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Saint-Gervais-sur-Mare

Saint-Gervais-sur-Mare est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie.

Saint-Gervais-sur-Mare
Saint-Gervais-sur-Mare
Vue depuis le clocher de Neyran
Blason de Saint-Gervais-sur-Mare
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement BĂ©ziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Jean-Luc Falip
2020-2026
Code postal 34610
Code commune 34260
DĂ©mographie
Population
municipale
849 hab. (2020 en diminution de 1,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 35 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 39â€Č 10″ nord, 3° 02â€Č 27″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 940 m
Superficie 24,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction BĂ©darieux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Clermont-l'HĂ©rault
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Gervais-sur-Mare
Liens
Site web stgervaissurmare.free.fr

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la Mare, le Casselouvre, le ruisseau de Narbounis et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional du Haut-Languedoc, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « crĂȘtes du Mont Marcou et des Monts de Mare ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Saint-Gervais-sur-Mare est une commune rurale qui compte 849 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 2 620 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©darieux.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans les Hauts cantons de l'Hérault, entre les communes de Castanet-le-Haut et Graissessac.

    Elle est intégrée au sein du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    Carte

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Mare et par le ruisseau du Casselouvre qui se jette dans la Mare. En 1760, le Casselouvre en crue a détruit une des deux études de notaire du village (étude Portalon), emportant toutes les archives. Les inondations de ont provoqué de gros dégùts dans le village, la route D 922 a été emportée.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 204 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 8,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 128,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le dĂ©partement de l'Aveyron, mise en service en 1964 et Ă  50 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le parc naturel rĂ©gional du Haut-Languedoc, crĂ©Ă© en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'Ă©tend sur 118 communes et deux dĂ©partements[15]. ImplantĂ© de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre OcĂ©an Atlantique et mer MĂ©diterranĂ©e, ce territoire est un vĂ©ritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les Ă©tendues cĂ©rĂ©aliĂšres du Lauragais[16] - [17].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : les « crĂȘtes du Mont Marcou et des Monts de Mare »[19], d'une superficie de 1 481 ha, abritant quatre espĂšces de chauves-souris d'intĂ©rĂȘt communautaire (Rhinolophus ferrumequinum, R. hipposideros, Miniopterus schreibersi), et plus particuliĂšrement le MinioptĂšre de Schreibers[20].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[21] : les « crĂȘtes du Mont Cabane au Mont Marcou » (484 ha), couvrant 4 communes dont une dans l'Aveyron et trois dans l'HĂ©rault[22] et la « riviĂšre de la mare et ruisseau de BĂ©dĂšs » (20 ha)[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [21] :

    • les « crĂȘtes du Mont Marcou et des Monts de mare » (3 441 ha), couvrant 7 communes dont une dans l'Aveyron et six dans l'HĂ©rault[24] ;
    • le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du dĂ©partement[25].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Saint-Gervais-sur-Mare.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gervais-sur-Mare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [I 1] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©darieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (89 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (74,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (6,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %), prairies (1,7 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La partie la plus ancienne du village de Saint-Gervais est construite au pied d'un chùteau et le long d'un cours d'eau; le casselouvre. Une urbanisation cohérente s'est poursuivie sur la rive opposée mais sans atteindre les rives de la Mare, les rues y sont plus larges que la partie ancienne du village.

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    • MĂšcle
    • Rongas
    • Castanet le Bas
    • Les NiĂšres
    • Le Buis

    Logement

    En 2012 le nombre total de logement dans la commune est de 720, soit 62 de plus qu'en 2009. Parmi eux 8 % sont vacants, 49,7 % sont des résidences principales, 42,4 % sont des résidences secondaires. Ces logements étaient pour 79,6 % des maisons individuelles, et pour 16,7 % des appartements[a 1]. La proportion des résidences principales appartenant à leur occupant était de 65,5%[a 2].

    Voies de communication et transports

    La commune est accessible en arrivant de Castanet-le-Haut Ă  l'Ouest et Saint-Étienne-EstrĂ©choux Ă  l'Est par la D922, et HĂ©rĂ©pian au Sud par la D180 en passant par le col des Treize Vents. Une ligne de bus dessert la commune, en partance de BĂ©darieux ou de Andabre[29].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Mare. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 1996, 1997, 2014 et 2016[32] - [30].

    Saint-Gervais-sur-Mare est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gervais-sur-Mare.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 32 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 567 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 486 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 86 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[35].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2016[30].

