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Brémontier-Merval

Brémontier-Merval est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Brémontier-Merval
Brémontier-Merval
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des 4 rivières
Maire
Mandat
Jean-Luc Cosquer
2020-2026
Code postal 76220
Code commune 76142
Démographie
Gentilé Brémontois
Population
municipale
447 hab. (2020 en diminution de 5,89 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 20″ nord, 1° 36′ 40″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 210 m
Superficie 17,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gournay-en-Bray
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Brémontier-Merval
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Brémontier-Merval
Liens
Site web bremontier-merval.fr

    Géographie

    Commune du pays de Bray, Brémontier-Merval est située entre Gournay-en-Bray et Argueil.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 829 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Brémontier-Merval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), terres arables (28,5 %), forêts (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Commune constituée par l'union des communes de Brémontier et de Merval par ordonnance royale du 24 décembre 1823. Ancienne paroisse rattachée : Bellozanne[21].

    Brémontier est attesté sous les formes Braimoustier en 1017 - 1021[21]; Bradomonasterium en 1040 - 1055[21]; de Braimostier et de Bramostier au milieu XIIe siècle; Braimostier en 1230; Ecc. Sancti Martini de Braimostier en 1266 (Arch. S.-M. G 9425); Ecc. de Bremostier vers 1240; Braiemoustier en 1398 (Arch. S.-M. G 3267); A Bremontier en 1399 (Arch. Nat. P. 284-143, P. 303-425, 79, 363, 337); Bremontier en 1400 (Arch. Nat. P. 284-2-42, P. 303, 115); Saint Martin de Bremontier en 1716 (Arch. S.-M. G 740); Braymontier en 1715 (Frémont); Bremontier en 1757 (Cassini); Brémontier en 1953[22].

    Il s'agit d’une formation toponymique médiévale en -montier, élément représentant l'ancien français moustier (> moutier), montier qui avait le sens d'église[23] - [21], dont le sens premier était celui de couvent. En effet, moustier, montier est issu ultimement du latin monasterium (> monastère)[23]. En revanche, l'interprétation du premier élément Bré- assez fréquent en toponymie pose davantage de difficultés. Albert Dauzat, qui n'avait pas connaissance de la forme Bradomonasterium du XIe siècle, pose un Brai-montier, c'est-à-dire un monastère de Bray (pays de Bray). La commune se trouve effectivement dans le pays de Bray, mais la forme Bradomonasterium est incompatible avec cette explication. C'est pourquoi François de Beaurepaire se contente de noter que Brado- / Bré- est un élément incertain[21], qu'il croit cependant le reconnaître dans Bréauté, autre commune de la Seine-Maritime, mais aussi dans Brasseuse[21] (Oise, Brathsilva[21], Bratselve, Braisilva 1180 - 1181) et peut-être les Brébeuf, Brémesnil et Bréville de la Manche[21].

    Merval est attesté sous les formes de Merreval au XIIe siècle (Arch. S.-M. 25 H), Merreval régulièrement du XIIe siècle au XVe siècle, Merval dès 1539, Merval en 1786 (Arch. S.-M. G 1719, 740, 5081)[24].

    Le premier élément Mer- semble identique à celui identifié dans Merville-Franceville. En effet, Merville est attesté sous la forme Merrevilla en 1268[25]. Les formes les plus anciennes de Merville, bien antérieures à celles de Merval, montrent que Merre- résulte de l'évolution phonétique d'un élément Mater- auquel les spécialistes Albert Dauzat et René Lepelley attribuent une origine anthroponymique, à savoir le nom de personne germanique Mather[26] - [27]. François de Beaurepaire suppose un *Matrini vallis basé sur le nom de personne gallo-romain Matrinus / Maternus que l'on retrouverait dans le nom du hameau voisin et ancien fief de Marigny (Dampierre-en-Bray, Unum feodum apud Marreniacum vers 1210), mais il admet lui-même que cette hypothèse n'est guère solide phonétiquement parlant[28].

    Histoire

    La commune de Brémontier-Merval est formée de la fusion des anciennes communes de Brémontier et Merval en 1823 et de celle de Bellozanne en 1826.

    Le nom de la commune atteste l'existence, sur ce site, d'une communauté religieuse à l'époque mérovingienne. À la fin du XIIe siècle, Hugues V, seigneur de Gournay, fonde l'abbaye de Bellozanne, qu'il confie aux prémontrés, ordre de chanoines réguliers institué en 1120 par saint Norbert. L'abbaye reçoit la visite de Philippe le Hardi, en 1280, de Philippe le Bel, en 1314, et de Charles IV, en 1327.

