Vaux-sur-Seine
Vaux-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, elle se situe le long de la Seine, dans l'agglomération proche de Paris. Elle fait partie de l'agglomération du Grand Paris. La ville appartient au parc naturel régional du Vexin français. La commune est desservie par la ligne J du transilien (Mantes-la-Jolie - Paris-Saint-Lazare).
Vaux-sur-Seine | |||||
Le château de Vaux-sur-Seine, en 1887. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Yvelines | ||||
Arrondissement | Mantes-la-Jolie | ||||
Intercommunalité | Grand Paris Seine et Oise | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Bréard 2020-2026 |
||||
Code postal | 78740 | ||||
Code commune | 78638 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vauxois | ||||
Population municipale |
5 020 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 594 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 49° 00′ 30″ nord, 1° 57′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 191 m |
||||
Superficie | 8,45 km2 | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Mureaux | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Yvelines
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.vauxsurseine.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Vauxois.
GĂ©ographie
C'est une commune dont le territoire s'étend sur quatre kilomètres, le long de la rive droite de la Seine et dans le massif boisé de l'Hautil à la limite sud du Vexin français. Il englobe également une île de la Seine, l'île de Vaux, en face de Verneuil-sur-Seine. En 1999, l'espace urbain construit représente 21 % du territoire, le non-construit 12 % et l'espace rural 67 % de la superficie de la commune.
La commune est limitrophe de Meulan-en-Yvelines et Évecquemont à l'ouest, de Menucourt et Boisemont au nord, de Triel-sur-Seine à l'est et, séparée par la Seine, de Verneuil-sur-Seine et Les Mureaux au sud.
Les sous-sols de Vaux-sur-Seine contiennent des galeries, carrières, anciennes exploitations de gypse.
La forêt de l'Hautil est parsemée de fontis, entonnoirs d'effondrement liés à l'exploitation passée du gypse par des carrières souterraines, qui présentent un danger permanent. Le comblement de ces trous est entrepris afin de permettre une exploitation et une fréquentation sans risque de la forêt.
Il n'y a pas eu de risques majeurs depuis 2001. (Source 1)
Localisation
Carte de la commune.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale 190, très fréquentée, qui relie Poissy à Mantes-la-Jolie. Elle dispose également d'une gare (Vaux-sur-Seine) sur la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine.
La commune est traversée par un sentier de grande randonnée, le GR1, qui relie Évecquemont au nord ouest à Triel-sur-Seine à l'est.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Vals en 1099[1], Valles, Vaux de Jousis Meullent en 1273[2].
Le nom de « Vaux » dérive du latin vallis (vallée, vallon)[3].
HĂ©raldique
|
Les armes de Vaux-sur-Seine se blasonnent ainsi : Divisé en chevron renversé, au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au second d'argent au dragon de sable colleté de l'étole de saint Nicaise d'or à dextre, à la grappe de raisin d'or pamprée de trois feuilles de sable à senestre et à la trangle ondée d'azur en pointe, à l'étai renversé de sinople brochant sur la ligne de partition. |
---|
Histoire
Le site est habité depuis l'époque paléolithique.
La fondation du village de Vaux remonte à une période très reculée, son existence est attestée vers l'an 250 sous le consulat de Decius et de Gratus, par la légende de saint Nicaise[4] :
- « Accompagné du prêtre Quirin et du diacre Scunicule, Nicaise avait résolu de porter la lumière évangélique dans le nord des Gaules où florissaient d'importantes cités. Ce fut dans un village du Vexin que l'apôtre Nicaise commença ses prédications. Près du village de Vaux, un horrible serpent avait fait sa demeure d'une caverne d’où jaillissait une fontaine, dont les eaux empoisonnées par cet immonde voisinage n'était plus qu'un foyer d'infection. L'arrivée de Nicaise fut saluée des bénédictions de tous les pauvres habitants de ce pays. Plein de foi dans la protection divine, le ministre du Christ envoya vers le repaire du dragon son disciple Quirin, qui courba le monstre sous son commandement et l'amena à Saint Nicaise, lié avec son étole. Tous les habitants confondus d'admiration, se prosternèrent en demandant à embrasser la nouvelle religion. 318 personnes reçurent le baptême à la fontaine même du dragon, redevenue claire et saine comme elle l'était autrefois. »
Ce lieu est la fontaine, le lavoir Saint-Nicaise[5].
La terre de Vaux fut possession des comtes de Meulan jusqu'en 1118 date de la mort de Robert Ier de Meulan.
