Falaise (Calvados)
Falaise est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 7 849 habitants[Note 1].
Falaise | |
Le château et le centre-ville. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Falaise (siège) |
Maire Mandat |
Hervé Maunoury (DVG) 2020-2026 |
Code postal | 14700 |
Code commune | 14258 |
Démographie | |
Gentilé | Falaisien |
Population municipale |
7 849 hab. (2020 ) |
Densité | 663 hab./km2 |
Population agglomération |
10 760 hab. (2016) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 53′ 32″ nord, 0° 11′ 36″ ouest |
Altitude | Min. 89 m Max. 188 m |
Superficie | 11,84 km2 |
Unité urbaine | Falaise (ville isolée) |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Falaise (bureau centralisateur) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.falaise.fr |
Géographie
Situation
La ville de Falaise se trouve dans le Sud du département du Calvados.
La vieille ville fortifiée est située sur un éperon rocheux au bord de l'Ante.
Falaise a donné son nom à la région naturelle et historique d'un pays normand, la campagne de Falaise.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Falaise est desservie par la N 158 et l'A88 reliant Caen à Alençon où elle rejoint l'A28.
Falaise est desservie par les lignes 118 et 118 express (Falaise <> Caen) et des lignes scolaires des bus verts du Calvados.
Falaise avait une gare ferroviaire terminale, aujourd'hui disparue. Une voie rejoignait Mézidon-Canon et l'autre Condé-sur-Noireau. La première a été transformée en voie verte de 7 km jusqu'à Morteaux-Coulibœuf où elle rejoint la ligne Argentan - Mézidon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Damblainville », sur la commune de Damblainville, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 734,2 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Falaise est une commune urbaine[Note 7] - [15]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Falaise, une unité urbaine monocommunale[18] de 8 186 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,3 %), zones urbanisées (29,2 %), terres arables (24,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,9 %), forêts (2,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le lieu est attesté sous la forme latinisée Falesia en 1066 (VTF 501)[25] - [26].
Il s'agit bien du nom de « la falaise », qui désigne l'éperon rocheux[Note 9] qui domine la cité[28] - [29]. La langue française a emprunté ce terme sous sa forme normande faleise, cité par Wace dans le Roman de Brut vers 1155. Le terme est bien attesté, en outre, en picard sous la forme faloise cf. la Faloise (Falesia 1177) et falise cf. le Falise (le Falise 1286) et Pinchefalise.
La distribution du mot falesia est limitée à la Normandie, à la Picardie, à la Champagne-Ardenne et à la Belgique, soit l'extrême nord du domaine d'oïl. Il s'agit d'un emprunt au germanique *falisa « rocher »[30], reconstitué d'après le vieux haut allemand felisa > allemand Fels « rocher », apparenté au vieil islandais fjall, fell « montagne ». Dans le cas présent, le déplacement de l'accent tonique est lié à l'attraction des mots terminés par le suffixe -ésa. Le terme est par ailleurs attesté en latin médiéval du nord sous la forme falisia au Xe siècle.
Le gentilé est Falaisien.
Histoire
Le site a semble-t-il été occupé dès le Mésolithique, alors que c'est à partir du Néolithique que la population se fixe sur le plateau rocheux. Les Celtes, durant l'âge du fer, fortifièrent la place, tout en étendant leurs cultures. La continuité de l'occupation du site est attestée durant la période gallo-romaine, comme l'indique la découverte dans l'enceinte du château de quelques tessons de céramiques des Ier et IIe siècles apr. J.-C. et d'un mur[31].
Le secteur, avec la paroisse de la Sainte-Trinité créée en 840, est occupé à la fin du IXe siècle, ce qui laisse supposer l'implantation logique d'une place forte à cette époque sur l'éperon rocheux qui offre une place stratégique facilement fortifiable, et ce dans le contexte de déstructuration du pouvoir Carolingien en place qui a entraîné la construction de places fortes le long des axes de communication[31].
Des fouilles entreprises en 1834 par F. Galleron, ont mis en évidence une villa antique (villa de Vaston). Cet établissement avait été découvert fortuitement lors de la construction de la route reliant Saint-Pierre-sur-Dives à Falaise. Il comportait un grand bâtiment cloisonné, considéré comme la partie résidentielle d’une villa gallo-romaine, attestant ainsi d'une occupation antique du site de Falaise[32].
