Langon (Ille-et-Vilaine)
Langon est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Langon | |||||
Le clocher de l'église Saint-Pierre de Langon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Redon | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean-Yves Colléaux 2020-2026 |
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Code postal | 35660 | ||||
Code commune | 35145 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Langonnais, Langonnaises | ||||
Population municipale |
1 372 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 43′ 13″ nord, 1° 50′ 48″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 97 m |
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Superficie | 36,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Redon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Redon | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.langon35.bzh | ||||
En 2006, la commune a obtenu le Label "Communes du Patrimoine Rural de Bretagne" pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager.
Géographie
Langon s'est développé à 1,5 km à l'est de la Vilaine sur une rupture du plateau à environ 50 m d'altitude. Au sud du bourg, la vallée de la Vilaine s'élargit et l'altitude ne dépasse pas 5 m à 6 m et annonce les marais de Redon [1].
Localisation
Transports
La commune est desservie par la gare de Fougeray - Langon située sur la ligne de Rennes à Redon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La Noë-Blanche, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 752,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Langon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,7 %), terres arables (27,8 %), forêts (15,9 %), prairies (6,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones urbanisées (2,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Formes écrites anciennes de Langon : Landegon en 797, 801 et 850[22], Lant Degon en 834, Landegun en 862, Lancon en 882, Langon en 1387 et 1516[23].
Albert Dauzat qui ne connaissait pas de forme ancienne évoque un possible anthroponyme gaulois Lingo[24]. Cependant, cette explication est incompatible avec la nature des formes anciennes du type Landegon, Landegun mentionnées régulièrement au ixe siècle. Peut-être un type toponymique roman en Lande- avec un nom de personne, comme de très nombreux lieux de ce type dans l'ouest de la France (cf. Landigou, Orne; Landavran, Ille-et-Vilaine; etc.) ou breton en Lan- (cf. Landéhen, Côte-d'Armor; Landéan, Ille-et-Vilaine).
La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Landegon[23].
Homonymie possible avec Landigon (Seine-Maritime, hameau à Brémontier-Merval, Landigon 1414)
Histoire
Préhistoire
Les plus anciennes traces d'occupation humaines retrouvées sur le territoire de la commune datent du Mésolithique[1]. Selon le recensement de P. Bézier, la commune comptait en 1883, 34 monuments mégalithiques dont 2 dolmens, 7 menhirs, 11 tumuli et 9 cromlechs. Au XIXe siècle et début XXe siècle, beaucoup de ces édifices furent détruits, les éléments étant récupérées pour l'empierrement des chemins vicinaux[1]. Le remembrement de 1964-1965 et l'urbanisation anarchique de la Lande du Moulin ont aussi contribué à la destruction partielle de plusieurs sites[1], dont celui des Demoiselles de Langon, qui ne sera classé au titre des monuments historiques qu'en 1976[25].
Le musée de Bretagne conserve dans ses collections 3 haches polies et 1 hache-marteau découvertes dans le secteur de Langon sans mention plus précise du lieu des découvertes[1].
Antiquité
Une importante agglomération rurale était dispersée sur la commune de Lagon, en témoigne la voie romaine, et les nombreuses découvertes archéologiques faites sur la commune dont la plus connue; celle des thermes d'une ancienne villa gallo-romaine du bourg transformée en chapelle au haut Moyen Âge.
À la fin du Ve siècle, l'arrivée des premières communautés chrétiennes entraîne la transformation des thermes romains et l'édification de la chapelle Sainte-Agathe[1].
Moyen Âge
Au IXe siècle, dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon, le nom de Langon apparaît pour la première fois sous diverses orthographes en bas latin (Landego, Landecon, Lanco, Lancon). Par la donation de Louis le Pieux, la paroisse de Langon est alors rattachée à cette abbaye, tutelle qu'elle conservera jusqu’à la Révolution française[1].
Le XIXe siècle
La gare de Fougeray - Langon est mise en service en [26], par la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, soit deux ans après l'inauguration de la ligne. La station est établie[27] sur la rive droite de la Vilaine à proximité du Pont-de-la-Fosse. Elle porte le nom du chef-lieu de canton, Fougeray dit aussi Grand-Fougeray (6 264 habitants) situé à environ 12 km, et de la commune de Langon (1 698 habitants) dont le bourg est à environ 1 km.