Elle fut apportée en mariage par Jeanne de Fontenay-Mauvoisin, qui était vivante en 1296, à Robert de La Roche-Guyon, fils cadet de Jean de La Roche-Guyon. Leur fille, Marguerite de La Roche-Guyon, dame de Vaux, était en 1342, mariée à Jean de Nesle seigneur d'Offemont[6] - [7] - [8]. À la suite d'un procès qui eut lieu de 1342 à 1345, un arrêt de justice leur enleva la terre de Vaux au profit de Philippe de La Roche-Guyon, fils cadet de Gui III de La Roche-Guyon, car il avait hérité en 1331 de son oncle Robert de La Roche[9] - [10]. Philippe de La Roche-Guyon, mort en 1372, prenait alors le titre de seigneur de La Roche-Guyon, de Bennecourt, de Saint-Martin-la-Garenne, de Chantemerle, de Francourt, de La Faluère, de Maudétour-en-Vexin, de Fontenay-Mauvoisin et de Vaux épousa vers 1335 Marguerite de Laval dame et baronne d'Acquigny, fille de Bouchard de Laval, seigneur d’Attichy. De son mariage il eut :
- BĂ©atrix de La Roche-Guyon, dame de Vaux, Ă©pouse de Pierre seigneur de Tournebu morte sans enfant.
- Marie et Idoine de La Roche-Guyon mortes sans alliance empoisonnées, avec leur mère, à l'instigation sur seigneur de Tournebu, ainsi que le constate un arrêt criminel du .
- Jeanne de La Roche-Guyon, héritière de son père et de ses sœurs, laquelle épousa en premières noces Jean de Chambly dit La Haze avec lequel elle vivait en 1374 et dont elle eut une fille, Jacqueline de Chambly mariée à Jean de Linières seigneur de Rezé, et en secondes noces son cousin germain Gui V seigneur de La Roche-Guyon fils de Gui IV.
La seigneurie de Vaux passe ensuite Ă la famille Vion[11].
Pierre de Vion, écuyer, cadet d'une très ancienne famille établie dans les états du duc de Bourgogne, vint s'établir en France en 1478, sous Louis XI, après la mort de Charles le Hardi, dernier duc de Bourgogne[11]. Seigneur de la Barre en la châtellenie de Poissy, il meurt en 1492. De son mariage avec Colette de Maqueret (†1493) il eut notamment :
- Jean de Vion, tige de la branche des seigneurs de Tessancourt[12].
- Louis de Vion, seigneur de Vaux, Montbine et Saucourt, capitaine d'une compagnie d'arbalétriers à cheval, fut fait chevalier par Louis VIII à la prise de Thérouane le [13] et commanda 1 000 hommes à pied à la bataille de Fornoue en 1495. Il acquit la terre de Vaux suivant décret passé aux requêtes du palais à Paris le . Le , par décret passé à Chaumont-en-Vexin lui furent adjugés les terres de Montbine et de Saucourt, le fief d'Articule sis à Boury-en-Vexin et le fief de Maignenville en la paroisse de Marquemont. En 1489 il bailla au seigneur de La Roche-Guyon, Bertin de Silly, son aveu de la terre de Vaux, par lequel il avoue tenir à une seule foi et hommage, au us et coutumes du Vexin français à cause du châtel et seigneurie de La Roche-Guyon, ladite terre et seigneurie de Vaux et le châtel auquel il y a un pont-levis et place forte d'ancienneté, en laquelle il a droit de guet et de garde de ses habitants et sujets et celle de la châtellenie.
Anciennement « Vaux de Jouste » jusqu'en 1902.
Ancienne possession des comtes de Meulan, des abbayes de Jumièges et de Cernay.
Seigneurie au XVIIe du comte de Saint-Simon, favori de Louis XIII et père du mémorialiste.
Possession à la Révolution des célestins de Limay.
L'exploitation du gypse a été importante du XVIe au XXe siècles. Elle a totalement cessé en 1980.
À la fin du XVIIIe siècle on construit une manufacture de faïence puis de porcelaine en activité pendant une quinzaine d’années. L’endroit où elle se situait s’appelle aujourd’hui « la Manufacture ».
Politique et administration
Liste des maires
Instances administratives et judiciaires
La commune de Vaux-sur-Seine appartient au canton des Mureaux et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[18].
Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines, dont la députée est Michèle de Vaucouleurs (MoDem).
Sur le plan judiciaire, Vaux-sur-Seine fait partie de la juridiction du Tribunal de proximité de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal judiciaire ainsi que du tribunal de commerce de Versailles[19] - [20].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2020, la commune comptait 5 020 habitants[Note 1], en augmentation de 6,47 % par rapport Ă 2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 439 hommes pour 2 490 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
- Commune résidentielle.
- Il y a 65 entreprises référencées sur la commune.
Culture
Monuments historiques
Vaux-sur-Seine compte quatre monuments historiques sur son territoire.
