Causses-et-Veyran
Causses-et-Veyran (en occitan Causses e Vairan) est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie.
Causses-et-Veyran | |
Portal. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | HĂ©rault |
Arrondissement | BĂ©ziers |
Intercommunalité | Communauté de communes Les Avant-Monts |
Maire Mandat |
GĂ©rard Baro 2020-2026 |
Code postal | 34490 |
Code commune | 34061 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Caussanais |
Population municipale |
627 hab. (2020 ) |
Densité | 36 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 28âČ 31âł nord, 3° 05âČ 13âł est |
Altitude | Min. 33 m Max. 403 m |
Superficie | 17,65 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | BĂ©ziers (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Cazouls-lĂšs-BĂ©ziers |
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.caussesetveyran.com |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Orb, le Rieutort, le ruisseau de Landeyran et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Causses-et-Veyran est une commune rurale qui compte 627 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Causseranais ou Causseranaises.
GĂ©ographie
Situation
Causses-et-Veyran est un village du Languedoc situé sur la route départementale D19 entre Murviel-lÚs-Béziers et Roquebrun.
Le territoire de Causses atteint les rives de lâOrb. Il est dominĂ© par le Puech du Mont Peyroux.
Causses-et-Veyran comporte : le centre du village (avec son cĆur), la mairie, les Ă©coles, de nouveaux lotissements, un hameau principal (Veyran) ainsi que quelques propriĂ©tĂ©s.
Communes limitrophes
GĂ©ologie
Le village de Causses est installé sur un plateau argilo-calcaire du pliocÚne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Roquebrun », sur la commune de Roquebrun, mise en service en 1955[6] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 15,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 782,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă 50 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[13] : la « vallĂ©e de l'Orb » (634 ha), couvrant 8 communes du dĂ©partement[14].
Urbanisme
Typologie
Causses-et-Veyran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [I 1] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (53,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (47 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (27,5 %), forĂȘts (17,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,4 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %)[17].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies routiĂšres
La D19 assure la liaison avec BĂ©ziers.
Transports en commun
HĂ©rault Transport assure la liaison avec BĂ©ziers via la ligne 644.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Causses-et-Veyran est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, la rupture d'un barrage[18]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[19].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Orb, le ruisseau de Landeyran et le Rieutort. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1984, 1992, 1995 et 1996[20] - [18].
Causses-et-Veyran est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 85,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 407 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 406 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].
Risques technologiques
La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 8] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mĂštres cubes. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[25].
Toponymie
Le nom du village est formé de deux lieux :
- Causses : de Caucio (1199), du latin calx : la chaux, pierre Ă chaux. On trouve en 1210 la villa Cauciana.
- Veyran : nom dâhomme Avarius, Varius ou Verius et suffixe anum (dâappropriation). 804 Venraneges, 990 villa Vairago, 1182 castrum de Verano.
DÚs 1625, les deux noms paraissent ensemble : Causses et Vairan. En 1760, le nom de Causses et Veyran est fixé.
Histoire
Préhistoire
Le petit plateau sur lequel est bĂąti le village de Causses garde des traces dâune prĂ©sence humaine vieille de prĂšs de quatre millĂ©naires. Des urnes funĂ©raires, datĂ©es de -2700 ans (Ăąge du fer) ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes Ă cĂŽtĂ© de Fonsalade (les Pradines), en 1999. On trouve Ă©galement une station nĂ©olithique sur le Pech du mont Peyroux.
Antiquité
La prĂ©sence romaine persiste sous la forme de deux piliers cylindriques, plantĂ©s au beau milieu dâune vigne. De multiples thĂ©ories ont essayĂ© de donner un sens Ă leur prĂ©sence sans rĂ©el succĂšs.
Les recherches sur les « Techniques hydrauliques antiques oubliĂ©es ou disparues » de Roland Haurillon et les fouilles archĂ©ologiques quâil a menĂ©es Ă Causses et Veyran en 2015 ont dĂ©finitivement levĂ© le voile sur ces curieuses piles. Elles faisaient partie dâun rĂ©seau dâirrigation depuis la source des Robinets, qui existe toujours dans le village, jusquâau site de la villa romaine de La Plecho, en passant par le Champ de Plomb. Elles permettaient de transporter lâeau sous pression, par une conduite souterraine en plomb Ă travers un large vallon, sans risquer « le coup de bĂ©lier » bien connu des plombiers : six colonnes de pierre en opus quadratum, alignĂ©es et espacĂ©es de 70 m et dont la plus haute sâĂ©levait Ă 17 m, faisaient remonter lâeau dans des bassins dâair situĂ©s Ă leur sommet selon le systĂšme du siphon inversĂ©. Le plomb a disparu, mais les fouilles ont mis au jour les murets de fondation de ces conduites reliant les colonnes, comprenant tous les 3 m des plots maçonnĂ©s correspondant aux raccords des tuyaux en plomb, et de chaque cĂŽtĂ© des colonnes des plots correspondant aux coudes dirigeant la conduite vers le sommet des colonnes.
