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Bennecourt

Bennecourt est une commune française du dĂ©partement des Yvelines, dans la rĂ©gion ĂŽle-de-France, en France, situĂ©e Ă  15 km environ au nord-ouest de Mantes-la-Jolie.

Bennecourt
Bennecourt
Blason de Bennecourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes Les Portes de l'Ile de France
Maire
Mandat
Didier Dumont
2020-2026
Code postal 78270
Code commune 78057
DĂ©mographie
Population
municipale
1 882 hab. (2020 en augmentation de 3,98 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 271 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 02′ 27″ nord, 1° 33′ 47″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 120 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bonnières-sur-Seine
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Bennecourt
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Bennecourt
Liens
Site web mairie-bennecourt.fr

    Ses habitants sont appelés les Bennecourtois.

    GĂ©ographie

    Localisation de Bennecourt dans les Yvelines.

    Situation

    La commune de Bennecourt se trouve dans le nord-ouest des Yvelines, Ă  16 kilomètres au nord-ouest de Mantes-la-Jolie, chef-lieu d'arrondissement et Ă  57 kilomètres au nord-ouest de Versailles, prĂ©fecture du dĂ©partement. C'est une commune rurale situĂ© en bordure de Seine, sur la rive droite du fleuve, dans la concavitĂ© d'un mĂ©andre. Outre le bourg principal, elle compte deux hameaux, Gloton et Tripleval.

    Communes limitrophes

    Territoire

    Le territoire communal se trouve dans un mĂ©andre de la Seine, dans une zone de transition entre une rive concave, marquĂ©e par une falaise abrupte qui prolonge celle de Gommecourt et La Roche-Guyon et s'abaisse progressivement vers le sud, et une rive convexe, alluvionnaire, en pente douce qui se dĂ©veloppe vers l'aval et s'Ă©largit dans la commune voisine de Limetz-Villez. En arrière de la falaise, l'altitude diminue progressivement de 100 mètres environ jusqu'Ă  15 mètres sur la rive vers l'ouest et le sud-ouest.

    Il est riverain de la Seine sur environ cinq kilomètres et englobe plusieurs îles : la Grande Île, face à Bonnières-sur-Seine, séparée côté Bennecourt par le bras de Gloton, la Lorionne, îlot situé légèrement en amont de la précédente dans le bras principal, l'île de la Flotte, prolongée par l'île de Merville, plus en aval, ces deux dernières étant en partie administrativement rattachées à Jeufosse.

    Ce territoire est essentiellement rural, à 82 %[1]. L'espace rural est principalement consacré à des champs cultivés, les parties boisées, environ 20 % du total, se trouvant surtout dans le nord de la commune. L'espace construit comprend principalement des habitations, les plus anciennes dans les noyaux historiques de Bennecourt, Gloton et Tripleval, s'échelonnant au pied de la falaise le long de la Seine, les plus récentes sont dispersées le long des routes, surtout en bord de Seine en direction de Villez, et dans la pointe amont de la Grande Île. Les espaces consacrés aux activités représentent 3,5 % du total, soit 4,3 ha dans la Grande Île.

    RĂ©seau routier

    Les communications sont assurées par des routes départementales, la D 201 qui relie la commune à Bonnières-sur-Seine au sud grâce à deux ponts successifs appuyés sur la Grande Île, et Giverny vers le nord, la D 100 qui rejoint La Roche-Guyon en suivant la rive nord de la Seine, ainsi que par diverses voies communales.

    Desserte ferroviaire

    La commune n'est pas desservie par le chemin de fer. La gare la plus proche est celle de Bonnières, située à deux kilomètres environ du village.

    Chemins de randonnée

    Un sentier de grande randonnée, diverticule reliant le GR 26 au sud au GR 2 au nord en passant par la gare de Bonnières, traverse le territoire communal.

    Gloton sous la neige.

    Climat

    Le climat à Bennecourt est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[2]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.

    Urbanisme

    Typologie

    Bennecourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bonnières-sur-Seine, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[6] et 14 357 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9] - [10].

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 82,31 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,5 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,19 % d'espaces construits artificialisés[11].

    Toponymie

    Carte de Bennecourt au XVIIIe siècle (extrait de la carte de Cassini).

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Beranecurtis[12], Benecurtis[13], Bannecuria[14] , Bernencuria en 1337[15] - [16].

