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Forêt du Gâvre

La Forêt du Gâvre est la plus grande forêt domaniale de Loire-Atlantique elle possède un alignement mégalithique qui serait, à ce jour, le plus long d’Europe[1].

Forêt du Gâvre
Image illustrative de l’article Forêt du Gâvre
Sous-bois de la forêt du Gâvre
Localisation
Coordonnées 47° 31′ 00″ nord, 1° 48′ 00″ ouest
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Géographie
Superficie 4 460 ha
Altitude
· Maximale
· Minimale
31 m
60 m
25 m
Compléments
Statut Forêt domaniale
Essences Chêne, hêtre, charme, pin, bouleau
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Forêt du Gâvre
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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Forêt du Gâvre
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Forêt du Gâvre

Histoire

La forêt fut dans son histoire propriété des comtes de Nantes, des ducs de Bretagne, des rois de France avant de devenir au début de la Révolution française une forêt d'État : la forêt domaniale du Gâvre[2].

Néolithique

Les premières traces de l’histoire attachée à cette forêt remontent au néolithique, la forêt était occupé dès (-5500 à -2200 avant J.C.), l'alignement du Pilier, en est une illustration, elle semblent avoir eu un rôle astronomique ou votif. Certains alignements peuvent avoir une fonction d'observatoire astronomique en servant de visées à ciel ouvert qui permettent de déterminer les dates importantes de l'année solaire pour des sociétés d'agriculteurs-éleveurs (période des semailles ou de la transhumance des troupeaux). Et le marquage d’une zone frontière entre les Namnètes et les Riedones[3] - [4].

La découverte de haches de pierre et de bronze montre que des objets réalisés en cuivre natif travaillé à froid ou à faible température sont attestés[5]

Les Celtes y établissent un centre de transformation du minerai de fer[6]. le massif forestier constituait effectivement une zone frontière entre les Namnètes et les Riedones. De cette époque subsisterait le toponyme : allée de la Chesnaie des Drus, où dru serait un reste du celtique dru wid (très savant), c'est-à-dire druide.

Le canton des Ilettes met en évidence l’utilisation de la forêt pendant l’époque romaine par la présence de thermes.

Moyen Âge

Au XIe siècle, la forêt est le domaine des comtes de Nantes puis des rois et ducs de Bretagne à qui elle sert de réserve de chasse.

Au XIIe siècle est fondée au cœur de la forêt une léproserie (le prieuré de la Magdeleine) dont une petite chapelle subsiste aujourd’hui.

C’est au XIIe siècle avec Pierre 1er de Dreux, duc de Bretagne, que la population de la forêt commence à croître plus rapidement par la fondation d’un village, actuellement commune, Le Gâvre. Les habitants pourront utiliser les ressources de la forêt à leurs besoins ce qui favorise l’exploitation forestière déjà pour la construction navale et pour la production de sabots.

La Renaissance

Le Gâvre a appartenu à Gilles Retz, seigneur de Bretagne. La forêt passant pour être le centre de sorcellerie en Bretagne, il fut étranglé et son corps livré aux flammes. L'évêque de Nantes ordonna à l'abbé des Carmes d'aller sur le lieu maudit des Quatre Voies dans la forêt du Gâvre et d'exorciser le pays. Les scènes y cessèrent, mais continuèrent dans la forêt de Lorge. Lorsque le mariage d’Anne de Bretagne avec Charles VIII de France unifie la Bretagne au royaume de France en 1491, les terres détenues par la duchesse sont léguées à la couronne. La forêt conserve son titre de forêt royale jusqu’à la Révolution, où elle prend son titre actuel[7].

La Monarchie Absolue

La période de la Révolution ouvre une autre page de l'histoire du bois. La forêt sert d’abri aux prêtres réfractaires, ce qui est souligné par les noms de nombreuses allées forestières[8].En [9], les troupes républicaines commandées par Kléber (au Gâvre, sur la lande de la Grée) et Marceau (à Guémené-Penfao) contrôlent les accès de la forêt et obligent l'armée vendéenne, poursuivie par Westermann, à se diriger vers Savenay où elle subit une dernière défaite, qui met fin à la virée de Galerne. Cette période est commémorée depuis par la Croix du Chêne de la Messe ou Croix des Chouans (en forêt, ligne de la Grée). Après l’utilisation de la forêt par le culte et les compagnies royalistes. La forêt encore très sauvage est aménagée par la percée d’allées vers 1810 qui constituent encore aujourd'hui le réseau des voies de communications qui la traverse.