La Seconde Guerre mondiale
Marie-Luce Moquet[28], organisa dès octobre 1940 l'évasion de 13 soldats prisonniers des Allemands qui étaient parvenus à leur échapper ; les années suivantes elle hébergait des évadés, des réfractaires au Service du travail obligatoire, des résistants, etc.. Elle contribua à l'organisation de deux groupes de résistants FTPF, l'un dirigé par Marcel Philippe, l'autre sous les ordres de Joseph Guérin ; un troisième groupe de résistants était commandé par André Métayer. Ces groupes participèrent à des parachutage d'armes, organisèrent des sabotages de voies ferrées, notamment au tunnel de la Corbinière et le groupe de Marcel Philippe pris part aux combats de Saint-Marcel. Lors de l'arrivée des troupes américaines ils empêchèrent les Allemands de faire sauter le pont de Port-de-Roche sur la Vilaine, faisant une vingtaine de prisonniers dans leurs rangs, qui furent remis aux troupes américaines. Le résistant Francis Boursier fut tué le à Pipriac et un autre, Armand Jolivel, fut fusillé par les Allemands le au Grand-Fougeray [29].
Dans la nuit du 6 au 6 maquisards furent surpris par des soldats allemands au pont de Port-de-Roche et fusillés[30]
Héraldique
Blason | D'argent au fer d'angon de sable ; chapé à dextre d'azur à la moucheture d'hermine du champ et à sénestre de gueules à l'épi de blé d'or ; à la champagne de sinoble chargée de trois pierres au naturel brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2020, la commune comptait 1 372 habitants[Note 8], en diminution de 6,41 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
La commune possède un patrimoine important, dont trois bâtiments monuments historiques. De plus, 405 monuments sont inventoriés (dont une voie romaine[36] et deux aqueducs[37]) ainsi que 160 objets :
- l’église Saint-Pierre, inscrite monument historique par arrêté du [38] ; elle abrite cinq objets eux-mêmes monuments historiques : un calice de 1653[39], un retable[40] et un maître-autel d’époque Louis XIV[41], une peinture du XIVe siècle[42] et des fonts baptismaux et leur baldaquin[43]
- la chapelle Sainte-Agathe :
- l'ensemble mégalithique dit des Les Demoiselles de Langon classé monument historique par arrêté du [44] - [45];
- les tertres mégalithiques dits "les Pillons Garougnaux", situés près du hameau de la Gaudinais ;
- La voie romaine (l'une des rares voies romaine encore pavée en Bretagne et en France)
- Le manoir de la Chaussée à Port-de-Roche.
- Détails architecturaux des anciennes thermes de Langon.
- Le menhir dit « La Pierre Daniel ».
- La Chapelle Sainte-Agathe, la Mairie et l'église de Langon.
- Vénus au bain - détail de la fresque gallo-romaine de l'actuelle chapelle Sainte-Agathe de Langon.
Patrimoine naturel
Du point de vue de la richesse de la flore, Langon est à la treizième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 600 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 44 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 17 taxons protégés et 33 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) [46].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Fils d'Isidore Renouard
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Onnée et al. 2004, op. cit..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La-Noe-Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Langon et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La-Noe-Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Langon et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, , 704 p., p. 139.
- « Résultats concernant « Langon » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 385a.
- « Les Demoiselles de Langon », notice no PA00090612, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean-Pierre Nennig, « 421+568 - Gare de Fougeray-Langon », dans Le Chemin de fer de Bretagne Sud, JPN éditions, 2008 (ISBN 2-9519898-5-7), p. 66
- Adolphe Laurent Joanne, « De Rennes à Nantes », dans Itinéraire général de la France : Bretagne, L. Hachette, 1867, pp. 362-363 intégral en ligne (consulté le 30 novembre 2010).
- Marie-Luce Moquet, née le à Langon, demeurant à la Chaussée en Langon.
- http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/moquet.htm et Alain Lefort et Bernard Lucas, Les Hauts Lieux de la Résistance en Bretagne, éditions Ouest-France, 1991
- http://memoiredeguerre.free.fr/fusilles/tues-combat.htm
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no IA35012096, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35012253, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090614, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000978, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000291, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000290, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000289, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000288, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090612, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35012028, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
Voir aussi
Bibliographie
- Yvan Onnée, Cyrille Chaigneau, Jean-Luc Javré et Bernard Monnier, « Étude sur le groupe mégalithique de Langon, Renac, Sainte-Marie et Sixt-sur-Aff », Les Dossiers du Ce.R.A.A, no 32,‎ , p. 17-38 (lire en ligne)