    Les formations toponymiques en -court sont caractéristiques du nord de la France. L'élément court est issu du gallo-roman CŌRTE (bas latin cōrtem). Ce même étymon a donné le français cour et son dérivé courtois. L'orthographe actuelle de cour est liée à une fausse étymologie d'après le latin curia qui explique aussi la forme latinisée Bernencuria, pour *Bernencort. Le premier élément est un nom de personne germanique, comme c'est généralement le cas. Il s'agit ici de Berno[17] - [18].

    Histoire

    La commune a été habitée à l'époque gallo-romaine ainsi qu'en témoignent les vestiges d'un sanctuaire fouillés dans les années 1980[19].

    Aux IXe et Xe siècles, Bennecourt, comme toutes les localités riveraines de la Seine, subit les ravages des incursions vikings qui ne prirent fin qu'avec le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Ceux-ci établirent à plusieurs reprises une base arrière dans l'île de la Flotte (île partagée entre les communes de Jeufosse et Bennecourt, située près de la rive gauche face à Jeufosse), où ils hivernaient et d'où ils s'élançaient notamment vers Paris[20].

    Bennecourt fut longtemps rattachée à La Roche-Guyon dont la seigneurie s'étendait dès le XIIIe siècle, sur les deux rives de la Seine de Bonnières à Vétheuil[21]. Les propriétaires de Bennecourt furent notamment les familles de Tilly, du Plessis, et de La Rochefoucauld[22]

    La commune fut créée en juin 1790 et rattachée initialement au district de Mantes.

    Vers la fin du XIXe siècle, plusieurs peintres, dont Monet et Cézanne fréquentèrent Bennecourt, logeant dans une auberge de Gloton.

    Le 24 août 1884, la mise en service des deux ponts routiers sur la Seine mit fin à l'isolement de Bennecourt qui ne communiquait avec Bonnières qu'à l'aide de bacs[23]. Ces ponts furent détruits en 1940 et reconstruit après-guerre.

    Lors de la Première Guerre mondiale, un industriel belge dans le but de poursuivre son activité en dépit de l'avancée de l'armée allemande en Belgique, transféra son activité à Bonnières-sur-Seine où il fonda la première usine sidérurgique, les laminoirs de Saint-Éloi, entraînant l'arrivée d'un millier d'ouvriers belges dans la région. À cette époque, l'église Saint-Ouen de Bennecourt devint la paroisse des Belges[24] et reçut en 1920 des vitraux offerts par Louis Piret.

    Politique et administration

    La mairie.

    Administration municipale

    Le conseil municipal est composé du maire et de quatorze conseillers dont quatre sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Didier Dumont[26] DVG Professeur d'anglais
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    Instances judiciaires et administratives

    La commune de Bennecourt appartient au canton de Bonnières-sur-Seine ainsi qu'à la communauté de communes des Portes de l’Île-de-France dont la ville centre est également Bonnières sur Seine.

    Le territoire communal est également inclus dans celui de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[27].

    Sur le plan électoral, elle est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines, dont le député est Bruno Millienne (MoDem).

    Sur le plan judiciaire, Bennecourt fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[28] - [29].

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 882 habitants[Note 3], en augmentation de 3,98 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0541 0591 0161 1171 1351 1181 0801 030962
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    900860846815729771749746688
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    701667682700643660665667682
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    8098581 1231 1791 5721 7841 7631 7801 813
    2017 2020 - - - - - - -
    1 8971 882-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 968 hommes pour 924 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,6
    6,0
    75-89 ans
    7,4
    14,3
    60-74 ans
    15,4
    25,6
    45-59 ans
    22,4
    16,3
    30-44 ans
    20,0
    15,8
    15-29 ans
    13,3
    21,8
    0-14 ans
    19,9
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    Jadis, tous les 24 août, était fêté à Bennecourt la « Fête des Ponts ».

    En effet c’est en 1884 lors de l’inauguration des deux ponts qu’est née cette fête. Elle permettait aux habitants de se retrouver et de s’amuser. Tout s’arrêta lors de la Seconde Guerre mondiale quand les ponts furent détruits pour reprendre plus tard de manière sporadique.

    Économie

    • Commune rĂ©sidentielle.
    • Agriculture
    • Port Saint-Nicolas, port de plaisance sur la Seine.
    • Chantier naval.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Ouen : Ă©glise du XVIe siècle, classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du 18 mai 1932[36]. Dans cette Ă©glise se trouvent un ensemble de vitraux offerts vers 1920 par un industriel belge, Louis Piret[37].
    • Vestiges d'un sanctuaire gallo-romain, le Fanum, fouillĂ© entre 1982 et 1988[36].
    • Ancien temple protestant datant de 1964, transformĂ© en rĂ©sidence secondaire.

