La Forêt-sur-Sèvre
La Forêt-sur-Sèvre est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.
La Forêt-sur-Sèvre | |||||
Château de La Forêt-sur-Sèvre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Bressuire | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais | ||||
Maire Mandat |
Thierry Marolleau (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 79380 | ||||
Code commune | 79123 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 284 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 46′ 15″ nord, 0° 38′ 55″ ouest | ||||
Altitude | Min. 147 m Max. 227 m |
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Superficie | 55,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bressuire (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cerizay | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
La commune est située au croisement des axes Niort-Cholet et Bressuire-Fontenay-le-Comte, elle est comme son nom l'indique sur les bords de la Sèvre Nantaise.
Communes limitrophe
Saint-André-sur-Sèvre | Cerizay | Bressuire | ||
Menomblet | N | Courlay | ||
O La Forêt-sur-Sèvre E | ||||
S | ||||
Saint-Pierre-du-Chemin | Moutiers-sous-Chantemerle | Moncoutant |
Voies de communication et transports
La Forêt-sur-Sèvre est desservie en autocars par le réseau Tréma (lignes 112, 113 et 116).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bressuire », sur la commune de Bressuire, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 860,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 52 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
La Forêt-sur-Sèvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,6 %), terres arables (32,3 %), prairies (26,9 %), zones urbanisées (2,8 %), forêts (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Forêt-sur-Sèvre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d'être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Argenton, le ruisseau Hière et la Sèvre Nantaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 24 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Forêt-sur-Sèvre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].
Économie
Industrie alimentaire
Une ferme producteur de viandes bovines : la ferme de l'Ivronière.
Histoire
Au Moyen Age, une famille féodale locale de ce son nom en assume la seigneurie (comme aussi celle de La Forest-Ste-Verge) : les La Forest, à partir de Renaud Ier de La Forest, dans la seconde moitié du XIe siècle[27]. Cette terre noble, constituant une baronnie, était dans la mouvance des vicomtes (puis ducs) de Thouars (dont les La Trémoïlle à partir de 1483). À la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe, Josselin Ier de La Forest (1260-1317), acquit Commequiers sur un des Maurice de Belleville-Montaigu de La Garnache (Maurice IV, † en 1292 ?). Son petit-fils Guy II de La Forest († v. 1383/1387 ou selon une chronologie resserrée vers 1384/1385 ; fils de Guy Ier) eut pour fille héritière Isabelle de La Forest, femme de René Ier Jousseaume († le 12 juillet 1417). Isabelle et René enfantèrent :
- René (II) le Jeune Jousseaume (né vers 1380 ?-† prédécédé, c'est-à-dire avant son père René Ier)[28], marié vers 1403 à Jeanne Larchevêque, fille de Louis Larchevêque (de Parthenay) de Taillebourg, lui-même fils de Guy Larchevêque de Taillebourg et Soubise, et petit-fils de Guillaume VI Larchevêque de Parthenay) ; Louis ; Jean (III) ; et Guillaume Jousseaume, qui fut en 1413 le protagoniste d'une sombre affaire de rapt, ayant enlevé une cousine, Jeanne Jourdain[29].
- René (II) et Jeanne Larchevêque eurent pour héritier leur fils aîné, Jean (IV) Jousseaume (v. 1403-† v. 1428/1432 ou dès 1427 ?), sire de La Forest et de Commequiers, marié — comme son 1° époux — à Jeanne de L'Isle-Bouchard, dame de Gonnor et Thouarcé (ladite Jeanne (née vers 1400-† 1457) était la sœur cadette de Catherine, dame de L'Ile-Bouchard (née v. 1390/1395-† 1474) dont le 4° mari fut Georges de La Trémoïlle, d'où Louis Ier de La Trémoille, vicomte de Thouars).
- La fille héritière de Jean (IV) et Jeanne de L'Ile-Bouchard, Jeanne Jousseaume (v. 1423-1478), dame de La Forest, Commequiers et Thouarcé, épousa en 1440 Louis II de Beaumont, baron de Bressuire et sire du Plessis-Macé (1407-1477) : d'où l'évêque Louis de Beaumont, et sa sœur Catherine de Beaumont (née vers 1443-† av. 1485), dame de La Forest et de Commequiers, du Plessis-Macé et de Thouarcé, qui maria en 1461 Eustache (Ier) du Bellay de Gizeux (né v. 1440-† 1504 ; veuf, il devint le Solitaire de Gizeux) et fut la mère entre autres enfants de Jean du Bellay de Gonnor (vers 1480-† vers 1523/1527), père du célèbre poète Joachim du Bellay.
