Accueil🇫🇷Chercher

Balaguères

Balaguères est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Balaguères
Balaguères
La tour Sainte-Catherine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Jean-Claude Roques
2020-2026
Code postal 09800
Code commune 09035
Démographie
Gentilé Balaguérois
Population
municipale
198 hab. (2020 en diminution de 0,5 % par rapport à 2014)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 57′ 02″ nord, 1° 02′ 40″ est
Altitude Min. 467 m
Max. 1 253 m
Superficie 17,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Girons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Couserans Ouest
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Balaguères
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Balaguères
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Voir sur la carte topographique de l'Ariège
Balaguères
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Balaguères

    Localisée dans le nord-ouest du département, la commune fait partie, sur le plan historique et culturel, du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne). Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lez et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « chars de Moulis et de Liqué, grotte d'Aubert, Soulane de Balaguères et de Sainte-Catherine, granges des vallées de Sour et d'Astien ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Balaguères est une commune rurale qui compte 198 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 379 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Balaguérois ou Balaguéroises.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    • 1Carte dynamique
    • 2Carte Openstreetmap
    • 3Carte topographique
    • 4Carte avec les communes environnantes

    La commune de Balaguères se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 46 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à km de Saint-Girons[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Engomer (1,4 km), Arrout (1,4 km), Cescau (2,1 km), Audressein (2,9 km), Castillon-en-Couserans (3,4 km), Moulis (4,0 km), Sor (4,3 km), Argein (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Balaguères fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].

    Balaguères est limitrophe de onze autres communes dont deux dans le département de la Haute-Garonne[5]. Les communes limitrophes sont Argein, Arrout, Buzan, Cazavet, Cescau, Engomer, Montgauch, Moulis, Villeneuve et Urau.

    Géologie et relief

    La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1073 - Aspect » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6] - [7] et sa notice associée.

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 17,84 km2[8] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,08 km2[7].Son relief est particulièrement découpé puisque la dénivelée maximale atteint 786 mètres. L'altitude du territoire varie entre 467 m et 1 253 m[11].

    • Agert (à gauche) et Alas (à droite) vue depuis la tour Sainte-Catherine.
      Agert (à gauche) et Alas (à droite) vue depuis la tour Sainte-Catherine.
    • Balagué vu depuis la tour Sainte-Catherine.
      Balagué vu depuis la tour Sainte-Catherine.
    • Balagué vu depuis Lacagne.
      Balagué vu depuis Lacagne.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Balaguères.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[12]. Elle est drainée par le Lez, le Rieu d'Osque, le ruisseau de Lachein, le ruisseau de la Hille, le ruisseau de Lasquert, le ruisseau des Piches et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[13] - [14].

    Le Lez, d'une longueur totale de 35,8 km, prend sa source dans la commune de Sentein et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Girons, après avoir traversé 11 communes[15].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[17]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[18].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[16].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 030 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionalesSaint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949[21] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[22] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 12,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[25].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[26] - [27].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d’Estats, le Mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[28].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « chars de Moulis et de Liqué, grotte d'Aubert, Soulane de Balaguères et de Sainte-Catherine, granges des vallées de Sour et d'Astien »[30], d'une superficie de 4 377 ha, un ensemble de petits massifs calcaires karstifiés avec sites à orchidées exceptionnels et des grottes de reproduction pour les chauves-souris[31].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[32] :

    • les « forêts de Saleich et de l'Estelas et stations sèches de Francazal et de Salège » (3 194 ha), couvrant 16 communes dont 8 dans l'Ariège et 8 dans la Haute-Garonne[33] ;
    • la « partie aval du Lez entre Les Bordes-sur-Lez et Saint-Girons » (76 ha), couvrant 9 communes du département[34],
    • la « soulane de Balaguères au Char de Liqué » (5 178 ha), couvrant 13 communes du département[35] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 8] - [32] : le « massif d'Arbas » (27 233 ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[36].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Balaguères.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,4 %), prairies (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Balaguères est une commune rurale[Note 9] - [38]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [39].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Hameaux

    Cette commune assez vaste n'a pas de village portant son nom, c'est une petite vallée avec différents villages dont Balagué, Agert, Vignau, Alas[5].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 223, alors qu'il était de 211 en 2013 et de 190 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 48 % étaient des résidences principales, 43 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,3 % des appartements[I 5].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Balaguères en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (43 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

    Le logement à Balaguères en 2018.
    Typologie Balaguères[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
    Résidences principales (en %) 48 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 43 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 9 9,7 8,2

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales D 618 et D 204.

    L'accès le plus proche à la A64 est à 25 km au nord sur Saint-Martory[40].

    Risques majeurs

    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Balaguères.

    Le territoire de la commune de Balaguères est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[41] - [42].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[43].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Balaguères[44]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[45].

    Toponymie

    Balaguère est un « vent du sud », chaud et fort.

    Histoire

    Balaguères : sortie des femmes de la messe en 1900.

    Balagué, Agert et Alas font partie dès le XIIe siècle de la seigneurie d'Aspet, ainsi que le vigneau d'Engomer, Montgauch, Bareilles et Mauvezin-de-Prat. Cette seigneurie devient au cours du Moyen Âge une puissante baronnie. Le , Guy d'Encausse, seigneur de Labastide près de Rieucazé, se rend acquéreur d'Alas-Balagué qu'il céda à Jean-Jacques de Solan. En 1667, par édit du mois d'avril, le roi Louis XIV ordonne le rachat des dix-huit paroisses engagées en 1642 et 1643 ; elles entrent toutes dans le domaine royal. Mais par la suite, certaines sont vendues à nouveau (Castelbiague, Pointis-Inard, Alas, Agert, Balagué). D'autres restèrent en paréage avec le roi : Affis (His), Arbas, Ganties, Mauvezin, Montastruc et Rouède. Restent définitivement sous la main du roi, seul seigneur : Aspet, Chein, Escaich, Estadens, Montgauch-Bareilles et Saleich.