Pendant le XXe siècle, les aménagements vont se poursuivre par la percée d’une ligne de chemin de fer (ligne Saint-Malo / Hendaye) dont seules les infrastructures de franchissement sont restées, la voie et la gare ayant été retirées. Le tracé de la ligne figure toujours sur les plans touristiques de la forêt, où le nom de ligne a été préféré à l'attribution d'un nom d'allée forestière[10]. La ligne permettait de joindre Châteaubriant à Nantes par la commune du Gâvre.

Guerres mondiale

Datant de la Première Guerre mondiale un camp de prisonnier était localisé au rond-point de Néricou, il y avait aussi au rond-point de la Belle-Étoile un camp de soldats blessés[11] - [12]

Pendant la Seconde Guerre mondiale des stocks militaire ont été abandonnés par la British Army dans la forêt du Gâvre. Une expédition est aussitôt organisée par le Sous-Préfet LECORNU et la mairie du Gâvre. Un groupe de génie civil et militaire du Troisième Reich installe une vingtaine de blockhaus et des tours de garde, de dix mètres de long sur vingt mètres de large, distants les uns des autres de manière régulière. Dans la partie sud de la forêt, dont 2/3 sont classés Zone interdite. En juillet 1944, un bombardement allié a lieu dans ce secteur (la Chaussée).

Le site est toujours visible aujourd'hui, il est l’un des plus importants du département pour l’hibernation des chauves-souris elle y accueille près d’une dizaine d’espèces de Chiroptères, , représentant plusieurs centaines d’individus. - [13] - [14]

Époque contemporaine

Durant la seconde moitié du XXe siècle, les routes ont été goudronnées pour désenclaver les petits villages et les relier à la commune par des routes départementales ou des accès plus modestes[15].

Patrimoine archéologique

Après l’opération de reconnaissance, sous la direction de Serge Cassen (CNRS/LARA, université de Nantes), l’opération de prospection thématique 2009 avait pour but de mieux comprendre le patrimoine archéologique exceptionnel du secteur, il y a bien évidemment, le site mégalithique du Pilier, mais tout autour de la forêt du Gavre, on y a mis au jour, des menhirs de granit, travaillées par la main de l’homme. Or dans la région, il n’y a pas de carrière en granit. Le poids du mégalithe le plus considérable est de 17 000 kg[16] - [17] - [18].

Cueillette de champignons

La forêt du Gâvre est un haut-lieu de la récolte de champignons dans tout le département, notamment pendant la saison mycologique qui s’étale de l’été jusqu’à la fin de l’automne, les observateurs de l'ONF (Office national des forêts) ont enregistré des pointes de fréquentation allant jusqu'à 4 000 personnes par jour[19] - [20].

Espèces et variétés

Plus de 460 espèces et variétés de champignons peuvent être rencontrées au cours de l’automne. Une cinquantaine d’entre elles sont comestibles, dont les plus connues : les cèpes, les chanterelles et les girolles. Plus de 300 sont sans intérêt, plus de 60 sont toxiques et 7 sont mortelles, parmi elles la tristement célèbre amanite phalloïde[21].

Office national des forêts

L'ONF, qui gère la forêt domaniale du Gâvre, rappelle les consignes importantes à respecter en matière de cueillette de champignons[22].

  • Les parcelles de jeunes semis ou en régénération sont interdites à la cueillette, vous écraseriez les jeunes pousses, l’avenir de la forêt.
  • Respectez les plans de circulation des massifs forestiers et ne vous garez pas devant les barrières.
  • Pour permettre l’identification du champignon, ramassez-le en entier, avec son pied. En cas de doute, rendez-vous chez un pharmacien mycologue.
  • Ne mélangez jamais des espèces connues avec d’autres inconnues ou douteuses.
  • N’utilisez pas de sac plastique pour les transporter mais un petit panier largement ouvert. Laissez les lieux propres après votre passage.
  • Garez-vous sur les espaces appropriés. Ne bloquez ni les voies dédiées à l’intervention des secours ni les voies consacrées au travail des forestiers.
  • Optez pour une tenue voyante et ne pénétrez pas dans les zones d’exploitation forestière ni les zones de chasse.

