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La Brée-les-Bains

La Brée-les-Bains est une commune du Sud-Ouest de la France, située sur l'île d'Oléron, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

La Brée-les-Bains
La Brée-les-Bains
L'Ă©glise Notre-Dame de l'Assomption.
Blason de La Brée-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté de communes de l'Île-d'Oléron
Maire
Mandat
Philippe Chevrier
2020-2026
Code postal 17840
Code commune 17486
DĂ©mographie
Gentilé Brénais
Population
municipale
688 hab. (2020 en diminution de 1,85 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 95 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 00′ 58″ nord, 1° 20′ 52″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 11 m
Superficie 7,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Île d'Oléron
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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La Brée-les-Bains
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La Brée-les-Bains
Liens
Site web www.labreelesbains.com

    Ses habitants sont appelés les Brénais et les Brénaises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de La Brée-les-Bains se situe dans la partie septentrionale de l'île d'Oléron, dans le nord-ouest du département de la Charente-Maritime.

    Sur un plan plus général, la commune de La Brée-les-Bains est localisée dans la partie Sud-Ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

    SituĂ©e entre le territoire communal de Saint-Georges-d'OlĂ©ron, au sud, et celui de Saint-Denis-d'OlĂ©ron, au nord-ouest, la commune de la BrĂ©e-les-Bains possède la deuxième plus petite superficie parmi toutes les communes de l'Ă®le d'OlĂ©ron, avec 7,27 km2, après Le Grand-Village-Plage.

    La partie littorale de la commune, baignant le pertuis d'Antioche et faisant face Ă  l'Ă®le de RĂ© et Ă  la Rochelle, est presque entièrement urbanisĂ©e ; en outre, la majeure partie des habitations de la commune se situe Ă  moins de 500 m de la mer. Les plages de la BrĂ©e-les-Bains assurent le potentiel balnĂ©aire de la commune.

    La partie occidentale de la commune est faite de champs ; au sud-est, on trouve des marais ainsi qu'un centre ostréicole.

    • La plage de Planginot.
      La plage de Planginot.
    • Les marais, près du chenal du Douhet.
      Les marais, près du chenal du Douhet.

    Urbanisme

    Typologie

    La BrĂ©e-les-Bains est une commune rurale[Note 2] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Denis-d'OlĂ©ron, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[6] et 2 015 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), zones urbanisées (21,1 %), zones humides intérieures (18,7 %), zones humides côtières (8,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,6 %), prairies (1,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Brée-les-Bains est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[17]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempĂŞte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂŞtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de l’ordre de 400 km de cĂ´te et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 Ă  6 000 bâtiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[18]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[19] - [15].

    La BrĂ©e-les-Bains est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de l'Ile d’OlĂ©ron, un massif classĂ© Ă  risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă  un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrĂŞtĂ© du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[21]. Un autre arrĂŞtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 4] - [20] - [22] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Brée-les-Bains.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 95,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 979 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 757 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 89 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

    Histoire

    Le village se trouvait entre deux lagunes. Ce site est occupé depuis l'âge de pierre.

    La BrĂ©e est aussi connue pour quelques naufrages, comme celui de Saint-Eutrope (fondateur du diocèse de Saintes au IVe siècle) de tradition lĂ©gendaire aux Huttes (Les Trois-Pierres) et celui du « Jeune Henri Â» venant d'AmĂ©rique par des Ă©migrants rentrant au pays en 1820.

    Le moulin est le plus ancien monument identifié à La Brée ; il date du XVIIe siècle. Plusieurs orthographes du nom ont existé : La Brée, La Bray ou La Braye, la première étant la plus fréquente.

    Ă€ la fin du Moyen Ă‚ge, religieux et petite noblesse se partagent les terres. La vigne et la culture sont les activitĂ©s principales de la commune, avec la pĂŞche cĂ´tière, dans les Ă©cluses ou sur l'estran. Puis les marais salants occupent les deux lagunes. Le sel est exportĂ© vers les pays du Nord. Une crĂŞperie sur le port du Douhet occupe l'ancien poste des douanes et le quai situĂ© en amont du chenal est le « Quai des Douaniers Â».

    Au XIXe siècle, La BrĂ©e connaĂ®t son moment de gloire littĂ©raire, grâce Ă  Pierre Loti. Il est sĂ©duit par « une population accueillante Â» et par des paysages qu'il Ă©voque dans le Roman d'un enfant. De belles maisons fleurissent, occupĂ©es Ă  la belle saison par la bourgeoisie et environnĂ©es de terres entretenues par des fermiers.