Le site de Guibray, hors de la ville médiévale, est occupé dès l'époque mérovingienne par un sanctuaire, où prendra place ensuite l'église Notre-Dame de Guibray[33]. Celui de la ville est habité dès le IXe siècle[34].
C'est le château de Falaise, dont les traces les plus anciennes remontent au Xe siècle, qui est à l'origine de la ville dotée du statut de bourg. Dès le début du XIe siècle, Falaise devient probablement la capitale politique, administrative et militaire de la vicomté d'Hiémois. À la fin du Xe ou au début du XIe siècle, la vicomté de Falaise est donné à Ansfroi le Dane II, alors qu'il est rétabli dans la vicomté d'Exmes, dont son père Ansfroi le Dane Ier, avait été dépossédé au profit de Roger Ier de Montgommery[35].
Avant le règne de Guillaume II de Normandie qui naît dans cette ville vers 1027-1028, elle est la capitale du duché de Normandie[36]. Guillaume est dit le Bâtard car son père le duc Robert le Magnifique n'a pas épousé sa mère Herleva ou Arlette, une frilla à la « more danico » locale. La légende veut que le duc Robert ait aperçu celle-ci depuis son château soit en train de danser, soit en train de laver des peaux d'animaux dans la rivière (ou les deux) dans ce qui deviendra un monument falaisien, « la Fontaine d'Arlette ».
En 1105, le roi d'Angleterre Henri Ier met le siège devant la place qu'il ne pourra investir. Le baron de Creully, Robert fitz Haimon, fils de Hamon le Dentu, qui est du nombre des assaillants y perdit la raison à la suite d'une flèche reçue à la tête[37]. En 1106, alors que le duché de Robert Courteheuse est envahi par son frère qui s'est emparé, en 1100, du royaume d'Angleterre Henri Beauclerc, la ville tombe entre les mains de ce dernier[38].
En 1123, Henri Ier Beauclerc enferme la ville blottie au pied de la forteresse dans une étroite enceinte en forme d'ellipse (200 à 950 mètres). Le rempart d'une longueur de deux kilomètres, épaulé d'une cinquantaine de tours circulaires, est percé de six portes[39] - [40]. Henri Ier entreprend la construction d'un hôpital et achève, en 1134, l'église Saint-Gervais.
Le traité de Falaise y est signé en 1174 sous le règne d'Henri II Plantagenêt.
Durant la conquête de la Normandie par Philippe Auguste en 1204, Falaise se rend sans combattre. La forteresse est commandée par le mercenaire Lupicaire qui change de camp et se joint aux troupes du roi de France[41].
Après l'intégration de la Normandie au domaine royal, et jusqu'au début du XIVe siècle, Falaise est le siège des sessions judiciaires de l'Échiquier. La ville partage cette fonction avec Caen et Rouen à partir des années 1220[42].
Lors de la guerre de Cent Ans, après le siège et la prise de Caen en par le roi d'Angleterre Henri V, la ville résistera plusieurs mois avant d'être prise par les Anglais[43]. Au début de l'été 1450, l'armée royale de Charles VII reprend la place aux mains des Anglais défendue par John Talbot au bout de quinze jours de siège[44]. Au XVe siècle, la ville a pour capitaine Michel Paisnel (†1469) qui fut également chambellan et conseiller du roi, ainsi que lieutenant du Mont-Saint-Michel sous le duc François de Bretagne[45].
Au cours des guerres de Religion, les protestants prennent le contrôle de la ville. Henri IV la reprendra au début de 1590[46].
Époque contemporaine
Lors de la création des communes sous la Révolution, la paroisse de Guibray se joint à la commune de Falaise[47]. Les habitants de Falaise élisent des maires montagnards, qui refusent de se joindre à l’insurrection fédéraliste[48].
Ville française décorée de la Légion d'honneur, Falaise fut le siège d'une sous-préfecture jusqu'en 1926. Elle accueillait un bataillon puis une compagnie du 5e régiment d'Infanterie. Cette unité — qui recrutait beaucoup d'hommes de la région de Falaise — prit part à la très dure bataille du Chemin des Dames en 1917 dans l'Aisne.