Localisation

La forêt, située à 40 km au nord-ouest de Nantes, couvre plus de 80 % de la superficie de la commune du Gâvre et une petite portion dépend également de la commune de Plessé. Son extrémité sud se trouve à 1,2 km du canal de Nantes à Brest.

Au centre de la forêt se trouve le « rond-point de l'Étoile » où plusieurs axes routiers se rencontrent :

La partie nord de la forêt est aussi traversée par la RD 2 reliant Vay à Plessé.

Étymologie

Gâvre proviendrait du vieux breton gawr prononcer « gaour » signifiant « ogre » ou « géant », plus tard l'origine s'étant perdue avec la disparition locale de la langue bretonne, actuellement il est dit que « gâvre » (en breton « gavr ») signifie « chèvre » ou « cervidé » . Ce changement de signification toponymique a été répandu par le fait que la forêt fut un des principaux domaines de chasse des ducs de Bretagne pendant le Moyen Âge et la Renaissance et actuellement pour la chasse à courre.

D'après Ernest Nègre[23], il existait au XIIe siècle des références à la forêt du Gâvre sous le nom de Gavrium silva. Cet auteur rattache ce nom à une des formes de la langue d'oïl (le gallo) : « Gâvre » qui pourrait définir un « droit […] qu’un puissant seigneur percevait sur un vassal qui voulait s’assurer de sa protection ». D’autre part, la localité du Gâvre avait la particularité d’avoir d'importants privilèges et exemptions, qui pourraient se définir comme des droits acquis : elle était donc une ville franche. Mais, ses conclusions sont douteuses car ce toponymiste était un spécialiste des langues d'oïl et non des langues celtiques.

Exploitation forestière

Au XIIIe siècle, c’est le duc de Bretagne, Pierre 1er qui décide d’y construire un château, encourageant par là même, l’exploitation de ses ressources. La forêt comporte des conifères (pins maritimes et sylvestres principalement) exploités à l’âge de 100 ans. Parmi les feuillus, les chênes sessiles dominent[24]. Leur bois est utilisé pour la charpente, la menuiserie, mais aussi la fabrication de tonneaux et la construction de bateau (par exemple La Recouvrance). Les hêtres ont longtemps constitué le bois de référence des sabotiers qui, encore au début du XXe siècle, exportaient une grande partie de leur production vers les États-Unis[25].

La forêt produit de 18 000 à 24 000 m3 de bois par an, ce qui correspond à l’accroissement naturel, la régénération se fait par plantation ou semis (régénération naturelle).

l’association des Amis de la forêt du Gâvre et des élus sont inquiets du devenir de la forêt domaniale du Gâvre, les principales sources de revenus de l’ONF (Office national des forêts) sont la vente de bois. Le problème, c’est qu’étant donné l’endettement croissant de cette structure créée par l’État, beaucoup estiment que désormais, sa principale préoccupation est le rendement économique, au détriment des fonctions environnementales et sociales de la forêt[26] - [27].

Faune et Flore

Flore

Les principales essences d’arbres qui poussent en Forêt du Gâvre sont le chêne sessile (Quercus petraea), le hêtre (Fagus sylvatica), le pin maritime (Pinus pinaster) et le pin sylvestre (Pinus sylvestris)[28].

Corentin Levesque, responsable de la Loire-Atlantique à l'ONF (Office national des forêts), pointe du doigt la sécheresse, certaines essences d'arbres sont particulièrement touchées par les fortes chaleurs. Des phénomènes qui s'amplifient d'années en années en raison du réchauffement climatique[29].

Faune

La forêt du Gâvre offre un refuge pour de nombreuses espèces[30]

Les reptiles et les amphibiens

La Grenouille rousse, les Grenouilles vertes, la Salamandre terrestre, le Triton palmé ou le Triton alpestre, la Salamandre tachetée, la Vipère péliade, la Vipère aspic; la Coronelle lisse des animaux fragiles et exigeants quant à la qualité de leur milieu de vie[31] - [32].

