AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Pipriac

Pipriac (Piperia en gallo, Presperieg en breton) est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Pipriac
Pipriac
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Redon Agglomération
Maire
Mandat
Franck Pichot
2020-2026
Code postal 35550
Code commune 35219
DĂ©mographie
Gentilé Pipriatain, Pipriataine
Population
municipale
3 847 hab. (2020 en augmentation de 4,4 % par rapport Ă  2014en augmentation de 4,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 79 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 48â€Č 36″ nord, 1° 56â€Č 47″ ouest
Altitude 50 m
Min. 14 m
Max. 98 m
Superficie 48,65 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pipriac
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Redon
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pipriac
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pipriac
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
Pipriac
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Pipriac
Liens
Site web www.mairie-pipriac.fr

    GĂ©ologie

    Dans un article de 1966 « Problems in paleoclimatology (réimpression à partir des "Nato Paleociimates conferences", Newcastle, 1963). Dangeard (Observations and reflections on the periglacial and glacial formations of the upper Brioverian) » sur la base de l'étude du gisement du Bois Gory, prÚs de Pipriac, estime, contrairement aux auteurs précédents que les poudingues de Gourin ont une origine fluvio-glaciaire [1].

    GĂ©ographie

    Située en Bretagne dans le sud du département d'Ille-et-Vilaine.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 751 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La NoĂ«-Blanche, mise en service en 1988[8] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 752,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  33 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Pipriac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Pipriac, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 3 745 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (96,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (59,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,7 %), prairies (15,5 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous la forme Vicaria Prisperiaca dans la donation d’Anauuoreth[25]. Prispiriac en 834, Prisbiriac en 882, Prispriac en 1107, Pripriac en 1386, Piperiac en 1637, Piperiac en 1713[26].

    Il s'agit sans doute d’un type toponymique gaulois, gallo-roman ou gallo-brittonique, peut-ĂȘtre *Prispiriacum, nom de domaine sans doute basĂ© sur un anthroponyme qu'il est difficile d'identifier et suivi du suffixe -(I)ACU qui a rĂ©guliĂšrement abouti Ă  la terminaison -(i)ac dans la partie de la Bretagne oĂč l'on a parlĂ© breton, alors qu'Ă  l'est de Rennes, il a abouti Ă  la terminaison -Ă©.

    Histoire

    Pipriac est, semble-t-il, une ancienne paroisse primitive appartenant au doyenné de Lohéac. Pipriac est cité comme paroisse.

    Pipriac englobait autrefois sa trĂšve Saint-Ganton et le territoire de Bruc-sur-Aff.

    Vers la fin de ce IXe siĂšcle, une contestation s'Ă©leva entre les moines de Redon, possesseurs de la paroisse de Langon, et quelques habitants de Pipriac, au sujet des limites de ces deux paroisses. L'affaire fut portĂ©e devant Alain le Grand, comte de Vannes, dont l'autoritĂ© remplaçait alors celle des anciens machtierns. Ce prince vint lui-mĂȘme sur les lieux, Ă©couta les raisons donnĂ©es par Cadwobri, Breselvobri et Wetenic, reprĂ©sentant les intĂ©rĂȘts des habitants de Pipriac, et termina le diffĂ©rend[27]. À cette Ă©poque Pipriac Ă©tait une trĂšs-grande paroisse, puisque, outre le territoire actuel de Saint-Ganton, sa trĂȘve au Moyen Âge, elle renfermait encore Teillac, village se trouvant aujourd'hui en Saint-Just

    En 1294, le territoire dĂ©pend de la baronnie de Bossac et du bailli de PloĂ«rmel. On voyait dans le bourg de Pipriac l'auditoire, la prison et les ceps et collier de la seigneurie de Bossac en Bruc : cette seigneurie exerçait aussi un droit de haute justice et un droit de quintaine. La paroisse de Pipriac dĂ©pendait jadis de l'ancien Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Malo. Une Ă©cole est crĂ©Ă©e en 1719.