La bataille de la poche de Falaise se déroule en . La ville, déjà fortement touchée le par les bombardements stratégiques alliés de l'opération Overlord, subit de nouvelles destructions.
- Une ligne de chemin de fer secondaire exploitée par les chemins de fer du Calvados reliait la ville à Caen de 1902 à 1932.
On voit ici une locomotive au pied du château. - Libération de la ville, 1944.
- Drapeau normand à croix nordique, surnommé Croix de saint Olaf, adopté par la ville natale de Guillaume le Conquérant et rappelant ses origines scandinaves.
Politique et administration
Liste des maires
Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et six adjoints[52].
Le , le maire sortant divers droite Éric Macé a été réélu, avec 57,7 % des suffrages. Un score en baisse par rapport à 2008 où il avait récolté 62,99 % des voix.
Son adversaire, Hervé Maunoury, candidat à la tête de la liste citoyenne J'aime Falaise fait le meilleur score que la gauche falaisienne ait connu, avec 42,30 % en 2014 contre 37,01 % en 2008. Éric Macé et sa liste Agir pour Falaise récupère donc vingt-trois sièges au conseil municipal, l'opposition six.
Intercommunalité
La communauté de communes du pays de Falaise regroupe 58 communes depuis le rattachement de quatre communes en 2010 et une en 2017.
Cantons de Falaise
Falaise est le chef-lieu du nouveau canton regroupant les deux anciens :
- le canton de Falaise-Nord formé d'une partie de Falaise et des communes d'Aubigny, Bonnœil, Bons-Tassilly, Cordey, Le Détroit, Fourneaux-le-Val, Les Isles-Bardel, Leffard, Les Loges-Saulces, Martigny-sur-l'Ante, Le Mesnil-Villement, Noron-l'Abbaye, Pierrefitte-en-Cinglais, Pierrepont, Pont-d'Ouilly, Potigny, Rapilly, Saint-Germain-Langot, Saint-Martin-de-Mieux, Saint-Pierre-Canivet, Saint-Pierre-du-Bû, Soulangy, Soumont-Saint-Quentin, Tréprel, Ussy et Villers-Canivet (10 776 habitants) ;
- le canton de Falaise-Sud formé d'une partie de Falaise et des communes de Damblainville, Eraines, Fresné-la-Mère, La Hoguette, Pertheville-Ners, Versainville et Villy-lez-Falaise (10 009 habitants).
En 2002, lors des élections cantonales, Roger Jardin, candidat sortant, perd son siège face au socialiste Denis Delasalle. À la suite de l'élection, le député-maire Claude Leteurtre (ami de Roger Jardin) dénonce la diffusion d'un tract diffamatoire envers Roger Jardin, la veille au soir de l'élection qui, selon lui, favorisa élection de Denis Delasalle. Le député porte l'affaire devant le conseil constitutionnel qui annule l'élection.
Lors de nouvelle élection cantonale, Claude Leteurtre se porte candidat toujours face au socialiste Denis Delasalle. Ce dernier perd son siège au profit du député maire. Face à la loi de cumul des mandats, Claude Leteurtre choisit de laisser sa place de maire de Falaise à Éric Macé qui gardera son poste à la suite de sa victoire aux élections municipales de 2008[53].
À l'automne 2010, c'est le conseiller municipal de Falaise et secrétaire de la section PS du Pays de Falaise, Hervé Maunoury qui remporte la désignation interne face à Denis Delasalle. Toujours élu au 1er tour, le député-conseiller général Claude Leteutre est mis en ballotage par Hervé Maunoury. Le , avec 202 voix d’avance (53 % des suffrages), Claude Leteurtre est réélu pour la troisième fois, sur le canton de Falaise-Sud[54].
En mars 2015, après la création des nouveaux cantons, Claude Leteurtre, associé à Clara Dewaele Canouel, est à nouveau réélu face aux couples Hervé Maunoury - Anne Pollet pour le PS et Christian Durant - Christelle Lechevalier pour le FN.
Jumelages
- Henley (Royaume-Uni) depuis 1974.
- Bad Neustadt an der Saale (Allemagne) depuis 1969.