    Vers 1865, le Phylloxera (puceron ravageur de la vigne) décime les vignobles et ruine leurs propriétaires. Beaucoup de terres sont rachetées par d'anciens fermiers, à bas prix. Le vignoble détruit est remplacé par des vignes américaines, beaucoup plus résistantes et qui font leur prospérité.

    Pendant la Deuxième Guerre mondiale, l'île est placée en zone interdite par l'administration allemande et couvrant la base sous-marine de la Pallice

    [réf. nécessaire]

    . La libĂ©ration d'OlĂ©ron a lieu les et , Ă  une semaine de la capitulation allemande, un an après le dĂ©barquement en Normandie.

    Après cette date et avec la généralisation des congés d'été, l'île et ses plages attirent de nombreux vacanciers. La Brée se trouve dans un lieu stratégique avec une plage sûre au cœur du village, avec des lieux de pêche réputés et un charme indéniable[28].

    En 1953, La Brée devient la commune de La Brée-les-Bains, par détachement de Saint-Georges-d'Oléron[29].

    Le leader de l'indépendance de la commune est Maurice Morandeau. Aujourd'hui, la salle polyvalente et une rue portent son nom. Depuis lors, neuf maires et environ 115 élus se sont succédé pour faire vivre et transformer la commune. La population a beaucoup changé : la population autrefois majoritairement native de l'île est remplacée par une population de citadins retraités. Les artisans sont toujours florissants dans le domaine du bâtiment, des services, des commerces et un marché couvre localement la plupart des besoins des Brénais.

    Planginot, un quartier à vocation balnéaire.

    Le tourisme s'est aussi transformé, passant d'installations de camping à des constructions plus élaborées et à des locations de villas. La fréquentation augmente toujours hors saison estivale, l'évolution des rythmes de travail et la douceur océanique y sont pour beaucoup[28].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules au moulin à vent de trois niveaux à retrait couvert d’argent, à la champagne cousue d’azur chargé d’une grappe de raisin tigée et feuillée d’or, au comble aussi cousu d’azur losangé de cinq pièces aussi d’or

    Administration

    Liste des maires

    La mairie de la Brée-les-Bains.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    13 mars 1953 21 nov. 1953 (décès) Gaston Robert
    19 déc. 1953 15 mars 1959 Olivier Monteau
    21 mars 1959 21 mars 1971 Maurice Jarrion
    21 mars 1971 11 janvier 1972 (décès) Louis-Marie Eches
    24 mars 1977 27 juin 1985 André Lefevre PCF
    1985 1995 M. Chevrier
    1995 2001 M. Chevrier
    2001 2008 Yves Servat
    2008 2014 Jean-Jacques Naud
    2014 En cours Chantal Blanchard DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    RĂ©gion

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1954. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 688 habitants[Note 5], en diminution de 1,85 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006
    360417525573578644760743742
    2009 2014 2019 2020 - - - - -
    758701684688-----
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 13,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 61,3 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 321 hommes pour 368 femmes, soit un taux de 53,41 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,15 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,5
    90 ou +
    3,3
    21,3
    75-89 ans
    22,5
    35,1
    60-74 ans
    37,5
    15,7
    45-59 ans
    15,6
    11,6
    30-44 ans
    7,9
    8,1
    15-29 ans
    7,1
    5,6
    0-14 ans
    6,0
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,5
    9,5
    75-89 ans
    12,3
    21,6
    60-74 ans
    22,6
    20,2
    45-59 ans
    19,8
    16,5
    30-44 ans
    15,9
    15,2
    15-29 ans
    12,8
    15,9
    0-14 ans
    14,1

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le moulin.
    • L’église Notre-Dame de l'Assomption, construite en 1958 elle a Ă©tĂ© bĂ©nie le .
    • Le moulin de La Fontaine, du XVe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    La comédienne Sylvie Testud a une résidence secondaire dans la commune[35].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi La Brée-les-Bains comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21.
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Saint-Denis-d'Oléron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. « Les risques près de chez moi - commune de La Brée-les-Bains », sur Géorisques (consulté le )
    16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    17. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    18. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    21. « Réglementation des feux en extérieur. », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    22. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Brée-les-Bains », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    28. « La commune d'hier à aujourd'hui », sur labreelesbains.com (consulté le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Brée-les-Bains (17486) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
    35. L'express.fr : L'été oléronais de Sylvie Testud
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