Accueil🇫🇷Chercher

La Grimaudière

La Grimaudière est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

La Grimaudière
La Grimaudière
L'église Saint-Cybard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Claude Sergent
2020-2026
Code postal 86110, 86330
Code commune 86108
Démographie
Population
municipale
405 hab. (2020 en augmentation de 10,35 % par rapport à 2014)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 29″ nord, 0° 01′ 07″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 121 m
Superficie 19,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Grimaudière
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Grimaudière
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
La Grimaudière
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
La Grimaudière

    Géographie

    En Haut-Poitou, dans le nord-ouest du département de la Vienne, La Grimaudière est une commune arrosée par la Dive. Deux autres communes lui sont associées : Notre-Dame-d'Or et Verger-sur-Dive.

    Le climat est océanique avec des étés tempérés.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Grimaudière
    Moncontour
    (par l'enclave de Saint-Chartres)
    Marnes
    (Deux-Sèvres)
    Saint-Jean-de-Sauves
    Assais-les-Jumeaux
    (Deux-Sèvres)
    La Grimaudière Mazeuil
    Craon

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 675 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thenezay », sur la commune de Thénezay, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 692,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Grimaudière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), zones urbanisées (2,1 %), forêts (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Grimaudière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Grimaudière.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 94,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Toponymie

    Le nom de la commune dériverait du nom de la famille Grimaud, par lequel le lieu a été désigné sous la forme de Paganus Grimaudi en 1219, puis Grimauderia à partir de 1282[27].

    Histoire

    À la suite d'un arrêté préfectoral du , La Grimaudière entre en fusion-association le avec celles de Notre-Dame-d'Or et Verger-sur-Dive qui deviennent associées à La Grimaudière[28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 septembre 2013 André Gonnord[29] - [30]

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 405 habitants[Note 8], en augmentation de 10,35 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    250277260270275274267280267
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    283280307335351361373350349
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350336330321299312337315339
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    290284480467459402393392377
    2017 2020 - - - - - - -
    397405-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008,selon l'Insee, la densité de population de la commune était de 20 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 23 exploitations agricoles en 2010 contre 31 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 946 hectares en 2000 à 1 826 hectares en 2010. 64 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 1 % pour les protéagineux (pois), 3 % pour le fourrage et moins de 1 % en herbes. En 2010, un hectare (3 en 2000) est consacré à la vigne[35].

    Quatre exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un élevage de chèvres (1 422 têtes en 2010 contre 2 113 têtes)[35]. C’est encore un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[36].

    Les élevages de bovins et d'ovins ont disparu en 2010 (respectivement 69 têtes sur trois fermes et 16 têtes sur quatre exploitations en 2000)[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Cybard se dresse au cÅ“ur du village, non loin de la source et de l'ancien château. Une tourelle extérieure abrite l'escalier du clocher. Le clocher-mur soutient deux cloches. La plus ancienne date de 1780 et a été baptisée Saint Cybard. Elle pèse 88 kg et sonne mi. La deuxième pèse 125 kg et date de 1967. Elle sonne ré. Le mur latéral nord possède deux contreforts. Le mur sud est orné d'une corniche romane à modillons présentant les sept péchés capitaux. L'unique nef est entièrement voutée en ogive. Elle comporte trois travées. Elle se termine par un chÅ“ur et une abside romane. Treize vitraux éclairent l'édifice. Le plus ancien date du XIXe siècle. Sept d'entre eux ont été inaugurés en 1992. Ils sont du maître verrier Rouillard. Depuis le jubé, des peintures du XIXe siècle couvrent les trois voûtes. L'église est inscrite comme Monument Historique depuis 1926.
    • L'église de Notre-Dame-de-Notre-Dame-d'Or est d'origine romane. Elle a été fortement remaniée à la suite d'un incendie. Le clocher-mur abrite deux cloches, l'une date de 1858 et l'autre de 1989. La statue de la Vierge située au-dessus du portail date de l'an 2000. Elle remplace une statue polychrome qui est, maintenant, installée dans l'église. Les deux travées du chÅ“ur sont classées Monument Historique depuis 1942. Deux colonnes romanes sont surmontées de chapiteaux. L'un d'eux est orné de feuilles d'acanthe et l'autre de deux sirènes hybrides à tête barbue et corps d'oiseaux. Ce dernier est classé comme Monument Historique depuis 1942. L'église abrite trois retables du XVIIe siècle en calcaire. Le retable du maître-autel est dédié à l'Assomption de la Vierge. Les deux autres représentent la Pentecôte et l'Ascension.
    • L'église de la Grimaudière est inscrite comme Monument Historique depuis 1926.
    • Les plaines du Mirebalais et du Neuvillois sont classées comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[37]

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Thenezay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Grimaudière et Thénezay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Thenezay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Grimaudière et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de La Grimaudière », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Grimaudière », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    27. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    28. Commune de la Grimaudière sur le site de l'Insee, consulté le 27 décembre 2016.
    29. Décédé en fonctions.
    30. Le maire de La Grimaudière s'éteint à l'âge de 76 ans sur le site de la Nouvelle République, consulté le 12 septembre 2013.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    36. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    37. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.