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Saint-Germain-de-la-Rivière

Saint-Germain-de-la-Rivière (parfois appelé Saint-Germain-la-Rivière[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Germain-de-la-Rivière
Saint-Germain-de-la-Rivière
L'église et le cimetière.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Fronsadais
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Duverger
2020-2026
Code postal 33240
Code commune 33414
Démographie
Population
municipale
393 hab. (2020 en augmentation de 1,29 % par rapport à 2014)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 55″ nord, 0° 19′ 53″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 80 m
Superficie 4,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Germain-de-la-Rivière

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune située sur la route nationale 670 entre Saint-André-de-Cubzac et Libourne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Izon, Lugon-et-l'Île-du-Carnay, La Rivière, Saint-Aignan et Villegouge.

    Communes limitrophes de Saint-Germain-de-la-Rivière[2]
    Villegouge Saint-Aignan
    Lugon-et-l'Île-du-Carnay Saint-Germain-de-la-Rivière La Rivière
    Izon

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 859 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beychac et Caillau », sur la commune de Beychac-et-Caillau, mise en service en 1971[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 852,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Germain-de-la-Rivière[16] - [17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].

    ZNIEFF

    Saint-Germain-de-la-Rivière fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19] - [20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germain-de-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [23] - [24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), prairies (12,9 %), cultures permanentes (12 %), zones urbanisées (9,8 %), eaux continentales[Note 7] (9,2 %), terres arables (0,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Germain-de-la-Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[30]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009, 2013 et 2021[32] - [28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[33]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[34].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-de-la-Rivière.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 163 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 163 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[28].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[37]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[38].

    Histoire

    Préhistoire

    Des traces du paléolithique tardif et du magdalénien sont présents dans la commune dont un bloc gravé[39], une sépulture avec micro-dolmen ainsi qu'une une tombe/caverne comportant le squelette d'une jeune femme[40], surnommée la "Dame de St-Germain", morte il y a environ 15 000 ans avant le présent et recouvert d'ocre rougeâtre. Elle portait un collier de parure constitué de 70 canines de cerf[41] « décorées d’une série d’entailles ou de croisillons[42] » et de perles en stéatite. Cet objet rare peut constituer l’appartenance de cette femme à un groupe social privilégié[43].

    Des silex tout comme des restes (dont des os calcinés) d'antilope saïga, de lynx, de rennes, de bisons, de loups, de cerfs et de renards polaire (correspondants aux conditions de Steppes froides et sèches) sont identifiés dans des talus, cavernes et abris sous roche en partie effondré en rive droite de la Dordogne[44] - [45].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 1983 Pierre Rostang
    1983 ? Patrice Dumas de La Roque
    mars 2008 En cours Philippe Duverger SE[46] Ancien commerçant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

    En 2020, la commune comptait 393 habitants[Note 9], en augmentation de 1,29 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    367383340448466462484508501
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    451462468477414415440430458
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    434410315339360367286310382
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    374340303314339316384378393
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Germain-et-Saint-Loup
    L'église[51], bien conservée, offre un exemple d’architecture romane tardive. L’architecture de l’église présente une nef voûtée en ogive surbaissée. Le sanctuaire se termine par un chevet plat.
    Au milieu de l’édifice, deux arcs doubleaux renforcent la voûte. Les arcs s’appuient sur un pilastre et une colonne engagée aux chapiteaux ornés de feuilles de vigne, d’acanthe et de masques.
    A l’origine l’édifice comporte un clocher carré. Cependant, il est détruit par la foudre et remplacé en 1780 par un pignon élevé sur le mur occidental. Les arcs s’appuient sur un pilastre et une colonne engagée aux chapiteaux ornés de feuilles de vigne, d’acanthe et de masques. Le clocher actuel, construit en 1846, est carré à la base et octogonal au premier étage. Il est surmonté d’une flèche.
    Cette église conserve deux statues en bois du XIIIe siècle représentant une femme assise et un évêque debout.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[36].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Saint-Germain de la Rivière - Office de Tourisme du Fronsadais », sur Office de Tourisme du Fronsadais (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Beychac et Caillau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Germain-de-la-Rivière et Beychac-et-Caillau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Beychac et Caillau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Germain-de-la-Rivière et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. Espèces, INPN, consulté le .
    19. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    20. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    21. Espèces, INPN, consulté le .
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Germain-de-la-Rivière », sur Géorisques (consulté le )
    29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    30. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Germain-de-la-Rivière », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    36. Article R214-112 du code de l’environnement
    37. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    39. le bloc gravé de Saint Germain la rivière, Revue archéologique de Bordeaux, Volume 93, Société archéologique de Bordeaux, 2002
    40. Le gisement et le squelette de Saint-Germain-la-rivière, Volume 34 de Archives de l'Institut de paléontologie humaine. Mémoire, Éditeur Masson, 1972
    41. https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/parure-de-la-sepulture-de-saint-germain-la-riviere_coquille-materiau_dent-materiau
    42. https://musee-prehistoire-eyzies.fr/collection/objet/la-parure-de-saint-germain-la-riviere
    43. Marian Vanhaeren and Francesco d’Errico, Le mobilier funéraire de la Dame de Saint-Germain-la-Rivière (Gironde) et l’origine paléolithique des inégalités https://journals.openedition.org/paleo/1293
    44. revue Gallia préhistoire, Volumes 42 à 44, Ministère de l'éducation nationale, CNRS, 2000
    45. Préhistoire, art et sociétés: bulletin de la Société préhistorique Ariège-Pyrénées, Volume 60, Société préhistorique Ariège-Pyrénées, 2005
    46. Voici vos 542 maires, édition spéciale de Sud Ouest d'avril 2008
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. L'église Saint-Germain-et-Saint-Loup sur le site de l'Office de Tourisme du Fronsadais.
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