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Lizac

Lizac est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Lizac
Lizac
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes Terres des Confluences
Maire
Mandat
Bernard Garguy
2020-2026
Code postal 82200
Code commune 82099
DĂ©mographie
Gentilé Lizacais
Population
municipale
539 hab. (2020 en augmentation de 6,94 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 57 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 06â€Č 22″ nord, 1° 11â€Č 15″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 168 m
Superficie 9,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Moissac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Moissac
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Lizac
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Lizac
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Lizac
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Lizac

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Tarn, le Lemboulas, le ruisseau de Lembenne et par un autre cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Lizac est une commune rurale qui compte 539 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Moissac. Ses habitants sont appelĂ©s les Lizacais ou Lizacaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune située entre Moissac et Lafrançaise.

    Communes limitrophes

    Lizac est limitrophe de cinq autres communes, dont Lafrançaise en deux endroits. Les communes limitrophes sont Les Barthes, Labastide-du-Temple, Lafrançaise, Meauzac et Moissac.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 942 hectares ; son altitude varie de 63 Ă  168 mĂštres[2].

    Voies de communication et transports

    AccÚs par la SNCF en gare de Castelsarrasin, par l'autoroute A62 et les routes départementales D 101 et D 927.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Lizac.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Tarn, le Lemboulas, le ruisseau de Lembenne et un bras du Tarn, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont LozĂšre et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Saint-Nicolas-de-la-Grave, aprĂšs avoir traversĂ© 98 communes[5].

    Le Lemboulas, d'une longueur totale de 56,7 km, prend sa source dans la commune de Lalbenque et s'Ă©coule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn Ă  Castelsarrasin, aprĂšs avoir traversĂ© 15 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 780 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Durfort », sur la commune de Durfort-Lacapelette, mise en service en 1993[13] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 765,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et Ă  17 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour 1981-2010[17] Ă  14 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[23], d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensĂ©e sur la commune[25] : le « talus et coteaux du chĂąteau des Mothes » (19 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [25] : la « basse vallĂ©e du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[27].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Lizac.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Lizac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [28] - [I 1] - [29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moissac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,4 %), terres arables (12,6 %), eaux continentales[Note 10] (6 %), zones urbanisĂ©es (0,7 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lizac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Montauban-Moissac, regroupant 15 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement du Tarn, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. La crue historique de mars 1930 a provoquĂ© des dĂ©gĂąts considĂ©rables. Le sinistre a fait 210 morts et prĂšs de 10 000 sinistrĂ©s. 120 morts ont Ă©tĂ© recensĂ©s pour la seule ville de Moissac aprĂšs la rupture des digues et 2 769 maisons ont Ă©tĂ© dĂ©truites en Tarn-et-Garonne. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[34]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1999 et 2003[35] - [31].

    Lizac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne prĂ©sentant toutefois globalement un niveau d’alĂ©a moyen Ă  faible trĂšs localisĂ©, aucun Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les risques d’incendie de forĂȘt (PFCIF) n'a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©. Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 11] - [36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lizac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (92 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 230 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 230 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 96 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[39].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2000, 2003, 2006 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[40].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Pareloup, un ouvrage de classe A[Note 12] dans l'Aveyron sur les riviĂšres Aveyron et Viaur, disposant d'une retenue de 169 millions de mĂštres cubes[42]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[43].

    Toponymie

    Les habitants de la commune sont appelés les Lizacais.

    Les formes anciennes sont les suivantes : Lizag, en 1085-1115, villa de Liciaco, en latin, en 1091-1092, Lizago, en 1090-1093, sancti Stephani de Liciaco, en latin, en 1096, Lizag, en 1109-1110 et en 1126, de Liciaco, en latin, en 1130, Lizac, en 1130 et en 1200, Lisiaco, en latin, en 1202 e 1212, Sancti Stephani de Lizaco, en latin, en 1240, Lizaco, Lhisaco, en latin, en 1268, Lizacum, en latin, en 1270, mansis de Lisaco, en latin, en 1271, capellania de Lhisaco, en latin, en 1326 et vers 1400, Lizac, en 1526, Sanctus Martialis de Lizaco, aliter de Liciaco, en latin, en 1580, Sancti Martialis de Lizaco, en latin, en 1640. Le nom de Lizac devrait venir d'un nom latin d'homme *Lisius, pas attestĂ©, avec le suffixe gaulois -āco(n) (selon Dauzat, NĂšgre, puis Burgan et Lafon)[44] - [45], ou d'un nom gaulois d'homme Lētios, selon Delamarre (Letius, « le gris », attestĂ©)[46]. De toute façon, Lizac Ă©tait probablement un ancien grand domaine antique qui avait comme maĂźtre *Lisius ou Lētios.

    Sancti Stephani est le nom d'une ancienne Ă©glise Saint-Étienne, disparue. Sancti Martialis reprĂ©sente l'Ă©glise plus rĂ©cente et celle actuelle, Saint-Martial. Les formes Lizag, avec finale sonore, reprĂ©sentent une ancienne prononciation[44] : L.. -āco(n) > Lizago (sonorisation de la sourde [-k-] en position intervocalique) > Lizag (amuĂŻssement de la finale atone) > Lizac (assourdissement des finales consonantiques sonores). La finale -g peut rester quelque temps dans l'Ă©criture aprĂšs son assourdissement effectif.

    Signalons une Ă©tymologie populaire (voir paragraphe suivant) : le nom est censĂ© venir de la lisa ['lizɔ], « limon, boue ».