Les oiseaux

Des oiseaux typiquement forestiers comme le farouche Pic noir et le Pic mar. Citons également la Chouette hulotte, ou encore l'énigmatique Engoulevent d'Europe. Entre avril et août, la forêt résonne également du chant des Coucous, migrateurs eux aussi. Elle offre en outre un asile pour les rapaces comme l'autour des palombes, chasseurs d'oiseaux et de petits mammifères, ou le gracile Busard saint-Martin, affectionnant les landes et les milieux ouverts. N'oublions pas la Bécasse des bois et la Fauvette pitchou, la Locustelle tachetée, l’Alouette lulu ou le Pouillot de Bonelli[33].

Les mammifères

Quelque 180 chiroptères trouvent refuge dans d’anciens quais de stockage militaire de l'organisation Todt, le domaine forestier abrite près de ¾ des espèces de chauves-souris dont le Grand Rhinolophe, le Grand Muri, Murin à oreilles échancrées, le Murin de Bechstein et la Barbastelle[34], la forêt abrite aussi la Musaraigne musette, ainsi que des Chevreuils et des Sangliers, qui la traversent en quête de nourriture, et des cerfs (environ une centaine) qui se font entendre la nuit durant le brame, entre la mi-septembre et le début du mois d'octobre[35] - [36] - [37].

Les insectes

C’est dans la forêt du Gavre que vit l’Azuré des mouillères (Phengaris alcon). Cette espèce, rare et protégée, est présente dans le domaine forestier[38]. Les plus anciennes observations de Lépidoptères connues sont actuellement celles de Jules Revelière a témoigné en effet avoir chassé Lycaena argus ( Plebejus idas Linnaeus ) en 1761 et Alfred Heurtaux (1832-1909) membre correspondant de l’Académie de médecine, témoigna, en forêt du Gâvre, de la présence d'une espèce de Satyrinae actuellement éteinte de la Loire-Atlantique. Depuis, nombreux sont les chasseurs de papillons qui y ont prélevé en abondance les Hesperiidae, les Papilionidae, les Pieridae, les Lycaenidae et le Petit Sylvain[39] - [40].

Le mythique Carabus (Archicarabus) et le Carabe doré (auratus) le Clyte arqué, le Sympétrum rouge-sang sont présents dans la forêt du Gavre[41] - [42].

Un rucher communal a été mis en place 10 Bénévoles participent régulièrement à la récolte du miel et des abeilles[43] - [44] - [45].

Topographie du terrain

La forêt est située dans la zone tempérée nord. Le climat y est semblable à celui de la Bretagne, région historique dans laquelle se situe la forêt. C'est-à-dire un climat océanique variable, avec des alternances d'averses et de beau temps. Les températures y sont relativement clémentes toute l'année. La forêt est traversée par un certain nombre de petits cours d'eau, notamment le ruisseau du Perche (entre la Madeleine et le bourg du Gâvre), ce qui contribue à la diversité des paysages et à la richesse de la faune et de la flore. La forêt du Gâvre reçoit environ 700 mm d'eau par an[46].

Les strates géologiques sont visibles sur une coupe du terrain réalisée au cœur de la forêt et permettent d’identifier les couches suivantes :