Au lieu dâimaginer des tours trophĂ©es romaines ou un aqueduc irrĂ©alisable en bois, que nâa-t-on Ă©coutĂ© attentivement les vieux du village, qui nous parlaient de la « source des robinets » (les robinets qui se greffaient le long de la conduite), des « pilas » (en occitan « bassins de pierre ») et du fameux « champ de plomb. »
Ce dispositif bien connu de la Rome antique, appelé « souterazi » par les Ottomans, existe à Pompéi, en Turquie, à Alger, en Espagne. On en recense de rares vestiges en France.
Des tombes wisigothiques sont présentes à Varailhac, Veyran et le village de Causses. Au hameau de Veyran, la présence des Wisigoths sur le site est attestée par la découverte de tombes à lauzes orientées et de cercueils en plomb.
Moyen Ăge
La seigneurie. On possĂšde peu dâinformations sur le chĂąteau de Causses, il dĂ©pend de la chĂątellenie de Cessenon. Il est citĂ© en 1199 comme « castrum de Caucio ». En 1406, ses propriĂ©taires Raymond de CabriĂšres et Veziade dâAnduze donnent Ă lâAumĂŽne du chapitre de la cathĂ©drale Saint-Just de Narbonne, « trois parts du chĂąteau de Causses avec toutes leurs appartenances, la borie de Pradines et le bois de Mont Peyroux audit terroir ». Le village de Causses sâenroule en spirale autour de lâĂ©glise et du chĂąteau, tous deux Ă©troitement imbriquĂ©s. Au Moyen Ăge, la paroisse est liĂ©e au chapitre de Narbonne et le village de Causses fait partie de la chĂątellenie de Cessenon, une des plus importantes (30000 ha) de la vicomtĂ© de BĂ©ziers. Autour, tout appartient Ă Murviel : Veyran, Jougran, Saint-Nazaire-de-Ladarez⊠On trouve un temps trace dâune famille seigneuriale : la famille Fraissinet de Vessas est connue Ă Saint-Gervais-sur-Mare, prĂšs de BĂ©darieux, Ă Cessenon. Mais il faut savoir que la chĂątellenie de Cessenon possĂ©dait tout un rĂ©seau de petits chĂąteaux gouvernĂ©s par des baillis. Les baillis de Causses sont issus de la famille Guibert. En 1555, Jacques Guibert alors bailli de Roquebrun devient bailli de Causses. La famille exercera ces fonctions jusquâen 1650. Cette famille avec dâautres familles possĂ©dantes sont un vĂ©ritable contre-pouvoir. Elles possĂšdent lâessentiel des richesses de ce terroir : cĂ©rĂ©ales, vignes, oliviers, vergers, forĂȘts, pĂątures, maisons, moulins⊠Ces familles forment le conseil de la communautĂ© villageoise qui se rĂ©unit une fois par an, en prĂ©sence du chĂątelain, pour Ă©lire les consuls. Ils sont au nombre de trois et le 1er prend le nom de maire. Ces consuls sous autoritĂ© plus ou moins grande du bailli participent Ă lâĂ©laboration du compoix, fixent impĂŽts et taxes, nomment le garde champĂȘtre, interviennent dans la justice et la police ou font appel au sĂ©nĂ©chal en cas dâimpossibilitĂ© Ă rĂ©soudre un conflit.
Ăpoque contemporaine
Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, le hameau de Veyran jusque-lĂ propriĂ©tĂ© des seigneurs de Murviel est vendu par le mari de la marquise Ursule Spinola, baronne des Ă©tats du Languedoc et derniĂšre seigneuresse de Murviel, aprĂšs le dĂ©cĂšs de celle-ci. Le chĂąteau et les terres de Veyran sont vendus Ă un autre Murveillois, PĂ©lissier. Lâensemble sera ensuite dĂ©membrĂ© vers 1860. Le prieurĂ© a rĂ©cemment Ă©tĂ© restaurĂ© par Gabriel Gondard. Au cours de cette restauration, des reliques ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes dans un mur. Une statue de saint Sever a ensuite Ă©tĂ© placĂ©e dans une niche.
Une carriÚre de marbre incarnat sera encore exploitée vers 1880. On trouve d'ailleurs de nombreux encadrements en marbre dans le village.