    La guerre de Cent Ans la prive de beaucoup de ses biens. Aux XVIe et XVIIe siècles, l'abbaye végète ; paradoxalement, elle est alors concédée à de célèbres abbés commendataires, tel le poète Pierre de Ronsard.

    Au XVIIIe siècle, le prieur Henri de Blavette redonne vigueur spirituelle à la communauté et fait restaurer les bâtiments claustraux. À cette époque, l'abbaye administre de nombreuses paroisses : Bellozanne, Brémontier, Merval, Elbeuf-en-Bray.

    La dissolution de l'ordre des prémontrés, en 1790, entraîne la disparition de l'abbaye.

    Bellozanne est un lieu-dit de Brémontier-Merval. La chapelle de Bellozanne est située en face de l'ancien presbytère et d'une petite maison appelée Béthania, qui dérive du mot français Béthanie ; c'était une maison où logeaient quelques carmélites.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1808 1815 Jacques Moinet
    1815 1826 Pierre Bulard
    1826 1826 Pierre Gaillard
    1826 1828 Jacques Breton
    1828 1831 le vicomte Certain de Bellozanne Conseiller général
    1831 1835 Pierre Bulard
    1835 1837 François Buron
    1837 1843 Flandre Hiard
    1843 1846 François Buron
    1846 1852 le comte Jules de Maiver
    1852 1863 Jacques François Moinet-Leleu
    1863 1871 Adolphe Guérard
    1871 1881 Alexandre du Barry de Merval comte, chevalier de la Légion d’honneur[29]
    1881 1928 Henri Étignard de La Faulotte (1850-1928)
    1928 1945 Louis Davout (1877-1958) 4e duc d’Auerstaedt
    Gendre du précédent
    1945 1953 Marc Kiers
    1953 1989 Paul Caron
    Monique Guénée
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 M. Dominique Duclos
    mars 2008 mars 2014 André Fréret élu sans s'être présenté
    mars 2014[30] En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-Luc Cosquer[31] Professeur au lycée Jean Moulin des Andelys
    Réélu pour le mandat 2020-2026[32] - [33]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 447 habitants[Note 8], en diminution de 5,89 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    308269332297733704698679614
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    631588562544574565591538574
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    511502524523473461482426441
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    379367311265278326468494475
    2018 2020 - - - - - - -
    457447-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin.
      Église Saint-Martin.
    • Porterie de l'ancienne abbaye de Bellozanne.
      Porterie de l'ancienne abbaye de Bellozanne.
    • Chapelle Sainte-Marguerite de Bellozanne.
      Chapelle Sainte-Marguerite de Bellozanne.
    • Château du domaine de Merval, monument historique au cÅ“ur d'un site naturel classé.
      Château du domaine de Merval, monument historique
      au cœur d'un site naturel classé.
    • Colombier classé du château.
      Colombier classé du château.
    • Chapelle Saint-Léonard de Merval.
      Chapelle Saint-Léonard de Merval.

    Patrimoine naturel

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Brémontier-Merval et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Brémontier-Merval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 52 - 53
    22. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 141.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 113a
    24. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 635.
    25. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados, Paris, 1883, p. 186 (lire en ligne sur DicoTopo)
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 439b
    27. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2)
    28. François de Beaurepaire, op. cit., p. 108
    29. « Notice LH du comte du Barry de Merval », base Léonore, ministère français de la Culture.
    30. Nicolas Demollien, « Jean-Luc Cosquer, nouveau maire brémontois : L’élection du maire brémontois et de ses adjoints se déroulait samedi 29 mars. Une toute nouvelle équipe, hormis le conseiller municipal Alain Leroy qui faisait partie du conseil précédent, a été élue », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. Sébastien Aliome, « Brémontier-Merval. Le maire Jean-Luc Cosquer s’est adressé au président lors du lancement du Grand débat : Le mardi 15 janvier 2019, plusieurs maires du pays de Bray était à Bourgtheroulde à l'occasion du lancement du grand débat national. Le maire de Brémontier-Merval a pris la parole », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. Sébastien Aliome, « Municipales 2020 : à Brémontier-Merval, Jean-Luc Cosquer est partant pour un deuxième mandat : Le maire de Brémontier-Merval, Jean-Luc Cosquer, a décidé de se porter candidat pour un deuxième mandat. C'est le travail mené avec son équipe qui l'a amené à vouloir continuer », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Le domaine de Merval à Brémontier-Merval », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    39. Notice no PA00100584.
    40. Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 83.
    41. .
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