    Patrimoine naturel

    Les « coteaux de la Seine de Tripleval Ă  VĂ©theuil », reprĂ©sentant au total environ 286 hectares, inclus dans le site Natura 2000 des « Coteaux et Boucles de la Seine » (code FR1100797, s'Ă©tendent en partie dans la commune de Bennecourt. Il s'agit de coteaux calcaires exposĂ©s au sud dans la concavitĂ© d'un mĂ©andre de la Seine sur lesquelles on trouve une flore thermophile d'affinitĂ© mĂ©diterranĂ©enne et une vĂ©gĂ©tation d'Ă©boulis calcaires. Parmi les espèces animales prĂ©sentes figure Callimorpha quadripunctata, l'Ă©caille chinĂ©e, papillon qui est inscrit parmi les espèces d'intĂ©rĂŞt communautaire dans l'annexe II de la directive habitats[38].

    Au bord de l'eau Ă  Bennecourt,
    Claude Monet, 1868, Art Institute of Chicago.

    Personnalités liées à la commune

    • Émile Zola (1840-1902), Ă©crivain, c'est au hameau de Gloton qu'il habita de 1866 Ă  1871. Le village et les habitants de la rĂ©gion tiennent une place importante dans son Ĺ“uvre : le hĂ©ros de « ThĂ©rèse Raquin », Laurent est fils d'un cultivateur de Jeufosse. Une partie de son roman L'Ĺ’uvre, se situe Ă  Bennecourt.
    • Peintres cĂ©lèbres ayant frĂ©quentĂ© Bennecourt au XIXe siècle :
    • Louis Piret, industriel belge, maĂ®tre de forges Ă  Thy-le-Château près de Charleroi, installa une usine sidĂ©rurgique Ă  Bonnières en aoĂ»t 1915[24]. Deux vitraux offerts par Louis Piret en « hommage des Belges Ă  la France hospitalière » sont installĂ©s dans l'Ă©glise de Bennecourt.
    • L'acteur Fernand Frey (1877-1959) y possĂ©dait une maison de campagne, la Villa ChĂ©rubin.

    HĂ©raldique

    Blason de Bennecourt Blason
    D'azur à la grappe de raisin tigée et feuillée d'or, accostée de deux épis de blé du même, au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
    DĂ©tails
    Les épis de blé et la grappe de raisin évoquent les cultures principales de la commune (pour la vigne il s'agit d'une culture disparue) tandis que les trois étoiles en chef symbolisent les trois noyaux urbains de Bennecourt, Gloton et Tripleval[39].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Bennecourt », p. 91–92

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
    2. Climat des Yvelines sur le site de Météo-France.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Bonnières-sur-Seine », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    12. Alphonse Durand, Victor Eugène Grave, La chronique de Mantes : ou histoire de Mantes depuis le IXe siècle jusqu'à la Révolution, page 20.
    13. Albert ANNE, la légende des clés de ville à Freneuse, page 7
    14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 72a.
    16. Ernest Nègre, TGLF (lire en ligne)
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    18. Ernest Nègre, op. cit.
    19. Luc Bourgeois (dir.), Le sanctuaire rural de Bennecourt (Yvelines), du temple celtique au temple gallo-romain, Maison des Sciences de l'Homme, , 220 p. (résumé).
    20. Serge Sochon, Alerte, drakkars sur la Seine ! Le siège de Paris par les Vikings, éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1994 (ISBN 2-85480-453-8).
    21. La Roche-Guyon, l'un des plus beaux villages de France, Alain Quenneville, Thierry Delahaye et Christian Broutin, Le Valhermeil, 1996, p. 7.
    22. Monique Bardy, La grande histoire des Yvelines, Édijac, p. 22.
    23. Le pont de Bonnières, site de la mairie de Bonnières-sur-Seine
    24. 1914-1918, Bonnières-sur-Seine sur le site de Thy-le-Château
    25. Site municipal - Présentation des élus
    26. Extrait de la fiche de M. Didier DUMONT, sur lesbiographies.com
    27. « OIN Seine-Aval », EPAMSA (consulté le ).
    28. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    29. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bennecourt (78057) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    36. Le Patrimoine des communes des Yvelines, Paris, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), p. 91.
    37. Bennecourt, Ă©glise paroissiale Saint-Ouen, Archives des Yvelines
    38. « Document d'objectifs du site « Coteaux et boucles de la Seine », p. 96-104 », Réseau Natura 2000 (consulté le ).
    39. Le blason sur le site de la mairie
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