    Risque particulier

    L’étude Scanning de GĂ©odĂ©ris rĂ©alisĂ©e en 2008 a Ă©tabli pour le dĂ©partement de l’HĂ©rault une identification rapide des zones de risques miniers liĂ©s Ă  l’instabilitĂ© des terrains[36]. Elle a Ă©tĂ© complĂ©tĂ©e en 2015 par une Ă©tude approfondie sur les anciennes exploitations miniĂšres du bassin houiller de Graissessac et du district polymĂ©tallique de Villecelle. La commune est ainsi concernĂ©e par le risque minier, principalement liĂ© Ă  l’évolution des cavitĂ©s souterraines laissĂ©es Ă  l’abandon et sans entretien aprĂšs l’exploitation des mines[37].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Gervais-sur-Mare est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[38].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous les formes : ecclesia S Gervasii en 966; de S. Gervasio en 1204 / 1404; Sainct Gervys en 1579; etc.[39]. Le nom de la communauté sous l'Ancien régime était Saint-Gervais-Ville pour la différencier de celle de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine) qui est devenue aprÚs redécoupage la commune de Rosis. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Mont-Taillis[40]. La commune a pris son nom actuel par le décret du [41].

    Histoire

    Saint-Gervais-sur-Mare appartenait au diocÚse de Castres (sauf pour les hamaux des NiÚres et de Castanet qui dépendaient du diocÚse de Béziers) et à la sénéchaussée de Béziers. La commune était rattachée au Tarn, district de Lacaune lors de la création des départements. En vertu de la loi du 3 brumaire an X (1801) qui échangeait les cantons d'AnglÚs et de Saint-Gervais, la commune a été rattachée à l'Hérault[42]..

    En 2014, le canton de Saint-Gervais-sur-Mare a disparu. La commune a été rattachée au canton de Clermont-l'Hérault.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juillet 1819 septembre 1830 Joseph Gervais d'Estoriac propriétaire, avocat au Parlement de Toulouse[44]
    septembre 1830 1836 Barthélémi Moulinier propriétaire
    septembre 1836 ? Barthélémi Mas
    1989 1995 Jean-Luc Falip
    mars 2001 En cours Jean-Luc Falip PS Représentant de commerce
    Conseiller général puis départemental
    président de la communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    Saint-Gervais-sur-Mare relĂšve du tribunal d'instance de BĂ©ziers, du tribunal de grande instance de BĂ©ziers, de la cour d'appel de Montpellier, du tribunal pour enfants de BĂ©ziers, du conseil de prud'hommes de BĂ©ziers, du tribunal de commerce de BĂ©ziers, du tribunal administratif de Montpellier et de la cour administrative d'appel de Marseille[45].

    Jumelages

    Au , Saint-Gervais-sur-Mare n'est jumelée avec aucune commune[46].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[48].

    En 2020, la commune comptait 849 habitants[Note 10], en diminution de 1,16 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9901 0131 3071 2582 5052 6052 5732 5232 620
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2972 2562 3282 1972 0532 0692 0301 7801 690
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6601 6151 5941 5141 5201 3941 3381 2381 255
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 096873860859813789813805861
    2015 2020 - - - - - - -
    853849-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Saint-Gervais-sur-Mare dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Montpellier. Elle administre une Ă©cole maternelle et une Ă©cole Ă©lĂ©mentaire communales regroupant 57 Ă©lĂšves en 2015-2016, et un collĂšge public[50].

    Santé

    La commune compte une maison de retraite ainsi qu'un parcours de santé; L'ancienne ligne de chemin de fer latour-plaisance.

    Sports

    Des associations proposent des activités sportives. Les abrupts proches dits "falaises d'Olques" ou " falaises d'Orques" permettent la pratique de l'escalade.

    Cultes

    Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique Notre-Dame des LumiÚres au sein du secteur missionnaire « Béziers -Biterrois » de l'archidiocÚse de Montpellier[51].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 406 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 739 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 970 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]7,1 %11,3 %15 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  408 personnes, parmi lesquelles on compte 71,5 % d'actifs (56,4 % ayant un emploi et 15 % de chĂŽmeurs) et 28,5 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BĂ©darieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 257 emplois en 2018, contre 264 en 2013 et 236 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 236, soit un indicateur de concentration d'emploi de 108,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 39 %[I 10].

    Sur ces 236 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 109 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 63,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,5 % les transports en commun, 18,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    49 établissements[Note 13] sont implantés à Saint-Gervais-sur-Mare au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble49
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    36,1 %(6,7 %)
    Construction918,4 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1632,7 %(28 %)
    Information et communication12 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    24,1 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    714,3 %(14,2 %)
    Autres activités de services1122,4 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 32,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (16 sur les 49 entreprises implantĂ©es Ă  Saint-Gervais-sur-Mare), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Revenus de la population et fiscalité

    La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation en 2012 est de 16 105€[a 3].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4113114
    SAU[Note 15] (ha)154260404162

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (41 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 162 ha[54] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Emploi

    La population active ayant un emploi Ă©tait de 55,6 % en 2012 contre 61,4 % en 2007. Le taux de chĂŽmage Ă©tait de 11,3 % en 2012 contre 12,6 % en 2007[a 4].

    Le nombre d'emplois dans la zone était de 271 en 2012 contre 214 en 2007, les actifs ayant un emploi résidant dans la zone étaient de 266 en 2012 contre 246 en 2007. En 2012 l'indicateur de concentration d'emploi était de 102,0; ce qui signifie que la zone d'emploi offre plus d'emplois qu'il n'y a d'actifs[a 5].