- Cassino (Italie) depuis 1975.
- Alma (Canada) depuis 1969.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].
En 2020, la commune comptait 7 849 habitants[Note 10], en diminution de 5,37 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 725 hommes pour 4 361 femmes, soit un taux de 53,93 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,95 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Falaise compte sept écoles de la maternelle au cours moyen, deux collèges, un lycée d'enseignement général, un lycée technique et professionnel, et un institut de formation en soins infirmiers. Falaise compte plus de 1 000 enfants scolarisés en écoles maternelles et élémentaires, ainsi que 2 000 collégiens et lycéens[61].
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Sports
L'Entente sportive football club de Falaise fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district[62].
L'Entente sportive Falaise Calvados handball évolue régulièrement en Nationale 3 masculine depuis 2011 malgré quelques saisons en divisions régionales.
Médias
En 1908, on compte trois journaux couvrant l'arrondissement de Falaise : Le Journal de Falaise (fondé en 1830), La Lanterne falaisienne (fondé en 1884) et L’Avenir de Falaise (fondé en 1906), tous trois disparus en 1912 quand nait L’Écho de Falaise[63].
En 1927, paraît Le Réveil falaisien[64] (aujourd'hui disparu).
L’Écho de Falaise est interdit à la Libération pour avoir paru sous l’Occupation[63].
À ce jour, deux rédactions sont installées à Falaise : Les Nouvelles de Falaise et le Ouest-France.
Le , Marcel Vallé fonde Les Nouvelles de Falaise. Le titre est racheté par le groupe Hersant en 1974 puis par Publihebdos en 2007[63].
En , l'équipe de la rédaction de Ouest-France Falaise et Les Nouvelles de Falaise se partagent les locaux de la rédaction de Ouest-France, rue Trinité[65]. Des travaux sont en cours de réalisation au sein des rédactions.
Économie
Entreprises
- Le Groupe diversifié Vikings a son siège à Falaise ainsi que :
- La filiale Vikings Casinos ;
- Tartefrais, autre filiale, et son usine de fabrication de tartes fraiches numéro un en France (130 emplois).
- Parc éolien des Sablons depuis 2007[66], 5 × 2 MW installés sur le territoire de la C.D.C. (exploité par Ventura SA[67].)
- FRIAL, usine de fabrication de plats cuisinés surgelés à base de poisson.
- Clips, société spécialisée dans la fabrication de cloisons amovibles et démontables, cloisonnettes, portes et rangements pour le tertiaire et l'industrie.
- Depuis le , OYSTAR Erca, anciennement Erca-Formseal, Plastmécanique, devient IMA ERCA, rejoignant un groupe industriel d'échelle encore supérieure. L'usine produit des machines de conditionnement agroalimentaire, des thermoformeuses. Inventeuse de la technologie FFS (Form-Fill-Seal) ou 1re machine à former, remplir et operculer en même temps, Erca est leadeur sur son secteur ; l'entreprise est présente à Falaise depuis les années 1970. Le siège social d'IMA Erca est basé à Courtabœuf, aux Ulis L'entreprise possède également une filiale à Gavà (Erca Ibérica), près de Barcelone, en Espagne, où de petites thermoformeuses sont produites et où d'anciennes thermoformeuses sont retapées ou modernisées (rétrofit).
Tourisme
- On trouve à Falaise : l'office de tourisme du pays de Falaise[68], le château Guillaume-le-Conquérant[69] et trois musées : le musée des automates de Falaise[70], anciennement Automates avenue, le musée André-Lemaitre[71] et le Mémorial de Falaise - la guerre des civils[72].
- La fête médiévale de Falaise. Elle a lieu tous les ans, autour du depuis 2002.
- Le mont Myrrah, site de promenade et d'escalade. Il offre un panorama sur la ville et le château.
- Fête médiévale dans le château de Falaise.
Label
La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[73].
Lieux et monuments
- Château de Falaise[69] (XIIe – XIIIe siècles)
- Musée des automates[70], anciennement Automate Avenue : une collection de 300 automates animés des années 1920 à 1960 mise en scène dans une reconstitution des vitrines parisiennes, ouvert le .
- Musée André-Lemaître[71] : il présente 90 œuvres du peintre, né à Falaise en 1909.
