerre mondiale
Au début de la Première Guerre mondiale, Mézières-en-Santerre subit l'occupation allemande d'août-, elle se trouve à l'arrière du front[22] - [23] - [24] - [25] - [26], notamment lors de la bataille de la Somme[27] L'armée française construisit une ligne de chemin de fer militaire à voie étroite du système Péchot, encore existante en 1920, afin de desservir le front puis permettre la reconstruction[28], avec notamment une gare de ravitaillement à Mézières-en-Santerre[29] - [30] - [31] - [32] - [33] - [34]. Des installations de l'artillerie lourde sur voie ferrée y furent aménagées[35].
La commune est située dans la zone de combat en 1918, en particulier lors de l'offensive du Printemps et de la bataille d'Amiens (1918)[36] - [37] - [38].
Entre-deux-Guerres
À l'issue de la guerre, Mézières-en-Santerre avait subi d'importants dommages de guerre. La reconstruction se déroule durant l'entre-deux-guerres [28] - [39]. Des baraquements sont construits pour servir d'habitat provisoire. L'église Saint-Martin reste, aujourd'hui, le bâtiment emblématique de la reconstruction du village.
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [40].
La voie ferrée construite pendant la guerre existe encore toujours en 1920 et sert à acheminer les matériaux de la reconstruction, avec notamment une gare de ravitaillement.
- Eglise Saint-Matin
- Mairie
- Monument Guerre de 1870
- Cimetière militaire britannique
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[10], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[41], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[42] - [43]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[44] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [45] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [46], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].
En 2020, la commune comptait 540 habitants[Note 3], en diminution de 3,57 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
À la rentrée scolaire 2016-2017, l'école publique de Mézières compte 96 élèves. Elle est située en zone B, dans l'académie d'Amiens[55].
Économie
L'économie de la commune est marquée par une forte vocation agricole.
Un parc de huit éoliennes est édifié par le groupe Valorem en 2016-2017 sur les communes du Plessier-Rozainvillers, d’Hangest-en-Santerre et de Mézières-en-Santerre, après un financement participatif ouvert notamment aux riverains[56].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin, en brique, construite après la destruction de la précédente lors de la Première Guerre mondiale[57] - [58].
- Oratoire marial de 1954[21].
Personnalités liées à la commune
- Gilles de Mézières fut élu, en 1516, recteur de l'université de Paris.
- Eustache de Béthisy, seigneur de Mézières émigra pendant la Révolution française, ses biens furent déclarés bien national et vendus.
- Philippe de Mézières, homme de guerre et écrivain du XIVe siècle, né au château de Mézières.
Héraldique
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La commune a adopté les armes de la famille de Béthisy qui détint la seigneurie de 1559 à 1789. Blasonnement :
Ornement extérieur :
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Pour approfondir
Bibliographie
- 1914, 1916, 1918, 2016-Destruction, reconstruction, Mémoire d'un territoire en guerre, Communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM), 2016.
- Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu en 1911 ; Paris, Res Universis, 1993 pp. 146–149.
Liens externes
- Mézières-en-Santerre sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Mézières-en-Santerre (80545) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Notice géographie et historique sur la commune de Mézières-en-Santerre, rédigée par A. Decerisy, instituteur, 189?, Amiens Archives départementales de la Somme - Lire en ligne
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu en 1911 ; Paris, Res Universis, 1993, p. 149.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu en 1911 ; Paris, Res Universis, 1993, p. 147.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 413, lire en ligne.
- Louis Moréri, Supplément au grand dictionaire historique, généalogique, géographique, (lire en ligne), p. 97-98.
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la Châtellenie de Bourbourg, Coudekerque Branche, 2001, Editions Galaad Graal, p. 210.
- Georges Dupas, op. cit., page 232
- Georges Dupas op. cit. page 72
- Inventaire des archives communales de Bourbourg, série AA, page 8
- Georges Dupas, op. cit., page 211
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 224 (ASIN B000WR15W8).
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- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
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- Section photographique de l'armée, « Photo : Mézières. Place de l'Eglise », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Les maires de Mézières-en-Santerre », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Une pause est nécessaire » pour le maire de Mézières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Aude Collina, « Paul Loisel, 19 ans, n’est pas élu maire à Mézières-en-Santerre mais ne se laisse pas abattre : Les Méziérois ont finalement opté pour une gestion communale dans la continuité en offrant la majorité dimanche 28 juin à la liste de Paul Viollette, premier adjoint, « Avançons tous ensemble pour Mézières » », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- L'école sur le site de l'éducation nationale.
- Carole Legris, « Dernière ligne droite pour les éoliennes de Santerre Énergies : Le chantier du parc éolien de Santerre Énergies touche à sa fin. Le levage des huit éoliennes sera terminé fin mars et la production commencera en avril », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Mézières. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
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- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, 1972, F. Paillart p. 50