Guémené-Penfao
Guémené-Penfao (prononcé [ge.mne.pɛ̃.fo]) est une commune de l’Ouest de la France, située dans le département de Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle est traversée par le Don au centre et longée par la Vilaine au nord (frontière avec l'Ille-et-Vilaine).
Guémené-Penfao | |||||
L'église de Guémené-Penfao. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Barathon-Bazelle 2020-2026 |
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Code postal | 44290 | ||||
Code commune | 44067 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guémenéens | ||||
Population municipale |
5 239 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 37′ 51″ nord, 1° 49′ 53″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 83 m |
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Superficie | 105,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Guémené-Penfao (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Guémené-Penfao (bureau centralisateur) |
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Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-guemene-penfao.fr | ||||
Elle comprend, en outre, deux sections de commune, Beslé-sur-Vilaine et Guénouvry, qui ont été rattachés après la Révolution, ce qui lui permet d’être la troisième commune la plus étendue de la Loire-Atlantique (après Vallons-de-l'Erdre et Loireauxence) et de totaliser 5 340 habitants.
La commune fait partie de la Bretagne historique, située dans le sud du pays de Redon soit la partie appartenant au Pays Nantais, un des pays traditionnels de Bretagne.
Géographie
La superficie de la commune est de 105,5 km2 ; l'altitude varie entre 2 et 83 m.
Elle est traversée par le Don.
Localisation
Guémené-Penfao est située à 25 km à l'est de Redon, à 60 km au nord de Nantes, à 65 km au sud de Rennes et à la limite nord de la forêt du Gâvre.
Transports
La commune est desservie par la gare de Beslé située sur la ligne Rennes - Redon ainsi que par les lignes 310 (Guémené/Derval/Nantes) et 371 (Blain/Bouvron/Nantes) du réseau Aléop.
Services publics
La commune contient différents établissements scolaires allant de la maternelle jusqu'au collège.
Il y a trois écoles maternelles, l'école maternelle publique La Fontaine, l'école maternelle publique Jules Verne et l'école maternelle privée Sainte-Marie.
De plus, il y a trois écoles primaires, l'école primaire l'école privée Sainte Marie et deux écoles primaires publiques, l'école Louis Pergaud et l'école Jules Verne.
Enfin, la commune est équipée de deux collèges, le collège public Bellevue et le collège privé Saint Michel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Derval », sur la commune de Derval, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 767,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Guémené-Penfao est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guémené-Penfao, une unité urbaine monocommunale[17] de 5 200 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (9,9 %), forêts (5,8 %), zones urbanisées (3 %), cultures permanentes (0,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la paroisse est attesté sous les formes (Plebs) Uuin-Monid en 852[24], Winmonid en 852 ou 853[25] - [26], Lespenfau en 862 et Wenmened en 1123[27] - [28] - [29], Wenmonid[30], Kémené[31], Gemené vers 1205[32], Guemene en 1287, Guemene Penfault en 1427, 1431, 1487 et en 1779[33].
Le nom de Guémené
Guémené est une graphie francisée d'un toponyme vieux breton qui signifie « mont blanc, montagne blanche »[34], d'où la traduction du toponyme en breton moderne Gwenvenez, sur gwenn « blanc » et menez « mont, montagne ».
En gallo, la langue d'oïl locale, plusieurs prononciations ont été relevées pour Guéméné : le plus souvent [gemnə] ou [gəmnə], mais aussi [gemnœ], et [ ɟemnə] ou [ ɟəmnə]. Le nom s'écrit Gemenae selon l'écriture ELG[35], ou Gemnë, Gémnë, Gémneu, Ghemnë ou Ghémnë selon l'écriture MOGA (en reflétant les diverses prononciations)[36].
En breton, son nom est Gwenvenez[33].
Le nom de Penfao
Le déterminant complémentaire Lespenfao a été abrégé en Penfao. À l'origine, il s'agit d'un composé à trois éléments : Les-, du vieux breton lis « demeure seigneuriale »[34] ou « cour (royale) » (breton moderne lez), pen- « tête, bout, extrémité » et -fao de faou « hêtre », d'où le sens global de « cour au bout du bois de hêtres »[26]. Penfao était autrefois un prieuré et une frairie de Guémené qui se trouvaient à « l'extrémité d'un bois de hêtre », autour de l'actuel village de Saint-Georges.
Il n'y a pas de terme brittonique pour désigner le hêtre, le breton faou, le cornique fow et le gallois ffawidd sont issus du latin fagus « hêtre ». Le celtique commun avait un terme *bāgos, illustré en toponymie par le gaulois bagos + suffixe.
