Vier-Bordes
Vier-Bordes est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Vier-Bordes | |||||
Vue de Vier. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | ArgelĂšs-Gazost | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Pascal Collado 2020-2026 |
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Code postal | 65400 | ||||
Code commune | 65467 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vierbordésiens | ||||
Population municipale |
97 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 42° 59âČ 57âł nord, 0° 03âČ 19âł ouest | ||||
Altitude | Min. 640 m Max. 1 709 m |
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Superficie | 9,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | ArgelĂšs-Gazost (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée des Gaves | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituĂ©e d'un ensemble de sept vallĂ©es en amont de la ville de Lourdes. ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Vier-Bordes est une commune rurale qui compte 97 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 219 habitants en 1861. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'ArgelÚs-Gazost. Ses habitants sont appelés les Vierbordésiens ou Vierbordésiennes.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Vier-Bordes se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 28 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 3 km d'ArgelÚs-Gazost[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ayros-Arbouix (1,0 km), Préchac (1,5 km), Saint-Pastous (1,7 km), Beaucens (2,4 km), BoÎ-Silhen (2,6 km), Artalens-Souin (2,7 km), Lau-Balagnas (2,9 km), Adast (3,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Vier-Bordes fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particuliÚrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[4].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos, le ruisseau de Couyéou de Mates, le ruisseau Estau et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[13] et qui se trouve Ă 1 km Ă vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 031,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă 21 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17], Ă 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis Ă 12,9 °C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[20] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[21].
Urbanisme
Typologie
Vier-Bordes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 2] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'ArgelÚs-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (79,4 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (78,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (52,2 %), forĂȘts (27,2 %), prairies (13,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 108[I 5].
Parmi ces logements, 36,9 % sont des résidences principales, 61,3 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par les routes dĂ©partementales DâŻ100 qui monte Ă Hautacam puis DâŻ100c.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vier-Bordes est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].
Vier-Bordes est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. Lâemploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. Dâabord le code forestier et lâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent lâemploi du feu Ă moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur lâensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de lâair, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. LâĂ©cobuage est quant Ă lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales dâĂ©cobuage (CLE)[27]
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a faible (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 99 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2007 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2021[25].
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[31] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Vier
DĂ©nominations historiques :
- Bier (1272, livre vert de BĂ©nac ; 1294, ibid. ; 1349, ibid.) ;
- De Bierrio, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé de Tarbes) ;
- Vier (1379, procuration Tarbes) ;
- Bier (1429, censier de Bigorre) ;
- Vier (1614, Guillaume Mauran) ;
- Vier (fin XVIIIe siĂšcle, carte de Cassini).
Nom occitan : BiĂšr.
Bordes
DĂ©nominations historiques :
- De Bordis, latin (1342, pouillé de Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
- Bordes, Bordas (1429, censier de Bigorre) ;
- Bordes (fin XVIIIe siĂšcle, carte de Cassini).
Nom occitan : BĂČrdas.
Borde « cabane, maisonnette, mĂ©tairie » est un mot d'origine germanique (francique bort « planche », d'oĂč borda « cabane » en latin tardif), dĂ©signant d'abord la maison isolĂ©e, puis des hameaux.
Histoire
Vier-Bordes résulte de la fusion des deux communes : Vier et Bordes intervenue en 1848[32].
Cadastre napoléonien de Vier-Bordes
- Le plan cadastral napoléonien de Vier est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[33].
- Le plan cadastral napoléonien de Bordes est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[34].
Politique et administration
Liste des maires
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, ArribÚra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), ArgelÚs (depuis 1801). Communautés distinctes Vier et Bordes sont réunies en 1848[35].
Intercommunalité
Vier-Bordes appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.
Services publics
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
La population a atteint un maximum en 1856 avec 219 habitants, puis a baissé périodiquement pour atteindre 53 habitants en 1975. Elle a ensuite connu une hausse jusqu'en 2020 avec 97 habitants.
Le tableau ci-dessous intÚgre les habitants de Bordes recensés à part avant 1848 (entre 58 et 67 habitants)[32].
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2017[43].
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 12,5 % | 7,9 % | 3,4 % |
DĂ©partement[I 7] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (75,9 % ayant un emploi et 3,4 % de chÎmeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'ArgelÚs-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59 %[I 10].
Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- De Vier.
- De l'Ă©glise de Vier.
Personnalités liées à la commune
Parmi les nombreux enfants de Vier, on peut se souvenir de Jean-Louis Sarthedessus, qui fut longtemps maire et poÚte de talent, bien qu'étant un « simple petit paysan ayant seulement le certificat d'études », comme il aimait à le rappeler.
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'azur Ă la fasce d'argent, au chef d'or chargĂ© d'une cloche de sable accostĂ©e de deux fleurs de lys du mĂȘme. |
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes des Hautes-Pyrénées
- Communauté de communes de la Vallée d'ArgelÚs-Gazost
- Le Pays des Sept Vallées : le Lavedan
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Vier-Bordes sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Vier-Bordes » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Vier-Bordes » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de ArgelÚs-Gazost » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Vier-Bordes
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vier-Bordes » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vier-Bordes » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et ArgelÚs-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Vier-Bordes », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Vier-Bordes », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Vier-Bordes et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Vier-Bordes et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vier-Bordes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « massifs du Montaigu et de Hautacam » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Vier-Bordes », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre lâincendie (PDPFCI) 2020 â 2029 », sur www.hautes-pyrenees.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vier-Bordes », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bordes », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Vier en 1826
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Bordes en 1826
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Vier-Bordes », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Annuaire : RĂ©sultats de recherche », sur le site du ministĂšre de l'Ăducation nationale (consultĂ© le ).