    Dès 1905, du beurre était fabriqué dans le cadre d'une fruitière.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Balaguères est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[46].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[47].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[48] - [49].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mai 2020 Henri Andrieu[50] Retraité de profession libérale
    mai 2020 en cours Jean-Claude Roques[51] Ancien Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

    En 2020, la commune comptait 198 habitants[Note 11], en diminution de 0,5 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3797319199551 2891 2951 2711 2961 308
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2241 1341 1991 0971 0771 1191 056984985
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    895805779643632565474425361
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    314314267223209192194195200
    2018 2020 - - - - - - -
    196198-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[56] 1975[56] 1982[56] 1990[56] 1999[56] 2006[57] 2009[58] 2013[59]
    Rang de la commune dans le département 93 128 137 113 134 138 141 141
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Économie

    Production certifiée agriculture biologique de miel, pollen, propolis, gelée royale à Alas.

    Enseignement

    Balaguères fait partie de l'académie de Toulouse.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 108 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 191 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 960 [I 10] (19 820  dans le département[I 11]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 12]3,8 %8,3 %13,8 %
    Département[I 13]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 14]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 116 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (65,5 % ayant un emploi et 13,8 % de chômeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 13] - [I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 15]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 18 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,9 %[I 16].

    Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 92,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

    Activités hors agriculture

    12 établissements[Note 14] sont implantés à Balaguères au [I 19]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 12 entreprises implantées à Balaguères), contre 12,9 % au niveau départemental[I 20].

    Agriculture

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[60]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[61].

    198820002010
    Exploitations312018
    Superficie agricole utilisée (ha)694565616

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole[Note 16] de 1988 à 20 en 2000 puis à 18 en 2010[61], soit une baisse de 42 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[63]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 694 ha en 1988 à 616 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 34 ha[61].

    Culture et festivités

    Balaguères fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Balaguères fut un des lieux de tournage du film Le Retour de Martin Guerre en 1982, avec Nathalie Baye, Gérard Depardieu et Bernard-Pierre Donnadieu.

    Activités sportives

    Cyclisme, pêche, chasse, spéléologie, randonnée.

    Écologie et recyclage

    Une minuscule arachnide, le palpigrade Eukoenenia pyrenaella a été observée uniquement dans la grotte Sainte-Catherine.

    La déchetterie intercommunale la plus proche se trouve à Audressein.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame de l'Assomption d'Agert.
      Église Notre-Dame de l'Assomption d'Agert.
    • Église Saint-Vincent de Balagué.
      Église Saint-Vincent de Balagué.
    • Cadran solaire au chevet de l'église de Balagué. Sur le haut du cadran est représenté un ange avec la date de 1862
      Cadran solaire au chevet de l'église de Balagué. Sur le haut du cadran est représenté un ange avec la date de 1862
    • Une rue d'Alas.
      Une rue d'Alas.

    Personnalités liées à la commune

    • François-Joseph Samiac (1858-1923), ecclésiastique, historien[64], né à Alas.
    • Pierre Samiac (né le 7 novembre 1861 sur la commune, mort le 3 février 1928 à Paris), escrimeur sélectionné pour les Jeux Olympiques de 1900 à Paris au fleuret[65].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[9] - [10]
    3. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Balaguères » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Balaguères - Section LOG T2 » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Balaguères - Section LOG T7 » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
    9. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Balaguères » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Balaguères » (consulté le ).
    11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Balaguères » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
    14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Balaguères » (consulté le ).
    17. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Balaguères » (consulté le ).
    20. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Balaguères et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Balaguères et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Balaguères », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
    5. « Commune de Balaguères, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    6. « Carte géologique de Balaguères » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
    7. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Balaguères », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    8. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Balaguères », sur le site de l'Insee (consulté le )
    9. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    10. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    11. Source : Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
    12. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    13. « Fiche communale de Balaguères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    14. « Carte hydrographique de Balaguères » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
    15. Sandre, « le Lez »
    16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    17. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    18. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    19. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    20. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Saint-Girons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    22. « Orthodromie entre Balaguères et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    25. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    26. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    27. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    28. [PDF]« Le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises - Diagnostic - partie 1. », sur https://www.parc-pyrenees-ariegeoises.fr (consulté le )
    29. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    30. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Balaguères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR7300836 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    32. « Liste des ZNIEFF de la commune de Balaguères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF les « forêts de Saleich et de l'Estelas et stations sèches de Francazal et de Salège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF la « partie aval du Lez entre Les Bordes-sur-Lez et Saint-Girons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF la « soulane de Balaguères au Char de Liqué » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « ZNIEFF le « massif d'Arbas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    38. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Balaguères », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
    41. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
    42. « Les risques près de chez moi - commune de Balaguères », sur Géorisques (consulté le )
    43. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    44. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    45. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Balaguères », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    46. « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    47. « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    48. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    49. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    50. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
    51. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    56. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    57. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    58. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    59. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    60. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    61. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Balaguères - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    62. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    63. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Ariège » (consulté le ).
    64. « François-Joseph Samiac (1858-1923) », sur Bibliothèque nationale de France
    65. « Pierre Samiac », sur olympedia.org (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.