- Mémorial des Civils dans la Guerre[72], ouvert le .
- Musée Août 1944 (fermé en 2011).
- Médiathèque du pays de Falaise[74], pôle Falaise, installé à l'Hôtel-Dieu.
- Le cinéma L'Entracte Falaise - Salle Jacques Gamblin[75], situé 8 rue de la Fresnaye. L'association « Entract’animation » a en charge la gestion et l’animation depuis le .
- Place Guillaume-le-Conquérant, sur laquelle se trouve la statue de Guillaume le Conquérant.
- Église Saint-Gervais : plus de 900 ans d'histoire. La construction débute en 1066 en style roman puis gothique flamboyant et Renaissance en 1570.
- Église Saint-Laurent : église romane dont la construction débute au XIe siècle.
- Église Notre-Dame de Guibray (construction débutée au XIe siècle. Orgue de Claude Parisot).
- Église de la Trinité (construction débutée au XIIIe siècle, dépourvue de clocher).
- Chapelle Saint-Lazare.
- Abbaye Saint-Jean-Baptiste : les bombardements de 1944 n'en ont laissé qu'une aile de bâtiment en vestige.
- Les fortifications urbaines : une enceinte de 2 km à l'origine, dont les trois quarts sont encore visibles, avec notamment la porte des Cordeliers.
- Château de la Fresnaye (XVIIe siècle).
- Hôtel Saint-Léonard (1787), 12 rue Victor-Hugo.
- Hôtel Les Rives (fin XVIIIe siècle), 54 rue Aristide-Briand.
- La fontaine Magenta, située au 5 rue de l'Amiral-Courbet.
- Le buste de Louis Liard. L'original est inauguré en , par Anatole de Monzie. Le , sous le régime de Vichy, il est démonté et fondu, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Un buste de remplacement est installé au lycée Guillaume-le-Conquérant.
- Le calvaire avec le Christ, Marie et Jean sur la route départementale 658.
- Vue générale avec une partie de l'enceinte fortifiée côté ouest.
- Les fortifications et le château.
- L'église Saint-Gervais, coin sud-ouest.
- Église Saint-Gervais, voûte en bois.
- L'église de la Trinité, côté place Guillaume-le-Conquérant.
- Porte des Cordeliers.
- Statue de Guillaume le Conquérant, bronze de Louis Rochet, Falaise, place Guillaume-le-Conquérant (détail).
- Lavoir sur l'Ante.
Culture locale et patrimoine
Natifs de Falaise
- Arlette de Falaise (1010-1050), mère de Guillaume le Conquérant.
- Guillaume le Conquérant (1027-1087), duc de Normandie et roi d'Angleterre.
- Jean Vallière (1483-1523), martyr protestant.
- Nicolas Vauquelin Des Yveteaux (1567-1649), poète.
- Antoine de Montchrestien (1575-1621), poète, dramaturge et économiste.
- Philippe Fortin de la Hoguette (1585-1668), écrivain.
- François Bonnemer (1638-1689), peintre, dessinateur et graveur.
- Pierre-Gilles Langevin (1755-1831), abbé et historien.
- Henry-Larivière (1761-1838), député à la Convention nationale.
- Caroline de Combray (1773-1809), contre-révolutionnaire.
- Frédéric de Lafresnaye (1783-1861), collectionneur et un ornithologue.
- Turgot (1796-1866) diplomate et homme politique.
- Louis Alphonse de Brébisson (1798-1872), botaniste et photographe.
- Moustache (chien) (1799-1811) chien soldat qui s'est distingué au cours des Guerres révolutionnaires et de l'Empire[76].
- Alexandre Cosnard (1802-1880), poète, chef de bureau de l'administration de l'octroi (se donnait le titre de « disciple d'Émile Deschamps »). Ses poésies se caractérisent par une extrême délicatesse.
- Pauline Roland (1805-1852), féministe et socialiste.
- Charles-Philippe de Chennevières-Pointel (1820-1899), historien de l’art et écrivain sous le nom de « Jean de Falaise ».
- Jules Lardière (parfois écrit Jules Lardières) (1829-1876), industriel, journaliste et haut fonctionnaire français.
