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Vaux-sur-Seine

Vaux-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, elle se situe le long de la Seine, dans l'agglomération proche de Paris. Elle fait partie de l'agglomération du Grand Paris. La ville appartient au parc naturel régional du Vexin français. La commune est desservie par la ligne J du transilien (Mantes-la-Jolie - Paris-Saint-Lazare).

Vaux-sur-Seine
Vaux-sur-Seine
Le château de Vaux-sur-Seine, en 1887.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Jean-Claude Bréard
2020-2026
Code postal 78740
Code commune 78638
DĂ©mographie
Gentilé Vauxois
Population
municipale
5 020 hab. (2020 en augmentation de 6,47 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 594 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 00′ 30″ nord, 1° 57′ 50″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 191 m
Superficie 8,45 km2
Aire d'attraction Paris (commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Mureaux
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Vaux-sur-Seine
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Vaux-sur-Seine
Liens
Site web https://www.vauxsurseine.fr/

    Ses habitants sont appelés les Vauxois.

    GĂ©ographie

    Localisation de Vaux-sur-Seine dans les Yvelines.

    C'est une commune dont le territoire s'étend sur quatre kilomètres, le long de la rive droite de la Seine et dans le massif boisé de l'Hautil à la limite sud du Vexin français. Il englobe également une île de la Seine, l'île de Vaux, en face de Verneuil-sur-Seine. En 1999, l'espace urbain construit représente 21 % du territoire, le non-construit 12 % et l'espace rural 67 % de la superficie de la commune.

    La commune est limitrophe de Meulan-en-Yvelines et Évecquemont à l'ouest, de Menucourt et Boisemont au nord, de Triel-sur-Seine à l'est et, séparée par la Seine, de Verneuil-sur-Seine et Les Mureaux au sud.

    Les sous-sols de Vaux-sur-Seine contiennent des galeries, carrières, anciennes exploitations de gypse.

    La forêt de l'Hautil est parsemée de fontis, entonnoirs d'effondrement liés à l'exploitation passée du gypse par des carrières souterraines, qui présentent un danger permanent. Le comblement de ces trous est entrepris afin de permettre une exploitation et une fréquentation sans risque de la forêt.

    Il n'y a pas eu de risques majeurs depuis 2001. (Source 1)

    Localisation

    • Situation de Vaux-sur-Seine
    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la route départementale 190, très fréquentée, qui relie Poissy à Mantes-la-Jolie. Elle dispose également d'une gare (Vaux-sur-Seine) sur la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine.

    La commune est traversée par un sentier de grande randonnée, le GR1, qui relie Évecquemont au nord ouest à Triel-sur-Seine à l'est.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vals en 1099[1], Valles, Vaux de Jousis Meullent en 1273[2].

    Le nom de « Vaux » dérive du latin vallis (vallée, vallon)[3].

    La Seine et le Ru Gallet traversent Vaux-sur-Seine.

    HĂ©raldique

    Armes de Vaux-sur-Seine

    Les armes de Vaux-sur-Seine se blasonnent ainsi :

    Divisé en chevron renversé, au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au second d'argent au dragon de sable colleté de l'étole de saint Nicaise d'or à dextre, à la grappe de raisin d'or pamprée de trois feuilles de sable à senestre et à la trangle ondée d'azur en pointe, à l'étai renversé de sinople brochant sur la ligne de partition.

    Histoire

    Publicité pour les lotissements de Vaux, début du XXe siècle.

    Le site est habité depuis l'époque paléolithique.

    La fondation du village de Vaux remonte à une période très reculée, son existence est attestée vers l'an 250 sous le consulat de Decius et de Gratus, par la légende de saint Nicaise[4] :

    « Accompagné du prêtre Quirin et du diacre Scunicule, Nicaise avait résolu de porter la lumière évangélique dans le nord des Gaules où florissaient d'importantes cités. Ce fut dans un village du Vexin que l'apôtre Nicaise commença ses prédications. Près du village de Vaux, un horrible serpent avait fait sa demeure d'une caverne d’où jaillissait une fontaine, dont les eaux empoisonnées par cet immonde voisinage n'était plus qu'un foyer d'infection. L'arrivée de Nicaise fut saluée des bénédictions de tous les pauvres habitants de ce pays. Plein de foi dans la protection divine, le ministre du Christ envoya vers le repaire du dragon son disciple Quirin, qui courba le monstre sous son commandement et l'amena à Saint Nicaise, lié avec son étole. Tous les habitants confondus d'admiration, se prosternèrent en demandant à embrasser la nouvelle religion. 318 personnes reçurent le baptême à la fontaine même du dragon, redevenue claire et saine comme elle l'était autrefois. »

    Ce lieu est la fontaine, le lavoir Saint-Nicaise[5].