- Catherine de Beaumont et Eustache du Bellay furent suivis de leur fils aîné, René Ier du Bellay de Gizeux († avant 1532 ; frère aîné dudit Jean du Bellay), époux vers 1496 de Marquise († ap. 1531), fille de Pierre de Laval-Loué ; en mai 1515, le père de Pierre de Ronsard, Louis de Ronsard, prêta l'hommage audit René Ier pour son fief de Noirterre, venu de sa femme Jeanne Chaudrier et relevant de la baronnie de La Forest-sur-Sèvre. Un arrière-petit-fils de René et Marquise de Laval fut Martin (III) du Bellay (1571-1637), prince d'Yvetot.
- La fille héritière de Jean (IV) et Jeanne de L'Ile-Bouchard, Jeanne Jousseaume (v. 1423-1478), dame de La Forest, Commequiers et Thouarcé, épousa en 1440 Louis II de Beaumont, baron de Bressuire et sire du Plessis-Macé (1407-1477) : d'où l'évêque Louis de Beaumont, et sa sœur Catherine de Beaumont (née vers 1443-† av. 1485), dame de La Forest et de Commequiers, du Plessis-Macé et de Thouarcé, qui maria en 1461 Eustache (Ier) du Bellay de Gizeux (né v. 1440-† 1504 ; veuf, il devint le Solitaire de Gizeux) et fut la mère entre autres enfants de Jean du Bellay de Gonnor (vers 1480-† vers 1523/1527), père du célèbre poète Joachim du Bellay.
- René (II) et Jeanne Larchevêque eurent pour héritier leur fils aîné, Jean (IV) Jousseaume (v. 1403-† v. 1428/1432 ou dès 1427 ?), sire de La Forest et de Commequiers, marié — comme son 1° époux — à Jeanne de L'Isle-Bouchard, dame de Gonnor et Thouarcé (ladite Jeanne (née vers 1400-† 1457) était la sœur cadette de Catherine, dame de L'Ile-Bouchard (née v. 1390/1395-† 1474) dont le 4° mari fut Georges de La Trémoïlle, d'où Louis Ier de La Trémoille, vicomte de Thouars).
En 1612, Martin (III) du Bellay céda La Forest au théologien et chef calviniste Philippe Duplessis-Mornay (1549-† au château de La Forest le 11 novembre 1623)[30], dont hérita sa fille aînée, Marthe de Mornay, dame de La Forest (née le 17 décembre 1576-† 1633), mariée en 1599 à Jean III de Jaucourt (> Seconde famille) de Villarnoult (né vers 1572). Leur fils aîné, Philippe II de Jaucourt (?-1660), baron de Villarnoult et de La Forest, époux de Marguerite de Gueribalde, assura la suite de ces seigneuries (voir à l'article Bussières) ; Père de :
- Jean-Philippe de Jaucourt, marquis de Villarnoult et baron de La Forest-sur-Sèvre, seigneur de Rouvray et de Saint-Brancher, passé en Hollande à la Révocation de l'Édit de Nantes et mort à La Haye avant 1695 ; Père de :
- Philippe III de Jaucourt († le 20 mai 1738 à La Haye),
- et de l'héritière Catherine-Renée de Jaucourt, dame de Villarnoult, baronne de La Forest, qui fut restaurée et maintenue dans la possession des biens de sa maison par deux arrêts du Conseil d’État rendus en 1695 et 1699. Elle épousa Charles, comte du Bellay de La Pallu, un arrière-petit-fils d'Eustache (II) du Bellay de Commequiers († vers 1589 ou vers 1608 ? ; petit-fils de René Ier du Bellay de Gizeux, et oncle paternel de Martin (III) ci-dessus).
- En 1722, la fille héritière de Charles et Catherine-Renée, Catherine-Félicité du Bellay-La Pallu (1707-1727), épousa Anne-Auguste de Montmorency, prince de Robech (1679-1745), d'où Postérité : cf. Racines&Histoire : du Bellay, p. 8-10 ; leurs deux fils étaient Anne-Louis-Alexandre (1724-1812) et Louis-Anne-Alexandre de Montmorency-Robech (1725-1795).