En gallo, Penfao s'écrit Penfou selon l'écriture ELG[35], ou Pinfao selon l'écriture MOGA. Le nom se prononce [pɛ̃faʊ][37].
Penfaou en breton.
Histoire
Guémené et Penfao, réunis en 1633 par Henri de Bourbon, prince de Condé et Beslé et Guénouvry, après la Révolution.
La petite Bretagne
Le Pays de Guémené-Penfao a été pendant longtemps une zone d'influence bretonne. Ainsi, on y a parlé breton jusqu'au XIIIe siècle, même si la langue d'oïl, dans sa variété régionale, le dialecte gallo, semble avoir pénétré la commune dès le XIIe siècle. Le cadastre de la commune mentionne le nom de Brésihan, que le Père Léon Trivière dans son Histoire de Guémené Penfao considère provenir de Breiz bihan, expression qui signifie petite Bretagne. Il semble toutefois plus probable que son origine soit le breton bren sec'han, de bren : colline et sec'han : de nature sèche (Dictionnaire des noms de lieux bretons d'Albert Deshayes). La variante locale du gallo a fait l'objet de plusieurs études et écrits, on citera les contes d'Ugeen Kogrèh, les recherches de Yann Mikaël dans la revue Pihern, et le dictionnaire Chat d'écureuil et Pomme d'orange de Vincent Delanoë.
Au XVIe siècle Penfao était une trève de Guémené comme le montrent les registres paroissiaux de Saint-Georges-de-Pennefo, correspondant approximativement à l'actuel territoire de Guénouvry, section de la commune de Guémené-Penfao (archives départementales de Loire-Atlantique).
Un pays de légendes
Les faits historiques marquants ont été relativement nombreux sur le territoire au cours des siècles. Par exemple en 1570, la rue de Châteaubriant aurait pu s'appeler la voie royale, car elle vit passer le roi Charles IX, accompagné d'un brillant cortège comprenant notamment la reine mère Catherine de Médicis, Marguerite de Valois (future femme de Henri IV), le duc d'Anjou (futur Henri III), et le duc de Guise.
Emblèmes
Héraldique
Blasonnement :
Parties de gueules et d’azur : au premier, à la croix tréflée d’or, au second, un arbre arraché d’argent ; au chef d’hermine.
Parties de gueules et d’ azur signifie que les deux parties principales du blason sont, rouge pour celle de droite (dextre) et bleue pour la gauche (senestre). On notera que la notion de droite et de gauche est inversée en héraldique par rapport à la notion que nous en avons. La description du blason est faite par celui qui le porte en ses armes c'est-à-dire sur son bouclier. La « croix tréflée » est sans nul doute une référence à la religion, le fait qu’elle soit tréflée est un choix d’ esthétisme et de différenciation alors que son métal, l’or, a une très forte signification symbolique. L’ « arbre arraché » est un hêtre, rappel à l’ étymologie du nom de Guémené-Penfao, Penfao signifiant en breton « bout du bois de Hêtre ». Son métal, l’argent ayant lui aussi une forte signification symbolique Le « chef d’hermine » indique que le haut du blason est constitué d’une des deux fourrures employées en héraldique. Elle indique l’appartenance de la ville au Duché de Bretagne.Commentaires :
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Devise
La devise de Guémené-Penfao : Aime Dieu et fais ce que doit.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Résultats aux seconds tours des dernières élections :
- présidentielle : 57,15 % pour François Hollande (Ps) contre 42,85 % pour Nicolas Sarkozy (ump) ;
- législatives : 53,23 % pour Yves Daniel (Ps) contre 46,77 pour Michel Hunault (Nouveau centre)[39] ;
- municipales : 54,18 % pour Yannick Bigaud (divers droites) contre 45,81 % pour Pierre le Guily (centre) ;
- départementales : 6 102 voix pour la liste Y.Bigaud/ A.S.Douet contre 6 091 pour la liste V.Lopez/G.Phillipot[40] ;
- régionales : 41,06 % pour Christophe Clergeau (Ps), contre 38,85 % pour Bruno Retailleau (Lr) et 20,08 % pour Pascal Gannat (FN) ;
- à la vue de ces résultats, on peut conclure que les habitants Guémené-Penfao votent plutôt à gauche et au centre.
Administration
La commune est située dans l’arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, dans le canton de Guémené-Penfao (dont elle est le chef-lieu, donc) et fait partie de Redon Agglomération. Elle est dirigée par Isabelle Barathon-Bazelle. Son code postal est 44290 et son code commune 44067.
Liste des maires
Jumelages
La ville est jumelée avec Courcelles, en Belgique, depuis le .
