Le Plessier-Rozainvillers
Le Plessier-Rozainvillers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Le Plessier-Rozainvillers | |||||
La mairie-école. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat |
André Lescureux 2020-2026 |
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Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80628 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
788 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 77 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 45′ 03″ nord, 2° 33′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 109 m |
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Superficie | 10,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://plessier80110.com/ | ||||
Géographie
Description
Le village est situé à environ 25 km au sud-est d'Amiens, en bordure du plateau du Santerre. Il est limitrophe du chef-lieu de canton, Moreuil, à l'ouest, où vallons et coteaux boisés prédominent. Côté est, c'est le domaine de la plaine agricole.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 45, Moreuil - Montdidier et ligne no 60, Davenescourt - Moreuil - Amiens)[1]. Fin XIXe siècle, quatre puits d'une profondeur moyenne de 75 mètres alimentent le village en eau potable, très chargée en calcaire[2].
Communes limitrophes
Villers-aux-Érables, Mézières-en-Santerre et Fresnoy-en-Chaussée |
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Moreuil | N | Hangest-en-Santerre | ||
O Le Plessier-Rozainvillers E | ||||
S | ||||
Contoire, Pierrepont-sur-Avre et La Neuville-Sire-Bernard |
Urbanisme
Typologie
Le Plessier-Rozainvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91 %), zones urbanisées (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), forêts (0,1 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Plessier, Plessis, Plaisiez sont mentionnés dès 1142, Plessy Radulfi Vetulfi est trouvé en 1146 et Plessis de Rosinville en 1547[2].
Histoire
Moyen Âge
Établis dans les forteresses d'Hangest et d'Arvillers, les Anglo-Bourguignons dévastent le village en 1416[2], lors de la guerre de Cent Ans.
Époque moderne
Un hameau, Saint-Aubin-en-Harponval a complètement disparu mais son église existait encore au XVIIIe siècle[2].
En 1692, le village a déjà son école[2].
Époque contemporaine
La commune de Le Plessier, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794, celle de Rozainvillers. Elle est désormais dénommée Le Plessier-Rozainvilliers[10].
Une importante fabrique de bonneterie a été complètement détruite par un incendie en [2].
À la fin de l'épopée napoléonienne, en 1814 et 1815, le village a eu à supporter les Cosaques.
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, de lourdes contributions ont été réclamées aux villageois[2].
Après avoir occupé 500 à 600 ouvriers au XVIIIe siècle, l'industrie de la laine a pratiquement disparu à la fin XIXe siècle, mais environ 80 ouvriers sont occupés à l'industrie de la chaussure en 1899[2].
Première Guerre mondiale
Le village est situé dans un premier temps à l'arrière du front, notamment lors de la bataille de la Somme[11], puis est dans la zone des combats lors de l'Offensive du Printemps de 1918.
En , un biplan allemand Aviatik no 8.558 est obligé d’atterrir sur le territoire communal. Il est capturé par les Français[12] - [13] - [14].
L'armée française réalisa pendant le conflit une ligne de chemin de fer militaire à écartement de 0,60m. du système Péchot près du village afin d'alimenter le front[15]. Elle a été utilisée pour la mise en station de pièces de l'artillerie lourde sur voie ferrée[16] - [17] - [18] et un train de matériel et d'artillerie allemand capturé y fut exhibé[19] - [20]. Cette ligne existait encore fin 1920 et était utilisée pour les besoins de la Reconstruction[15].
À la fin de la guerre, le village, largement détruit[15] - [21], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [22].