Population et société
Causses absorbe la commune de Veyran entre 1790 et 1794.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[27].
En 2020, la commune comptait 627 habitants[Note 9], en augmentation de 2,28 % par rapport Ă 2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
L'école publique comporte pour l'année 2009/2010 deux classes, l'une pour les maternelles et les CP l'autre pour les élÚves du CE1 au CM2. La cantine est assurée par un transport en bus au collÚge.
Politique et administration
Maires de Causses-et-Veyran
- 1792-1794 : Jean-Pierre Calar
- 1794-1800 : Joseph Villebrun
- 1800-1801 : Pierre Esteve *
- 1801-1805 : Louis Cabanon
- 1805-1809 : Jean-Pierre Xavier de Lautrec
- 1809-1814 : Pierre Esteve
- 1815-1815 : Clément Pelissier
- 1815-1824 : Jean-Pierre Xavier de Lautrec
- 1824-1826 : Barthelemy Abbal
- 1826-1829 : François Farang **
- 1829-1829 : Jean-Pierre Marie de Lautrec **
- 1829-1832 : Clément Pelissier
- 1833-1840 : Jean-Toussaint Ferret
- 1840-1843 : Ătienne Barthes
- 1843-1847 : Jean Alexis Guy
- 1848-1849 : Pierre Robbert
- 1849-1860 : Jean-Pierre René Villebrun
- 1860-1878 : Ădouard Ămilien Granier
- 1878-1887 : Joseph Tisia Abbal
- 1887-1892 : Ămile Jany
- 1882-1912 : FĂ©lix Jany
- 1912-1915 : Clément Jany
- 1915-1917 : Ămile Bascou ***
- 1917-1919 : Clément Jany
- 1919-1944 : Raymond Guibert
- 1944-1972 : Jules Milhau ****
- 1972-1995 : Didier-LĂ©on Douarche
- 1995-en cours : Gérard Baro (PS) - Agriculteur retraité
* Maire provisoire ** Maire DĂ©missionnaire *** Maire DĂ©lĂ©guĂ© **** PrĂ©sident de la dĂ©lĂ©gation spĂ©ciale. Ălu Maire en 1945
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 280 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 580 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 820 âŹ[I 4] (20 330 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 9,3 % | 11,3 % | 11,8 % |
DĂ©partement[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 338 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (65,1 % ayant un emploi et 11,8 % de chÎmeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 89 emplois en 2018, contre 91 en 2013 et 83 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 227, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,8 %[I 10].
Sur ces 227 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
46 établissements[Note 12] sont implantés à Causses-et-Veyran au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 3 | 6,5 % | (6,7 %) |
Construction | 10 | 21,7 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 15 | 32,6 % | (28 %) |
Activités immobiliÚres | 3 | 6,5 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 11 | 23,9 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 4,3 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 2 | 4,3 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,6 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 46 entreprises implantées à Causses-et-Veyran), contre 28 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30] :
- Tunez Elec, travaux d'installation Ă©lectrique dans tous locaux (118 kâŹ)
- Les Monts De Saisnt-Sever, commerce de dĂ©tail de fleurs, plantes, graines, engrais, animaux de compagnie et aliments pour ces animaux en magasin spĂ©cialisĂ© (22 kâŹ)
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 82 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă 52 en 2000 puis Ă 27 en 2010[33] et enfin Ă 24 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 71 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[34] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 671 ha en 1988 Ă 470 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 8 Ă 20 ha[33].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
à part du vignoble de Saint-Chinian, on trouve une église romane, et, dans le hameau de Veyran, une chapelle nommée Saint-Sever, caractérisée par des piliers-tours.
- Ăglise Notre-Dame-de-la-Purification
LâĂ©glise paroissiale de Causses est une ancienne chapelle castrale. Ce qui explique peut-ĂȘtre quâelle soit entourĂ©e dâhabitations. Par le grenier de lâune dâelles, on accĂšde Ă un ancien chemin de ronde. Le chĆur et lâabside semi-circulaire de lâĂ©glise datent de la fin du Xe siĂšcle-dĂ©but XIe siĂšcle. La chapelle latĂ©rale Ă droite du chĆur est du XVe siĂšcle, voĂ»tĂ©e dâogives Ă culots historiĂ©s (les quatre Ă©vangĂ©listes). Au sud, une autre chapelle avec une voĂ»te Ă liernes du XVe siĂšcle est trĂšs belle. Ces deux chapelles furent restaurĂ©es en 1977. Le maĂźtre-autel dont le pied est fait de pierres taillĂ©es dans des supports de foudre et la table dâune pierre tombale, dressĂ© au milieu de lâabside a Ă©tĂ© consacrĂ© en 1968 par lâĂ©vĂȘque de Montpellier. Lâescalier Ă vis qui permet dâaccĂ©der au clocher (ancienne tour de dĂ©fense dominant la plaine vers BĂ©ziers) est Ă©galement du XVe siĂšcle. Une des cloches, la Julie-Marie-Caussette, date de 1667. Elle s'est fĂȘlĂ©e lors des sonneries Ă lâoccasion de lâarmistice de 1918). La nef romane a Ă©tĂ© remaniĂ©e au XVe siĂšcle et possĂšde deux travĂ©es. Une statue de saint Clair qui tient une livre ouvert Ă la page des Dix Commandements, Ă©crits en hĂ©breu.
