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Vier-Bordes

Vier-Bordes est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Vier-Bordes
Vier-Bordes
Vue de Vier.
Blason de Vier-Bordes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement ArgelĂšs-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Pascal Collado
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65467
DĂ©mographie
Gentilé Vierbordésiens
Population
municipale
97 hab. (2020 en diminution de 6,73 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 10 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 59â€Č 57″ nord, 0° 03â€Č 19″ ouest
Altitude Min. 640 m
Max. 1 709 m
Superficie 9,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction ArgelĂšs-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Vier-Bordes
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Vier-Bordes
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Vier-Bordes

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituĂ©e d'un ensemble de sept vallĂ©es en amont de la ville de Lourdes. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Vier-Bordes est une commune rurale qui compte 97 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 219 habitants en 1861. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'ArgelĂšs-Gazost. Ses habitants sont appelĂ©s les VierbordĂ©siens ou VierbordĂ©siennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Vier-Bordes se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  28 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km d'ArgelĂšs-Gazost[2], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ayros-Arbouix (1,0 km), PrĂ©chac (1,5 km), Saint-Pastous (1,7 km), Beaucens (2,4 km), BoĂŽ-Silhen (2,6 km), Artalens-Souin (2,7 km), Lau-Balagnas (2,9 km), Adast (3,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Vier-Bordes fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particuliÚrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[4].

    Carte de la commune de Vier-Bordes et des proches communes.
    Communes limitrophes de Vier-Bordes[5]
    Saint-Pastous
    Ayros-Arbouix Vier-Bordes Gazost
    Artalens-Souin Beaucens

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau d'Aygueberden, le ruisseau d'Estibos, le ruisseau de Couyéou de Mates, le ruisseau Estau et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 293 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 10,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[13] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 031,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  21 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[20] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Vier-Bordes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 2] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'ArgelĂšs-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].

    La fontaine.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (79,4 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (78,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (52,2 %), forĂȘts (27,2 %), prairies (13,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 108[I 5].
    Parmi ces logements, 36,9 % sont des résidences principales, 61,3 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes dĂ©partementales D 100 qui monte Ă  Hautacam puis D 100c.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vier-Bordes est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Vier-Bordes est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[27]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vier-Bordes.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a faible (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 99 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2007 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2021[25].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Vier-Bordes Ă  l'est d'ArgelĂšs-Gazost.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[31] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Vier

    DĂ©nominations historiques :

    Nom occitan : BiĂšr.

    Bordes

    DĂ©nominations historiques :

    Nom occitan : BĂČrdas.

    Borde « cabane, maisonnette, mĂ©tairie » est un mot d'origine germanique (francique bort « planche », d'oĂč borda « cabane » en latin tardif), dĂ©signant d'abord la maison isolĂ©e, puis des hameaux.

    Histoire

    Vier-Bordes résulte de la fusion des deux communes : Vier et Bordes intervenue en 1848[32].

    Cadastre napoléonien de Vier-Bordes

    Politique et administration

    La mairie en 2017.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 mars 2001 Maurice Prat
    mars 2001 mars 2008 François Villeneuve
    mars 2008 mars 2014 VĂ©ronique Marcou
    mars 2014 en cours Pascal Collado

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, ArribÚra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), ArgelÚs (depuis 1801). Communautés distinctes Vier et Bordes sont réunies en 1848[35].

    Intercommunalité

    Vier-Bordes appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    La population a atteint un maximum en 1856 avec 219 habitants, puis a baissĂ© pĂ©riodiquement pour atteindre 53 habitants en 1975. Elle a ensuite connu une hausse jusqu'en 2020 avec 97 habitants.

    Le tableau ci-dessous intÚgre les habitants de Bordes recensés à part avant 1848 (entre 58 et 67 habitants)[32].

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    140210205199171192218191191
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    219219210201190195199192162
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1341171181059894927564
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    666553555874808192
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1049897------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[39] 1975[39] 1982[39] 1990[39] 1999[39] 2006[40] 2009[41] 2013[42]
    Rang de la commune dans le département 325 417 381 353 346 339 318 305
    Nombre de communes du département 479 473 473 474 474 474 474 474

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2017[43].

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]12,5 %7,9 %3,4 %
    DĂ©partement[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  59 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (75,9 % ayant un emploi et 3,4 % de chĂŽmeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'ArgelĂšs-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59 %[I 10].

    Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Laurent en 2017.
    La chapelle en 2017.
    Une croix.
    • SĂ©lection de vues des lavoirs municipaux en 2017.
    • De Vier.
      De Vier.
    • De l'Ă©glise de Vier.
      De l'Ă©glise de Vier.

    Personnalités liées à la commune

    Parmi les nombreux enfants de Vier, on peut se souvenir de Jean-Louis Sarthedessus, qui fut longtemps maire et poĂšte de talent, bien qu'Ă©tant un « simple petit paysan ayant seulement le certificat d'Ă©tudes Â», comme il aimait Ă  le rappeler.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur Ă  la fasce d'argent, au chef d'or chargĂ© d'une cloche de sable accostĂ©e de deux fleurs de lys du mĂȘme.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[10].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Vier-Bordes » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

      Site de l'Insee

      1. « Métadonnées de la commune de Vier-Bordes » (consulté le ).
      2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
      3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de ArgelÚs-Gazost » (consulté le ).
      4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
      5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Vier-Bordes
      6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vier-Bordes » (consulté le ).
      7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
      8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
      9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
      10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vier-Bordes » (consulté le ).
      11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
      12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

      Autres sources

      1. Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      2. Stephan Georg, « Distance entre Vier-Bordes et ArgelÚs-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      3. « Communes les plus proches de Vier-Bordes », sur www.villorama.com (consulté le ).
      4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
      5. Carte IGN sous GĂ©oportail
      6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
      7. « Fiche communale de Vier-Bordes », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
      8. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
      9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      13. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      14. « Orthodromie entre Vier-Bordes et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
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