Lugon-et-l'ÃŽle-du-Carnay
Lugon-et-l'Île-du-Carnay, parfois écrit Lugon-et-l'Île-du-Carney, est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Lugon-et-l'ÃŽle-du-Carnay | |||||
L'ancienne église de l'Île-du-Carnay. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Fronsadais | ||||
Maire Mandat |
Michaël Cenni 2020-2026 |
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Code postal | 33240 | ||||
Code commune | 33259 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 369 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 125 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 57′ 30″ nord, 0° 20′ 23″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 72 m |
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Superficie | 10,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Libournais-Fronsadais | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-de-lugon.org | ||||
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Commune située au bord de la Dordogne, entre Libourne et Saint-André-de-Cubzac, à 35 km de Bordeaux.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Saint-Loubès, Cadillac-en-Fronsadais, Izon, Saint-Germain-de-la-Rivière, Saint-Romain-la-Virvée, Tarnès et Villegouge.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-du-Bois », sur la commune de Saint-Martin-du-Bois, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 829,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 27 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[14].
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Lugon-et-l'Île-du-Carnay[15] - [16]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[17].
ZNIEFF
Lugon-et-l'Île-du-Carnay fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[18] - [19], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[20].
Urbanisme
Typologie
Lugon-et-l'Île-du-Carnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [21] - [22] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24] - [25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), terres arables (10,3 %), eaux continentales[Note 7] (8,9 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (5,6 %), forêts (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lugon-et-l'Île-du-Carnay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[29]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[30]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999, 2009 et 2021[31] - [27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[32]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 559 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 559 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[36]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[37].
Toponyme
Le nom « Lugon-et-l'Île-du-Carnay » provient de la réunion de la paroisse de l’île du Carnay au village de Lugon en 1806.
Le toponyme Lugon dériverait du nom du dieu Celte Lug, racine fréquente dans un grand nombre de nom de communes françaises comme Lugasson, Lugos, Lugdunum, etc. Cependant une controverse demeure voulant attribuer l'étymologie latine lucus aux origines de Lugon.
L'origine du nom « île du Carnay » est assez floue, l'île étant autrefois séparée des terres par un bras mort de la Dordogne, le nom Carnay est sans doute issu de l'occitan carner, signifiant charnier, ce nom peut faire référence à un violent combat qui s'est déroulé entre Gascons et Normands lorsque ces derniers envahirent la Gascogne au IXe siècle[38].
Histoire
Il n'est pas rare de trouver au gré d'un labour quelques bifaces, grattoirs, pierres taillées du Paléolithique, et haches polies du Néolithique, de même, il subsiste quelques vestiges gallo-romains. Le territoire de la commune semble continuellement habité depuis la préhistoire, la configuration du terrain, les coteaux importants, les palus bordant le fleuve et le fleuve lui-même rendant la contrée sure.
Jusqu'à la Révolution de 1789, avant d'arriver à Libourne, les bateaux faisaient « quarantaine » au port de Lugon.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2020, la commune comptait 1 369 habitants[Note 9], en augmentation de 14,56 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Lugon est une commune essentiellement rurale dont l'activité principale est la viticulture. Sa cave coopérative, créée en 1937, regroupe 180 exploitants pour une production de 60 000 hl, elle s'étend sur cinq appellations : Canon-fronsac (AOC), Fronsac (AOC), Bordeaux (AOC), Bordeaux supérieur (AOC), Bordeaux clairet (AOC).
La superficie viticole de la commune est de 865 hectares pour une superficie totale de 1094 hectares.
Malgré sa faible population et la proximité de villes importantes, Libourne à seulement dix kilomètres et Saint-André-de-Cubzac à huit, la commune a su protéger ou se doter d'un commerce local dynamique, pharmacie, salon de beauté, informatique et tous les commerces de proximité classiques en plus de structures publiques de qualité et modernes, piscine, bibliothèque, stade...
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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- L’église Saint-Genès apparaît en 1170 comme dépendance de l’abbaye de Guîtres[45]. Les petits moellons disposés en lit sur la base du mur méridional sont les seuls vestiges de l’église romane primitive.
- Au XIIe siècle, l’abside est construite, la nef est agrandie. Le portail est décoré d'un tympan sculpté : le Christ entre les symboles des quatre Évangélistes selon l’Apocalypse (la Tétramorphe).
