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Fresnoy-en-Chaussée

Fresnoy-en-Chaussée est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Fresnoy-en-Chaussée
Fresnoy-en-Chaussée
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Franck Ten
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80358
Démographie
Gentilé Fraxiniens
Population
municipale
138 hab. (2020 en diminution de 4,17 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 24″ nord, 2° 35′ 12″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 105 m
Superficie 3,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Fresnoy-en-Chaussée
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Fresnoy-en-Chaussée

    Géographie

    Localisation

    Village picard du Santerre situé à 25 km au sud-est d'Amiens, tangenté par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934).

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est constitué de terres franches sur les deux tiers de son territoire et de terres argilo-siliceuse sur le tiers restant. La partie supérieur est recouverte par le limon des plateaux (Lœss) de la période éocène. Dans les vallons, craie et silex affleurent [1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'un plateau, le plateau du Santerre don l'altitude avoisine les 100 m. Un étroit vallon orienté nord-sud traverse la commune[1].

    Hydrographie

    Il n'y a aucun cours d'eau qui traverse la commune. La nappe phréatique est située à une dizaine de mètres en dessous du niveau du sol[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominant de sud-ouest et de nord-ouest.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune présente un habitat groupé, il n'y a ni écart ni hameau.

    Activité économique et de service

    L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.

    Transports et déplacements

    La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens)[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Fresnoy-en-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    On trouve plusieurs formes pour désigner Fresnoy dans les textes anciens : Fresucum, Fresnoi en 1203, Fraisnoy, Fresnoy-en-Sangter, Fresnois-en-Santerre ou en Cauchie (1700), Fresnoy-lès-Saint-Mard en 1793[1] (Saint-Mard était un ancien village, détruit et abandonné lors des invasions espagnoles du XVIIe siècle), puis Fresnoy-en-Chaussée en 1801[10].

    Fresnoy est un toponyme français, forme picarde du français frênaie, issu du latin fraxinetum.

    La chaussée est la grande voie romaine de Lyon à Gesoriacum (Boulogne) passant par Amiens et Roye[11].

    Histoire

    Antiquité

    Setucis était une station du cursus publicus gallo-romain (mansio ou mutatio) qui se trouvait au lieu-dit « Saint-Mard », territoire situé entre Beaucourt-en-Santerre, Mézières-en-Santerre et Fresnoy-en-Chaussée, le long de la via Agrippa de l'Océan, voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer) par Augusta Suessionum (Soissons), Rodium (Roiglise) et Samarobriva (Amiens), et connue localement sous le nom de chaussée Brunehault. Des fouilles archéologiques furent effectuées par Blin de Bourdon au XIXe siècles, plusieurs sarcophages furent mis au jour[1].

    Extrait de la carte de Peutinger où figure Setucis (Saint-Mard).

    Sur la Colonne milliaire de Tongres du IIIe siècle, le lieu est nommé SEFVLAE.

    Moyen Âge

    La seigneurie de Fresnoy-en-Chaussée dépendait au Moyen Âge de celles de Moreui, Villers-aux-Erables et du Plessier-Rozainvillers.

    Le village subit des destructions au cours de la Guerre de Cent Ans. La population se réfugiait dans des muches creusées dans la craie à partir de l'église et jusqu'au vallon situé à l'ouest du territoire au lieu-dit La Porte de fer[1]. D'autres galeries furent creusées à partir de l'ancien château.

    En 1490, le seigneur de Fresnoy était Arthus de Moreuil-Soissons, gouverneur de Thérouanne, fils naturel de Jean de Moreuil-Soissons[12].

    Epoque moderne

    Le village subit de nouveaux ravages lors des invasions espagnoles de 1636 et 1653. Le village de Saint-Mard-en-Chaussée fut détruit et ne fut pas reconstruit. Seule une ferme subsista jusque 1889.

    En 1681, il y avait à Fresnoy un clerc laïc magister mais pas de bâtiment servant d'école.

    En 1757, un habitant de Fresnoy, Félix Ricard, fut condamné à être écartelé à Montdidier pour l'assassinat d'un coquetier de Riencourt qu'il avait projeté dans un puits de la ferme de Saint-Mard[1].