    La terre de Vaux fut possession des comtes de Meulan jusqu'en 1118 date de la mort de Robert Ier de Meulan.
    Elle fut apportée en mariage par Jeanne de Fontenay-Mauvoisin, qui était vivante en 1296, à Robert de La Roche-Guyon, fils cadet de Jean de La Roche-Guyon. Leur fille, Marguerite de La Roche-Guyon, dame de Vaux, était en 1342, mariée à Jean de Nesle seigneur d'Offemont[6] - [7] - [8]. À la suite d'un procès qui eut lieu de 1342 à 1345, un arrêt de justice leur enleva la terre de Vaux au profit de Philippe de La Roche-Guyon, fils cadet de Gui III de La Roche-Guyon, car il avait hérité en 1331 de son oncle Robert de La Roche[9] - [10]. Philippe de La Roche-Guyon, mort en 1372, prenait alors le titre de seigneur de La Roche-Guyon, de Bennecourt, de Saint-Martin-la-Garenne, de Chantemerle, de Francourt, de La Faluère, de Maudétour-en-Vexin, de Fontenay-Mauvoisin et de Vaux épousa vers 1335 Marguerite de Laval dame et baronne d'Acquigny, fille de Bouchard de Laval, seigneur d’Attichy. De son mariage il eut :

    • BĂ©atrix de La Roche-Guyon, dame de Vaux, Ă©pouse de Pierre seigneur de Tournebu morte sans enfant.
    • Marie et Idoine de La Roche-Guyon mortes sans alliance empoisonnĂ©es, avec leur mère, Ă  l'instigation sur seigneur de Tournebu, ainsi que le constate un arrĂŞt criminel du .
    • Jeanne de La Roche-Guyon, hĂ©ritière de son père et de ses sĹ“urs, laquelle Ă©pousa en premières noces Jean de Chambly dit La Haze avec lequel elle vivait en 1374 et dont elle eut une fille, Jacqueline de Chambly mariĂ©e Ă  Jean de Linières seigneur de RezĂ©, et en secondes noces son cousin germain Gui V seigneur de La Roche-Guyon fils de Gui IV.

    La seigneurie de Vaux passe ensuite Ă  la famille Vion[11].
    Pierre de Vion, écuyer, cadet d'une très ancienne famille établie dans les états du duc de Bourgogne, vint s'établir en France en 1478, sous Louis XI, après la mort de Charles le Hardi, dernier duc de Bourgogne[11]. Seigneur de la Barre en la châtellenie de Poissy, il meurt en 1492. De son mariage avec Colette de Maqueret († 1493) il eut notamment :

    • Jean de Vion, tige de la branche des seigneurs de Tessancourt[12].
    • Louis de Vion, seigneur de Vaux, Montbine et Saucourt, capitaine d'une compagnie d'arbalĂ©triers Ă  cheval, fut fait chevalier par Louis VIII Ă  la prise de ThĂ©rouane le [13] et commanda 1 000 hommes Ă  pied Ă  la bataille de Fornoue en 1495. Il acquit la terre de Vaux suivant dĂ©cret passĂ© aux requĂŞtes du palais Ă  Paris le . Le , par dĂ©cret passĂ© Ă  Chaumont-en-Vexin lui furent adjugĂ©s les terres de Montbine et de Saucourt, le fief d'Articule sis Ă  Boury-en-Vexin et le fief de Maignenville en la paroisse de Marquemont. En 1489 il bailla au seigneur de La Roche-Guyon, Bertin de Silly, son aveu de la terre de Vaux, par lequel il avoue tenir Ă  une seule foi et hommage, au us et coutumes du Vexin français Ă  cause du châtel et seigneurie de La Roche-Guyon, ladite terre et seigneurie de Vaux et le châtel auquel il y a un pont-levis et place forte d'anciennetĂ©, en laquelle il a droit de guet et de garde de ses habitants et sujets et celle de la châtellenie.