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Guémené-Penfao est une ville isolée multipolarisée. Elle est le centre d'un bassin de vie et fait partie de la zone d'emploi de Nantes[45]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 75 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 25 % dans des zones « très peu denses »[46].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2020, la commune comptait 5 239 habitants[Note 9], en diminution de 0,44 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 516 hommes pour 2 691 femmes, soit un taux de 51,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Maisons anciennes.
- Grand-Logis XVe siècle avec tour octogonale.
- Château de Bruc reconstruit aux XVe et XIXe siècles.
- Château de Juzet.
- Château de Trénon, (résidence privée de la famille de Saint-Germain).
- Château de Boisfleury.
- Château du Brossay, de style Empire.
- Château de Treguel XVIIIe siècle.
- Château de Friguel XIXe siècle.
- Château de Beaulieu-la Garenne, XIXe siècle.
- Un moulin à vent.
- Trois moulins à eau.
- Église Saint-Michel de Guémené (XIXe siècle).
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Beslé (XIXe siècle).
- Église de Guénouvry : statue de sainte Anne.
- Chapelle Saint-Georges de Penfao, inscrite au titre des monuments historiques depuis 2004[53]
- Chapelle Sainte-Anne : Lieu-Saint ou Lessaint au village de Tahun, à Guénouvry, statue de saint Méen. Fresques peintes en 1997 par les apprentis du Centre de la fresque de Blain sous la conduite de Louis-Roger[54].
- Site de la vallée du Don.
- Vallée de la Vilaine.
- Étang de la Vallée.
- Rocher de la Fée Carabosse et abords.
- Chapelle Saint-Georges.
- Chapelle de Lessaint (Guénouvry).
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Beslé.
Guémené dans les arts
Un village Guémené est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[55].
Sans autre précision de la part du poète, il peut s'agir de deux villages :
- Guémené-Penfao dans le département de la Loire-Atlantique ;
- Guémené-sur-Scorff dans le département du Morbihan.
Personnalités liées à la commune
- Joseph Herbert (1873 - 1915), dit « Le Petit Joseph », hôtelier, professeur de danse, clairon, remarquable par son poids (204 kg)
- Georges Labetoulle dit Géo Laby (1900 - ?), acteur, s'est installé à Beslé en 1935, où il a repris l'Hôtel du Port[56].
- Ivan Ricordel (né à Guémené-Penfao en 1943), pharmaco-toxicologue, expert judiciaire dans l'affaire du Mediator
- Jean-François Thomas (1894 - 1939), peintre
- Yves Benoist-Gironière (1903-1983), officier, cavalier, auteur d'ouvrages d'équitation, ainsi qu'illustrateur et sculpteur équestre.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Au Pays de Guémené-Penfao
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélu en 1947, 1953 et 1959.
- Réélu en 1971 et 1977.
- Réélu en 1989.
- Réélu en 2001, 2008 et 2014. ,
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Derval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Derval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Guémené-Penfao », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- La base de donnée KerOfis - Office Public de la Langue Bretonne
- D’après le cartulaire de Redon
- Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 115.
- Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 33.
- Dom Morice, Preuves I, p. 548.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 335a.
- D’après de la Borderie, dans son « Histoire de Bretagne »
- D'après Ogée, dans son dictionnaire
- D’après le cartulaire de Buzay
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
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- « Guémené-Penfao, berceau de la blanche hermine, symbole des Bretons », sur www.mairie-guemene-penfao.fr (consulté le ).
- Conseil-général.com
- intérieur.gouv.fr
- « M. Étienne Faisfeu maire de Guémené-Penfao », Ouest-France (archives du journal),
- Notice LEBLAY Eugène, Marie par Jacques Cousin, version mise en ligne le 12 mai 2011, dernière modification le 8 mars 2016
- « Guémené-Penfao. Yannick Bigaud devient maire honoraire », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Municipales à Guémené-Penfao. Isabelle Barathon-Bazelle élue maire : Lundi soir 25 mai, à la salle des fêtes de Guémené-Penfao, les nouveaux conseillers municipaux ont pris officiellement leurs fonctions. Isabelle Barathon-Bazelle y a été élue maire. », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Commune de Guémené-Penfao (44067) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guémené-Penfao (44067) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Notice no PA44000032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Fresques de la chapelle Sainte-Anne
- Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
- Marcel Ancelin, « Comment j'ai construit mon « Pou du ciel ». Artiste de cinéma, pêcheur à la ligne, hôtelier-restaurateur, Géo Laby est aussi un fervent de l'aviation », sur Gallica, L'Ouest-Éclair, (consulté le ), p. 6.