- Le tympan de l’église Saint-Genès est probablement contemporain de celui l'église Saint-Pierre de La Lande-de-Fronsac.
- Ce tympan a été déplacé lors de la construction du nouveau clocher. Il est aujourd’hui visible dans ce clocher, au-dessus de la porte ouvrant sur la nef.
- Le tympan de l’église de Lugon-et-l’Île-du-Carney est classé[46] à l’inventaire des Monuments historiques.
- L’abside est fortifiée au XVe siècle pendant les Guerres de religion. On trouve les restes d'une échauguette sur le mur nord.
- En 1836, l’ancien clocher, situé au sud, est remplacé par un nouveau placé à l’ouest de la nef.
- L'église Notre-Dame de l'île du Carnay, dite la Vieille Chapelle. Désaffectée, elle est incorporée dans un château viticole en bord de Dordogne.
- 'Le château de Pardaillan[47].
Lorsque Léo Drouyn visite, en 1868, le château de Pardaillan, les travaux de restauration sont achevés et il n'est pas très différent du château actuel. De grands travaux de restauration, vers 1860, ont profondément modifié son allure et son plan primitif, le dessin qu'en a laissé Léo Drouyn témoigne uniquement du pittoresque de sa façade méridionale, dû à sa composition.
Les deux tours saillantes, coiffées en poivrière, avaient à l'origine une fonction défensive militaire. À l'angle des toitures à haut comble et deux versants, les pignons aigus s'ornent sur leurs rampants de sculptures à crochets ; on distingue même un petit animal accroupi.
La partie arrière du château de Pardaillan, au nord, porte une tour ronde qui contient l'escalier qui dessert les étages. De grandes fenêtres à meneaux qui l'entourent témoignent d'une construction du XVe siècle. De belles sculptures et moulures montrent « des raffinements décoratifs qui indiquent que Pardaillan était une demeure de prestige » (J. Lacoste).
Le château de Neyrac devient château de Pardaillan à la suite de son acquisition en 1475 par Grimont de Gassies, jurat de Bordeaux. C'est par le mariage de Marie de Gassies, dame de Pardaillan, petite-fille de Grimont de Gassies, avec Geoffroy d'Aulède, seigneur de Castelmoron que le château de Pardaillan entre, le , dans la grande famille d'Aulède, il y restera jusqu'à la Révolution.
Pour l'anecdote, après le décès de son épouse, Geoffroy d'Aulède se remarie avec Jacquette de Lestonnac, sœur de sainte Jeanne de Lestonnac et nièce de Michel de Montaigne. Le château et ses terres sont vendus comme biens nationaux le 16 messidor an II ().
Personnalités liées à la commune
Édouard Eymond fut élu maire de la commune de Lugon en 1904, 1908, 1912, 1919 et 1925[48].
Héraldique
Blason | D'or à la grappe de raisin tigée de gueules, feuillée, à dextre de deux pièces de sinople, à la rivière en fasce ondée d’azur brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
- Site de l'école de Lugon
- Lugon-et-l'Île-du-Carnay sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin-du-Bois - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lugon-et-l'Île-du-Carnay et Saint-Martin-du-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin-du-Bois - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lugon-et-l'Île-du-Carnay et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
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- E.M Lamartinie, Un coin du fronsadais. Monographie de Saint-Michel-de-Fronsac, Libourne, L. Malleville, (lire en ligne), p. 15.
- https://www.sudouest.fr/2017/10/17/marie-francoise-regis-succede-a-michel-frouin-3869125-3014.php
- « Résultat élections municipales 2020 Lugon-et-l'Île-du-Carnay », sur ouest-france.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- L'église Saint-Genès sur le site de l'Office de Tourisme du Fronsadais.
- « Fiche de classement du tympan », notice no PM33000589, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sylvie Guillaume et Bernard Lachaise (Université Bordeaux-Montaigne. Centre aquitain de recherches en histoire contemporaine), Dictionnaire des parlementaires d'Aquitaine sous la Troisième République, Talence, Presses Universitaires de Bordeaux, , br, couv. ill.; 624, 24 cm (ISBN 2-86781-231-3 et 9782867812316, OCLC 468077217, BNF 37035405, SUDOC 045199868, présentation en ligne, lire en ligne), p. 237 à 239 (consulté le 30 avril 2018)