    Avant la Révolution française, le seigneur du village était Ferdinand-Jacob d'Aix, marquis de Ligne.

    Révolution française

    La commune, instituée sous la Révolution française sous la dénomination de Fresnoy-lès-Saint Marc en 1793. Le curé Hennequin prêta serment de fidélité à la constitution et resta en poste[1].

    Consulat et Ier Empire

    En 1801, la commune prit le nom de Fresnoy-en-Chaussée. En 1805, le presbytère fut transformé en école.

    En 1814-1815, la commune fut occupée par les cosaques[1].

    Première Guerre mondiale

    A l'été 1914, le village subit l'invasion allemande. Il fut ensuite un village de l'arrière immédiat du front notamment en 1916 lors de la Bataille de la Somme. Le front recula plus à l'est en 1917 lorsque les Allemands se replièrent sur la Ligne Hindenburg.

    Le village se trouva dans la zone des combats à la fin de la Première Guerre mondiale[13] - [14] lors de la bataille de la Somme (1918) pendant laquelle, le , une contre-offensive mécanisée[15] alliée, entre Morlancourt et Braches, infligea un revers sans précédent à l'armée allemande : ce fut le « jour de deuil de l'armée allemande », selon l'expression de Ludendorff.

    La commune comme la quasi-totalité des communes situées dans les zones de combat a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [16].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[10], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[17], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[18] - [19]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[20] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[21] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[22], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Eric Moizard
    mars 2001 2014 Francis Quillet[23]
    2014[24] En cours
    (au 4 juin 2020)
    Franck Ten Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

    Politique environnementale

    Classement des villes et villages fleuris : une fleur a récompensé les efforts locaux en faveur de l'environnement[26].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 3], en diminution de 4,17 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    220195185203219242261272266
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    253231248229251253250211202
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1851771491321151081169788
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    97103677384111112110107
    2014 2019 2020 - - - - - -
    144137138------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle contient des fonts baptismaux en marbre blanc du XVIe siècle, de style Renaissance[32] - [33] et une statue de sainte, du début du XVIe siècle[34].
    • L'église Notre-Dame.
      L'église Notre-Dame.
    • Puits patrimonial.
      Puits patrimonial.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Plan communal.
      Plan communal.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu, en 1911, Paris, Res Universis, 1993 (ISBN 2-87 760-989-8) pp. 110–112.
    • Abbé Maurice Leroy, Le Quesnel et Saint-Mard-en-Chaussée : Faits de guerre et données historiques, Abbeville, Paillart, 1923 (réédition fac-simile 2001) (ISBN 0 543 937 038) - Lire en ligne sur Gallica

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Notice géographique et historique sur la commune de Fresnoy-en-Chaussée, rédigée en 1899 par M. Boitel, instituteur, Amiens Archives départementales de la Somme -Lire en ligne
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Ledieu, Étude sur l'étymologie de nombreuses localités : situées principalement dans l'ancienne Picardie, Amiens, , p. 85.
    12. Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu, en 1911, Paris, Res Universis, 1993 (ISBN 2-87 760-989-8) pp. 110-112
    13. Section photographique de l'armée, « Photo : Fresnoy-en-Chaussée. L'église et ses abords : au premier plan, prisonniers allemands », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    14. Section photographique de l'armée, « Photo : Fresnoy-en-Chaussée. Route d'Hangest-en-Santerre : convoi de prisonniers allemands », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. Section photographique de l'armée, « Photo : Fresnoy-en-Chaussée. Chars d'assaut Renault », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    16. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
    17. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    18. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    19. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    20. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    21. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
    22. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    23. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    25. « Fresnoy-en-Chaussée conserve les mêmes chefs de file », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Franck Ten, maire sortant, a été réélu au même poste ».
    26. « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Fresnoy-en-Chaussée, d'après nature, 1877. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    31. Section photographique de l'armée, « Photo : Fresnoy-en-Chaussée. L'église : au premier plan : prisonniers allemands », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    32. « Les fonts baptismaux », notice no PM80000673, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. « Fonts baptismaux du 14e au 18e siècle », Fonts baptismaux, sur https://www.richesses-en-somme.com (consulté le ).
    34. « statue : Sainte », notice no PM80000672, base Palissy, ministère français de la Culture.
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