Saint-Nicolas-de-Redon
Saint-Nicolas-de-Redon est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Saint-Nicolas-de-Redon | |||||
Ville de St-Nicolas-de-Redon | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | ChĂąteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Albert Guihard 2020-2026 |
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Code postal | 44460 | ||||
Code commune | 44185 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Nicolasien | ||||
Population municipale |
3 280 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 147 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 38âČ 42âł nord, 2° 03âČ 54âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 73 m |
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Superficie | 22,32 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Redon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Redon (commune du pĂŽle principal) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de PontchĂąteau | ||||
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | www.saintnicolasderedon.fr | ||||
GĂ©ographie
- Situation
Saint-Nicolas-de-Redon est situé sur la rive gauche de la Vilaine, en face de Redon (Ille-et-Vilaine), dans une agglomération à la jonction de deux régions, la Bretagne et les Pays de la Loire, et de trois départements, la Loire-Atlantique, l'Ille-et-Vilaine et le Morbihan.
Les communes limitrophes sont Avessac et Fégréac en Loire-Atlantique, Rieux, Redon et Sainte-Marie en Ille-et-Vilaine. Saint-Nicolas-de-Redon est également géographiquement proche de Saint-Jean-la-Poterie en Morbihan dont elle est séparée par un corridor constitué par la rue de Vannes de la ville de Redon.
Redon | Redon âą Sainte-Marie | Sainte-Marie | ||
Redon | N | Avessac | ||
O Saint-Nicolas-de-Redon E | ||||
S | ||||
Rieux | Fégréac |
Selon les classements Ă©tablis par l'Insee, Saint-Nicolas-de-Redon est une commune urbaine, une des quatre communes de banlieue de lâunitĂ© urbaine de Redon, qui fait partie de l'aire urbaine de Redon et de lâespace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Elle est traversée par le Canal de Nantes à Brest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Jacut-les-Pins », sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[7] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 896,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et Ă 36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Nicolas-de-Redon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Redon, une agglomération inter-régionale regroupant 6 communes[17] et 22 641 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (74,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (45,2 %), prairies (22,6 %), forĂȘts (13,9 %), zones urbanisĂ©es (12,5 %), eaux continentales[Note 6] (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,1 %), terres arables (1,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Nicolaus et Sanctus Nicolaus ad Caput Calcei en 1131[24].
L'origine du nom de la ville vient de Saint Nicolas de Rotono[25].
Histoire
Le nom de la ville vient de Saint Nicolas de Rotono[25] à l'époque du démembrement de la paroisse d'Avessac. Parmi les seize frairies anciennes, quatre ont formé la commune de Saint-Nicolas-de-Redon :
- Le bourg - Saint-Nicolas et Saint-Germain ;
- La Provotaie - Saint-Joseph ;
- Rotz - Sainte-Anne ;
- Quinsignac - Saint-CĂŽme et Saint-Damien.
En 1318 un texte relate les mĂ©faits du FrĂšre Jean des Voies ou de Via, prieur de Saint-Nicolas-de-Redon de l'Ordre de Saint BenoĂźt, Ă l'encontre de l'Ă©vĂȘque de Nantes[27].
Au bourg de Saint-Nicolas il existait au bord de la chaussée une chapelle dédiée à saint Germain démolie en 1762[28].
Durant la Révolution française, Saint-Nicolas-de-Redon est rebaptisé « Union-sur-Vilaine »[29].
Le , une observation dâOVNI sur le site de la Butte Rouge Ă Saint-Nicolas-de-Redon (entre Vilaine et Canal de Nantes Ă Brest, prĂšs de FĂ©grĂ©ac) a fait les Ă©chos de la presse et fait partie des cas rĂ©pertoriĂ©s par les ufologues : les deux conducteurs dâun train ont dĂ©clarĂ© avoir vu un engin lumineux s'Ă©lever des marais et suivre leur locomotive pendant plusieurs secondes avant de disparaĂźtre[30].
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'or aux deux crosses adossées d'azur rangées en fasce.