- Prieuré Saint-Sever
On peut voir aujourdâhui au hameau de Veyran un prieurĂ©, exemple du premier art roman, dit « lombard ». Il se caractĂ©rise ici par lâopulence de son abside. Le mur absidal, en effet, raidi par de petits contreforts, appelĂ©s lĂ©sĂšnes, est percĂ© par une seule fenĂȘtre Ă lumiĂšre trĂšs Ă©troite. Lâabside semi-circulaire est ornĂ©e de bandes lombardes et de cordons de lave (basalte noir). La nef est charpentĂ©e. Vraisemblablement construit au XIe siĂšcle, la plus ancienne trace Ă©crite que nous ayons conservĂ© de ce prieurĂ© date de 1156. NĂ©anmoins, on trouve dĂšs 922 la mention dâun « Molinus de Avairano » moulin de Veyran. Ce prieurĂ© releva de l'abbaye de Cassan jusquâĂ la RĂ©volution. Le prieurĂ© Saint-Sever est aujourdâhui un caveau de dĂ©gustation appartenant au mas GabinĂšle.
Patrimoine civil
Les tours romaines, dont soixante sept mÚtres séparent ces piliers de grosseurs différentes (6,75 m de circonférence pour l'une, 7,42 m pour l'autre). Construites en pierres calcaires et enfouies de prÚs de deux mÚtres dans le sol, ces tours s'élÚvent à cinq mÚtres au-dessus du sol. Les deux piles ont été inscrites monument historique le [35].
HĂ©raldique
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Les armoiries de Causses-et-Veyran se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
Quelques personnalités marquantes ont vu le jour à Causses-et-Veyran, parmi lesquelles l'Abbé André Cabrol, linguiste, auteur avec F. Hamlin des Noms de lieux du département de l'Hérault (1983), du pÚre Jacques VaniÚre et de l'économiste Jules Milhau.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[24].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Causses-et-Veyran » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Causses-et-Veyran » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Causses-et-Veyran » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Causses-et-Veyran » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Roquebrun - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Causses-et-Veyran et Roquebrun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Roquebrun - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Causses-et-Veyran et SÚte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Causses-et-Veyran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de l'Orb » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Causses-et-Veyran », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Causses-et-Veyran », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Causses-et-Veyran », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de lâagriculture et de lâalimentation, 10 dĂ©cembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Causses-et-Veyran - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- Notice no PA00103414, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
Voir aussi
Bibliographie
- L. Montagnier, « La nĂ©cropole hallstatienne de Causses et Veyran », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique, scientifique et littĂ©raire de BĂ©ziers, t. XV-XVI,â 1949-1950, p. 17-21
- Jean-Luc Esperou et Jean-Louis Andrieu, « Les piles de Causses-et-Veyran (HĂ©rault) », ArchĂ©ologie en Languedoc, no 23,â , p. 129-136
- Roland Haurillon, « Le coup de bĂ©lier dans les "piles" de Causses-et-Veyran », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique, scientifique et littĂ©raire de BĂ©ziers,â 2011-2012, p. 11-20
- Cent de vie Ă Causses-et-Veyran : 1880-1980, Causses-et-Veyran, Le cep biterrois, , 73 p.
- AndrĂ© Robert, « Causses-et-Veyran, village des garrigues : Ă©tude dĂ©mographique sur la pĂ©riode de 1700 Ă 1850 », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique, scientifique et littĂ©raire de BĂ©ziers, 9e sĂ©rie,â 2002-2003, p. 62-72
- Joseph Coulouma, Les Tours trophées de Causses : deux trouvailles archéologiques à Veyran, Vienne, Martin et Ternet, , 12 p.
- Sabatier, « Quelques monuments antiques : les Tours de Causses », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique, scientifique et littĂ©raire de BĂ©ziers, 1re sĂ©rie, t. 4,â , p. 131-145
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Causses-et-Véran (1628-1948) [2,40 ml]. Cote : 61 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
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- Site collaboratif
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