- Clément-Edmond Révérend du Mesnil (1832-1895), historien et généalogiste.
- Elphège Boursin (1836-1891), journaliste, homme de lettres et historien.
- Louis Liard (1846-1917), philosophe et administrateur.
- Paul Langevin (1872-1946), physicien, issu d'une famille de serruriers implantés à Falaise.
- Lucien Plantefol (1891-1983), botaniste.
- André Lemaître (1909-1995), peintre.
- Bernard de La Rochefoucauld (1901-1944), résistant.
- Edmone Robert (1912-1945), résistante, une rue porte son nom à Falaise.
- Jacques Hébert (1920-2018), Compagnon de la Libération[77], maire de Cherbourg de 1959 à 1977.
- Bernard Hébert (1921-1984), frère du précédent, Compagnon de la Libération[78].
- Annick Coupé (1953-), syndicaliste.
- Alain Ferté (1955-) et Michel Ferté (1958-2023), coureurs automobile.
- Alain Chennevière (1959-), chanteur.
- Rodolphe Thomas (1962-), homme politique.
- Stéphane Le Bouyonnec (1962-), député de la circonscription de La Prairie à l'Assemblée nationale (Québec) (40e législature).
- Cédric Hengbart (1980-), ancien joueur de football professionnel.
Décédés à Falaise
- Charles Louis Didier Songis l'Aîné (1752-1840), général français de la Révolution et de l’Empire.
Autres
- L'évêque Étienne Antoine Boulogne (1747-1825) y résida.
- Édith Piaf a vécu une petite partie de sa petite enfance chez sa grand-mère paternelle, Léontine Louise Descamps, près de l'église Saint-Gervais et de la porte Lecomte[79] avant de partir à Bernay, où sa grand-mère tenait une maison close. Son grand-père paternel, Victor Alphonse Gassion est né à Falaise, il était connu sous le nom de "l'Écuyer Gassion de Falaise"[80]. Sa tante Zéphoria, surnommée Tante Zaza, fille de ce dernier, l'a recueillie vers 1920. Une de ses cousines paternelles, Cécile Bernier, a vécu à Falaise[81]. Aujourd'hui, une rue porte son nom.
- Jacques Gamblain est le parrain du cinéma de Falaise "L'Entracte" [75] depuis 1997. La salle porte son nom.
- Emmanuel Chaunu est le parrain du Musée des Automates de Falaise, musée municipal.
Héraldique
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Les armes de la commune de Falaise se blasonnent ainsi : |
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Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le rocher de grès qui surplombe le val d'Ante aurait été fortifié dès le IXe siècle[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
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- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Glossaire – Précipitation, Météo-France
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- « Association | Cinéma L'entracte | Falaise », sur cinefalaise (consulté le )
- Le barbet, le chien préféré des Grognards
- Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération
- Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération.
- Jérôme FLURY pour OUEST-FRANCE, « Falaise. Quand "la môme" habitait la ville », journal quotidien,‎ (lire en ligne )
- France 3 Normandie, « Piaf la Môme, made in Normandie, aurait eu 100 ans ce samedi », journal,‎ (lire en ligne ).
- admin - Journal de l'Orne, « Quand la môme Piaf voyait la vie en rose à Falaise », journal hebdomadaire,‎ (lire en ligne).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
Voir aussi
Bibliographie
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 2, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 449-487
- Paul German, Histoire de Falaise, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet éditions, , 485 p. (ISBN 2-85480-466-X)
- Jean-Louis Libourel, Falaise : Calvados, Caen, Service régional de l'Inventaire général : Association de développement culturel en Basse-Normandie, coll. « Images du patrimoine » (no 76), , 64 p. (ISBN 2-908621-01-0, BNF 35098127, SUDOC 001687476).
- Pierre-Gilles Langevin, Recherches historiques sur Falaise, éditions Brée l'Ainé, 1814. lire en ligne
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Site officiel de l'office de tourisme du pays de Falaise
- Site officiel du château Guillaume-le-Conquérant de Falaise
- Site officiel du Musée Automate Avenue
- Résumé statistique de Falaise sur le site de l'Insee
- « Œuvres architecturales à Falaise », base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Œuvres mobilières à Falaise », base Palissy, ministère français de la Culture