    Histoire

    L’étymologie (populaire) parle d’elle-mĂȘme : ce village est un enfant de la lise, terre fertile et limoneuse du Tarn gĂ©nĂ©reux, pourvoyeuse sĂ©culaire de fruits charnus et de ceps enviĂ©s. Si une ancienne occupation prĂ©historique puis gallo-romaine du site est attestĂ©e, c’est au Moyen Âge que le bourg prend son essor au milieu de marais relativement insalubres assainis par des moines. La terre, fĂ©condĂ©e par la riviĂšre, au grĂ© des crues, se pare Ă  l’envi de blĂ©s dans la plaine ; tandis que les coteaux se couvrent peu Ă  peu de vignes bariolĂ©es. Symbiose excellente qui se parachĂšve avec un XIXe siĂšcle triomphal, qui est couronnĂ© le par une accession, difficile mais mĂ©ritĂ©e, Ă  l’indĂ©pendance sous l’égide de la famille De Saint Cirq : la simple paroisse Saint-Martial de Lizac devient commune coupant rĂ©solument le double cordon ombilical qui la reliait administrativement Ă  Moissac et Ă  Lafrançaise.

    Avec le XXe siĂšcle, Lizac semble prendre le parti des mutations tous azimuts : la riviĂšre prend moins d'importance ; on la dĂ©laisse d’autant plus que les inondations de 1930 ont fait des ravages. Les orpailleurs ont quittĂ© les lieux et les passeurs qui rendaient si proches les communes de l’autre rive ne sont plus, laissant la place aux touristes. On se tourne dĂ©sormais, le rĂ©seau routier et le chasselas aidant, vers la capitale Ă©conomique, vers Moissac. En 1994, un jumelage avec la bretonne Quelneuc, rendue indĂ©pendante la mĂȘme annĂ©e, semble venir couronner le millĂ©naire, parachevant ainsi une volontĂ© non dissimulĂ©e de marier tradition et modernitĂ© dans un Ă©largissement inexorable, mais nĂ©cessaire d’horizons restĂ©s jusque-lĂ  un peu limitĂ©s.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de onze[47] - [48].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune fait partie de la deuxiÚme circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Terres des Confluences et du canton de Moissac (avant le redécoupage départemental de 2014, Lizac faisait partie du canton de Moissac-2).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1863 1874 Bernard Falguieres
    1874 1876 Antoine Belloc
    1876 1878 Bernard Falguieres
    1878 1884 Raymond Nougayrede
    1884 1892 Bernard Falguieres
    1892 1937 EugĂšne Falguieres
    1937 1977 Frédéric Saintemarie
    1977 mars 2001 Maurice Chauderon
    mars 2001 mars 2008 Guy Tauriac
    mars 2008 En cours Bernard Garguy PRG Cadre supérieur
    [49] Président de la Communauté de communes (2017-2020)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[51].

    En 2020, la commune comptait 539 habitants[Note 13], en augmentation de 6,94 % par rapport Ă  2014 (Tarn-et-Garonne : +3,86 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    769758705628602577585547560
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    550520525590531489506472455
    1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
    418445452414439437482501539
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee Ă  partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[54] 1975[54] 1982[54] 1990[54] 1999[54] 2006[55] 2009[56] 2013[57]
    Rang de la commune dans le département 86 106 83 89 94 99 99 97
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 210 mĂ©nages fiscaux[Note 14], regroupant 545 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 900 â‚Ź[I 4] (20 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]5,6 %13 %5,8 %
    DĂ©partement[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  315 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (70,9 % ayant un emploi et 5,8 % de chĂŽmeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 15] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Moissac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 118 emplois en 2018, contre 111 en 2013 et 107 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 229, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 57,7 %[I 10].

    Sur ces 229 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    31 établissements[Note 16] sont implantés à Lizac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble31
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    722,6 %(9,6 %)
    Construction722,6 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    412,9 %(29,7 %)
    Activités financiÚres et d'assurance13,2 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres13,2 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    13,2 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    516,1 %(13,6 %)
    Autres activités de services516,1 %(9,3 %)

    Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 22,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (7 sur les 31 entreprises implantĂ©es Ă  Lizac), contre 14,9 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    L'entreprise ayant son siÚge social sur le territoire communal qui génÚre le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[58] :

    • Thanatopraxie Sud, services funĂ©raires (342 k€)

    Enseignement

    Lizac fait partie de l'académie de Toulouse.

    École communale de type alsacien (reconstruction à la suite des inondations de 1930).

    Agriculture

    La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations59453726
    SAU[Note 19] (ha)871621524581

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 59 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] Ă  45 en 2000 puis Ă  37 en 2010[61] et enfin Ă  26 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[62] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 871 ha en 1988 Ă  581 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 15 Ă  22 ha[61].

    Culture et festivités

    Salle des fĂȘtes polyvalente,

    Lieu de tournage du film Le Lieu du crime.

    Activités sportives

    Chasse, pĂ©tanque, pĂȘche, Moto-cross

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martial.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    12. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[41].
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    14. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    15. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    16. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    17. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    18. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    19. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    20. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Lizac » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Moissac » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lizac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lizac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lizac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lizac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Lizac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « le Tarn »
    6. Sandre, « le Lemboulas »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    18. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lizac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lizac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    40. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur www.tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    41. Article R214-112 du code de l’environnement
    42. « barrage de Pareloup », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    43. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur www.tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    44. Paul Burgan, André Lafon, Toponymie du Tarn-et-Garonne, Association Antonin Perbosc, 2006, p. 193
    45. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 400, à Lézan
    46. Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne, Éd. Errance, 2012, p. 175, 300 et 353
    47. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    48. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    54. INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    55. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    56. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    57. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    58. « Entreprises à Lizac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    59. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    60. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    61. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Lizac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    62. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    63. « Église paroissiale Saint-Martial », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
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