Au cours des Guerres de Vendée sous la Révolution, le château deviendra alternativement la geôle des Bleus (Républicains) ou des Blancs (Royalistes), et sera incendié le 7 octobre 1793 par les Révolutionnaires. En 1819, sous la Restauration, un acquéreur, M. de La Maquillé, entreprend d’en relever les ruines[31].
Après la Révolution de juillet 1830, il fut acheté par le marquis de la Rochejaquelein, Henri-Auguste-Georges du Vergier de La Rochejaquelein (1805-1867) ; puis en 1855 par le comte Louis-Charles-Philippe-Henri de Rohan-Chabot (1806-1872 ; dernier enfant du duc Alexandre-Louis-Auguste).
Vente du domaine en 1891 à un industriel choletais du mouchoir, Alexandre Turpault (1819-1899 ; fait chevalier de la Légion d’honneur le 29 octobre 1889), un ancêtre de Georges Galichon (1915-2003 ; maire de 1969 à 1973 et conseiller général du canton de Cerizay de 1967 à 1977).
Par arrêté préfectoral du effectif au , les communes de Montigny, La Ronde et Saint-Marsault entrent en fusion-association avec La Forêt-sur-Sèvre[32].
Depuis 2014, la commune appartient à la communauté d'agglomération du Bocage bressuirais.
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[35].
Démographie
En 1973, Montigny, La Ronde et Saint-Marsault fusionnent avec La Forêt-sur-Sèvre.
Démographie de Montigny
Démographie de La Ronde
Démographie de Saint-Marsault
Démographie de La Forêt-sur-Sèvre
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2020, la commune comptait 2 284 habitants[Note 9], en diminution de 1,81 % par rapport à 2014 (Deux-Sèvres : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame de la Ronde.
- Église Saint-Martial de Saint-Marsault.
- Église Saint-Sauveur de la Forêt-sur-Sèvre.
- Le château de La Forêt-sur-Sèvre : inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. Cette vaste demeure est incendiée lors des guerres de Vendée. En 1855, elle appartint, après le marquis de La Rochejaquelein, au comte de Rohan-Chabot (dont les armes ornent la boule de l'escalier du vestibule) qui parachève la restauration entreprise en 1819 par M. de Maquillé. Puis à la fin du XIXe siècle, l'industriel Alexandre Turpault en devient propriétaire ; le château appartient aujourd'hui à ses descendants.
Personnalités liées à la commune
- Famille de Beaumont-Bressuire
- Philippe Duplessis-Mornay (1549-1623)
- Augustin Dehargues, officier de l'armée vendéenne, né à La Ronde vers 1763.
- Jacques-Pierre Bujault (1771-1842), homme politique et vulgarisateur agricole
- Henri Vion (1902-1977), évêque de Poitiers
- Clémence Guetté (1991-), personnalité politique et députée française
Voir aussi
Articles connexes
Sources
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bressuire - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Forêt-sur-Sèvre et Bressuire », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de La Forêt-sur-Sèvre », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Historique du château de La Forêt-sur-Sèvre, avril 2022 », sur Les Portes du Temps
- « René II Jousseaume, sire de Commequiers et de La Forest sur Sèvre », sur Geneanet, arbre de "Vendée militaire"
- « Les enlèvements dont fut victime Jeanne Jourdain en 1412 et 1413, p. 219-229 », sur Société des Archives historiques du Poitou, t. XXVI, chez Oudin et Cie, à Poitiers, 1896 : Recueil des documents concernant le Poitou enregistrés à la Chancellerie de France, t. VII, éd. par Paul Guérin
- « Acquisition de La Forêt sur Sèvre par Duplessis-Mornay, 1612, p. 244-245 », sur Bulletin de la Société archéologique de Nantes et de la Loire-inférieure, t. VIII, 1868, chez Vincent Forest et Emile Grimaud, à Nantes : Documents inédits éd. par Paul Marchegay
- « L'incendie du château de La Forêt-sur-Sèvre, par Le Loup, octobre 2017 », sur Chemins secrets
- Code officiel géographique - Fiche de la commune de La Forêt-sur-Sèvre sur le site de l'Insee, consulté le 29 novembre 2010.
- Maire durant l'Occupation, il est démis de ses fonctions et est déclaré inéligible à la Libération.
- Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montigny », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.