    Anciennement « Vaux de Jouste » jusqu'en 1902.

    Ancienne possession des comtes de Meulan, des abbayes de Jumièges et de Cernay.

    Seigneurie au XVIIe du comte de Saint-Simon, favori de Louis XIII et père du mémorialiste.
    Possession à la Révolution des célestins de Limay.

    L'exploitation du gypse a été importante du XVIe au XXe siècles. Elle a totalement cessé en 1980.

    À la fin du XVIIIe siècle on construit une manufacture de faïence puis de porcelaine en activité pendant une quinzaine d’années. L’endroit où elle se situait s’appelle aujourd’hui « la Manufacture ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    18 mai 1945 30 juin 1956 RĂ©gis Franqueville
    30 juin 1956 28 mars 1965 Marcelle Cuche Infirmière
    28 mars 1965 18 mars 1989 Philippe Balas
    18 mars 1989 25 juin 1995 Christiane Lagier
    25 juin 1995 29 mars 2017[14]
    (démission)
    Julien Crespo[15] DVG Retraité
    29 mars 2017[16] En cours Jean-Claude Bréard[17] DVD Retraité secteur privé
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    Instances administratives et judiciaires

    La commune de Vaux-sur-Seine appartient au canton des Mureaux et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[18].

    Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines, dont la députée est Michèle de Vaucouleurs (MoDem).

    Sur le plan judiciaire, Vaux-sur-Seine fait partie de la juridiction du Tribunal de proximité de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal judiciaire ainsi que du tribunal de commerce de Versailles[19] - [20].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2020, la commune comptait 5 020 habitants[Note 1], en augmentation de 6,47 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9299359529691 0501 0771 0771 1301 096
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0661 1371 1431 1641 1871 1211 1491 4231 127
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1831 1921 1811 2301 5681 6351 5381 4591 996
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 1522 7362 8513 1053 7904 3694 7454 8004 782
    2017 2020 - - - - - - -
    4 9275 020-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 439 hommes pour 2 490 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    2,1
    4,4
    75-89 ans
    6,6
    15,0
    60-74 ans
    15,5
    23,4
    45-59 ans
    21,3
    18,0
    30-44 ans
    20,0
    17,7
    15-29 ans
    16,4
    21,1
    0-14 ans
    18,0
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Économie

    • Commune rĂ©sidentielle.
    • Il y a 65 entreprises rĂ©fĂ©rencĂ©es sur la commune.

    Culture

    Monuments historiques

    Église Saint-Pierre-ès-Liens.

    Vaux-sur-Seine compte quatre monuments historiques sur son territoire.