- L'église Saint-Pierre-ès-Liens, rue du Château (inscrite monument historique par arrêté du [27]) : De la première église paroissiale fondée en 1154, reste le portail occidental roman. À partir de la fin du XIIe siècle, l'ancienne chapelle remaniée lors de l'érection de la paroisse est successivement remplacée par l'édifice gothique actuel. Le chantier démarre par l'abside, caractérisée par un chevet en hémicycle, et se termine par la nef, qui est initialement accostée de deux collatéraux voûtés à la même hauteur. C'est là aussi une particularité de l'église de Vaux. Sa grande homogénéité stylistique, abstraction faite des remaniements ultérieurs, et le soin apporté à sa décoration, sont tout à fait remarquables. Mais l'église subit apparemment d'importants dégâts pendant la guerre de Cent Ans. Son collatéral sud est démoli, son clocher est réparé de manière simplifié, et la nef et son collatéral nord sont revoûtés vers le milieu du XVIe siècle ou peu après. Les anciens supports sont endommagés ou remplacés par de nouveaux piliers engagés, et les nouvelles voûtes s'accordent mal avec l'architecture d'origine. Plus dommageable encore pour l'esthétique de l'église est la reprise en sous-œuvre de la pile nord-est de la croisée du transept, qui est remplacé par un volumineux massif de maçonnerie, et rompt l'harmonie des parties orientales. Restaurée en 1970, l'église Saint-Pierre conserve toutefois assez d'éléments authentiques pour que l'on puisse se faire une idée de ce qu'elle fût au XIIIe siècle, et son chevet notamment est de grand intérêt[28]. La fondation Maxime-Goury-Laffont a participé à la restauration d'une Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle conservée dans cette église.
- Le Pavillon d'Artois, 187 Grande-Rue (inscrit monument historique par arrêté du )[29])
- La Villa « La Martinière », anciennement bibliothèque municipale , 87 rue du Général-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrêté du )[30]) : Les parties les plus anciennes ont été bâties sous la direction de l'architecte Lucien Roy en 1880. L'aile de droite est une œuvre de Paul Lagrave de 1897. Le décor en bois gravé réalisé en 1898 est signé Oscar Lavau[31]. Les deux peintures principales (1899) sont d'Alphonse-Alexis Morlot[32].
- Le château de Vaux, rue du Château (inscrit monument historique partiellement par arrêté du )[33]) : édifice du XVIe siècle et du milieu du XIXe siècle.
Autres éléments du patrimoine
- Le lavoir Saint-Nicaise[5]
Films tournés à Vaux-sur-Seine
- 1959 : Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine, maquillée pour ressembler à la gare de Moulins-sur-Allier.
- 2019 : Le Voyageur (épisode 1) de Stéphanie Murat, téléfilm tourné à la gare de Vaux-sur-Seine et au Café de la Gare.
- 2021 : Attention au départ ! de Benjamin Euvrard, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine, maquillée pour ressembler à la gare de Beaune.
- 2021 : Je voudrais parler de Duras de Claire Simon, film tourné dans une propriété privée vauxoise[34].
- 2021 : Les aventures de Panacloc de Pierre-François Martin-Laval, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine[35].
Divers
- La faculté libre de théologie évangélique est implantée dans la commune depuis 1965.
Personnalités liées à la commune
- Léon Bailby (1867-1954), directeur du journal l'Intransigeant, a habité à Vaux-sur-Seine
- Charles Oggé Barbaroux (1792-1867), magistrat, Conseiller d’État, député de la Réunion, sénateur, mort à Vaux-sur-Seine
- Robert Bengel (1905-1987), abbé, résistant, Juste parmi les nations, a vécu et est décédé à Vaux-sur-Seine
- Emilio Boggio (1857-1920), artiste peintre vénézuélien, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
- Jean Olivier Hucleux (1923-2012), artiste peintre et dessinateur contemporain, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
- Olivier Leborgne (évêque) (1963-), prélat catholique français, évêque d'Arras, a grandi à Vaux-sur-Seine
- Lekain (1729-1778), tragédien, a vécu à Vaux-sur-Seine
- Raymond Thibésart (1874-1968), artiste peintre français qui a peint des paysages vauxois
- Le site inspira le peintre Gen Paul.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1142.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 23.
- Monographie communale de Vaux
- Le lavoir Saint-Nicaise
- Offemont est située à Saint-Crépin-aux-Bois dans l'Oise
- SAINT-CREPIN-AUX-BOIS - Parc du château d’Offémont
- Domaine d'Offemont à Saint-Crépin-aux-Bois
- Seigneurs de La Roche-Guyon
- : Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France Tome 8 page 620 Anselme de Sainte-Marie
- Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 249
- Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 254
- Hector Beaurepaire Piers Histoire de la ville de Thérouanne, ancienne capitale de la Morinie page 32
- « Julien Crespo passe la main à Jean-Claude Bréard », 78actu,‎ (lire en ligne)
- « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
- « Vaux-sur-Seine : les clés de la mairie changent de mains », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne)
- « Le maire et les élus », Mairie de Vaux-sur-Seine.
- « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
- « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vaux-sur-Seine (78638) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00087660, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Vaux-sur-Seine, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 326-327.
- « Pavillon d'Artois », notice no PA00087661, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Bibliothèque », notice no PA00135373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Danièle Nicolas-Raimon et Françoise Wiessler, « La Martinière », Vaux magazine, Vaux-sur-Seine, no 34 « hiver 2006 »,‎ , p. 5-12 (lire en ligne).
- « Restauration des tableaux de La Martinière », novembre 2009 — site officiel de la ville de Vaux-sur-Seine.
- « Château », notice no PA78000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Un film sur Marguerite Duras avec Emmanuelle Devos » - Actu78
- «Vaux-sur-Seine : un troisième film se tourne à la gare » - Actu78