Engomer
Engomer est une commune française, située dans l'ouest du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.
Engomer | |
Le Lez à Engomer. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées |
Maire Mandat |
Jean-Claude Le Hir 2020-2026 |
Code postal | 09800 |
Code commune | 09111 |
Démographie | |
Gentilé | Engomerois |
Population municipale |
307 hab. (2020 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 56′ 51″ nord, 1° 03′ 37″ est |
Altitude | Min. 448 m Max. 1 120 m |
Superficie | 7,60 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Couserans Ouest |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | engomer.fr |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lez, le ruisseau d'Astien et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « chars de Moulis et de Liqué, grotte d'Aubert, Soulane de Balaguères et de Sainte-Catherine, granges des vallées de Sour et d'Astien ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Engomer est une commune rurale qui compte 307 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 964 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Engomerois ou Engomeroises.
Géographie
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Commune des Pyrénées située dans l'aire d'attraction de Saint-Girons, traversée par le Lez, affluent du Salat venu du versant nord des Pyrénées centrales, et par la route départementale 618, accès très prépondérant vers les vallées supérieures, Engomer constitue la porte d'entrée du Castillonnais. Elle fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises. Les communes limitrophes sont Balaguères, Castillon-en-Couserans, Cescau et Moulis.
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1073 - Aspect » et « n°1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[2] - [3] et leurs notices associées - [4].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 7,60 km2[5] - [Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,64 km2[3]. Son relief est particulièrement découpé puisque la dénivelée maximale atteint 672 mètres. L'altitude du territoire varie entre 448 m et 1 120 m[8].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par le Lez, le ruisseau d'Astien, le Clot et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[10] - [11].
Le Lez, d'une longueur totale de 35,8 km, prend sa source dans la commune de Sentein et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Girons, après avoir traversé 11 communes[12].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[14]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[13].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] - [19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949[20] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[21] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 12,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[24].
Urbanisme
Typologie
Engomer est une commune rurale[Note 5] - [25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,7 %), prairies (33,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones urbanisées (4,3 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
Les hameaux d'Astien, Loutrein, Sansou sont constituants de la commune.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 243, alors qu'il était de 237 en 2013 et de 246 en 2008[I 4].
Parmi ces logements, 58,8 % étaient des résidences principales, 25,5 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,4 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Engomer en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (25,5 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,2 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 5].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Engomer est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[28] - [29].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Engomer[31]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[32].
Toponymie
Peut-être du nom de personne germanique Ingomares, attesté dans le Polyptyque de Wadalde (NPAG, I, 145a)[33].
Histoire
Une forge à la catalane existait dès le Moyen Âge à l’entrée du village. En 1808, elle est transformée en fonderie pour fabriquer des boulets de canon pour la guerre d'indépendance espagnole. Environ 300 ouvriers y travaillaient en 1818. L'activité s'arrêta au milieu du XIXe.
Sous le Consulat et l’Empire, l’État reprend les forêts aux communes et en , les besoins en charbon de bois des forges d’Engomer ont nettement contribué à la « Guerre des Demoiselles »[34] qui commença dans le Castillonnais.
Engomer disposait d'au moins deux moulins. L'un d'eux est visible sur le site[35] il fait actuellement l'objet d'une restauration. L'autre a été transformé en fromagerie.
Le tramway électrique de la ligne de Saint-Girons à Castillon et à Sentein a desservi la commune de 1911 à 1937.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Engomer est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 8], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 8].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 8], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[37].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41]. En 2020, la commune comptait 307 habitants[Note 7], en augmentation de 10,04 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 141 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 274 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 680 €[I 9] (19 820 € dans le département[I 10]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 9 % | 10,4 % | 10,2 % |
Département[I 12] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 169 personnes, parmi lesquelles on compte 71,2 % d'actifs (61 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs) et 28,8 % d'inactifs[Note 9] - [I 11]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 89 emplois en 2018, contre 80 en 2013 et 66 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 106, soit un indicateur de concentration d'emploi de 83,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,7 %[I 15].
Sur ces 106 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 85,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 9,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Activités hors agriculture
22 établissements[Note 10] sont implantés à Engomer au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 18]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,8 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 22 entreprises implantées à Engomer), contre 27,5 % au niveau départemental[I 19].
Au lieu-dit la Forge, se trouve une entreprise papetière fondée en 1895 par Léon-Alexandre Martin et toujours gérée par la famille. Avec une quarantaine d'employés, les papeteries Léon Martin produisent des papiers spéciaux de faibles grammages (18 g au m²) susceptibles d'être personnalisés et proposés notamment à des clients prestigieux en France et pays limitrophes. Certifiée ISO 9001 et Imprim'Vert, produisant sur site 60 % de son électricité, ayant une politique environnementale exemplaire en matière de gestion des déchets et effluents, l’entreprise a été lauréate en 2012 du Grand Prix « entreprise familiale » lors de la 4e édition des Grands Prix de l’économie Objectifnews.
Au village se trouve une fromagerie artisanale qui fabrique depuis 1979 "L'estive", fromage de vache de type Bethmale élaboré dans la tradition des Pyrénées centrales. Elle est couplée à un atelier de produits alimentaires (millas, raviolis, aligot) et à une boutique.
"La Ferme du Mountagnol" propose cueillette des petits fruits et confitures, coulis, sirops à base de plantes et de fruits et aussi jus de pommes et crème de châtaignes..
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[44]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[45].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 31 | 15 | 13 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 451 | 517 | 443 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 15 en 2000 puis à 13 en 2010[45], soit une baisse de 58 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[47]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 451 ha en 1988 à 443 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à 34 ha[45].
Vie pratique
Outre son école primaire[48], son bureau de poste, le café du coin[49], sa salle des fêtes, son marché de producteurs du dimanche matin organisé par Les fermes buissonnières[50], la commune compte plusieurs commerces en son centre dont un café-restaurant. Également, une épicerie associative gérée par des bénévoles a été créée en 2012[51], financée par un appel à souscription auprès des consommateurs et citoyens de la commune et des alentours; elle propose des produits locaux, une large gamme de produits issus de l'agriculture biologique et des produits de grande distribution.
Lieux et monuments
- Église Saint-Saturnin (XIXe siècle)
- Chapelle Saint-Michel datant du XVe siècle et inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1995. Une association a été créée pour la connaissance et la restauration de cet édifice..
- Château au village.
Personnalités liées à la commune
- Léon-Alexandre Martin (1873-1934), industriel, fondateur en 1895 des Papeteries Léon Martin.
- Charles de Jurquet de la Salle (1914-1969), pilote de guerre, enterré au vieux cimetière.
- Arielle Burgelin de Hugo, muse d'Helmut Newton, mannequin, chanteuse et poète[52]. Fille de Béatrice de Jurquet, poétesse.
- Pierre Vabre (1972), professeur des écoles, a reçu le prix littéraire du Voyage extraordinaire GÉO en 2011 pour son roman Le Petit Homme.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Ressources relatives à la géographie :
- Engomer sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[6] - [7]
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Engomer - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Engomer - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Engomer » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Engomer » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Engomer » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Engomer » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Engomer » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique d'Engomer » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Engomer », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1074 - Saint-Girons de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Engomer », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- voir le répertoire géographique des communes (RGC) 2014 en cliquant ici.
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Engomer », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique d'Engomer » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « le Lez »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Girons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Engomer et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune d'Engomer », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Engomer », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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- François Baby, La guerre des Demoiselles en Ariège. 1829-1872, Cairn,
- Moulin
- « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
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- « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- Didier Péron, « Arielle dans l'extase », Libération, (lire en ligne)