Commentaires : Armoiries du PrieurĂ© de Saint-Nicolas (Armorial GĂ©nĂ©ral de 1696). Les crosses symbolisent Saint Nicolas, patron de la paroisse. Saint Nicolas, ou Nicolas de Myre, est nĂ© en 270 Ă Patara en Lycie (Turquie actuelle) et est mort le . ĂvĂȘque de Myre, il est le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. La crosse[31] reprĂ©sente gĂ©nĂ©ralement le bĂąton Ă©piscopal recourbĂ© et fleuronnĂ© dans sa partie supĂ©rieure. On l'appelle pedum, le bĂąton de berger, parce qu'il symbolise la forme du bĂąton recourbĂ© dont les anciens bergers se servaient pour saisir les moutons par les pieds, afin de les arrĂȘter dans leur course vagabonde et les ramener dans le troupeau protecteur. Blason (dĂ©libĂ©ration municipale du ) enregistrĂ© le . |
Politique et administration
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 3 280 habitants[Note 8], en augmentation de 3,99 % par rapport Ă 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 31,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 32,2 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 547 hommes pour 1 664 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-Nicolas (1849), Ćuvre de l'architecte Faucheur et placĂ©e sous le patronage de saint Nicolas de Myra. Cette Ă©glise remplace la chapelle de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. ĂdifiĂ©e Ă partir du sur l'emplacement de l'ancien cimetiĂšre, l'Ă©glise est terminĂ©e et bĂ©nie le par Mgr Antoine-Matthias-Alexandre Jacquemet, Ă©vĂȘque de Nantes (1803-1869).
- La chapelle Sainte-Anne-de-Rotz (XVIIe siĂšcle â 1860), situĂ©e Ă La Cour de Rotz. Cette chapelle, attenante au manoir de Retz, appartenait jadis aux moines de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. La chapelle est restaurĂ©e en 1860 et la messe y est cĂ©lĂ©brĂ©e jusqu'en 1959.
- Les vestiges de la chapelle de la Madeleine (XVIIe siÚcle), situées en face de l'AumÎnerie, à l'emplacement d'une ancienne léproserie.
- La chapelle Saint-Joseph (1840), située à La Provotaie. Cette chapelle a été réhabilitée au milieu des années 1980.
- Les vestiges de la maison du Contrebandier (XVIIe siÚcle), situés prÚs de la Grotte d'Etriel.
- Le four à pain (XVIIIe-XIXe-XXe siÚcle), situé à La Provotaie.
- Le four à pain situé à Quinsignac, rénové à partir de 1996 par l'association QAL[40] et est toujours en activité[41].
- Le parc du chùteau de Cavardin du XIXe (détruit en 1944).
- Le moulin à vent d'Amassé.
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Braud (1872-1939), prĂȘtre eudiste, dramaturge auteur de la piĂšce Subercase, supĂ©rieur du CollĂšge Sainte-Anne, en Nouvelle-Ăcosse, nĂ© dans la commune ;
- Yvonne Gaudeau, actrice française (1921-1991), née dans la commune ;
- André Harvec, de son vrai nom André Hervé, né le à Saint-Nicolas-de-Redon, est un dessinateur humoristique et auteur de bande dessinée français ;
- Pierre-Yvon Trémel, sénateur des CÎtes-d'Armor, est décédé dans la commune le .
- Hubert Niel (1941-2022), cycliste professionnel ayant bouclé un Tour de France
Voir aussi.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site du département Loire-Atlantique
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- RĂ©Ă©lu en 2008.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « DĂ©finition dâune normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-Redon et Saint-Jacut-les-Pins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-Redon et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Redon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Histoire de St Nicolas de Redon
- Origine et Blason
- Historique du Prieuré de Saint-Nicolas
- Les frairies d'Avessac
- LĂ©on Dubreuil, Annales de Bretagne : Le district de Redon. 1er juillet 1790-18 ventĂŽse an IV, volume 21, 1905. p.522
- Un OVNI Ă la Butte Rouge, sur : « ufologie.patrickgross.org » (consultĂ© le ) ; « baseovnifrance.free.fr » (consultĂ© le ) ; Cas exposĂ© aussi dans, entre autres ouvrages, le livre Les O.V.N.I. en Bretagne, anatomie dâun phĂ©nomĂšne, de Jean-François BoĂ«dec, Editions Fernand Lanore, Paris, 1978, pp. 104-105, « lire extrait en ligne », sur books.google.fr (consultĂ© le )
- données officielles 2006 sur le site de l'Insee
- « Présentation de la liste Ensemble, préparons demain », Ouest-France, 15 janvier 2014.
- « Dominique ChauviÚre élu maire », Presse-Océan, 11 janvier 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Nicolas-de-Redon (44185) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
- Quinsignac Animations Loisirs
- Four Ă pain de Quinsignac