  • une couche d'humus sur 20 centimètres
  • un socle constitué d’argile et de fer, d’une couleur orangée.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Serge Cassen, Sophie Blain, Pierre Guibert et Guirec Querré, « Les pierres dressées de la forêt du Gâvre (Loire-Atlantique) : nature et origine des matériaux, premiers éléments de chronologie (14C, OSL) », ArcheoSciences. Revue d'archéométrie, no 37, , p. 173–188 (ISSN 1960-1360, DOI 10.4000/archeosciences.4057, lire en ligne, consulté le )
  2. La forêt du Gâvre, site de la mairie de Plessé.
  3. « La forêt du Gâvre, ce poumon vert gorgé d'eau », sur Office national des forêts, (consulté le )
  4. Serge Cassen, Cyrille Chaigneau et Pierre Guibert, « Le Gâvre – Alignement du Pilier », ADLFI. Archéologie de la France, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Patrimoine », sur amis foret gavre (consulté le ).
  6. « Un peu d'Histoire... », sur Mbmf (consulté le )
  7. La France littéraire, artistique, scientifique, vol. 5, , 731-735 p. (lire en ligne).
  8. La forêt domaniale du Gâvre, site de la mairie du Gâvre.
  9. Cf. Les Cavaliers du Gâvre, pages 37-38, pour ce paragraphe et le suivant.
  10. Carte touristique, carte touristique de la forêt du Gâvre.
  11. « Un camp de prisonniers existait au Néricou en 14-18 », Ouest france, (lire en ligne)
  12. « Le Gâvre, seule forêt domaniale de Loire-Atlantique », sur actu.fr (consulté le )
  13. Marcel Letertre, Telles furent nos jeunes années Le Pays Castelbriantais sous l’Occupation, Châteaubriant, La Mée socialiste, 304 p. (lire en ligne), p. 8, 10, 18, 75, 223
  14. (en) Geocaching, « Geocaching - The Official Global GPS Cache Hunt Site », sur www.geocaching.com (consulté le )
  15. La forêt du Gâvre, un peu d'histoire, chêne au Duc.
  16. « Le Gâvre. Des mégalithes de taille et de toutes les formes », sur labaule.maville.com (consulté le )
  17. « CROIX DU CHENE DE LA MESSE: Autres monuments et patrimoines France, Pays de la Loire », sur www.enpaysdelaloire.com (consulté le )
  18. Cyrille Chaigneau, « Géographie mégalithique dans et autour de la forêt du Gâvre », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le )
  19. « La forêt du Gâvre garde le souvenir des ducs de Bretagne », sur Le Telegramme, (consulté le )
  20. « Champignons : où aller faire sa cueillette en Loire-Atlantique et en Vendée ? », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  21. Legay Benjamin, « La cueillette des champignons en forêt domaniale du Gâvre. », thèse en pharmacie, (lire en ligne [PDF])
  22. « Conseils, précautions... Comment bien cueillir les champignons en forêt ? », sur Office national des forêts, (consulté le )
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France.
  24. « La forêt du Gâvre, ce poumon vert gorgé d'eau », sur Office national des forêts, (consulté le )
  25. « Patrimoine », sur amis foret gavre (consulté le )
  26. « Le Gâvre. Les Amis de la forêt se mobilisent contre l’abattage », sur nantes.maville.com (consulté le )
  27. « Accueil | amis de la foret du Gavre », sur amis foret gavre (consulté le )
  28. « Patrimoine », sur amis foret gavre (consulté le )
  29. « "Comme si on mettait un arbre dans un four": la sécheresse a fait des dégâts en forêt du Gâvre », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  30. « En forêt du Gâvre, la faune s'expose au regard de tous... », sur Office national des forêts, (consulté le )
  31. ouest france, « À la découverte des amphibiens de la forêt du Gavre »
  32. « Loire-Atlantique : les animaux de la forêt du Gâvre en photos géantes le long du parcours sportif », sur actu.fr (consulté le )
  33. « Sortie guidée pour écouter et observer l'Engoulevent d'Europe dans la forêt domaniale du Gâvre », sur Ornithomedia.com (consulté le )
  34. « La forêt du Gâvre, un site d'intérêt national pour les chauves-souris », sur Office national des forêts, (consulté le )
  35. « Pourquoi y a-t-il autant de chauves-souris dans la forêt du Gâvre ? », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  36. « Forêt du Gâvre : site d'intérêt national pour les chauves-souris », sur PEFC Auvergne Rhône-Alpes (consulté le )
  37. « Préservation de l'habitat des chiroptères en forêt du Gâvre », sur Agir pour la Forêt, (consulté le )
  38. ouest france, « Chasse aux papillons et libellules à la maison de la forêt »
  39. Christian Perrein, Jean-Alain Guilloton, « Lépidoptères rhopalocères en forêt domaniale du Gâvre », Revue scientifique encadré de l’Office national des Forêts, (lire en ligne Accès libre)
  40. ouest france, « Le Gâvre. À la découverte de papillons et d’engoulevents, demain »
  41. « les Carabes (Carabus) de France; toutes les espèces ! », sur www.insectes-net.fr (consulté le )
  42. « AER - Carabus auratus à rechercher en mai ! », sur www.aer-nantes.fr (consulté le )
  43. « Le Gâvre. Un rucher communal bientôt installé », sur nantes.maville.com (consulté le )
  44. Ouest France, « Le Gâvre. Des habitants volontaires s’occuperont du rucher communal »
  45. « Rucher communal - Commune du Gâvre », sur legavre.fr (consulté le )
  46. Sandre, « Les cours d’eau affluents du perche situés en aval du gavre jusqu'à la confluence avec le canal de nantes à brest [0402295] - Segment de classement de continuité écologique_Liste1 », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
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