    HĂ©raldique

    Blason de Pipriac Blason
    De sinople au livre ouvert d'or, à la champagne d'argent maçonnée du champ, au chef d'hermine.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1833 1836 Félix Martin-Lagrée
    1836 1840
    (décÚs)
    Guillaume-François Baron de la
    Villebaud
    Chevalier de la LĂ©gion d'honneur
    1840 novembre 1851
    (décÚs)
    Olivier Ange Marie Desbrulais MĂ©decin
    1852 1859
    (décÚs)
    Pierre Maignan
    1859 1864 Olivier Arnaud Henri Desbrulais Chevalier de la LĂ©gion d'honneur
    1864 1871 François Aimé Passilé
    1871 février 1886
    (décÚs)
    Jean-Baptiste LeliĂšvre RĂ©publicain MĂ©decin
    DĂ©putĂ© d'Ille-et-Vilaine (1885 → 1886)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Pipriac (1871 → 1886)
    Officier d'Académie (1885)
    1886 1892 Louis Lebreton Propriétaire
    1892 1893 Francisque de Trémaudan
    1893 1899 Charles Gauthier
    1900 ? Louis Lebreton Propriétaire
    mai 1904 février 1933
    (décÚs)
    Louis Boutié Notaire honoraire
    février 1933 octobre 1936
    (démission)
    Pierre Delacour (1873-1936) Union
    Nationale
    RĂ©Ă©lu en 1935
    novembre 1936 novembre 1940
    (décÚs)
    Émile Leduc
    mars 1941 ? Alfred Daniel Ancien premier adjoint
    NommĂ© maire par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1944 février 1945
    (décÚs)
    Charles Lolivier Suppléant du juge de paix
    février 1945 1947 Pierre Simon Menuisier
    1947 août 1954[28]
    (décÚs)
    Clément Le Rouzic DVD
    RĂ©p.ind.
    Médecin, commandant de réserve
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Pipriac (1948 → 1954)
    Officier de la LĂ©gion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918 avec palmes
    RĂ©Ă©lu en 1953
    octobre 1954 mars 1971 Louis Simon - Notaire
    RĂ©Ă©lu en 1959 et 1965
    mars 1971 mars 1983 Jean Houssin - Chef de travaux
    RĂ©Ă©lu en 1977[29]
    mars 1983 mars 1989 Andrée Gueutier DVD Commerçante
    mars 1989[30] mars 2008[31] Yannick Pinson DVD Notaire
    RĂ©Ă©lu en 1995 et 2001[32]
    mars 2008[33] mai 2020 Marcel Bouvier DVD Cadre technico-commercial retraité
    RĂ©Ă©lu en 2014[34]
    mai 2020[35] En cours Franck Pichot PS Directeur d'une entreprise culturelle
    Conseiller dĂ©partemental du canton de Redon (2015 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 3 847 habitants[Note 6], en augmentation de 4,4 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5403 1503 0033 0882 8453 1523 1163 1203 209
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1463 3433 4253 4553 5003 5073 6343 7563 864
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 8783 8993 7563 3863 3093 2703 1613 0322 919
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 8042 8482 6692 6692 7722 9123 1573 1823 559
    2015 2020 - - - - - - -
    3 6993 847-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise
      L'Ă©glise
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. p 306 des Chronique de Bretagne et du Bas-Maine (1966), par André Meynier & Anne-Marie Goales, Ed Norois
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pipriac et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Pipriac et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Pipriac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. Cartulaire de l'abbaye de Redon
    26. Cartulaire de l'abbaye de Redon, Charte 38
    27. « Mort du Docteur Le Rouzic, maire de Pipriac et conseiller gĂ©nĂ©ral d'Ille-et-Vilaine », Ouest-France,‎
    28. « Pipriac : M. Jean Houssin rĂ©Ă©lu maire », Ouest-France,‎ (archives du journal)
      « Dimanche, dÚs le premier tour, M. Jean Houssin a été réélu maire de Pipriac, par 15 voix et un bulletin blanc, contre 5 voix à Mme Gueutier. ».
    29. « Pipriac : Yannick Pinson nouveau maire », Ouest-France,‎ (archives du journal)
    30. « Yannick Pinson passe la main, la nouvelle gĂ©nĂ©ration arrive », Ouest-France,‎ (archives du journal)
    31. « Yannick Pinson Ă©lu maire par le conseil municipal », Ouest-France,‎ (archives du journal)
    32. « Marcel Bouvier succĂšde Ă  Yannick Pinson Ă  la mairie », Ouest-France,‎ (archives du journal)
      « Les élus ont ensuite procédé à l'élection du maire et des adjoints. [...] Marcel Bouvier l'a emporté sans surprise avec 18 voix contre 5. ».
    33. « Marcel Bouvier, maire, et la nouvelle Ă©quipe municipale », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    34. « Municipales Ă  Pipriac. Franck Pichot et ses huit adjoints ont Ă©tĂ© Ă©lus », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Bibliographie

    • LETOURNEL, E., Étude sur le patois de Pipriac et de ses environs, Annales de Bretagne, n° 16, 2, 1901, pp 163–191, n° 16, 3, 1901, pp 356–383, n° 16, 4, 1901, pp 515–531.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.