    • L'Ă©glise Saint-Pierre-ès-Liens, rue du Château (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [27]) : De la première Ă©glise paroissiale fondĂ©e en 1154, reste le portail occidental roman. Ă€ partir de la fin du XIIe siècle, l'ancienne chapelle remaniĂ©e lors de l'Ă©rection de la paroisse est successivement remplacĂ©e par l'Ă©difice gothique actuel. Le chantier dĂ©marre par l'abside, caractĂ©risĂ©e par un chevet en hĂ©micycle, et se termine par la nef, qui est initialement accostĂ©e de deux collatĂ©raux voĂ»tĂ©s Ă  la mĂŞme hauteur. C'est lĂ  aussi une particularitĂ© de l'Ă©glise de Vaux. Sa grande homogĂ©nĂ©itĂ© stylistique, abstraction faite des remaniements ultĂ©rieurs, et le soin apportĂ© Ă  sa dĂ©coration, sont tout Ă  fait remarquables. Mais l'Ă©glise subit apparemment d'importants dĂ©gâts pendant la guerre de Cent Ans. Son collatĂ©ral sud est dĂ©moli, son clocher est rĂ©parĂ© de manière simplifiĂ©, et la nef et son collatĂ©ral nord sont revoĂ»tĂ©s vers le milieu du XVIe siècle ou peu après. Les anciens supports sont endommagĂ©s ou remplacĂ©s par de nouveaux piliers engagĂ©s, et les nouvelles voĂ»tes s'accordent mal avec l'architecture d'origine. Plus dommageable encore pour l'esthĂ©tique de l'Ă©glise est la reprise en sous-Ĺ“uvre de la pile nord-est de la croisĂ©e du transept, qui est remplacĂ© par un volumineux massif de maçonnerie, et rompt l'harmonie des parties orientales. RestaurĂ©e en 1970, l'Ă©glise Saint-Pierre conserve toutefois assez d'Ă©lĂ©ments authentiques pour que l'on puisse se faire une idĂ©e de ce qu'elle fĂ»t au XIIIe siècle, et son chevet notamment est de grand intĂ©rĂŞt[28]. La fondation Maxime-Goury-Laffont a participĂ© Ă  la restauration d'une Vierge Ă  l'Enfant du XVIIe siècle conservĂ©e dans cette Ă©glise.
    • Le Pavillon d'Artois, 187 Grande-Rue (inscrit monument historique par arrĂŞtĂ© du )[29])
    • La Villa « La Martinière », anciennement bibliothèque municipale , 87 rue du GĂ©nĂ©ral-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrĂŞtĂ© du )[30]) : Les parties les plus anciennes ont Ă©tĂ© bâties sous la direction de l'architecte Lucien Roy en 1880. L'aile de droite est une Ĺ“uvre de Paul Lagrave de 1897. Le dĂ©cor en bois gravĂ© rĂ©alisĂ© en 1898 est signĂ© Oscar Lavau[31]. Les deux peintures principales (1899) sont d'Alphonse-Alexis Morlot[32].
    • Le château de Vaux, rue du Château (inscrit monument historique partiellement par arrĂŞtĂ© du )[33]) : Ă©difice du XVIe siècle et du milieu du XIXe siècle.

    Autres éléments du patrimoine

    • Le lavoir Saint-Nicaise[5]

    Films tournés à Vaux-sur-Seine

    Divers

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Fred Prost, Une Ă®le entre la Seine et Vaux : ou la petite histoire illustrĂ©e de l'Ă®le Ă  Vaux-sur-Seine, Vaux-sur-Seine, Jean-Fred Prost, 2002`, 215 p. (ISBN 978-2-9519345-0-4, OCLC 470220287)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1142.
    2. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    3. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 23.
    4. Monographie communale de Vaux
    5. Le lavoir Saint-Nicaise
    6. Offemont est située à Saint-Crépin-aux-Bois dans l'Oise
    7. SAINT-CREPIN-AUX-BOIS - Parc du château d’Offémont
    8. Domaine d'Offemont à Saint-Crépin-aux-Bois
    9. Seigneurs de La Roche-Guyon
    10. : Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France Tome 8 page 620 Anselme de Sainte-Marie
    11. Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 249
    12. Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 254
    13. Hector Beaurepaire Piers Histoire de la ville de Thérouanne, ancienne capitale de la Morinie page 32
    14. « Julien Crespo passe la main à Jean-Claude Bréard », 78actu,‎ (lire en ligne)
    15. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
    16. « Vaux-sur-Seine : les clés de la mairie changent de mains », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne)
    17. « Le maire et les élus », Mairie de Vaux-sur-Seine.
    18. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
    19. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    20. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vaux-sur-Seine (78638) », (consulté le ).
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    27. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00087660, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Vaux-sur-Seine, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 326-327.
    29. « Pavillon d'Artois », notice no PA00087661, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Bibliothèque », notice no PA00135373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Danièle Nicolas-Raimon et Françoise Wiessler, « La Martinière », Vaux magazine, Vaux-sur-Seine, no 34 « hiver 2006 »,‎ , p. 5-12 (lire en ligne).
    32. « Restauration des tableaux de La Martinière », novembre 2009 — site officiel de la ville de Vaux-sur-Seine.
    33. « Château », notice no PA78000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Un film sur Marguerite Duras avec Emmanuelle Devos » - Actu78
    35. «Vaux-sur-Seine : un troisième film se tourne à la gare » - Actu78
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