Seconde Guerre mondiale
Lors de la Bataille de France de la Seconde Guerre mondiale, le , le bombardier LéO 45 no 56 du Groupe de bombardement GB I/11, est abattu par la chasse allemande au dessus du village. Il était en mission pour attaquer des colonnes ennemies progressant sur l'axe Abbeville-Amiens. Aucun des quatre appareils de la mission n'est revenu[23].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[10], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[24], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[25] - [26]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[27] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [28] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [29], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
Politique environnementale
Un parc de huit éoliennes est édifié par le groupe Valorem en 2016-2017 sur les communes du Plessier-Rozainvillers, d’Hangest-en-Santerre et de Mézières-en-Santerre, après un financement participatif ouvert notamment aux riverains[34].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2020, la commune comptait 788 habitants[Note 3], en augmentation de 6,78 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Une quatrième classe de l'école primaire[38] a ouvert à la rentrée de , nécessitée par la croissance des effectifs, induite par un lotissement réalisé quelque temps auparavant. La municipalité agrandit en 2017 l'équipement par la création d'une salle multifonctions à ossature bois[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin, restaurée après les destructions de la Première Guerre mondiale[40].
Elle contient les sculptures en bois du XVIIIe siècle de la Vierge[41] et de l'évêque Saint Aubin[42], ainsi qu'un bas-relief en bois, également du XVIIIe siècle, du Christ au Jardin des Oliviers[43]. Une série de verrières réalisées en 1934 par Jean Hébert-Stevens et Pauline Peugniez lors de la reconstruction partielle orne l'église[44] - [45] - [46] - [47] - [48] - [49] - [50] - [51] - [52] - [53] - [54].
- Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Miséricorde, du XIXe siècle[55].
- L'église Saint-Martin.
- Autre vue de l'église.
- Portail de l'église, détail.
- Le château.
- La salle communale.
Personnalités liées à la commune
- Jules-Laurent-Benjamin Morelle (1849-1923), natif de la commune, fut évêque de Saint-Brieuc et Tréguier de 1906 à 1923.
Voir aussi
Bibliographie
- Abbé Marchand, Histoire du Plessier-Rozainvillers[55].
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie.
- Le Plessier-Rozainvillers sur le site de l'Institut géographique national.
- « Dossier complet : Commune du Plessier-Rozainvillers (80628) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Notice Historique et géographique rédigée par l'instituteur, M. Saguez, vers 1899, Archives départementales, Amiens
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duAmiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Cliché : capitaine d'Hauteserre, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près et en avant). Organisations défensives », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près). Biplan allemand obligé d'atterrir dans nos lignes et capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près). Biplan allemand obligé d'atterrir dans nos lignes et capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Plateau de Santerre près Plessier-Rozainvillers (Somme). Aviatik ayant atterri sur le plateau de Santerre près Plessier-Rozainvillers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à ). Train de pièces de 190 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à ). Train de pièces de 190 ; les pièces et les tourelles blindées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à ). Train de pièces de 190 ; les pièces et les tourelles blindées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché Moreau, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Train de matériel allemand capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché Moreau, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Train de matériel allemand capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Cliché : Lebe-Gigun, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Une rue ; au premier plan convois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
- « Crash du LeO 45/451 - type 451 s/n 56 », sur http://francecrashes39-45.net, (consulté le ).
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Les maires de Plessier-Rozainvillers (Le) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 29 mars 2014 » [PDF], Délibérations, sur http://plessier80110.com (consulté le ).
- « Un nouveau maire au Plessier-Rozainvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « André Lescureux a remplacé Patrick Goret à la tête de Le-Plessier-Rozainvillers. ».
- Carole Legris, « Dernière ligne droite pour les éoliennes de Santerre Énergies : Le chantier du parc éolien de Santerre Énergies touche à sa fin. Le levage des huit éoliennes sera terminé fin mars et la production commencera en avril », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Le site de l'école du Plessier-Rozainvillers.
- Carole Legris, « L’école du Plessier-Rozainvillers est en pleine croissance : Les travaux d’agrandissement de l’école avancent : les bambins bénéficieront d’une nouvelle salle d’activités dès le mois de mai. Elle sera notamment dévolue aux répétitions de leur chorale », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « Statue : La Vierge », notice no PM80001064, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « statue : Saint Aubin évêque », notice no PM80001065, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « bas-relief : Le Christ au Jardin des Oliviers », notice no PM80001063, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000749, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000748, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000747, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000746, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000745, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000752, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000751, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000750, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000744, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000743, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière décorative », notice no IM80000742, base Palissy, ministère français de la Culture.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 224 (ASIN B000WR15W8).