    Les actifs travaillant dans la commune de résidence représentent 49,8 % de l'ensemble des actifs de la commune[a 6].

    En 2013 l'ensemble des secteurs d'activités (sauf l'Administration publique, l'enseignement, la santé, et l'action sociale) emploient entre 1 et 9 salariés[a 7].

    Entreprises et commerces

    Au le nombre d'Ă©tablissements actifs par secteur d'activitĂ© Ă©tait de 70; 3 en agriculture, sylviculture et pĂȘche, 3 dans l'industrie, 12 dans la construction, 38 dans le commerce, les transports, et services divers dont 12 en commerce et rĂ©paration automobile, et 14 dans l'Administration publique, l'enseignement, la santĂ©, et l'action sociale[a 8].

    En 2014 l'ensemble de créations d'établissements (activités marchandes hors agriculture) s'élÚve à 4; dont 1 dans la construction et 3 dans le commerce, les transports, et services divers[a 9].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Gervais-et-Saint-Protais. On aperçoit le clocher de Neyran au loin.
      Église paroissiale Saint-Gervais-et-Saint-Protais. On aperçoit le clocher de Neyran au loin.
    • L'ancienne fonderie Granier Ă  Castanet-le-Bas
      L'ancienne fonderie Granier Ă  Castanet-le-Bas
    • Faubourg de Castres : carte postale (1910).
      Faubourg de Castres : carte postale (1910).

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Gervais-sur-Mare Blason
    D'or à un trident renversé d'azur, la partie supérieure du manche potencée, accompagné de trois pattes de lion de gueules celles du chef affrontées.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • GĂ©rard Alzieu, « Les paroisses de la haute vallĂ©e de la Mare sous l'Ancien rĂ©gime », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 22,‎ , p. 37-43
    • Albert Cayssac, « Saint-Gervais-Sur-Mare », Revue historique du diocĂšse de Montpellier,‎ 1909-191, p. 291-295
    • AndrĂ© Favard, « La derniĂšre demeure de Tristan Guilhem II Ă  Saint-Gervais », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 31,‎ , p. 73-78
    • Audrey Lafourcade, Neyran : un site mĂ©diĂ©val Ă  Saint-Gervais-sur-Mare (HĂ©rault), S.l., s.n., , 105 p.
    • Marie Pintre, « Embellissements des chƓurs d'Ă©glises du Languedoc du XVIIIe au dĂ©but du XIXe siĂšcle : cas de la cathĂ©drale de BĂ©ziers et de l'Ă©glise de Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 37,‎ , p. 139-146
    • Claudine Sabatier, « La population de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare de l'an V Ă  nos jours », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 6,‎ , p. 121-132
    • Michel Scanzi et AndrĂ© Favard, « Les particularitĂ©s des stĂšles discoĂŻdales de la vallĂ©e de la Mare (HĂ©rault) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 35,‎ , p. 79-92
    • AndrĂ© Signoles, « Le dĂ©cor lombard de l'ancienne Ă©glise Saint-Pierre-de-Neyran Ă  Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 6,‎ , p. 70-83

    Fonds d'archives

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Notes

      Site de l'Insee

        Autres sources

        1. LOG T2 - Catégories et types de logements.
        2. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
        3. REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2012.
        4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
        5. EMP T5 - Emploi et activité.
        6. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
        7. CEN T2 - Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2013.
        8. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© au 31 dĂ©cembre 2013.
        9. DEN T4 - Créations d'établissements par secteur d'activité en 2014.
        1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
        2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
        3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
        4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
        5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
        6. « Station Météo-France Les Aires - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
        7. « Orthodromie entre Saint-Gervais-sur-Mare et Les Aires », sur fr.distance.to (consulté le ).
        8. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
        9. « Orthodromie entre Saint-Gervais-sur-Mare et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
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        24. « ZNIEFF les « crĂȘtes du Mont Marcou et des Monts de mare » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
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        39. Frank R. Hamlin et abbĂ© AndrĂ© Cabrol, Les noms de lieux du dĂ©partement de l'HĂ©rault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 327
        40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
        41. J.O. 1958 no 240,p. 9328
        42. Claude Motte, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire administrative et démographique - Hérault, Paris, CNRS, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3, BNF 36636193), p. 184
        43. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
        44. Mairie de Saint-Gervais, « Délibérations du conseil municipal 260 EDT 16 photo 4/226 », sur AD Hérault (consulté le )
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        47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
        48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
        49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
        50. « HĂ©rault (34) > Saint-Gervais-sur-Mare > École », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
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        53. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
        54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Saint-Gervais-sur-Mare - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
        55. « Église Saints-Gervais-et-Protais », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
        56. « Ruines de l'ancienne abbaye Saint-Pierre de Nayran », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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