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La Cassagne

La Cassagne est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La Cassagne
La Cassagne
Le village de La Cassagne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Sébastien Luneau
2020-2026
Code postal 24120
Code commune 24085
Démographie
Gentilé Cassagnais
Population
municipale
155 hab. (2020 en diminution de 0,64 % par rapport à 2014)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 47″ nord, 1° 19′ 08″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 303 m
Superficie 14,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Cassagne
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La Cassagne
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La Cassagne
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La Cassagne

    Géographie

    Généralités

    Au cœur du Périgord noir, la commune de La Cassagne est arrosée au nord-ouest par un affluent de la Vézère, le Coly, qui y prend sa source.

    Le bourg, traversé par la route départementale 62, est situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud de Terrasson-Lavilledieu et treize kilomètres à l'est de Montignac-Lascaux.

    Communes limitrophes

    Carte de La Cassagne et des communes avoisinantes en 2018.

    En 2019, La Cassagne est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de La Cassagne
    Terrasson-Lavilledieu La Dornac
    Coly-Saint-Amand La Cassagne
    Archignac Jayac

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Cassagne est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1]. Elle est dans le causse de Terrasson qui concerne quelques communes, au sud de Terrasson-Lavilledieu, sur les coteaux en rive gauche de la Vézère.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2-3(Bz), date du Bajocien moyen au Bathonien inférieur, composée de calcaires micritiques et sublithographiques à oncolithes et de stromatolithes en alternance avec des niveaux de marnes noires en bancs réguliers. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de La Cassagne.

    Relief et paysages

    La vallée du Coly, un kilomètre en contrebas de sa résurgence.

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 106 m et 303 m[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,85 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,11 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Chironde, le Coly et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Chironde, d'une longueur totale de 15,41 km, prend sa source dans la commune de Saint-Crépin-et-Carlucet et se jette dans le Coly en rive gauche à Coly-Saint-Amand (territoire de l'ancienne commune de Coly)[15] - [16]. Elle arrose très brièvement le nord-ouest de la commune, au niveau de la Grande Prade, partiellement en limite de Coly-Saint-Amand.

    Le Coly, d'une longueur totale de 10,13 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Vézère au bourg de Condat-sur-Vézère en rive gauche[17]. Il arrose le nord-ouest de la commune sur près de deux kilomètres dont 350 mètres servent de limite naturelle face à Coly-Saint-Amand.

    • La Doux de Coly (sa source).
      La Doux de Coly (sa source).
    • Le Coly, un kilomètre en contrebas de sa source.
      Le Coly, un kilomètre en contrebas de sa source.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de la Cassagne.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 944 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[26] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[27] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 21 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    La Cassagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,5 %), prairies (13,3 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de La Cassagne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

    La Cassagne est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[41]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[42] - [43].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[44]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes la Cassaigne en 1251[45], Cassanea en 1320, puis Cassanha en 1365[46].

    Le toponyme La Cassagne est de type occitan, issu d'un bas latin cassanea, basé sur le terme cassanu « chêne » (qui a donné chêne en français, terme issu du gaulois cassanos) suivi du suffixe collectif latin -ea, d'où le sens global de « chênaie »[47].

    En occitan, la commune porte le nom de La Cassanha[48].

    Histoire

    Avant 1367, Gilbert de Dome (ou Domme), seigneur de Vitrac et de Domme-Vieille, sénéchal du Périgord, vend le château de La Cassagne à Bertrand Aytz[49]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de La Cassagne a, dès 1790, été rattachée au canton de la Cassagne qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

    Fin 2003, La Cassagne intègre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50] - [51].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Jean Boisserie DVG
    mars 1989 mars 2004 André Constant
    mars 2004 mars 2014 Simone Donzeau SE[52] Retraitée de l'Éducation nationale
    mars 2014[53] mai 2020 Charles Sol
    mai 2020 En cours Sébastien Luneau

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, La Cassagne relève[54] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de La Cassagne se nomment les Cassagnais[55].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].

    En 2020, la commune comptait 155 habitants[Note 8], en diminution de 0,64 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    477568560546560552549560562
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    592577551510526491457476443
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    343375344286258238227232180
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    161132113112120123146150154
    2017 2020 - - - - - - -
    151155-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 75 personnes, soit 48,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (treize) a augmenté par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-trois établissements[60], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, trois dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[61].

    Culture locale et patrimoine

    La source du Coly

    Situé à proximité d'un ancien moulin (le moulin de Ladoux, autrefois fontaine de la Doux, en occitan La Dotz), et visible de la route, à peine caché par un muret, ce large bassin (mesurant 172 mètres de circonférence et 10 mètres de profondeur) à l'eau claire, bleutée ou verte suivant le moment, attire de nombreux curieux notamment pour la puissance de sa chute d'eau mais aussi pour le mystère qu'il renferme et que l'on tente d'apercevoir à l'œil nu, à savoir l'entrée du siphon souterrain.

    Longtemps considéré comme le plus grand siphon du monde, celui-ci attire de nombreux sportifs spécialisés en plongée (en dehors des pompiers qui viennent y faire leur entraînement de plongée).

    Sans aucune poche d'air, celui-ci s'étend sur plus de cinq kilomètres[62] et a été exploré pendant quelque temps par le suisse Olivier Isler.

    Par la suite, cette curiosité de la nature a été le sujet d'une émission télévisée, puisque Nicolas Hulot, à travers son émission Ushuaïa Nature, s'est laissé tenter par une petite visite qu'il a dû raccourcir à cause de l'ivresse des profondeurs. La Doux de Coly étant une propriété privée, les propriétaires n'y autorisent plus l'accès[63].

    Sur plus de trois hectares, le site et ses abords sont inscrits depuis 1935[64].

    • La source du Coly.
      La source du Coly.
    • La source du Coly.
      La source du Coly.

    Les monuments

    • L'église Saint-Barthélemy.
      L'église Saint-Barthélemy.
    • Le portail de l'église.
      Le portail de l'église.
    • Le presbytèreattenant à l'église.
      Le presbytère
      attenant à l'église.
    • La croix du XVIe siècle.
      La croix du XVIe siècle.
    • La grange dîmière.
      La grange dîmière.
    • Le pigeonnier du Château.
      Le pigeonnier du Château.

    Patrimoine naturel

    Les deux tiers nord de la commune sont classés comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2. Il s'agit du causse de Terrasson à dominante boisée où se rencontrent de nombreuses espèces végétales, parmi lesquelles des orchidées terrestres[73] - [74].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11] - [12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de la Cassagne » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de La Cassagne » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Cassagne », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Cassagne », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    14. « Fiche communale de la Cassagne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    15. « Confluence Chironde-Coly au sud-est de Biat » sur Géoportail (consulté le 25 juillet 2022)..
    16. Sandre, « la Chironde »
    17. Sandre, « le Coly »
    18. « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France Prats de Carlux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Orthodromie entre La Cassagne et Prats-de-Carlux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France Prats de Carlux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre La Cassagne et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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